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Sous les blouses des collègues. – Chapitre 2




Salut c’est votre folle de lycra.

Pendant que Samantha était en train de me faire reluire l’abricot, deux de mes collègues me tenaient toujours les jambes bien écartées. Suite à ma demande de jouissance, je venais d’entendre dans mon dos, que j’allais en avoir une mémorable ce jour. C’est Coralie qui revenait à l’assaut, elle est venue m’embrasser, mais en plus de ça elle a libéré ma poitrine de mon soutien-gorge et elle a commencé à saisir la pointe de mes seins. Sa façon de les pincer, me faisait flirter entre la douleur et le plaisir, mais finalement, c’est le dernier qui a pris le dessus. Samantha était maintenant agrippée à mes cuisses, ses coups de langue étaient de plus en plus profonds, mais surtout précis et efficaces. J’avais la sensation que toutes mes collègues étaient en train de perdre leur retenue à mon égard. Voilà comment, au bout de quelques minutes, toutes mes collègues étaient en train de se nettoyer la founette avec leur culotte qu’elles me donnaient ensuite à lécher. Cela faisait à peine une semaine que je travaillais dans cette clinique, et voilà que j’étais en train de découvrir les plaisirs du saphisme.

Finalement les relations intimes entre femmes n’étaient pas désagréables, c’est vrai qu’ainsi il n’y avait plus de secret entre nous et l’équipe était on ne peut plus soudée. Au début j’étais un peu réticente à poser ma langue sur toutes ces culottes, mais finalement au fur et à mesure j’en découvrais le goût. À ce rythme-là j’allais reconnaître mes collègues les yeux fermés, juste au goût et l’odeur de leurs minous. Ma langue devenait gourmande, et allait à la rencontre des culottes souillées qui s’approchaient de ma bouche. Quand une cinquième collègue est venue s’occuper de moi, j’ai compris que je n’avais plus aucune chance de partir ce soir sans avoir joui. En plus de ses coups de langue, Samantha se servait maintenant de ses doigts qu’elle introduisait dans mon vagin ; elle savait vraiment y faire pour donner du plaisir à une femme. Entre les caresses, les baisers et finalement les trois doigts dans mon vagin j’ai fini par me mettre à jouir comme jamais je ne l’avais fait.

Cet après-midi, je venais de devenir bi, pour l’instant je ne pensais pas à ça, j’étais dans les nuages. J’étais impressionnée par la douceur de chacune de mes collègues, j’ai vraiment l’impression qu’elles voulaient que cela soit un moment mémorable et en toute honnêteté elles étaient en train d’atteindre leur objectif. Je n’en pouvais plus, je criais de toutes mes forces, à tel point qu’au bout de quelques instants, le baiser que j’échangeais avec Coralie ne suffisait pas à étouffer mon cri de plaisir. Ce sont mes collègues qui m’ont un peu étonnée quand elles ont trouvé une solution en me collant chacune leur culotte dans la bouche. Durant plusieurs minutes j’ai crié, mais mes cris étaient étouffés par ces morceaux de tissu goûteux et odorants. Pendant ce temps, Samantha n’avait pas quitté son poste, elle continuait à me brouter le minou avec une efficacité redoutable. Je ne savais pas si c’était en train de devenir insoutenable, ou j’allais prendre une deuxième fois mon pied. Finalement c’est la jouissance qui devenait trop intense, j’ai dû saisir la tête de Samantha pour l’inviter à quitter mon entrejambe pour le faire reposer. Tout ce que j’étais en train de vivre, au fond de moi je me disais que j’étais prête à remettre ça le plus souvent possible. Quand j’ai cessé d’exprimer mon plaisir bruyamment, j’ai commencé à réaliser ce que je venais de vivre. J’étais vidée, j’étais exténuée et mes collègues s’en sont rendu compte, elles sont venues me câliner.

Jamais je n’aurais cru que des collègues puissent être aussi câlines entre elles, mais surtout aussi soudées. Nombre de mes partenaires masculins m’avaient déjà fait jouir en me pénétrant, mais jamais je n’avais joui aussi intensément. J’étais désormais convaincue que quand une femme jouit de cette façon, elle ne pourra que chercher à vivre ça de nouveau. En gros je pense que quand on goûte aux femmes une fois, on est condamnée à y retourner ; quand tout s’est bien passé. Il m’a fallu cinq bonnes minutes pour me remettre de ce que je venais de vivre, mes collègues étaient restées à mes côtés durant ce temps. Mes collègues présentes m’ont aidée à me rhabiller, bien évidemment, elles ne se sont pas privées de me faire des petites caresses indiscrètes en passant. Je me suis passé la tête sous l’eau pour ne pas paraître trop cadavérique, une fois toutes présentables nous avons quitté le vestiaire, pour chacune rentrer chez nous, je peux vous garantir que de mon côté, j’avais la tête ailleurs. N’ayant pas vraiment la tête à rentrer directement chez moi, je suis partie me promener dans les boutiques de la grande surface voisine.

Quand j’ai fini par rentrer à la maison, j’ai fait la bise à mes parents comme d’habitude, et ils m’ont un peu trouvé bizarre, je leur ai expliqué que c’était dû à une journée exténuante ; quelque part ce n’était pas faux. Après le repas, je ne suis pas restée avec eux pour regarder le film, je suis partie me coucher, j’avais envie de me faire reluire la friandise, mais en même temps j’étais crevée. Au moment de me coucher, après une douche réparatrice, j’ai récupéré mon téléphone dans mon sac à main, c’est là que j’ai constaté que mes collègues m’avaient laissé leurs culottes poisseuses et odorantes. Sur le coup j’ai eu la panique de la vie, en espérant que ma mère ne les ait pas aperçues. Cela a été plus fort que moi, je n’ai pas pu me retenir de toutes les glisser dans ma taie d’oreiller pour que je m’endorme avec de bonnes odeurs. Vu l’état dans lequel j’étais, avant de m’endormir il a fallu que je me fasse un petit plaisir. Une fois dissimulée sous les draps, la lumière éteinte et l’oreiller à portée de narines, j’ai glissé ma main droite entre mes jambes. Compte tenu de la jouissance que j’avais vécue cet après-midi, mon entrejambe était toujours bien liquéfié.

Ma cyprine s’était quelque peu éventée, du coup elle était presque visqueuse, mais j’ai l’impression que c’était encore plus agréable de se caresser dans ces conditions. Je n’ai pas eu besoin d’aller me glisser des doigts dans le vagin, mon clito était tellement désireux que je n’ai pas été bien longue à jouir en le titillant. J’ai juste eu besoin de fermer les yeux, pour me remémorer tout ce que je venais de vivre cet après-midi dans le vestiaire. Un petit quart d’heure et l’affaire était réglée et je me suis rapidement endormie, bien évidemment cette nuit-là, je n’ai pas cessé de rêver de Samantha et de tout le plaisir qu’elle m’avait donné. En gros à neuf heures et demie, je dormais, du coup le lendemain matin à six heures du matin j’avais une pêche du tonnerre. Il m’a fallu quelques instants pour me remémorer pourquoi mon oreiller sentait bon la petite fille négligée. Voilà quelques jours j’aurais été horrifié par de telles odeurs, mais voilà que maintenant elle avait un petit côté aphrodisiaque sur moi. Il n’y a pas à dire depuis que j’avais trouvé un boulot, quelque chose avait changé en moi, je pense que je ne regarderai plus du tout les femmes de la même façon.

Disons que jusqu’à maintenant les filles, je les regardais plus comme des concurrentes, maintenant je les verrai plus comme des proies ou partenaires potentielles. Le matin, je n’avais pas besoin de me lever beaucoup plus tôt par rapport à l’heure de ma prise de poste, car j’habitais juste à côté de mon boulot et surtout je mangeais des fruits en guise de petit-déj. Maintenant je veillais à arriver toujours beaucoup plus tôt au boulot, en sachant ce qui se passait dans les vestiaires. Quand je suis arrivée, presque toutes les collègues l’étaient déjà, nous nous sommes fait la bise, mais ce n’était plus les mêmes bises qu’avant. À chaque bise, j’avais la sensation qu’on était à deux doigts de se rouler une pelle, mes collègues avaient une tendance à se coller un peu plus à moi, tout comme je le faisais avec elles. De nombreuses barrières étaient tombées hier après-midi j’avais plus l’impression que nous étions entre maîtresses, entre amantes. Là où j’ai compris qu’il y avait quelque chose de vraiment changé c’est quand nous nous sommes retrouvées en blouse, Coralie qui était devant moi c’est immobilisé et c’est Samantha qui derrière s’est chargée de me débarrasser de ma petite culotte ; pour la première fois de ma vie j’allais bosser cul nu, foufoune à l’air.

Bien évidemment Samantha a porté la culotte à son nez, pour la sentir d’une façon provocante, avec un petit sourire tout aussi provocant, il ne m’en fallait pas plus pour m’exciter dès le matin.

« Ça sent l’abricot désireux.»

Voilà un commentaire bien cru de la part de Samantha. Finalement ce n’était pas désagréable que de travailler avec le berlingot à l’air, régulièrement les collègues trouvaient le moyen de m’effleurer, toujours de façon sensuelle. En les regardant de plus près, j’ai pu constater que ce n’était pas un privilège, elles étaient toutes, sans arrêt, en train de s’effleurer, de se caresser furtivement. En fait, je vais vous avouer que maintenant, j’en étais à désirer ces petites mains égarées, ces petits regards pleins de connivence ou de sous-entendus. Durant toute la journée de travail, j’ai eu l’entrejambe qui réclamait un peu de tendresse, j’aurais voulu que mes collègues s’occupent de moi n’importe où. Je culpabilisais un peu à travailler nue sous ma blouse, car j’avais l’impression que tout le monde me regardait, que tout le monde savait. J’ai été encore plus mal à l’aise quand Christiane et Geneviève sont descendues, pour demander à mes collègues comment se passait mon intégration.

Toutes ont répondu que cela se passait merveilleusement, à les entendre cela sous-entendait que nous étions complices, même très complices, les deux responsables devaient être au courant de ce que l’on m’avait fait vivre hier soir. Les deux quinquas étaient toujours très élégantes, avec une indicible classe et un charme certain qui faisaient d’elles des femmes irrésistibles. Elles se sont approchées de moi, elles m’ont invitée à me rendre dans un petit bureau pour que nous conversions toutes les trois tranquillement.

«Alors Sophie, comment se passent vos débuts dans notre clinique. J’espère que vous vous entendez bien avec l’équipe. Mais à ce que j’en ai entendu il n’y a aucun problème, vous vous êtes vraiment très bien intégrée.»

Que devais-je en conclure, en entendant cette dernière phrase, est-ce que les deux femmes étaient au courant ou pas, le doute était vraiment présent. Je leur ai expliqué que tout se passait bien, que j’étais agréablement surprise par l’accueil qui m’était réservé, de plus le boulot m’intéressait énormément. Au bout de dix minutes nous nous sommes toutes les trois quittées, dans une bonne humeur vraiment flagrante.

Quand les deux responsables nous ont quittés, Coralie s’est empressée de venir me voir pour savoir comment cela s’était passé. Après lui avoir fait mon rapport, elle m’a quitté en me gratifiant d’une agréable petite main au cul. La fin de journée s’est passée tranquillement jusqu’à ce que nous nous retrouvions toutes au vestiaire, en ayant croisé celles qui nous relayaient. Il y avait même une complicité entre les équipes, mais en même temps ces dernières étaient interchangeables, du coup toutes les filles se connaissaient, intimement si je puis dire. Arrivées dans notre repaire de femmes, j’avais envie que mes collègues me sautent dessus, je n’ai pas eu longtemps à attendre avant que Samantha ne vienne se coller à moi, alors que j’étais en train de me changer. Ma collègue a été très entreprenante, je ne savais pas comment réagir, car j’étais à la vue de toutes, je prenais le risque de passer pour une soumise ; ce qui n’était pas vraiment mon caractère. J’étais maintenant nue, face à Samantha, rapidement Coralie est arrivée et les deux femmes se sont mises à me caresser le corps.

Décidément, j’étais destinée à devenir une amoureuse des relations sexuelles entre femmes. Dans ce vestiaire, pas une trace de fraîcheur, il y faisait bon, cela ne sentait pas du tout le zoo ; manifestement tout ce qui se passait dans le vestiaire, restait dans ce local. Coralie avait pris possession de mes seins, et elle s’amusait avec les pointes on ne peut plus excitées. Pendant ce temps Samantha, m’avait plaquée contre elle, je sentais ses poils pubiens s’accrocher aux miens pendant que ses mains s’accrochaient à mes fesses. C’était la première fois de ma vie que je sentais la chaleur de deux corps féminins plaqués contre moi. J’en étais à réaliser que si cela avait été deux hommes, cela m’aurait fait beaucoup moins d’effets. J’étais de plus en plus réceptive, à toutes ces caresses qui m’étaient prodiguées, cela me faisait vraiment un bien fou. Maintenant Coralie qui était dans mon dos, se permettait de mettre son doigt dans le minou de Samantha et ensuite dans le mien, et à tour de rôle. Cela était tellement jouissif, que je la laissais faire, décidément je ne me reconnaissais plus.

Le summum a été quand Coralie m’a donné à sucer ses doigts inquisiteurs, je ne refusais rien, j’acceptais tout, je découvrais ; pour mon plus grand plaisir. Maintenant c’est Samantha qui avait pris le relais pour s’occuper de mes tétons, elle avait une autre technique pour les exciter, d’autant que maintenant elle me les suçait. Il y avait les parfums de chacune qui se mélangeaient, mais il y avait aussi les odeurs intimes, que ce soit les odeurs de cyprine ou les légères odeurs de sueur, c’était divin pour les narines. J’avais l’impression de me trouver dans un backroom de bar coquin. La jouissance était en train de monter, mais quand Élodie est arrivée pour se mettre à m’embrasser avec gourmandise et un peu de vice, il ne m’a fallu que quelques minutes pour me mettre à jouir une passion aussi intense que la veille. Il n’y a pas à dire, la jouissance entre filles était quand même plus intense, plus profonde ; cela venait de plus loin. Heureusement quÉlodie a continué à fermement me tenir la tête pour m’embrasser, car je poussais des cris monstrueux, et manifestement il n’y avait pas de culottes souillées à disposition pour me faire taire.

J’avais les jambes un peu flageolantes, heureusement que les trois femmes étaient là pour me retenir, mais ce coup-ci j’ai été plus rapide à reprendre mes esprits. J’étais vraiment heureuse d’avoir ainsi pris mon pied. Au bout de quelques minutes Coralie m’a invité à m’agenouiller puis elle s’est assise avec Samantha sur le banc, les jambes bien écartées.

«J’aimerais bien que tu apprennes à nous faire du bien avec ta langue.»

Décidément j’avais vraiment une formation totale sur l’art du saphisme au boulot. Je me suis mise à admirer ces deux toisons très bien entretenues, j’ai pu constater oh combien elles sentaient bon et elles étaient luisantes de cyprine. Il n’y a pas à dire ces deux femmes étaient très impatientes que je leur mette un petit coup de langue entre leurs deux gros orteils. Je n’avais jamais fait ça de ma vie, mais je n’étais pas contre le fait de commencer aujourd’hui, décidément le cérémonial d’intégration au sein de cette équipe, il était long, mais vraiment très agréable. J’ai commencé par délicatement poser mes doigts sur les toisons désireuses, avant de commencer à visiter chacune des moules.

Cela m’a fait tout drôle, car les deux femmes ont sursauté, je pense qu’elles n’attendaient que ça depuis longtemps. Leur abricot était vraiment très bien lubrifié, c’était vraiment un grand plaisir que de pouvoir glisser du périnée jusqu’en haut du clito. Où que j’aille, le moindre de mes déplacements les faisait soupirer de plaisir. Samantha et Coralie étaient vraiment très excitées, elles avaient vraiment envie d’en découdre avec moi. Pour ne pas se sentir inutile, Élodie s’est mise à me caresser les épaules ainsi que le dos au bout de quelques minutes. Maintenant j’étais confronté à un dilemme, quel abricot allais-je commencer à manger en premier. Il n’y a pas à dire celui de Coralie me plaisait beaucoup plus, car il sentait plus fort et je pense qu’il devait avoir plus de goût. Je pense que celui de Samantha était moins goûteux mais il devait être beaucoup plus sensible. J’ai finalement préféré commencer par celui de Coralie, je me voyais plus finir dans l’entrejambe de Samantha. Je n’ai pas été déçue du goût de la cyprine de Coralie, ses poils pubiens me chatouillaient le bout du nez, mais c’était vraiment très agréable.

Je découvris le cunnilingus avec une femme, là aussi je réalisai que je ne m’arrêterai pas un bon coup d’essai de ce soir. C’était vraiment très agréable que de pouvoir sucer un clito, que de jouer avec sa langue, et d’aller fourrer cette dernière dans un vagin. Maintenant j’avais tout le visage barbouillé de la cyprine de Coralie, par-dessus ça, Élodie était en train d’appuyer sur ma tête, comme si elle voulait que j’aille encore plus loin. J’étais en train de découvrir dans les moindres détails, l’anatomie de ma collègue une fois l’opération terminée, je suis partie faire la même chose dans l’entrejambe de Samantha. Je ne m’étais pas trompée, le goût était bien moins prononcé, par contre elle était beaucoup plus sensible à mes coups de langue, et ses soupirs de plaisir étaient beaucoup plus excitants. Pendant au moins dix minutes, j’ai alterné entre les deux mont-De-Vénus, à entendre mes deux collègues s’exprimer, il n’y avait pas de doute j’étais efficace et même sans doute une experte. Maintenant, mes doigts allaient même jusqu’à essayer de visiter le petit trou intime de chacune. Aucune n’a rouspété pour cette initiative, du coup je me suis un peu attardée pour jouer avec l’anneau rectal de Samantha et Coralie.

Je sens que vous êtes bien en condition, en train de me lire et c’est ainsi que prend fin le chapitre numéro deux.

La suite dans le chapitre numéro trois, si celui-là vous a plu.

Gros bisous à vous

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