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Quand le lion devient gazelle… – Chapitre 4




Alors que Mathilde saffairait dans la cuisine, je regardais avec circonspection la bite toujours tendue de Kévin, me faisant la réflexion que, même nappés de chocolat fondu, je n’avais pas trop envie de bouffer des ufs de grenouille. Il fallait donc que j’arrive à stopper ma jeune belle-fille dans son délire, sans pour autant lui donner l’impression que je me défilais ! Surtout que j’avais vraiment envie, par contre, de me faire son sublime petit cul, à ma belle blonde…

Je me déshabillai donc complètement, jetant même mon slip souillé de sperme sur la tête de l’autre abruti, et m’approchai de Mathilde par derrière, lui enserrant ses deux hanches avec mes mains.

"Ma petite chatte, on peut éventuellement passer tout de suite aux choses sérieuses !? J’ai envie de te mettre ma grosse queue bien profond dans ton petit cul !… Je ne tiens plus !

— Attends Manou… j’ai bientôt fini ! Regarde ! Tiens, goûte !

Elle sortit un bol rempli de nutella fumant du micro-onde et m’invita à mettre, comme elle, un doigt dedans.

— Oh putain !… C’est beaucoup trop chaud, Mathilde !

— Hein ?! Bah non… regarde, je mets le doigt sans problème !

— Oui, mais la peau d’une verge est beaucoup plus sensible !…

— Ben, il faut que ça le brûle quand même un peu, sinon ce n’est plus amusant ! Je peux peut-être essayer sur la tienne pour voir si c’est trop chaud !?

— Non… tu n’es pas un peu folle !? Je préfère t’enculer maintenant, moi !

— Allez !… Un petit peu pour voir !

Je n’eus pas le temps de réagir qu’elle m’avait déjà agrippé la queue avec une main et qu’elle versa du nutella brûlant dessus…

— Ahhh !…

— Oh ouiii !… Trop génial !…

J’avais les larmes aux yeux tellement ce fut violent… mais, paradoxalement, ma virilité était revenue au maximum de sa forme. Et plus le chocolat me cuisait le chibre, plus je sentais des spasmes de plaisir me parcourir tout le corps. J’étais prêt à tout lâcher et fit signe de façon explicite à Mathilde de venir me prendre en bouche, afin que je la lui remplisse de ma semence…

Seulement, la belle était déjà devant son copain qui pleurait de grosses larmes de crocodile coulant sur ses joues, avant même d’avoir reçu la moindre goutte de nutella sur le sexe. Elle lui jeta un regard amusé qui tranchait du tout au tout avec les yeux de cocker triste du bellâtre.

Il essayait de se débattre, de s’extirper de ses liens, beuglant avec sa petite culotte dans la bouche des borborygmes inintelligibles. J’avais presque pitié pour Kévin… mais rien ne semblait détourner Mathilde de son objectif !

— Manou chéri, viens ! Ça va être à toi !

Elle commença à faire couler le chocolat encore fumant sur la bite toujours en érection de Kévin, dont tout le corps fut pris instantanément de soubresauts convulsifs. Je dus d’ailleurs sauter derrière lui et le rattraper au vol pour lui éviter de tomber de toute sa hauteur au sol, puisqu’il avait encore les deux pieds attachés.

Mais, au lieu de lui enlever ses liens, je le remis debout afin que Mathilde puisse continuer le supplice, étant moi-même complètement excité par la scène. Seulement, la magnifique blonde me rappela que je n’allais pas m’en tirer à si bon compte…

— Mon Manou d’amour, c’est à toi de sucer ! Moi, je te regarde car je préfère la chantilly au chocolat…

— Hein ?!… Tu ne le suces pas ?!

— Si, si… t’inquiète ! Quand tu lui auras fait cracher la purée, je passerais une petite langue pour nettoyer ce que tu n’auras pas avalé, mon petit Manou que j’aime. Allez ! Dépêche-toi, sinon ça va lui brûler la queue et j’ai encore besoin qu’elle serve !

Elle choppa la cravache sur le canapé et me cingla une couille pour me faire comprendre qu’elle commençait à s’impatienter.

— Aiiie !…

— Allez… tu le suces… ou sinon, je te fouette la bite jusqu’à ce que tu ne puisses plus jamais bander, ni t’en servir ! Comme ça, maman te foutra à la porte et prendra un autre beau-papa gentil et qui me baisera quand j’en ai envie !

Mathilde prit un petit air espiègle et son regard malicieux… auxquels je ne pouvais résister.

— Je le suce mais tu me promets de me garder toujours comme beau-papa, même si ta maman ne veux plus de moi !

— Suce… et je vais réfléchir !

Je m’agenouillai devant Kévin et pris sa queue toujours gonflée d’excitation avec trois doigts comme si c’était un tube à essais et que je risquais de le casser. J’approchai doucement et avec une certaine réticence ma langue vers le bout de son gland mais il eut un brusque mouvement de recul au moment du contact.

Petit con, va ! Tu veux jouer à ça ?!

Par défi et pour lui montrer qui était, de nous deux, le maître de la situation, je lui choppai la bite à pleine main avec la droite, tandis que ma main gauche lui agrippa les couilles, pinces-à-linge comprises, pour l’empêcher de bouger. Puis, dans un même élan, j’enfournai la moitié du rostre dans ma bouche, l’enserrant avec mes lèvres pour bien lui faire comprendre mon emprise totale sur lui.

— Vas-y, suce-le à fond !… Vide-lui les couilles, à mon petit Kévin !… T’es ma petite pute, Manou !…

Elle criait… elle semblait complètement hystérique, déchainée… Elle continuait à jouer avec la cravache, fouettant tantôt les fesses de son copain, tantôt les miennes ou mon dos… y mettant à chaque fois toute sa fougue. A chaque coup, comme si cela m’électrisait, je redoublai d’ardeur dans ma fellation du jeune homme.

J’aimais cette situation, de sentir cette colonne de chair continuer à grossir sous mes coups de langues, d’avoir ce goût de chocolat dans la bouche, d’être le petit esclave sexuel de ma jeune belle-fille et de céder à tous ses caprices…

— Vous aimez ça, mes deux petites pédales !… Hein, mon Manou adoré… ça t’excite de sucer des bites !?… Mais tu n’oublies pas mon petit cul… je veux toujours que tu m’encules, tout à l’heure !

Mathilde se mit accroupie à côté de moi et passa un bras par derrière entre mes cuisses, puis commença à me branler la queue tout en me caressant le torse avec son autre main. Avec sa bouche, elle m’embrassait dans le cou de façon très sensuelle, me provoquant des frissons de plaisir dans tout le corps.

J’accélérai encore les vas-et-vient de ma main et de mes lèvres sur la hampe, glissai un doigt entre les fesses de Kévin, l’introduisant dans son rectum après quelques tâtonnements. La conséquence fut immédiate puisqu’il se cabra en avant et, avec un râle étouffé par la petite culotte, lâcha de longs jets de sperme dans ma bouche.

Ma belle-fille, qui dut comprendre la situation, me retint la tête pour m’empêcher de me retirer… mais ma volonté était de toute façon faible. C’était la saveur du chocolat qui prédominait et, même si je sentis le liquide chaud inonder ma bouche, sa texture ne me dégoûta pas plus que cela.

Je gardai même tout en bouche et, me desserrant de l’étreinte de Mathilde, je relâchai la queue de ma proie, puis basculai ma belle-fille sur le canapé et l’embrassai à pleine bouche, partageant la semence de son copain avec elle. Notre baisé dura une éternité, nos langues s’enroulant l’une autour de l’autre.

Je ne sais pas si je n’étais pas en train de tomber amoureux d’elle, d’avoir envie d’aller beaucoup plus loin dans notre relation, quitte à larguer sa mère ?!

— Mathilde, tu sais, je crois que je t’aime !…

— Moi aussi, mon Manou d’amour… J’ai envie que tu me fasses un enfant !… Mais avant, tu m’encules !

— …

Je ne l’avais manifestement pas calculé comme ça, aussi vite, brut de décoffrage…

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