Histoires de sexe en français Histoires érotiques Histoires porno

L'audit du changement de statut – Chapitre 4




Je me réveille, je suis toujours sur le fauteuil gynécologique et attaché. Mes Maîtresses sont à côté de moi. Jai toujours la pompe à seins. Jai limpression davoir lanus béant.

— Quelle jouissance tu as eu. Alors heureuse ?

— . Oui Maîtresse Barbara

— Jai été obligée de te faire revenir avec des sels comme une bonne soumise que tu es. Tu sais que tu avais ta petite chatte grande ouverte. Ca aurait été dommage quelle se referme donc je tai mis un spéculum pour maintenir louverture. Regarde tes tétons, ils ont grandi, tu deviens une vrai femelle.

En effet je regarde et levant la tête et je vois mes tétons qui remplissent les tubes.

— Tu sais que tu as fais encore du sperme en quantité ?

— Non Maîtresse Barbara.

— Pour que tu reprennes des forces tu vas le boire mais dabord tu le gardes dans la bouche pour en profiter. Ouvre ta bouche.

Maîtresse Karine arrive avec un récipient et me verse son contenu dans la bouche. La quantité est vraiment grande.

— Garde bien ton sperme pour que tu puisses profiter du goût petite soumise. Fait le passer dans ta bouche comme un grand vin.

Je fais ce quelle mordonne.

— Avale !

— Cest bon ?

— Oui Maîtresse Karine

— Ten veux encore ?

— Non merci Maîtresse Karine

— Pardon ????

— Si vous voulez Maîtresse Karine

— Gourmande ! Plus tard. As-tu envie de pisser ?

— Oui Maîtresse Karine

— Pisse dans le pistolet.

Elle me met le pistolet pour que je pisse.

— Je vais te mettre ta pisse dans le cul et le plug pour boucher puis tu iras dormir dans ta cage. Et puis, je te bride les tétons. Ce serait bête de perdre une telle longueur.

Elle me détache après avoir fait le nécessaire. Mamène à la cage dans laquelle se trouve un matelas.

Puis elles partent en éteignant la lumière. Je mendors du sommeil des justes malgré la situation hors norme de la situation.

Le matin, enfin je pense que cest le matin car dans le sous-sol et sans fenêtre il mest difficile de savoir lheure quil est. Maîtresse Karine arrive habillée dune superbe guêpière de cuir rouge sang laissant apparaître une poitrine haute et délicate. Il est lacé sur le côté et le devant dont la peau est perceptible au travers. Elle a une taille de guêpe que le string de la même matière souligne avec délicatesse. Les bas coutures sont maintenus par des jarretelles et des bottes de la même couleur donne à ses jambes une longueur infernale.

— Jespère que tu as bien dormi. Maintenant tu vas va être mis en condition pour ta journée. Viens sur le fauteuil gynécologique.

Elle ouvre la cage et je vais tant bien que mal sur le fauteuil où elle mattache comme hier. Elle me pose les suceurs de tétons, un bâillon avec un sexe factice dans la bouche et la pompe à sperme puis elle part.

Lhorrible dhier recommence je sens mon sexe aspiré inlassablement. Cest désagréable mais je subis pour mes Maîtresses.

Un temps incroyable après elle revient débranche la pompe à sperme en laissant les suceurs en place. Puis dépose mon sperme dans le congélateur. Avant de débrancher le suceur, elle me met des brides aux tétons.

— Comme ça tes tétons ne vont pas se rétracter trop vite. Ce serait dommage avec la longueur quils ont prit. Je vais te détacher, tu vas aller dans la salle de bain au fond de la salle pour que tu te laves. Puis, tu as des vêtements que tu mets et tu montes pour le petit déjeuner.

— Oui, Maîtresse Karine.

La porte navait pas attiré mon attention, je louvris et entrais dans la salle de bain. Je trouve des vêtements féminins à ma destination. Tout le nécessaire de toilette est disponible. Je me déshabille et me lave les dents, jouvre un robinet pour me rincer la bouche. Leau est froide, je tourne le mitigeur vers leau chaude et leau est toujours froide. Il va bien falloir que je prenne ma douche et je marme de courage pour y aller. Une fois fini, je me sèche en frictionnant bien pour me réchauffer. Je regarde plus précisément les vêtements qui sont disponibles pour mhabiller. Dabord, et bien sûr, un plug que je mets puis une ceinture corset, un porte-jarretelles avec des bas noirs puis une culotte et un tablier de soubrette dont je ne vois pas très bien comment faire tenir le plastron. Il a bien deux petites pinces en haut mais pas de lanière à attacher. Il y a aussi du parfum de femme. Je suppose que mes Maîtresses veulent que je lutilise. Ce que je fais. Il reste des chaussures à enfiler. Des escarpins avec des talons qui doivent faire 10 cm. Je les regarde, elles sont à ma taille. Je les enfile et essaie de marcher avec. Ce nest pas gagné mais je sors tant bien que mal de sortir de la salle de bain mais le plus dur est de monter les escaliers. Jarrive enfin au rez-de-chaussée et je les trouve. Maîtresse Barbara est en guêpière de satin noir.

— Je vois que ton tablier nest pas attaché.

Elle sapproche de moi et prend une pince pour la fixer à mon téton puis fait de même avec lautre côté.

— Voilà, nous allons prendre le petit déjeuner.

Je me dirige avec elles vers la salle à manger et maperçois que la table est mise pour deux.

— Toi, tu passes sous la table. Tu nous lèches et, si nous sommes contentes de toi, tu pourras manger.

Nayant pas mangé depuis la veille au matin je me dépêche de faire le nécessaire pour avoir quelque chose à manger. Je passe sous la table et maperçois que les chaises de mes Maîtresses sont évidées à leur centre en forme de U dont louverture est vers moi de sorte que la vulve et lanus sont libres. Elles ont ôté leurs strings pour passer à table. Je commence à lécher Maîtresse Karine qui semble prendre beaucoup de plaisir que je passe à son anus pour varier les plaisirs. Pendant ce temps là elles discutent de tout et de rien même si un moment Maîtresse Barbara semble faire un monologue. Maîtresse Karine jouit bruyamment. Puis elle me repousse avec le pied. Je passe à Maîtresse Barbara et procède de la même manière. Elle aussi en arrive à jouir à son tour.

— Sors de là et viens manger. Me dit Maîtresse Karine.

Je sors de sous la table et prends la dernière chaise. En son centre il y a un gode énorme qui est fixé et une sangle devant celui-ci.

— Enlève ta culotte puis tu enlèves ton plug et tu tempales.

Je fais ce quelle mordonne, Le gode est vraiment gros et long. Une fois empalé, Maîtresse Karine mattache la sangle autour du sexe puis la ferme avec un petit cadenas. Si je voulais me lever je ne pourrais pas.

— Mange petite soumise.

Je regarde dans lassiette et le bol. Ce ne sont que les restes de leurs propres petits déjeuners. Elle pose aussi des comprimés en mexpliquant.

— Tu vas prendre tous les jours ces comprimés. Ce sont des hormones pour te féminiser un peu plus car cous allons te transformer en femelle et pour compléter le traitement tu boiras tous les jours de notre urines qui ont aussi des hormones. Tu as compris ?

— Oui Maitresse Karine.

— Après ton petit déjeuner, tu vas descendre et te remettre sur le fauteuil gynécologique pour que nous traitions encore tes tétons mais aussi tes seins. Et bien sûr nous allons te traire et élargir ta chatte.

— Bien Maîtresse Karine.

— Et dorénavant, tu es une femme. Tu as perdu ton statut dhomme.

— Bien Maîtresse.

Je mange le petit déjeuner dans lequel elles crachent de temps en temps, mais jaime tout avoir delles. Une fois fini, elles me détachent la sangle afin que je me lève. Je me décule.

— Suce le gode avant de descendre.

Je me mets à genoux et suce le gode.

— Entre-le complètement dans ta gorge.

Je mempale la bouche et lentre si bien que rapidement jai le nez qui touche la chaise.

— Descend maintenant.

Je me lève et descend lescalier. Les talons me font bouger mon bassin et la descente de lescalier est périlleuse. Jarrive au fauteuil et minstalle dessus. Je mets mes jambes dans les gouttières.

— Nous nallons pas tattacher, tu seras sage petite femelle esclave.

— Oui Maitresse Karine, je suis prête pour tout ce que vous allez me faire.

Maîtresse Barbara minstalle la pompe à tétons puis la trailleuse à sperme. Pendant ce temps là Maîtresse Karine me met le plug à lavement et me branche la poche qui est plus grosse quhier soir.

— Tout à lheure nous allons faire un peu déquitation. Tu auras un plug qui se gonfle à chaque fois que tu tassois dessus. Tu cul sera comblé très rapidement et tes tétons auront des petits poids. Tu vas être aux anges. Mais en attendant tu vas boire ta dose de notre champagne.

Elle minstalle un bâillon avec un embout qui mentre dans la bouche. Elle raccorde une nouvelle poche dessus et ouvre le robinet.

— Tu as notre champagne que nous avons collecté depuis hier soir.

Je commence à boire cet élixir qui est plus fort en gout. Cest certainement lurine du matin. Et elles me laissent ainsi quelques temps. Le lavement commence à me gêner et la pompe à sperme me fait mal à la verge mais je ne bouge pas et je résiste pour satisfaire mes maîtresses. La poche à urine se vide petit à petit.

— Elles redescendent avec des vêtements.

Maîtresse Barbara débranche la poche à urine qui est vide puis menlève le bâillon.

— Tu as aimé le champagne de tes Maîtresses ?

— Oh oui Maîtresse Barbara.

— Tu en veux encore ?

— Sil vous plait Maîtresse Barbara.

— Tu es gourmande, mais cest tout pour linstant

Là elle commence à mettre une bassine sous moi pour que je vide ma chatte de son lavement. Rapidement cest fait. Maîtresse Karine débranche la pompe à tétons pour minstaller une autre pompe qui recouvre mes seins et la met en route.

— Nous allons te pomper tes seins pour les gonfler un peu mais pour cela nous allons leur injecter un produit hormonal pour les aider à prendre du volume.

Et Maîtresse Karine me fait une série de piqures sur le pourtour. Pendant ce temps là Maîtresse Barbara minstalle un plug qui a une petite pompe à sa base.

— Pour patienter, tu nous fais jouir.

Maîtresses Barbara met un tabouret de part et dautre de ma tête et monte dessus si bien que jai la fourche de ses jambes au-dessus de moi. Elle descend et je me mets à lécher son sexe qui est trempé de mouille. Rapidement elle ondule du bassin et exprime son bonheur en me traitant de femelle en chaleur. Elle jouit en criant. Après avoir reprit ses sens elle avance son anus vers ma bouche et me dit.

— Ouvre la bouche jai un souvenir pour toi.

Jouvre grand la bouche et attend pendant que je sens quelle pousse. Malgré la crainte, jattends puis quelque chose sort de son anus, ma crainte semble être confirmée ce qui sort est marrons tombe dans ma bouche. Puis une autre bille tombe et encore dautres. Jai la bouche pleine

— Mange.

Je me mets à mâcher et contrairement à ma crainte ce sont des petits boudins cocktail quelle gardait dans son anus.

— Surprise rigole-t-elle. Ouvre, jen ai encore.

Et elle fait tomber une autre quantité de boudins, que je mange.

Rapidement elle est remplacée par Maîtresse Karine et je me mets à faire mon office. Elle aussi monte vers son plaisir et me prend la tête comme si elle voulait la rentrer dans son sexe et elle jouit en criant elle aussi son plaisir.

— Oh oui que cest bon, tu es excellente comme lécheuse, soumise. Moi aussi, jai quelque chose pour toi.

Jouvre la bouche et tombe quelque chose de clair. Je commence à manger, cest une petite banane.

Elle descend à son tour et comme à débrancher la pompe à seins.

— Ce nest pas mal comme résultat. Maintenant voyons ton sperme. Mazette quelle quantité.

Elle prend le sperme et part le mettre avec le reste dans le congélateur. Maîtresse Barbara minstalle la cage de chasteté et des poids aux tétons.

— Descend de là et refait toi belle. Puis tu mets le pantalon déquitation et les bottes.

Je remets un peu dordre dans ma tenue. Lisse mes bas, redresse ma guêpière et réajuste ma culotte puis je mets le pantalon déquitation qui est très tendu sur mes jambes et mon cul. Jenfile les bottes qui sont un peu justes puis un chemisier blanc.

— Tu es mignonne ainsi. Tu vas faire fureur si nous rencontrons quelquun en route.

Nous partons et montons en voiture. En masseyant je sens un petit coup de pompe et le plug augment légèrement. Nous arrivons dans un haras où trois cheveux sont prêts. La patronne arrive.

— Bonjour mes chéries. Vos chevaux sont prêts. Elle est mignonne votre copine.

— Bonjour Christine. Oui, cest une nouvelle. Mais tu verras elle est douée.

— Bonne ballade.

— A tout à lheure

Nous montons à cheval et en me posant sur la selle, nouveau coup de pompe. Nous partons au pas et tout va bien.

Au bout dun petit moment Maîtresse Karine dit.

— Si nous faisions un peu de trot monté ?

— Oh oui. Dit Maîtresse Barbara.

Chose dite nous faisons du trot et chaque fois que je pose mes fesses un autre coup de pompe. Si bien quun moment le plug est énorme dans mon cul que jen ai le souffle coupé. Nous croisons une jeune femme devant chez elle.

— Bonjour Sandra.

— Bonjour Barbara, bonjour Karine.

— Tu viens toujours ce soir.

— Je ne manquerai cette soirée pour rien au monde.

— Ah oui, Christiane nous ne tavons pas dit mais ce soir nous recevons des gens et tu seras la reine du bal.

Les trois femmes partent dans un rire. Puis nous repartons au pas. La ballade se fini et heureusement car jai limpression davoir le cul qui va se fendre en deux avec le volume du plug qui doit être énorme. Nous arrivons au haras et la patronne nous attend.

— La ballade a été bonne. Votre amie semble avoir des difficultés ?

— Ne tinquiète pas, Christiane est un peu constipée cet après-midi. Dit Maîtresse Karine en riant.

Je descends du cheval avec difficultés et jai du mal à marcher. La patronne dit alors.

— Je la plains car faire du cheval dans ces conditions ce ne doit pas être de tout repos. Je peux faire quelque chose pour que ça passe ?

Joignant la parole au geste, elle me passe la main aux fesses et appuie sur quelque chose pour que le gode se dégonfle dans une grande partie. Je suis soulagée dun seul coup.

— Nest ce pas que jai la main merveilleuse ?

— Oui, vraiment merveilleuse, Madame. Merci beaucoup.

— Peut-être pourras-tu me faire plaisir en retour ce soir ?

Comprenant que celle-ci est complice de mes Maîtresses, je lui réponds.

— Volontiers Madame. Enfin, si mes Maîtresses my autorisent bien sur.

— A ce soir donc

Nous montons en voiture, et Maîtresse Barbara me dit.

— Tes vraiment une allumeuse. Nous allons régler cela ce soir.

— Pardon, Maîtresse Barbara.

Nous rentrons à la maison et mes Maîtresses mordonnent de descendre à la cave. Ce que je fais. Jattends depuis un petit moment et elles arrivent avec un petit sourire aux lèvres qui me laisse présumer quelles ont préparé quelque chose pour moi.

— Tu ne gardes que les sous-vêtements et installe-toi sur le fauteuil. Me dit Maîtresse Karine.

Je me dévêts pour ne garder que la guêpière, mes bas et ma culotte puis je minstalle sur le fauteuil et mets mes pieds dans les étriers.

Maîtresse Barbara môte la cage pour me mettre la trailleuse à sperme. Pendant ce temps là, Maîtresse Karine me fait une piqure dhormones aux seins puis minstalle la pompe à seins. Le plug est ôté pour en installer un autre qui est branché à une autre machine. Celui-ci se gonfle progressivement puisse dégonfle, et le cycle recommence.

— Nous te préparons pour ta soirée. Tu seras la pute de service. Me dit Maîtresse Barbara

— Tu seras linvitée dhonneur de la soirée mais tu ne verras rien puisque nous allons te masquer les yeux. Tu feras tout ce quil test demandé. Tu as compris ?

— Oui, Maîtresse Karine.

Elle approche de la pompe anale et augmente la pression de gonflage. Lanus se distend et je sens que la dimension doit être énorme. Il se passe un long moment comme ça, puis mes Maîtresses viennent me délivrer.

— Tu descends du fauteuil et tu va prendre ta douche dans le petit cabinet.

Je passe dans le petit cabinet de toilette pour me laver, je me dévêts et comme je le craignais leau est encore froide. En sortant de la douche je cherche la serviette mais il ny en a pas. Je retourne vers mes Maitresses encore mouillée.

— Bien, viens ici.

Je mapproche de Maîtresse Karine.

— Tu es toute mouillée en pensant à la soirée. Rit-elle

— Penche-toi en avant que je te prépare.

Je me penche et elle se place derrière moi. Elle me badigeonne lanus pour mintroduire ce que je suppose être un plug.

— Je te mets un tunnel afin de te garder bien ouverte.

Je sens que ça rentre et que cest très gros.

— Redresse-toi et enfile çà.

Elle me tend une tenue en latex que jenfile avec difficulté. Après un bon moment, la tenue me couvre des pieds à la tête. Lentrejambe est largement ouvert ainsi que les seins et la cagoule que je nai pas encore enfilée pend dans mon dos.

— Tourne-toi.

Elle minstalle des bouchons doreilles puis menfile la cagoule qui me couvre toute la tête sauf le nez et la bouche. Elle ferme la fermeture éclaire et je suis isolée de tout. Cest une sensation bizarre car je ne vois rien et je nentends que dune façon lointaine.

Elle me prend par les épaules et me tourne. Je sens quelle me passe quelque chose autour de ma taille. Cest un corset quelle commence à serrer. Elle me met un genou dans le bas des reins et tire de plus belle sur les lacets. Jai le souffle coupé. Je dois respirer superficiellement. Jhalète, puis elle me fait avancer, puis me tourne et maccompagne en arrière. Je touche le bord dune table ou un banc. Elle maccompagne encore en arrière pour que je me couche dessus. Elle me pose les jambes sur des appuis. Je dois être sur le fauteuil gynécologique. Me les attache et positionne mes jambes de façon très écartées. Je sens mon anus qui est ouvert avec mon tunnel qui le garde accessible. Puis elle prend les bras pour les mettre sur des accoudoirs qui sont en croix par rapport à mon corps. Je suis crucifié sur le fauteuil. Elle mintroduit quelque chose dans la bouche qui mécarte les mâchoires. Jai la bouche grande ouverte. Elle soccupe de mes tétons et met laspirateur en route. Mes tétons sont aspirés.

Je me retrouve ainsi écartelée sur le fauteuil avec limpossibilité de voir ou dentendre quoi que ce soit. Cest un sentiment bizarre dêtre livrée à linconnu dans une gangue de latex quil misole du monde extérieur.

Puis plus rien, je dois être seule. Combien de temps passe ainsi, je nen sais rien.

Après un long moment, je sens que quelquun est à côté de moi. Je le devine puis je sens une odeur de parfum. Jentends un bruit assourdi de voix. Homme et/ou femme, je ne sais pas. Il me vient un doute, une crainte. Jai la bouche sèche de lavoir grande ouverte. Une main se pose sur mon torse, me tire doucement les pompes sur les tétons. En même temps quelque chose touche le fond de ma cavité anale. Me caresse le fondement. Un liquide coule dans ma bouche, quelques gouttes seulement. Javale avec difficulté, car avaler avec lécarteur est très difficile. La personne nest pas seule car tout se fait en même temps. Je suis livrée à plusieurs personnes. Je ne suis plus quune chose. Un objet sexuel.

Quelquun menlève la cage puis une bouche se pose sur mon clitoris et le suce. Le suce mais aussi le mordille en tirant sur les testicules. La bouche se pose sur les couilles et les aspire. Jai limpression que la personne veut les avaler, les manger. Elle me masturbe tout en aspirant mes couilles. Même si le corset me gêne, je respire de plus en plus vite car cela fait longtemps que cette chose ne met pas arrivée dune façon si féminine ou plutôt féline. Je suis tripotée pendant un long moment pendant que je sens que quelque chose se pose sur chacune de mes mains. Ce sont des sexes féminins que je sens dans mes mains. Je les caresse et introduit un doigt dans chacune. Les sexes sont très humides et chauds. Je sens que je vais jouir. Mais la personne sarrête. Mais moi, je continue à caresser les sexes. Mes tétons sont toujours triturés et la pompe accélère en cadence et en puissance. Mon anus est de nouveau visité mais il me semble que cest un liquide chaud qui coule dedans. Je ne sais pas ce que cest. Puis il semble être aspiré, car je ne sens plus que du froid comme si jétais humide. On me verse un liquide tiède dans la bouche que javale avec difficulté. Jai vaguement limpression que ce doit être de lurine. Jespère que ce nétait pas celui que javais dans le cul. Mais javale. On menlève lécarteur et on mapplique un sexe féminin sur la bouche que je lèche avec plaisir. Quel bonheur davoir trois sexes féminins à ma disposition. Le tunnel mest enlevé pour sentir des doigts qui fouillent mon anus. Ils visitent mon anus avec délicatesse entrent et sortent inlassablement. Puis mon anus me semble être de plus en plus sollicité car il sécarte à chaque pénétration. Ca commence à devenir difficile mais la pénétration continue. Je continue malgré tout mon léchage qui semble plaire à la dame car elle se frotte de plus en plus fort et elle me tient la tête comme si elle coulait le rentrer dans son sexe. Les deux autres femmes se saisissent de mes mains pour les rentrer dans leurs sexes. Elles poussent et rapidement, je sens quelles sont prisonnières de deux gants de chair. Elles tiennent mes poignets et se masturbent avec mes mains en elles. Mon anus semblent être à deux doigts de se déchirer tellement que la pénétration est forte. Et dun seul coup, la main est entrée dans mon cul. Je crie mais le sexe me bâillonne. La main dans mon cul me pilonne et la sensation est énorme. Je suis enculé comme si mon cul nétait plus quun hall de gare. Cest trop bon.

Soudain la main dans mon anus se retire, je sens un grand vide. Mais aussi les deux sexes qui emprisonne mes mains et celui qui me bâillonne. La pompe à sperme est posée sur mon sexe et laspiration se met en route. Je sens que je coule car lexcitation est à son paroxysme, jai encore envie dêtre possédée comme une femelle en chaleur. Et à ce moment là, comme si quelquun avait entendu mon souhait, une main se présente à mon anus. Elle me pénètre comme si lanus était ouvert pour cela. Le poing se ferme et la masturbation anale recommence. Cest puissant, jai mimpression quun marteau pilon me défonce le fondement, que mes tripes remontent avant dessayer de sortir et le cycle recommence. Cest une impression grandiose, jhurle de bonheur. Après un temps incroyable, la main se retire et un sexe se pose sur ma bouche pour me désaltérer. Javale comme une rescapée du désert. Et bientôt, la main revient et tout recommence. Je ne sais pas combien de fois jai subit cette assaut mais bientôt je suis parti dans les vaps.

Quand je reviens à moi, je suis toujours dans la même position mais avec un gode qui me semble énorme dans le cul qui est très sensible et un autre dans ma bouche. Je suis bien et repu de sexe. Je reste ainsi dans un demi-sommeil quand je sens de nouveau des mains sur moi. Je sens quon me détache. On me redresse la tête pour môter le gode de la bouche puis la cagoule. Je vois enfin mes Maîtresses habillées de cuir fin qui épouse les formes. Maîtresse Barbara menlève les bouchons doreilles.

— Cest bien petite pute, tu as fais plaisir à nos amies. Elles tont toutes enfilées leur main dans ton cul et tu as bu toute leur urine. Elles étaient si contentes quelles veulent te revoir avec des anneaux aux seins. Ce que nous allons faire demain matin avec une amie.

— En attendant, me dit Maîtresse Karine, tu dois avoir faim ?

— Oui, Maîtresse Karine.

Elle apporte un grand bol de crème et me le tend.

— Tiens prend ton bouillon, cest tout le sperme de ton week-end. Tu en as fait un gros volume ce soir.

Je suis un peu dégoûté, mais je mexécute. Je bois à petites lampées. Et enfin, je fini mon bol.

— Cest bien, tu remets ta cagoule et tu vas te coucher. Mais avant tu vas remercier Maîtresse Barbara et moi-même pour la bonne soirée que nous tavons donné. Tu vas lécher nos bottes puis nos anus. Nous tavons fait un petit cadeau nous nous ne sommes pas essuyées ce soir. En ton honneur.

Je me mets à quatre pattes puis je mapplique à lécher les bottes de mes Maitresses qui se sont assises dans deux fauteuils. Je mapplique et lèche par de grandes lampées. Maîtresse Barbara me tend sa semelle pour que je la lèche. Ce que je fais. Rien de bien agréable pour moi, mais Maîtresse Barbara semble satisfaite. Bientôt Maîtresse Karine, savance sur son fauteuil. Je comprends quil faut que je change de léchage, jarrive entre ses jambes et je passe mon museau en ses cuisses pour lécher son anus. Mon nez entre dans sa vulve. Si le goût est suspect, la position est très agréable. Avoir le nez dans le sexe de ma Maîtresse est formidable pour moi. Je lèche avec application et le goût disparait peu à peu. Après un petit moment, Maîtresse Karine me repousse et je vois que Maîtresse Barbara est dans la même position. Je mempresse de lui faire la même chose. Le goût est moins soutenu et lanus est plus ouvert. Je soupçonne que quelque chose de gros est rentré là-dedans et que mes Maîtresses se sont bien amusées pendant que jétais sourd et aveugle. Me faire défoncer lanus par toutes ses Maîtresses a dû les exciter. Tout à coup, Maîtresse Karine me fouette les parties génitales.

— Salle trainée, tu as le clito tout tendu. Je vais te faire passer cette envie moi.

Maîtresse Barbara me tient la tête entre ses cuisses pendant que Maîtresse Karine me fouette de plus en plus fort. Jai mal mais je continu à lécher le nez coincé dans la vulve qui mouille. Ma respiration devient difficile en raison du corset dont la position accentue la gêne et du nez dans le sexe de ma Maîtresse, mais je ne peux pas bouger.

— Pour ta punition, tu vas nous enlever nos bottes puis tu nous lèche les pieds.

Jôte les bottes de Maîtresse Barbara, puis je mapplique à lécher son pied qui sent très fortement.

— Lèche bien entre les orteils et suce chaque doigt comme une verge. Fais des pipes à ta Maîtresse adorée.

Je passe ainsi ma langue entre les orteils et prends chaque doigt dans ma bouche pour les sucer. Je fais ainsi le deuxième pied. Quand Maîtresse Barbara est satisfaite, je passe à Maîtresse Karine. Je mapplique pour lui rendre les pieds propres.

— Nous allons te préparer pour la nuit, me dit Maîtresse Barbara. Monte sur la table dosculation. Sur le dos.

Maîtresse Barbare arrive entre mes jambes et môte le gode. Je laperçois, il est énorme, il doit fait 9 à 10 cm de diamètre. Je naurais jamais cru que lon puisse me rentrer ça dans le cul il y a peu de temps. Maîtresse Karine arrive avec un objet qui se termine par une grosse boule. Elle me rentre le sexe dans un fourreau auquel est reliée la boule. La boule termine dans mon cul.

— Tu vois le fourreau et en matière tissée comme une chaussette. Si on tire dessus, le tissage se ressert sur ton clitoris. Donc, cela ne peut pas partir. Le fourreau est relié par un tube à la boule percé qui a un clapet anti-retour dedans. Quand tu vas pisser, et tu vas le faire avec tout ce que tu as bu ce soir, tu vas recevoir cela dans ton anus. Je tinstalle un collier de chienne avec une plaque au nom de tes Maîtresses. Si tu te perds.

Sur cette explication Maîtresse Karine menfile une culotte en latex qui garde le tout bien en place. Puis elle me place la cagoule sur la tête ainsi quun collier qui me bloque la position de la tête et je sens une de mes Maîtresses maccompagné dans ma cage. Elle my installe et mattache. Je les entends partir en me laissant là. Rapidement et malgré la position, je mendors.

Dans la nuit, je ressens une furieuse envie de faire mes besoins. Je me retiens, mais ny tenant plus je lâche un jet durine et je sens la chaleur qui arrive dans mon anus. Cest loin dêtre désagréable. Je me lâche encore plus pour faire avec délectation mon besoin naturel dans son entier. La délectation est davoir fait mais aussi cette impression dans le cul. Ce liquide chaud me fait du bien. Je me rendors sur ce bien-être.

Related posts

Palpation sauvage – Chapitre 1

historiesexe

Amélie et les voisins – Chapitre 1

historiesexe

Je jouis avec mon beau-frère – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .