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Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève – Chapitre 2




Salut c’est votre folle de lycra

Dans l’épisode précédent, je vous racontais comment ma maman m’avait envoyé trois mois, en vacances chez ma tante Geneviève et ses deux filles Muriel et Sophie. Durant le voyage, en voiture pour me rendre au domicile de mes cousines et leur maman, j’ai été assez impressionné par l’attitude très libérées de mes cousines à mon égard avec l’aval de leur maman. C’est ainsi que j’ai qui le droit de me faire caresser et embrasser chastement pendant le trajet, j’ai surtout découvert à cette occasion que ma mère et ma tante communiquaient beaucoup entre elles. Le jour même, arrivé chez ma tante, je me suis retrouvé à faire un cunnilingus à chacune de mes cousines pendant que ces dernières s’occupaient de mon petit trou. Pour la première fois de ma vie j’éjacule et sans toucher à mon sexe juste par des attouchements qui m’étaient prodigués au niveau de mon issue de secours. Juste après cela, elles m’ont fait enfiler une jupe très douce qui m’arrivait juste au-dessus des genoux et c’est à ce moment-là que ma tante est arrivée dans la chambre.

— Cela tombe bien mon petit Franck que tu sois habillé ainsi, car je tenais à faire une petite mise au point pour les vacances avec toi.

— À partir de maintenant, les affaires que tu as apporté, tu repartiras avec dans trois mois sans y avoir touché.

— A partir de maintenant tu n’auras plus de slip, tu ne porteras que nos culottes usagées que tu iras chercher dans le bac à linge sale.

— Vu que tes cousines et moi sommes plus grandes que toi, tu dois pouvoir rentrer dans tous nos vêtements.

— Il y a deux solutions, ou tu t’habilles en fouillant dans nos garde-robe ou c’est nous qui te préparons de quoi t’habiller tous les matins.

Pendant que ma tante me présentait les choses, mes cousines en profitaient pour me caresser. J’étais surtout en train de me demander, dans quelle foutue galère je venais de me mettre pour trois mois.

— Maintenant que tu es majeur, sache que dans la maison je ne veux que des filles.

— Nous avons toutes les trois nous charger et de ton éducation pour faire de toi une fille formidable.

Ma tante avait eu l’intérêt de ne pas tourner autour du pot, je savais à quoi m’en tenir pour les trois mois à venir.

— Viens dans ma chambre, je vais te faire essayer des escarpins qui devraient être à la taille, car nous avons la même pointure.

Tel un robot je l’ai suivie, elle a fermé la porte derrière nous, sans doute pour nous assurer une certaine intimité. Elle m’a pris par la main puis est allée s’asseoir sur son lit, puis comme le firent mes cousines tout à l’heure, elle a écarté les jambes pour m’inviter à lui faire sa toilette intime. Au préalable elle m’a demandé de lui retirer sa culotte, de la sentir et la lécher devant elle, ensuite seulement j’ai besoin de passer aux choses sérieuses. Décidément ces trois mois de vacances étaient appelés à se transformer en cours d’éducation sexuelle accélérés, moi qui me cantonnais au théorique et au platonique jusqu’à maintenant, je rattrapai tout de retard acquis. Pour m’aider à la défaire de son tanga, ma tante a soulevé ses fesses, déjà cela sentait bon la femme distinguée, avec son parfum envoûtant. Une fois sa petite culotte toute humide dans les mains, je n’ai effectivement pas pu me retenir d’en sentir l’endroit où les dépôts intimes féminins restaient collés à la culotte. C’était plus fort que moi je respirais profondément cette odeur féminine de femme mûre qui émanait de cette pièce de tissu en lycra.

C’est avec un léger sourire que Geneviève me regardait faire, elle m’a observé avec un grand intérêt surtout quand je me mis à lécher ses sécrétions. Il n’y a pas dire j’étais vraiment fétichiste des petites culottes, surtout quand elles étaient encore humides, odorantes et goûteuses.

— Je crois que tu vas vraiment être heureuse ici pendant trois mois.

— Tu vas nous satisfaire pleinement, mais je crois que tu vas aussi prendre beaucoup de plaisir.

— Il y a une femme ou plutôt une grosse cochonne qui dort en toi, mais cette dernière a le sommeil très léger.Cela me faisait tout drôle que ma tante me parle systématiquement maintenant au féminin, elle voulait trois filles à la maison, j’étais condamné à le devenir si je voulais passer trois mois chez elle. En même temps je me disais qu’il n’y avait pas mort d’homme (si je puis dire ) et que en fin de compte il était très agréable de porter des dessous féminins. Après m’être bien délecté de l’entrejambe de sa culotte sous ses yeux, tata m’a invité à passer aux choses sérieuses. Je n’ai pas eu besoin de me faire prier pour venir me positionner à la hauteur de sa vulve, entre ses jambes; j’en mourrais d’envie. Finalement je constatais que je ne me servais pas trop mal de ma langue entre les deux gros orteils des femmes.

Quelle ne fut pas ma surprise de constater au combien son petit clitoris était sensible à mes coups de langue, c’était un plaisir car ainsi je savais où aller positionner mon appendice pour lui faire du bien. Elle était beaucoup plus expressive que ses filles, mais maîtrisait à merveille la technique de l’oreiller. N’ayant pas eu trop le temps de me nettoyer le visage de la cyprine de ses filles, je ne retrouvais avec une troisième couche de nectar sur le visage. Maintenant j’étais agrippé à ses cuisses, et ma langue découvrait son entrejambe pour le plus grand plaisir de ma partenaire. Je me sentais fort et puissant, à pouvoir ainsi la faire crier, la faire soupirer de plaisir, juste avec les coups de langue. Par contre, par rapport à ses filles, elle était beaucoup plus longue à prendre son pied; je pense surtout qu’elle voulait savourer le moment le plus longtemps possible.

— C’est bien ma cochonne, continue à me brouter le berlingot.

— Tu vas voir que dans quelques jours, tu ne pourras plus t’en passer.

— Tu vas devenir une soumise brouteuse de minou.

Le plus beau c’est que maintenant, le fait qu’elle me parle au féminin, avait tendance à énormément m’exciter.

Ma langue se faufilait des lèvres de son vagin, jusqu’au lèvres de son clitoris; je peux même vous avouer que je suis parti faire une petite escapade jusqu’à son petit trou, qui lui aussi avait l’air très sensible. À ma grande surprise, quand elle a commencé à prendre son pied, j’ai eu le droit à des coups de cravache sur les fesses; il n’y a pas à dire, elle était vraiment en train de me dresser à lui donner du plaisir. Elle est restée ensuite plusieurs minutes dans les nuages, moi je continuais à lui lécher l’entrejambe et aussi la picorer entre les cuisses. Quand elle a repris ses esprits, elle m’a saisi pour m’embrasser sur la bouche avec énormément de gourmandise, je ne faisais que subir mais c’était tellement bon; sans doute était-ce pour se faire pardonner de m’avoir coller des coups de cravache.

— Tes cousines m’ont dit que tu avais un petit cul très accueillant pour leur doigts.

— Et en plus il paraît que tu es très sensible à cet endroit.

Ne sachant quoi répondre à face à ces affirmations, j’ai préféré ne pas relever et me taire.

Elle a fait le tour de son lit pour aller dans la penderie et là elle m’a tendu une magnifique robe moulante et longue, elle me l’a donné à enfiler et je me suis exécuté tel un automate. La robe était en viscose et en lycra d’une douceur qui ne me laissait pas indifférent. De plus, elle était tellement longue que par moment elle touchait le sol.

— Ne bouge pas ma belle, je reviens avec une surprise.

Elle est revenue avec les mains vides, du coup j’en ai conclu qu’elle s’était moquée de moi, par contre elle m’a pris par la main pour m’emmener dans la salle de bain, me mettre face au lavabo les mains écartées de chaque côté du miroir et elle m’a demandé d’écarter les jambes. En pédales soumise et obéissante que j’étais en train de devenir, je me suis exécutée sans trop savoir ce qui allait m’arriver. J’ai un peu plus compris quand elle a commencé à me saliver la raie des fesses, tout comme ses filles elle a rapidement pu y entrer trois doigts, ce qui bien évidemment m’a procuré des sensations divines. Il n’y a pas à dire, j’adorerais me faire solliciter mon sphincter.

Ces trois femmes étaient en train de me faire découvrir un nouveau plaisir, peut-être honteux mais au combien efficace. Par moment je sentais sa douce robe caresser mes fesses, puis à un moment je l’ai senti soulever l’avant de sa robe. Geneviève m’a bien écarté les fesses et j’ai senti quelque chose de dur à l’entrée de mon petit trou, j’étais en train de me demander ce que c’était, quand cette chose m’a totalement pénétré, ce qui m’a fait pousser un cri de plaisir et en même temps de surprise.

— Décidément je ne suis pas au bout de mes surprises avec toi.

— Manifestement, tu aimes bien te faire prendre par derrière.

Moi qui avais une belle érection depuis que je m’étais occupé de son minou, mon sexe venait de doubler de volume suite au plaisir que me procurait cette pénétration qui allait et venait en moi maintenant. Je venais de réaliser que ma tante était en train de me sodomiser avec un gode à ceinture, elle était en train de me regarder dans le miroir et je faisais la même chose. Je commençais à avoir de moins en moins honte du plaisir que je prenais à me faire péter la rondelle. Pendant ce temps-là Geneviève était en train de me dire plein de mots doux au féminin à l’oreille.

Tout à l’heure, mes cousines m’avaient donné beaucoup de plaisir juste avec leurs doigts, mais maintenant c’était un gode qui manifestement était de belle dimension me défonçait la boîte à caca. Un coup Geneviève s’accrochait à mes hanches, un autre moment elle s’accrochait à mes épaules ou à mes biceps je lui étais totalement offerte. Elle veillait à régulièrement remettre de la salive de telle façon à ce que cela ne m’irrite pas mon petit cul. Pendant que Geneviève était câline avec moi et qu’elle me ramonait en même temps, je réalisai que je prenais sans doute le même plaisir qu’une femme quand elle se faisait sodomiser. Par moment il lui arrivait de me coller des claques, heureusement qu’il y avait le tissu de ma robe pour me protéger les fesses, car elle n’y allait pas de main morte. Au bout d’un bon quart d’heure de ce traitement, j’ai fini par pousser des petits cris qui m’ont fortement étonné, car c’était la première fois je criais ainsi. Pour la première fois de ma vie j’étais en train de jouir après m’être fait sodomiser et en plus par une femme, toute la liqueur est partie dans le lavabo. En fait, au moment où j’ai commencé à pousser de petits cris geneviève a saisi mon sexe pour en diriger les jets de semences.

— Je suis très fier de toi ma chérie, je ne pensais pas que tu étais sensible à ce point sur ta face cachée.

Je crois qu’à ce moment-là je faisais vraiment partie de ses filles, nous étions quatre femmes sous son toit. Elle est restée un petit peu dans mes entrailles, avant de m’envoyer prendre une douche, chose que je fis sans me faire prier. Quand je suis sortie de la douche elle m’a montré avec quoi elle m’avait défoncé la rondelle et j’ai pu constater que ce n’était pas un gode à ceinture mais un slip en latex avec un gode de plus de quatre bons centimètres de diamètre et de vingt centimètres de long. Pour accompagner ces détails ma tante m’expliquait que vu la taille que je venais t’accueillir, de nombreux hommes pourraient venir se faufiler en moi désormais pour me donner du plaisir. Au moment de me rhabiller avec les escarpins qui m’attendaient, un collant opaque et bien évidemment ma douce robe, Geneviève m’a tendu un slip en latex pratiquement comme le sien sauf qu’il y avait que un sexe qui se trouvait à l’intérieur et qu’il était destiné à me sodomiser. Vu que j’étais un peu réticent à enfiler ça, ma tante a trouvé les mots pour me motiver.

— Ne t’inquiète pas ma chérie, c’est exactement le même que celui qui vient de te défoncer.

— Je voudrais que tu prennes l’habitude à avoir ton petit anneau distendu, pour ne prendre que du plaisir quand tu seras appelé à donner du plaisir à un homme.

J’étais en train de réaliser que de petite salope soumise, ce qu’elle voulait faire de moi, c’était plutôt une pédale offerte bonne à satisfaire d’autres hommes. En même temps j’étais en train de réaliser que je n’avais jamais pris autant de plaisir, que c’est grâce à mes cousines et surtout ma tante que je découvrais le nirvana. Pendant que j’étais en train de l’enfiler, Geneviève me mettait de la vaseline à l’entrée de mon petit trou. La texture était bizarre mais surtout elle accrochait à ma peau c’était un peu désagréable; c’est à ce moment-là que ma tante m’a expliqué qu’il faudrait que l’on mette du talc ultérieurement. Elle s’est chargée de bien l’emboîter dans mon orifice, puis ensuite elle m’a fait enfiler une gaine de maintien de telle façon à ce que mon anus n’expulse pas l’intrus en caoutchouc. En même temps cette culotte renforcée, si je puis dire se chargeait de calmer mon érection, car cette dernières ne pouvait plus bouger elle était carrément plaquée contre mon bas ventre. Une fois l’opération terminée, je découvrais que finalement c’était agréable de sentir ce morceau de latex en moi.

Geneviève m’a ensuite faire enfiler un collant satiné et des escarpins, déjà je les trouvais très beaux mais en plus ils m’allaient à merveille. Par contre, quand il a été question de marcher avec, je me suis vu confronté un réel problème, je manquais d’équilibre, pendant une demi-heure cela a été source de fou rire. Finalement j’ai fini par m’y faire, ma tante a même insisté à ce que j’ai une démarche la plus féminine possible, pour l’instant je me suis limité à être content de ne pas tomber. Elle m’a ensuite invité à me rendre dans la salle de bain pour la séance maquillage, le résultat fut stupéfiant. Au bout d’une bonne heure et demie dans la chambre de ma tante, nous avons fini par sortir, j’allais affronter le regard de mes cousines; mais Geneviève m’avait mis en confiance. Mes cousines ont été bluffées par le résultat et bien évidemment ma tante est rentrée dans les détails pour ce qui était de ma tenue. C’est ainsi que mes cousines ont rapidement su que j’avais un plug de belle taille dans mon endroit secret. Nous sommes partis manger et nous sommes ainsi retrouvés autour de la table, quatre jolies filles qui n’ont parlé que de sexe pendant le repas. Moi qui trouvais mes cousines et ma tante innocentes, je découvrais une nouvelle face d’elles, qu’elles veillaient à bien dissimuler quand elles sortaient de chez elles.

Je ne sais pas ce que ma maman aurait pensé de moi si elle m’avait vu ainsi accoutré, mais maintenant au fond de moi, je me disais que peut-être qu’elle était au courant. De mon côté je me disais que moi aussi je cachais bien mon jeu, car tout le monde me croyait coincé et maintenant j’étais en fille parmi les filles. Et si finalement, j’étais un gros vicelard croisé avec une pédale soumise, je m’interrogeais quand même sur mon manque de réaction après tout ce que m’avait fait subir ma tante et ses filles. Après dîner nous sommes passés devant la télé, je me suis retrouvée dans le canapé entre mes deux cousines et sous l’effet du plug, j’avais une érection que je ne pouvais contenir. Bien évidemment les trois femmes l’ont rapidement constaté et j’ai eu le droit à des plaisanteries graveleuses à ce sujet, mais mon érection persistait. Ma tante m’a expliqué qu’en fin de compte j’avais une chatte un mec et un gros clitoris, bien évidemment ses propos ont fait rire à gorge déployée Muriel et Sophie.

Devant le bon film que nous regardions, la soirée s’est bien passée, et nous sommes partis nous coucher on ne peut plus sobrement. Bien évidemment, avant de rentrer dans ma chambre, j’ai eu le droit à un roulage de pelle en règle ainsi que des caresses on ne peut plus précises, de la part de mes cousines et leur mère. Vu que je me sentais très bien dans la tenue que j’avais, je ne fis que me défaire de mes escarpins pour me glisser sous les draps. C’était plus fort que moi le frottement de tissu sur mon corps me donnait envie de faire un petit plaisir solitaire mais en même temps, mais en même temps mon sexe avait été fortement sollicité cet après-midi et j’avais l’impression qu’il réclamait un peu de repos. Pour vous faire imaginer au combien j’appréciais la tenue que m’avait imposé Geneviève, je me suis endormi les fesses remplies de caoutchouc. Je réalisai aussi que maintenant, dans ma chambre, il n’y avait plus un seul vêtements masculin; c’était une chambre de fille où une fille allait s’endormir dans son lit. Vers vingt-trois heures, j’ai reçu un sms de ma mère pour savoir comment s’était passée la journée, sans trop rentrer dans les détails, je lui ai répondu que le début de mes vacances allait sans doute changer le cours de ma vie.

Vu comment ma mère et sa sur communiquaient ensemble, je faisais attention à bien peser les mots car ce que j’envoyais à l’une, l’autre devait être au courant rapidement après. Je me suis endormi avec la tête bien encombrée de pensées diverses, comment allait se passer la suite de mes vacances, jusqu’où allait aller ma tante avec moi, est-ce que cette histoire prendrait fin à la fin des vacances… J’ai quand même fini par céder face au sommeil, je me suis mis en position de chien de fusil et Morphée est venue me chercher. Le sommeil profond dans lequel je me suis plongé, m’a été bien bénéfique car la journée avait été mouvementée et pleine d’événements imprévus. Vers dix heures, je me suis réveillé, c’est une grosse envie d’aller au petit coin qui est intervenue dans mes rêves pour que je fonce au toilette. Le problème c’est qu’il fallait que je me déshabille de façon très particulière par rapport à d’habitude, il fallait que je me débarrasse de ma gaine mais surtout de mon plug. Une fois que je me suis retrouvé le cul nu et vide j’ai pu aller m’installer tranquillement à la selle, cela me faisait quand même tout drôle de sentir la douceur de ma robe et mes jambes. Finalement c’était quand même très agréable d’être habillé en femme.

Après m’être vidé le boyau, je suis parti prendre une douche, il n’y avait plus de savon mais que des produits de beauté bien évidemment réservés aux femmes, dont je faisais partie désormais. J’ai profité de l’occasion d’être sous la douche pour laver mon slip à go de. Vu que je ne m’étais pas démaquillé hier soir, j’avais un visage un peu cadavérique, je me suis chargé de tout retirer et ensuite je suis parti m’habiller; j’avais quand même pas mal de choix au niveau vêtements féminins. J’ai gardé ma robe car je la trouvais quand même d’une grande douceur, j’ai trouvé une paire de collant fendu ainsi qu’un tanga et j’ai décidé d’essayer des bottes dans lesquelles je suis rentré sans problème. À ma grande surprise, je me sentais bien ainsi vêtu, car je ne sais pas si la veille j’aurais osé faire ça. J’ai l’impression que Geneviève et mes cousines m’avaient mis en confiance, que je me libérais, comme si j’avais été coincé toute ma vie jusqu’à là. C’est ainsi que j’ai quitté ma chambre pour me rendre dans l’endroit où il y avait de la vie à cette heure-là, à savoir à la cuisine.

Je pensais au début pouvoir marcher aisément avec ces bottes, mais du haut de mes dix centimètres supplémentaires, l’équilibre n’était pas évident à conserver. Quand je suis arrivé Muriel Sophie et Geneviève étaient en train de prendre le petit déj, elles m’ont regardé avec un sourire, on aurait dit qu’elles étaient émerveillées, mais il y avait aussi un peu d’amusement dedans.

— Tu es magnifique ma chérie je ne pensais pas que tu oserais.

Cela m’a fait drôle une fois de plus que Geneviève parle de moi au féminin mais au fond de moi j’ai réalisé que j’allais rapidement m’y faire.

— Il n’y a pas à dire nous avons perdu notre cousin au profit d’une cousine et elle est vraiment mignonne.

Maintenant ce sont mes cousines qui prenaient la parole et je prenais vraiment comme un compliment et en plus je le sentais sincère.

— Aujourd’hui les filles nous allons aller nous promener dans la rue

— Ou plutôt nous allons aller faire une brocante qui n’est pas loin d’ici

Il fallait en conclure que aujourd’hui j’allais plonger dans le grand bain, dès le lendemain de mon arrivée. Il n’y a pas à dire, ma tante ne prenait pas beaucoup de gants avec moi, il n’y a pas à dire elle savait jusqu’où pouvais pousser le bouchon.

Bienvenue à France…

En espérant vous avoir satisfaits avec ce chapitre

Bisous à vous

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