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Soumis par le père de ma copine. – Chapitre 1




C’était un doux euphémisme que d’affirmer que je redoutais de rencontrer mon futur beau-père.

Le personnage m’avait été décrit par ma copine comme un homme autoritaire, inflexible et austère.

Après des années de relation, et passé mes trente ans, celle qui partageait ma vie estima que j’étais apte à le rencontrer.

C’est donc dans sa villa du sud qu’il avait été convenu de procéder à la rencontre lors de nos vacances.

En dépit du fait qu’on m’attribue une certaine bonhomie et jovialité, je fais preuve d’une certaine timidité, et ce surtout quand il s’agit de faire bonne impression.

J’en savais peu sur mon beau-père, hormis qu’il occupait un poste à responsabilité complexe, que ma copine n’avait jamais été en mesure de me détailler correctement.

Nous venions d’arriver face à un immense portail en métal noir ouvragé et je tentais de masquer le fait que mes jambes jouaient des castagnettes.

Les battants de la porte s’ouvrirent, laissant apparaître une fastueuse demeure avec en devanture le maître des lieux.

Se tenait face à moi, un quinquagénaire, excessivement élancé, me dépassant probablement d’une tête, voire plus, se tenant immobile avec droiture.

Alors que je m’approchais, déglutissant mentalement, je pus détailler son visage.

Son front était barré de rides voyantes, fruits de son âge ou d’une vie de labeur stressante, et ses bajoues commençaient également à perdre en hauteur sans pour autant s’affaisser.

Il possédait d’abondants cheveux grisonnants, tirant sur un blanc mat, qui trahissaient son âge. Hormis ce point, il semblait plutôt en forme, même athlétique.

De là où j’étais, je pouvais déjà discerner des yeux clairs exultants d’ardeur.

Alors que j’arrivais à son niveau, il resta impassible, le regard braqué sur moi. Je tendis une main, me présentant aussi humblement que possible : – Mathias.

Ma main resta en l’air un instant, une durée qui me parut interminable, avant qu’il ne se décide à la saisir en me répondant :

Vous pouvez m’appeler Philippe.

Outre sa voix grave et chaude, c’est le ton employé qui me scotcha.

Je n’avais aucune peine à croire que c’était là une sorte de privilège qui m’était donnée. En tout cas de son point de vue.

Il y avait fort à parier que cet homme avait l’habitude d’être écouté. Et obéi.

Je jalousai quelque peu ce type de leader naturel, étant moi-même bien incapable de faire preuve d’autant d’autoritarisme.

Après une poignée de main ferme, Philippe embrassa sa fille sur les joues et nous fit le tour du propriétaire.

Sa villa était un palace. Plusieurs chambres princières, des jardins dégorgeant de plantes exotiques, des douches à l’italienne en roche noire et tant d’autres merveilles qui me laissaient bouche bée.

Un vrai coin de paradis.

Cependant, plus que l’opulence de la maison, j’étais fasciné par notre guide, écoutant religieusement ses indications.

Il me fixa à plusieurs reprises dans les yeux jusqu’à ce que je finisse par détourner le regard.

J’espérais avoir fait bonne impression.

Philippe nous laissa prendre possession de notre chambre avant de nous inviter à le rejoindre à la piscine.

Ouvrant sa valise, ma copine commenta :

Tu vois, il n’est pas si terrible.

Il n’est pas très amène… Mais je m’attendais à pire.

En vérité, j’étais déconcerté par le personnage.

Je me disais que je devais représenter bien peu de choses pour un homme de cette stature, mon seul exploit étant de sortir avec sa fille.

Après nous être changés, nous nous installâmes près de la piscine, sous un soleil farouche.

Philippe nous rejoignit peu de temps après.

Lui aussi avait quitté ses vêtements et portait un maillot de bain serré.

Comme je l’avais suspecté, il était plutôt athlétique, son corps était svelte et si sa peau présentait des signes de relâchement, les muscles de ses biceps et de ses pectoraux étaient noueux et dessinés.

Il était en outre parfaitement imberbe.

Alors que je m’étonnais de détailler autant le corps d’un homme d’âge mûr, mon beau-père de surcroît, ce dernier m’interpella :

Mathias, venez m’aider à nettoyer la piscine.

Encore une fois, le ton employé démontrait qu’il ne s’agissait nullement d’une suggestion.

Je me levais, mal à l’aise, Philippe était encore plus impressionnant, dévêtu qu’habillé.

Alors que je m’approchais, il s’accroupit pour saisir la longue épuisette.

Je restais bouche bée.

Le tissu élastique de son maillot de bain était copieusement déformé par une bosse colossale.

Médusé, je trébuchai sur un transat et manquai de tomber à l’eau.

Indifférent à mon émoi, Philippe se redressa et me tendit l’épuisette.

La gorge soudainement sèche, je m’en saisis, et m’activai à nettoyer les feuilles sur la surface de l’eau, tout en jetant des coups d’il en biais.

Je n’arrivais pas à me raisonner, mon regard dérivant systématiquement pour admirer à nouveau le maillot déformé de Philippe.

Le bougre était bien gâté.

De profil, sa virilité était parfaitement visible, déformant le tissu de son maillot.

Je n’avais jamais été complexé par la taille de ma propre verdeur, mais je devais admettre que je souffrais de la comparaison avec le monstrueux paquet qu’arborait Philippe.

Inexorablement, mon regard louvoyait vers son anatomie, pendant qu’il nageait, lisait ou se tenait immobile en scrutant son jardin.

Je ne m’expliquai pas cette soudaine et inconcevable obsession.

J’espérais qu’il n’avait rien remarqué.

Quel homme tout de même !

Le reste de la journée se passa agréablement, sans que mon admiration pour Philippe ne faiblisse pour autant.

L’attitude détachée qu’il affichait ne faisait étrangement qu’alimenter ma fixation. Cependant, mon beau-père se montrait globalement prévenant à mon égard, veillant à ce que je ne manque de rien.

Le soir, une fois dans le lit, je m’approchais de ma copine, tiraillé par un désir intense.

Elle grogna en me repoussant :

Non, je suis fatiguée. Et ça me gêne, il y a mon père pas loin. Retiens-toi, on n’est là que pour quelques jours.

Je m’allongeais donc, mon bas-ventre barré par une douloureuse érection.

Les autres jours se déroulèrent en douceur.

Je passais le plus clair de mon temps avec Philippe. Je ne savais plus si mon comportement à son égard était dû à mon désir de lui plaire ou à l’admiration que je lui portais.

De surcroît, j’avais cette étrange impression de bien m’entendre avec lui. Et la sensation qu’il s’agissait d’un sentiment partagé. Du moins, je l’espérais.

Le dernier jour, Philippe me proposa d’aller faire un footing.

Acceptant immédiatement, je me retrouvais sur le pas de la porte, engoncé dans mes affaires de sport presque neuves.

J’avais cette chance de posséder un corps plutôt bien foutu sans trop faire d’efforts.

Philippe se présenta à moi avec la prestance, et la tenue, d’un habitué du footing.

Mais plus que l’appréhension de courir avec mon beau-père, ce fut son short en lycra qui retient toute mon attention.

L’entrejambe de Philippe était massif, une bosse énorme déformant le tissu et un épais sillon courait jusqu’au haut de sa cuisse.

Le début de notre course mit un coup d’arrêt à mon émerveillement.

En dépit de l’adrénaline, et de ma volonté de me présenter sous mon meilleur jour, je dus bien vite me rendre à l’évidence que je ne pourrais jamais soutenir le rythme intense de mon beau-père.

Il cavalait devant moi, m’offrant une vue sur ses fesses musclées. S’apercevant de mon ralentissement, il s’approcha de moi, et cala une main ferme dans le creux de mon dos :

Allez, continue.

Il me maintient à sa cadence pendant toute la course, m’alimentant de courts encouragements.

Quand je ne grimaçai pas sous l’effort, je souriais, rassuré de la présence de sa main chaude qui ne m’avait pas quitté.

Lorsque j’aperçus la route menant à sa villa, j’étais épuisé, éreinté, mais fier d’avoir tenu bon.

Nous étions trempés de sueurs, les cheveux blancs de Philippe étaient plaqués sur son crâne et le haut de son torse luisait de sueur.

Nous reprîmes notre souffle devant l’entrée. Je croisais alors son regard. Philippe était si proche de moi que je sentais son souffle chaud. Mon cur tambourinait dans ma poitrine, échaudé par la présence proche de mon beau-père.

Il me fixait et nous restâmes un court moment ainsi, face à face.

Ma copine ouvrit alors soudainement la porte, et je reculais comme si j’avais commis quelque faute.

Ah, vous êtes revenus ! Je vous laisse les garçons, je dois rejoindre une amie en ville, ne m’attendez pas pour manger, je rentre tard.

Sans me laisser le temps d’ajouter un mot, elle grimpa dans la voiture et nous laissa seuls.

Philippe, qui était resté stoïque, remit sa main dans mon dos, me dit alors :

Viens.

Il me conduisit dans les couloirs de la villa jusqu’à sa chambre.

Elle était spacieuse, un grand lit trônait en son centre, et les murs étaient recouverts d’armoires et de placards, contenant une myriade de vêtements soigneusement rangés. Une douche immense était présente dans le fond de la pièce.

Alors que je m’apprêtais à briser le silence, il me dit :

Assieds-toi.

Il me désigna un petit banc en bois.

Je m’affalai, éreinté par ma course.

Philippe ôta alors son habit puis son short.

Je détournais le regard précipitamment, mais j’avais entraperçu fugacement l’impressionnante virilité de mon beau-père, dévoilée sans pudeur.

Je me savais rouge comme une pivoine.

Lorsque je redirigeais mon regard, Philippe était entré dans la douche et son corps était dissimulé derrière la vitre légèrement teintée.

Mon rythme cardiaque se mit à s’accélérer, mais je restais immobile, comme il me l’avait ordonné, tandis qu’il se passait sous l’eau.

La porte de la douche s’ouvrit quelques minutes plus tard, et Philippe s’avança vers moi.

Cette fois, j’admirais sa peau bronzée, son torse glabre et enfin sa verge lisse gigantesque qui se balançait entre ses cuisses. Deux énormes testicules imberbes, qui devaient faire le double des miennes, ballottaient également à chacun de ses pas.

Debout. – m’ordonna-t-il.

J’obéis instantanément.

Va te doucher.

Le cur battant, je me déshabillais tandis que Philippe me dépassait, se dirigeant vers sa penderie tout en s’essuyant.

C’est à peine s’il avait eu un regard pour moi.

Déstabilisé, je rejoins la douche et me réfugiai sous les puissants jets d’eau chaude.

Jetant un il, je vis Philippe en train de prendre des vêtements et lorsque je sortis enfin, il avait revêtu un pantalon sombre en laine, une chemise blanche, une veste de costume noire et nouait autour de son cou une large cravate rose au nud épais.

Approche. – m’ordonna-t-il.

Il n’y avait aucune serviette à proximité, je vins donc à lui, dégoulinant d’eau.

Philippe s’examina une dernière fois dans un miroir et se tourna vers moi, braquant son regard dans le mien.

Il était sidérant de prestance dans son costume, et exerçait une fascination comme je n’avais jamais connu.

Il m’ordonna alors d’une voix autoritaire :

Mets-toi à genoux.

Électrisé, j’obéis.

Philippe s’approcha, sa ceinture d’argent à hauteur de mes yeux et ouvrit sa braguette dans un bruit sonore.

D’une main, il fit jaillir son membre imposant, toujours au repos.

Il posa ses mains sur ses hanches, rejetant les pans de sa veste dans son dos et me commanda :

Lèche.

Je n’eus aucune hésitation.

Faisant sortir ma langue, je l’approchai de sa verge et je la fis glisser contre la chair repliée.

La peau de son sexe était chaude et douce.

Je fis quelques allées et venues et le membre réagit avec ardeur. Il se mit à gonfler et se redresser.

C’est bien. -me complimenta-t-il.

Son membre immense était à présent en érection, droit et lisse, parfaitement à la perpendiculaire de son corps.

Mes deux mains n’auraient pas suffi à l’empoigner en entier.

Regarde-moi. – m’ordonna alors Philippe.

Levant mes yeux, j’admirais son visage dominateur baissé sur moi, son menton reposant sur son imposant nud de cravate.

Lèche-moi le gland, du bout de la langue.

Je détournais le regard un instant pour fixer le gland épais, pointant vers mon visage, mais Philippe me rappela à l’ordre :

Continue de me regarder.

Relevant la tête, j’avançais ma langue à tâtons, avec appréhension, le regard braqué dans les yeux bleus de mon beau-père.

Je finis par atteindre la surface lisse de son gland et me mis à le lécher doucement.

Le contact était à la fois doux et rugueux.

C’est bien. Embrasse-le.

J’apposais mes lèvres sur le gland humide. L’odeur était forte et musquée.

Le regard toujours plongé dans celui de Philippe, je me mis à embrasser l’extrémité de son membre.

Mes lèvres devinrent très vite poisseuses et collantes.

Philippe me dit alors :

Prends-le en bouche.

J’eus un moment d’hésitation, puis, submergé par l’envie, j’avalais son gland.

Son odeur obsédante m’emplit tout entier. C’était une sensation enivrante que de sentir cet homme bander dans ma bouche.

Philippe apposa une main derrière ma tête et me contraint à prendre davantage son chibre en bouche.

Son gland força alors ma gorge et descendit le long de mon larynx.

Je respirais avec difficulté par le nez, les narines dilatées, hoquetant.

Philippe se retira, et je sentis sa longue queue lisse frotter contre les parois de ma gorge.

Je repris mes esprits, et mon souffle, pantois à l’idée que je venais d’avaler sa bite démesurée.

Il approcha une fois encore son gland et s’offrit un nouveau passage dans mon gosier, une subtile moue réjouie déformant ses lèvres minces.

Je ne quittais pas ses yeux froids tandis qu’il faisait aller ma gorge le long de sa queue.

Il était concentré, presque impassible.

J’étais subjugué d’être ainsi à sa merci.

Il retira sa veste qu’il plia précautionneusement, tout en veillant à ce que je poursuive mon office sur son membre.

Il posa alors une main chaude sur mon visage, et de la pulpe de ses doigts, caressa mes pommettes et mon nez. Il fit ensuite le tour de mes lèvres, étirées par la présence de son énorme verge.

Il provoquait chez moi un désir tel que je n’avais jamais connu.

Mon beau-père retira son chibre et me présenta ses deux grosses couilles glabres.

Je les léchais et les embrassais, les devinant lourdes de foutre, jusqu’à ce qu’il me les enfourne dans ma bouche.

Il en profita pour explorer de ses mains mon cou, mes pectoraux et mes bras, encore humides, puis il cessa.

Libérant ma bouche, Philippe me redressa en me saisissant sous l’aisselle pour me guider jusqu’au lit.

Mets-toi à quatre pattes.

Je m’exécutai, le tissu doux du drap effleurant mes paumes et mes genoux.

Il vint face à moi, et posa deux doigts sur le bord de mes lèvres puis les introduisit dans ma bouche.

Alors que je venais d’avaler sa verge massive, je ne me sentis jamais autant sous sa coupe qu’en ce moment, sentant circuler sur mes lèvres les poils gris de ses phalanges et les replis de ses articulations, mes yeux dans les siens.

Il fit glisser son autre main le long de mon corps et saisit un de mes tétons.

A ma grande surprise, je gémis docilement et me mis à triquer violemment.

Pour la première fois, Philippe eut un sourire franc, pinçant plus franchement mes tétons, se régalant de mes gémissements.

Il se stoppa pour ouvrir un tiroir proche et sortir une bouteille transparente.

Sans un regard pour moi, il barbouilla deux de ses doigts de gel et vint se placer face à mon flanc.

D’une main, il caressa mes côtes et appuya le majeur de son autre main sur le bord de mon anus.

Le contact froid me surprit et je ne pus retenir un souffle rauque. J’étais pétri d’appréhension et d’excitation.

Philippe fit entrer l’extrémité de son doigt entre mes fesses.

Je me sentis me contacter.

Il posa une main sur mon dos et me dit :

Recule.

Lentement, je poussais mon bassin, sentant le doigt de Philippe s’enfoncer en moi.

Je me stoppai, grimaçant face à la douleur.

Philippe retira son doigt, l’imprégna encore de gel et l’enfonça à nouveau.

Il me laissa aller et venir à mon rythme, puis ajouta un deuxième et un troisième doigt.

Ma bouche était grande ouverte et je respirais bruyamment. Je n’avais jamais connu un plaisir d’une telle force.

Philippe retira ses doigts et vint se positionner derrière mon postérieur.

Il déposa sa queue, toujours ferme, dans le sillon de mes fesses.

Il la fit circuler un moment, versant du gel jusqu’à ce qu’elle en soit recouverte. Il joua ensuite de sa position, saisissant la base de sa verge pour tapoter son gland massif contre mon anus exposé, d’abord avec douceur puis avec force. Je poussais de puissantes expirations à chaque heurt, redoutant qu’il se décide à me pénétrer.

Mes oreilles bourdonnaient, mais je perçus sa voix grave :

Détends-toi, ne cherche pas à te débiner.

Je sentis son gland me pénétrer.

La sensation était décuplée par rapport à ses doigts.

Je poussais un court gémissement et fis mine de tourner la tête :

Regarde devant toi. – m’ordonna-t-il.

Replaçant mon regard sur le mur blanc, je poussais un gémissement de soulagement lorsque Philippe retira son gland.

Il le renfonça aussitôt.

Répétant l’opération, il se mit à élargir mon anus étroit, gratifié dans ses efforts de mes cris de plaisir.

Puis il me pénétrera davantage, lentement, mais fermement, centimètre par centimètre, il s’enfonçait en moi.

Dès qu’il sentait que je me contractais, il se stoppait, me laissant respirer et haleter à grand bruit, jusqu’à ce que je me calme.

Ses mains bouillantes agrippaient fermement mon bassin et me maintenaient en place.

Il s’avança encore un peu et je sentis la boucle en argent froide frôler le haut de mes fesses.

Philippe me prenait entièrement.

J’oscillais entre incrédulité et extase de sentir cette bite monstrueuse me sodomiser.

Philippe poussa un court soupir de contentement et me dit :

Regarde-moi.

Contorsionnant mon cou, j’admirais Philippe, impeccable dans son costume, me dominant de toute sa haute taille, son membre épais enfoncé dans mes fesses nues.

Il se mit alors à aller et venir très lentement, se régalant de me voir gémir et ployer de plaisir à chaque mouvement.

Mon beau-père porta la main à sa cravate qu’il se mit à défaire.

Je l’admirais, fasciné, tandis que je sentais sa verge glisser en moi.

Il retira sa chemise, dévoilant son torse et ses bras athlétiques.

Une fois son pantalon aux chevilles, il attrapa fermement mon bassin de ses deux mains.

Il n’eut pas besoin de parler, il lut dans mon regard le désir qui me consumait depuis la première fois que j’avais croisé son regard.

Il commença à me donner des coups secs et vifs, espacés de lents va-et-vient.

Je geignais à chaque coup de boutoir, le visage déformé de jouissance.

Philippe se mit ensuite à ressortir sa longue verge, tambourinant mon anus de son gland gonflé, jusqu’à ce que je le supplie de bien vouloir m’honorer de sa lourde queue. Lorsqu’il jugeait mes supplications satisfaisantes, il m’enculait à nouveau, arborant un sourire fier.

En quelques coups de queue, il m’avait complètement soumis.

Il posa ensuite un pied sur le rebord du lit et m’attrapa par les épaules pour me piner avec vigueur.

Je hurlais de plaisir à gorge déployée.

Quand ma tête n’était pas enfoncée sur lit, j’admirais Philippe, sublime dans l’effort.

Il se mit à ponctuer son pilonnage de claques sonores et puissantes, faisant rougir mes fesses et me faisant rugir.

Ses pesantes bourses venaient frapper les miennes tandis qu’il me défonçait sans vergogne.

Je perdis la notion du temps, Philippe me besognant sans relâche, jusqu’à ce que sa respiration se fasse lourde et saccadée.

Il me gratifia encore de plusieurs coups de bassin vigoureux avant de se retirer.

Il fit le tour du lit et se plaça debout face à mon visage, grognant entre ses dents serrées.

Ouvre la bouche et regarde-moi.

Toujours à quatre pattes, le cul matraqué, je relevais la tête, bouche grande ouverte face à son gland proéminent.

Philippe, les yeux dans les miens, poussa un râle guttural avant de jouir.

Un premier jet de semence chaude recouvrit mon visage. Le second entra dans mes narines et dans ma bouche. Puis je perdis le fil des autres.

Philippe éjaculait à gros bouillons d’un foutre chaud et épais qui coulait sur mes lèvres, mes paupières et ma langue.

La consistance visqueuse et le goût entêtant me provoquèrent un court hoquet, mais j’avalais avec extase son sperme goûteux.

Quand le flot finit par se tarir, mon visage était tapissé de foutre.

Philippe, la respiration lourde, présenta l’extrémité de son gland odorant à mes lèvres pour que j’en recueille les dernières giclées.

Je m’attelai à lui nettoyer avec avidité.

Il se servit ensuite de sa queue pour rabattre le sperme de mon visage dans ma bouche.

Lorsqu’il se fut assuré que j’avais avalé la quasi-totalité de son sperme, il tapota son chibre sur ma gueule d’un air satisfait.

Mon visage était encore collant de sa purée, ma langue n’en finissait pas de passer et repasser sur mes lèvres poisseuses et je pouvais sentir son sperme épais couler dans ma gorge jusque dans mon estomac.

Je repris mon souffle et mes esprits, fixant l’homme qui venait de me baiser comme jamais je ne l’avais cru possible.

Il semblait serein, et satisfait.

C’est bien. Repose-toi cinq minutes et prépare-toi pour le deuxième service.

Philippe teint sa promesse et me baisa à nouveau.

Deux fois.

La première sous la douche, plaqué contre la vitre, je hurlai sans retenue son nom à plusieurs reprises.

La deuxième sur la table du salon, au milieu de ses papiers poussés sans ménagement.

C’est à cette occasion que je jouis.

Je n’avais même pas pris mon sexe en main, c’est un assaut un peu trop puissant de Philippe qui me fit juter sur le parquet.

Je n’avais jamais autant joui de ma vie.

Lorsque ma copine rentra, j’avais pris une quantité astronomique de douches et je m’étais brossé les dents à en épuiser le tube de dentifrice.

Pourtant, je sentais toujours sur moi l’odeur de mon beau-père et un goût tenace de son foutre emplissait ma gorge et mon estomac.

Nous partîmes le lendemain.

Philippe et moi échangeâmes en guise d’adieu une courte poignée de main. Je ne pus me résoudre à le regarder dans les yeux plus de quelques secondes de peur de ployer à nouveau sous le désir.

Sur le chemin du retour, je restais silencieux tout en conduisant, ce qui eut pour effet d’inquiéter ma copine :

Tout va bien ?

Oui oui.

C’était plutôt un bon séjour non ?

Oui.

En tout cas, tu as fait forte impression à mon père. Il a demandé si on voulait passer quelques jours dans son chalet dans la montagne. Je ne pourrais pas me libérer du boulot, mais je sais que tu es en congé. Si tu n’as pas peur de rester seul avec lui, tu peux y aller, c’est magnifique là-bas.

Je restai silencieux un moment avant de répondre :

Oui. Pourquoi pas ?

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