Le retour d’Hélène et le garçon, 3
Pour me punir d’avoir joui dans les bras de Laure, ma meilleure amie, mon fils Eric m’a prise sauvagement et a voulu m’humilier, il m’a fait mal avant de se vider sur mon visage.
J’ai besoin d’un bon bain pour me détendre et reprendre mes esprits, et, alors que je sors de l’eau, Eric apparaît. Il s’empare de la serviette et m’essuie. Il s’attarde sur ma poitrine et le contact sur mes tétons est délicieux. Ses gestes sont délicats et il dépose même des bises sur ma peau, j’en frissonne à chaque fois. Il me susurre, penaud :
« Tu ne m’en veux pas pour tout à l’heure ? »
«Si ! Beaucoup, j’ai encore mal, tu sais ! Il ne faudra plus refaire ça ! »
En le voyant si contrit, je m’apitoie et finis par craquer !
Je lui bise les lèvres et lui demande de me laisser finir ma toilette.
Après avoir revêtu une nuisette et ma robe de chambre, je le rejoins à la cuisine et prépare le dîner. Nous passons la soirée dans le canapé dans les bras l’un de l’autre, à regarder la télévision.
« Je peux dormir avec toi, maman ? »
J’hésite avant de répondre :
« D’accord, mais on ne fait rien. J’ai mal partout ! » En me massant les joues et en indiquant mon entrejambe.
Je me sens bien au creux de son épaule quand il me demande :
« Pourquoi tu as fait l’amour avec Laure ? Je ne te plais plus ? »
« Mais si mon chéri ! Mais ne sois pas jaloux, ça c’est passé comme ça, et puis je crois que j’ai envie d’expérimenter plein de choses Et puis, avec une femme ça ne compte pas.
D’autre part, tu bandais bien à nous écouter, pas vrai ? Je l’ai vu quand tu nous as surprises»
Il ne répond pas, mais ses lèvres se pincent à nouveau, il est toujours jaloux du plaisir que j’ai pu avoir avec mon amie. Je l’attire à moi pour l’embrasser et je sens sa main me parcourir le corps.
Je m’abandonne à ses caresses. Il flatte ma toison pubienne et me dit en hésitant :
« Si tu recommences avec Laure, je pourrais vous regarder ? »
Je suis si bien, que je n’ai pas envie de discuter et je m’entends répondre :
« Je ne sais pas, si elle est d’accord, pourquoi pas !»
Il a glissé entre mes jambes et soulève mes fesses afin de me lécher le clitoris.
Comme il s’y prend bien ! Si il se régale de me boire, moi j’adore sa langue fouineuse ou ses succions de mon petit bouton. Et je m’abandonne une nouvelle fois à l’orgasme.
Nous passons une nuit agréable dans mon lit. Nous sommes dans les bras l’un de l’autre au coucher et c’est par ses caresses que je suis réveillée le matin. Il bande comme un âne, je le vois bien, mais ne fait rien pour me forcer. Je lui flatte le membre et me lève préparer un café que j’apporte au lit. Puis m’assois près de lui.
Il me fixe et me dit :
« Tu es belle, maman ! J’ai envie de te prendre en photo, tu veux bien m’apporter mon appareil ? ».
« Tu as vu la tête que j’ai, laisse moi au moins me recoiffer ! »
« Non, non, reste comme ça ! »
Je lui apporte l’appareil et il me mitraille tandis que je bois mon café. J’en suis un peu gênée Je cache mon sein avec mon bras, mais il me demande de le retirer. Puis de me tourner vers lui, d’écarter les bras et de lui exposer ma poitrine. Il baisse la bretelle de ma nuisette et découvre un sein avant de reprendre ses clichés. Je me prends au jeu et affiche tantôt une moue provocante, tantôt un sourire charmeur.
La situation, bien qu’excitante devient un peu gênante. Je sais qu’il ne fera pas un mauvais usage des images, mais pourquoi une telle obsession de m’avoir en photo, alors qu’il m’a en naturel. Quand je lui pose la question, il élude, mais je finis par comprendre qu’il m’idolâtre et qu’il aime se repasser les images de moi.
Son explication me convainc à moitié, mais malgré tout, j’en reste flattée.
Dans la matinée, il insiste pour que je contacte Laure, mais j’en suis affreusement gênée.
J’appelle mon amie qui est ravie de m’entendre. Je tourne autour du pot et elle fini par comprendre le désir d’Eric de nous voir faire l’amour ensemble.
Je suis gênée de te demander ça, Laure’
Pour moi, il n’y a pas de problème ma chérie, seulement, il ne doit pas me toucher. Tu sais ce que je pense des mecs
Tu peux passer quand ?’
Cet après midi vers quatorze heures ; Aller, bisous, à tout à l’heure !
Je reste terriblement inquiète de ce qui va se passer. Eric me réconforte et je finis par me détendre, surtout quand je suis dans ses bras.
Laure arrive en début d’après midi, pose son sac à main et me saute au cou.
Eric est près de moi et assiste à un baiser extrêmement langoureux que Laure et moi échangeons.
« Alors Eric, tu veux me voir avec ta mère, c’est ça ? Tu es un sacré voyeur !»
Il rougit et moi aussi. Je ne m’imagine pas me donner en spectacle, mais c’est pourtant ce qui risque fort d’arriver.
Nous nous asseyons sur le canapé et mon fils se place face à nous. Laure me prend la main, la bise et la pose sur son sein. Je le sens durcir sous ma paume, d’autant qu’elle n’a aucun dessous et que sa robe moulante épouse toutes ses formes.
Nous échangeons baisers et caresses pendant de longues minutes et j’entends Eric souffler de plus en plus.
Laure se lève et m’entraîne par la main jusqu’à ma chambre. Eric nous suit et s’assoit sur le bord du lit. Il nous regarde nous embrasser debout devant lui. J’oublie sa présence et cherche, à nouveau, à me saisir de la poitrine de mon amie. Comme son sein est ferme ! En un tour de main, elle me débarrasse de ma jupe et glisse ses doigts dans ma culotte. Délicatement, elle effleure mon pubis et descend sur mon clitoris. Je me mets à vibrer sur mes jambes. Eric s’est placé derrière moi et s’attache à me libérer mon haut et mon soutien-gorge. Il baisse ma culotte maintenant et Laure reprend vite sa caresse. Je me pends au cou de mon amie alors que ses doigts papillonnent sur mon petit bouton. C’est atrocement délicieux !
Eric en profite pour m’écarter les fesses pour y glisser sa langue. Il me titille l’anus avec son petit dard. Je mouille terriblement et sens venir l’extase, mais Laure me fait allonger et se déshabille avant de glisser près de moi. La présence d’Eric ne me gène plus, il s’arrache les yeux à admirer le corps de ma partenaire, mais il sait qu’il ne doit pas la toucher.
Pour ma deuxième relation avec Laure, je veux être plus active et plus entreprenante que la première fois. Moi aussi je veux la caresser partout !
Il s’instaure alors, une sorte de duel où, tour à tour, nous roulons dans le lit pour prendre le dessus. Nous rions, mais c’est hyper excitant. Dans la bagarre, nos jambes s’entremêlent et nos pubis entrent en contact.
Très rapidement, nos corps ondulent en phase et j’attire ses jambes pour accentuer la pression de nos vulves.
Je ferme les yeux et me sens emportée au Nirvana. Je sens l’extase monter, monter. Mais c’est Laure qui jouit en premier. Ses cris libèrent les miens et mille feux éclatent en moi quand je me mets à hurler à mon tour.
Ma partenaire n’en reste pas là. Après un baiser furtif, elle se redresse et se positionne au dessus de moi en soixante neuf. Avec frénésie, elle se met à me lécher, mais moi, j’hésite un peu. J’ai un gros plan sur un sexe féminin, pour la première fois.
Mon fils qui a perçu mon hésitation, s’assois près de moi, caresse une fesse de Laure (qui ne bronche pas, ce qui m’étonne) et me soulève la tête pour que j’aille à la rencontre du joli fruit de mon amie.
J’y goûte et trouve cela délicieux. J’enlace la taille de Laure et l’attire à moi pour mieux déguster son nectar. Je reproduis fidèlement ce qu’elle me fait et, progressivement, j’improvise.
Mon coquin de fils, ne perd pas une miette du spectacle et en profite pour nous caresser, tour à tour. Laure ne dit toujours rien, ce qui m’étonne vraiment beaucoup.
Nous nous léchons mutuellement avec délice, toutefois, Laure se relève, s’assoit au bord du lit et me demande de m’agenouiller entre ses cuisses grandes ouvertes. Elle me regarde avec un sourire malicieux de défiance. En me relevant, je constate que mon fils est nu désormais, la verge tendue, assis près de mon amante qui semble étonnée des proportions de mon fiston.
Elle s’appuie sur les coudes, et moi je replonge avec plaisir vers sa vulve ouverte. Je me régale à la lécher et, par provocation, elle m’offre même son anus en relevant les genoux. Tout me sied, je me régale d’elle. Je regrette de n’avoir pas connu plus tôt les plaisirs saphiques.
Eric se déplace et vient derrière moi. Il adapte la position de mes jambes et je sens sa verge buter, puis me pénétrer.
Je tâche de m’appliquer avec ma langue, mais quand il s’enfonce en moi, je perds un peu le contrôle. C’est si bon !
Il a pris appui, en posant ses mains sur les cuisses de Laure et il me besogne désormais.
Je ne sais pas ce que je préfère dans la situation. Est-ce manger une femme ou être pénétrée par ce membre dur. Dans tous les cas, quand je jouis, ma tête est prisonnière entre les cuisses serrées de mon amie. Cette dernière se tortille et je crois qu’elle a un orgasme silencieux. Son corps tremble de toute part. Eric lui aussi a joui car je sens toute sa semence en moi.
Laure nous quitte un peu plus tard et on peut dire que nous sommes, tous trois, ravis des heures passées. Toutefois, mon amie me glisse à l’oreille qu’elle aimerait bien passer une nuit avec moi seule, elle a tant de choses à me faire découvrir.
Ce soir, je préfère dormir seule et Eric ne s’en vexe pas.
C’est en prenant ma plaquette de pilules que je suis prise d’angoisse. Je m’efforce d’être sure du jour, mais oui ! Il y a un décalage, j’en ai une en trop ! Ce qui signifie que j’ai oublié de la prendre, mais c’était quand ?
La panique me gagne car avec tout le sperme que mon fils a libéré en moi, il y a de forts risques que je tombe enceinte. Ca serait un comble !
Ce n’est qu’au petit matin que je parviens à m’endormir tant le sujet me fait peur.