J’étais comme un fou
Avoir sous les yeux ces deux femmes, ma mère, brune et sexy en diable se faire caresser par ma psychanalyste, une belle blonde de 43 ans à la poitrine opulentemon fantasme réalisé d’amour saphiques. Le problème c’est que j’étais attaché sur mon siège, et à part avoir une grosse érection et jouir du spectacle, rien d’autre ne m’était autorisé ! Rebecca, ma mère, s’assit sur le bureau, les jambes bien écartées, Évelyne venait de lui descendre sa robe jusqu’aux pieds et c’est une femme splendide en porte-jarretelles noir sans string, qui me faisait face, moi toujours emprisonné dans ce maudit fauteuil. Puis la psychanalyste, toujours les deux mains sur les seins de ma mère, qu’elle commençait à un peu malmener, plaça son visage à l’entrée du sexe de ma mère, qui était déjà béant d’excitation et commença un cunnilingus dont les femmes ont le secret entre elles.
Ayant bien chauffé ma mère, qui sous le coup des caresses buccales de son amie, commençait à gémir de satisfaction, elle se redressa et commença à maltraiter les seins de ma génitrice.
« Alors Petite pute tu as aimé mon cunnilingus ?
— Oh oui Docteur, qu’allez-vous me faire à présent ?
— M’occuper de tes seins de salope (et la giflant assez fort sur un sein), ça c’est pour m’avoir amené ton crétin de fils qui est trop bête pour s’occuper d’une femme
Avec ce que je le lui ai mis sous les yeux, un garçon normal m’aurait déjà plaquée sur le bureau, et baisée à couilles rabattues. »
Ma mère criait sous les claques qu’elle prenait sur les seins, je dois avouer que le spectacle m’excitait beaucoup. J’avais l’impression que la psy me vengeait des arnaques de ma mère. Et puis une idée angoissante se fit jour dans mon esprit. Après s’être occupée de ma mère, j’étais sûr que mon tour viendrait : qu’allait donc me faire cette femme dominatrice et sadique ? D’autant qu’avec ce que prenait ma mère, elle allait aussi me le faire payer. Je commençais à comprendre le cheminement psychologique et le mécanisme de vices dans lequel j’étais entré bien malgré moi. La psy dominait ma mère, la « violentait » un peu, en disant qu’elle payait pour mes fautes. Puis ma mère se vengerait sur moi, dernière pièce de soumission de ce trio diabolique.
La psy, le docteur Sarah Sirkosky, Maitresse Évelyne pour les soumis ou soumises, où quand elle officiait en son cabinet « Docteur », était une véritable Dominade celles qui aiment humilier et violenter parfois férocement, ceux ou celles qui viennent de leur plein gré se jeter dans ses griffes de féline.
Je devais apprendre plus tard que les deux femmes s’étaient rencontrées par hasard, sur une terrasse de café, et ma mère jouant de ses charmes, lors de ses nombreuses « parties de chasse », n’avait eu aucun mal à séduire la jolie blonde de 43 ans. Elle fut un peu surprise quand, lors de leurs premiers ébats, cette dernière avait demandé si elle pouvait l’attacher aux montants du lit et lui bander les yeux, nue allongée sur le ventre. Ma mère avait accepté, désireuse de connaitre de nouvelles expériences érotiqueset quand Sarah, enfin Maitresse Évelyne, lui révéla sa véritable nature et ses pratiques un peu spéciales et piquantes, cette dernière n’avait pas bronché, ressentant les élans d’un nouvel orgasme la saisir, alors que la main implacable du docteur s’abattait à un rythme soutenu sur ses fesses offertes.
Depuis ma mère était devenue « Soumise Rebecca » ou « Petite pute » pour la psy
La psy pinça fortement le téton droit de ma mère, tandis que de la main droite elle lui introduisit deux doigts dans sa fente. Elle commença à la limer de plus en plus vite. Les doigts ressortaient enduits de cyprine, gluants même. Ma mère prenait beaucoup de plaisir à cette intromission assez violente dans son sexe. Elle poussa une longue plainte.
Un troisième doigt rejoignit les deux autres et dans un orgasme et un cri de jouissance, ma mère eut une « éjaculation », un long jet de cyprine qui me mouilla la chemise.
Évelyne, les doigts dégoulinant de la cyprine de ma mère, eut un grand rire en me regardant, moi, avec mon air bête et ma chemise souillée.
Elle me tira les cheveux de la main gauche, m’obligeant à courber la tête en arrière, et alors que j’ouvrais la bouche de surprise et de douleur elle enfourna ses doigts gluants dans celle-ci. Je sentis le goût de la mouille de ma mère, pas désagréable au demeurant, et des gouttes descendre au fond de ma gorge :
« Alors elle a bon goût ta « moman », petit con ? Allez lèche tout, nettoie moi la main. »
Le ton était très autoritaire et j’obéis, la tête toujours tirée en arrière.
Mon Dieu sur quelle harpie étais-je tombée ? Je fus obligé de lui lécher entièrement la main, doigts par doigts. Le fait de me sentir dominé par cette femme de 43 ans m’excitait beaucoup, je devais bien me l’avouer. Ainsi moi le petit puceau de 18 ans, je venais de goûter à la cyprine de ma mère, et pas qu’un peu. J’étais à la fois terrifié par les choses qu’elle allait m’imposer, mais en même temps très pressé de voir ce qu’elle avait prévu pour ma mère avec moi. Car je sentais bien qu’elle allait nous imposer des choses pas très « catholiques » entre une mère et son fils.
Puis elle retourna s’occuper de Rebecca, lui ordonna de se placer debout, puis courbée à angle droit sur le bureau, avec les seins écrasés sur la plaque de verre. Ainsi soumise, ma mère me présentait son magnifique petit cul, elle avait évidemment les cuisses toujours écartées, si bien que j’avais une vue plongeante sur son petit abricot, qui me paraissait bien savoureux.
Évelyne alla fureter dans un tiroir, et revint vers nous avec un petit objet métallique rattaché à une ceinture harnais, ainsi qu’avec une cravache.
Elle commença par limer l’entrecuisse de ma génitrice, lui passant la palette de la cravache entre les lèvres, ce qui tira force gémissements de la part de cette dernière. Elle la retira du fourreau maternel pour m’en présenter le bout enduit de cyprineje ne me mis pas longtemps à comprendre et nettoyai la palette avec ma langue. Puis Évelyne se mit à cingler les fesses de Rebecca avec son « instrument de torture », lui tirant gémissements et cris de douleur.
Les fesses bien rougies de ma mère, Évelyne admira son uvre, et glissa alors sans ménagement un index dans le petit trou de Rebecca, tout en passant son autre main entre ses cuisses pour atteindre le petit bouton qu’elle masturba avec vigueur. Rebecca ne tarda pas à avoir un nouvel orgasme très expansif :
« Alors Petite pute tu as encore bien joui ?
— MMhhummm oui Docteur
— Tu sais que j’ai envie de te voir faire des choses très vicieuses avec ton fils
— Quoi donc Docteur ?
— (Une gifle sur un sein), c’est moi qui pose questions et réponses ici Petite pute, toi tu obtempères !
— Oui Docteur. »
La soumission de ma mère à cette femme était totale, mélange d’abjection de délire torride.
La psy mit sa cravache sous la gorge de Rebecca et la força à se lever, elle lui tordait le sein gauche de sa main. Ma mère à moitié étranglée par la pression de la cravache et son sein malmené déglutissait et gémissait.
Évelyne remonta son genou et le plaqua dans le creux des reins de ma mère, la forçant à se cambrer dans ma direction, puis elle quitta le sein et dirigeant sa main sur sa chatte, elle plaça deux doigts devant sa grotte et lui écarta les grandes lèvres, découvrant à 50 centimètres de mes yeux ébahis, petites lèvres, clitoris turgescent et grotte luisante de cyprine :
« Alors il est pas beau l’abricot de ta petite « moman » mais tu n’y auras pas droitdu moins pas pour le moment, (avec un regard très vicieux).
Non aujourd’hui je vais t’offrirsa bouche de petite salope !
Mon grand, grâce à ma générosité tu vas te faire sucer par l’auteure de tes jours ! Alors heureux ?
(Un coup de cravache sur ma joue) réponds petit con, quand je te parle !
-Aie !oui madame
— Docteur !!! Connard !!! Tu me refais ça encore une fois, je sors le gode ceinture et je t’encule sans lubrification ! Compris petit con !
— Oui Maheu Docteur
— Allez Petite pute, à genoux devant ton fils, tu le déshabilles et tu lui suces la bite »
Ma mère croisa mon regard alors qu’elle me déboutonnait mon jean et me baissait mon boxer ; elle ouvrit aussi ma chemise, présentant mon torse nu au docteur, un regard plein de mépris, mais aussi d’une vivacité lubrique peu commune.
Je ressentais que ma mère me méprisait toujours, mais qu’elle avait envie de ma queue et que surtout ce qui l’excitait, c’était d’être entre les mains de sa « Maitresse » et d’exécuter tous ses caprices. Je sentis également à son regard que contrairement à la dernière fois, elle pousserait sa fellation jusqu’au bout, qu’elle me permettrait de jouir dans sa bouche et qu’elle avalerait jusqu’à la dernière goutte de mon sperme comme une succube vorace.
Rebecca passait encore un degré, dans les méandres torrides de sa nouvelle vie sexuelle de femme libérée