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Gardien de l'appartement des voisins – Chapitre 1




Je n’arrivais pas à trouver mon sommeil. Il faisait trop chaud. L’été s’était installé depuis deux mois. C’était le temps des congés. Tout le monde avait déserté la ville pour la plage ou la montagne. L’ouverture de la fenêtre créait un courant d’air dans la pièce fort appréciable pour une telle saison. J’aimais m’endormir au frais après une journée de chaleur au bureau. Nu sur mon lit, je laissais le moindre souffle d’air rafraîchir mon corps. Mon sexe semi bandé, un peu guilleret, se baladait libre au rythme de mes mouvements. Les deux douches que j’avais prises depuis le début de la soirée m’avaient bien détendues.

Je vivais dans une grande villa de trois étages divisée en trois appartements identiques. Un par étage. Mes voisins étaient tous en congés. Le couple et la jeune fille du rez-de-chaussée étaient partis dix jours auparavant. Les retraités du premier étage quand à eux s’échappaient les quatre mois d’été dans leur résidence secondaire quelque part au fond du Gers. J’aimais me sentir seul dans cette grande maison. J’éprouvait un sentiment de liberté retrouvé : enfin seul ! Sur sa chaîne stéréo passait mes morceaux préférés, le volume beaucoup plus fort que d’habitude. Cela ne pouvait gêner personne car j’étais seul en haut de la grande maison de trois étages.

Allongé sur mon lit, j’avais envie de rien faire. Yeux fixés sur le plafond blanc de ma chambre je laissai mon esprit vagabonder. Revint à sa mémoire un souvenir érotique. Alors que ma voiture était au garage pour une révision, deux semaines auparavant, j’étais rentré à pied chez moi. Dans un coin ensoleillé du jardin j’avais surpris mes deux voisines du bas, seins nus, en train de préparer leur bronzage estival. J’avais un peu la cote avec elles et cette rencontre ne les avait pas déplu. Je m’étais éclipsé en vrai gentleman tandis qu’elles se cachaient leur poitrine en gloussant. Claire, la mère, avait la quarantaine passée, qu’elle portait avec panache et brio. Secrétaire de direction de haut niveau, elle avait le look associé. Quand elle riait ses yeux brillaient d’un regard de coquine. Caroline était la fille unique, toujours l’air adolescente, étudiante de vingt ans au look branché tendance classique, châtain clair, cheveux mi long coupés au carré, un mètre soixante cinq, yeux verts. Elle avait un joli minois, certains diraient une tête à aimer les hommes. J’avais croisé son premier copain officiel au printemps. Le voisin m’avait confié en hiver que sa fille était devenue femme. Pas mal d’avoir attendu vingt ans pour goûter aux plaisirs de la chair. A mon avis Caroline avait perdu sa fleur depuis quelques années mais elle ne l’avait avoué à son père que maintenant. Une fois dans mon appartement je m’étais offert un petit plaisir personnel debout sur les toilettes ou depuis la petite lucarne j’avais une vue sur mes voisines à moitié nues, les seins à l’air.

Il était normal entre voisins de bonne compagnie de se rendre des petits services les uns aux autres. C’est ainsi que j’avais récupéré la mission d’arrosage du jardin du rez-de-chaussée. Je devais faire cela trois fois par semaine, en fin de soirée, juste avant la tombée de la nuit. N’ayant pas rempli ma tache promise depuis quelques jours, je me sentis coupable de ne point remplir mes obligations. La nuit étant tombée je m’offris le luxe de descendre nu, aucun voisin n’ayant de vis a vis sur le jardin. Ce fut pour moi un vrai régal. Un sentiment de liberté totale. Depuis que j’étais enfant j’adorais la sensation de marcher sur la pelouse mouillée pieds nus. L’autre chose que j’aimais aussi faire enfant, c’était de visiter les maisons de mes copains. S’ouvrait à moi tout un monde diffèrent à découvrir, des jouets, des pièces, des cachettes, …. C’est en remontant dans la cage d’escalier pour rejoindre mon appartement que j’eus l’idée brillante. J’avais une clé de l’appartement des voisins du bas. Ils me l’avaient confié en cas d’urgence. Je n’hésitais pas une seconde. Je courus attraper le jeu de clés et redescendis ouvrir la porte du bonheur.

Depuis que cette idée de découverte m’avait traversée l’esprit tous mes sens étaient en excitation. Le bruit du verrou qui s’ouvrait résonna dans toute la cage d’escalier. Quelle excitation de pénétrer chez ses voisins en leur absence. Je refermai la porte de l’appartement, sans bruit, comme si quelqu’un pouvait l’entendre. La lumière fonctionnait. Je fus surpris du faible éclairement des pièces. Chez moi la luminosité était beaucoup plus forte. Il faut dire que j’étais toujours rentré dans l’appartement de mes voisins de jour, tous volets ouverts. Le changement était total les volets fermés dans cet ambiance feutrée.

Je fis un premier tour complet de l’appartement comme pour me convaincre qu’il n’y avait personne. Puis je choisis de visiter la chambre de la fille, Caroline. Toute jeune fille à des choses à cacher qu’un homme veuille trouver. Je me mis donc à la recherche d’un trésor. Je commençai par les grands placards, soulevant par pile les vêtements. Je m’attardai quelque temps au rayon lingerie, essayant d’imaginer Caroline vêtue de ces différents ensembles. La vue d’un petit string en coton blanc m’excita beaucoup.

Poursuivant ma recherche, je tombai sur une nombreuse correspondance. Aucune des lettres les plus récentes n’avait d’intérêt. Idem pour les livres de classe. Rien de vraiment passionnant à mon plus grand regret sur Caroline. Je décidai donc d’entreprendre la chambre des parents. Je remuai avec plaisir les affaires de Claire. Sa garde robe de sous vêtement était faite de dentelles toutes plus fines les unes que les autres. Malgré ces quarante ans elle avait conservée un très beau physique.

Il ne restait plus que le bureau du père à entreprendre. En un temps record je mis la main sur une petite collection privée de cassettes vidéo. Je me doutai de leur contenu et allai vérifier. Il s’agissait bien de cassettes coquines. N’ayant rien d’autre à me mettre sous la dent je commençai le spectacle. Mais après une heure de lecture accélérée à la recherche des meilleurs morceaux, je fini par me lasser. Je décidai de passer la nuit sur place et de continuer mon aventure tôt le lendemain matin. Je m’installai dans le lit de Caroline. Sa chambre se trouvait exactement deux étages sous la mienne. J’entrouvris la fenêtre et levai le store pour laisser passer un bon courant d’air frais très apprécié pour la saison. Je serrai ainsi réveillé par le soleil dès la première heure. Allongé, il était marrant d’écouter les bruits de l’appartement qui n’étaient pas les mêmes que chez soi. Je m’imprégnai des odeurs du lit et des coussins et me mis à rêver de Caroline. Je m’endormis en toute impunité, tenant dans ma main le petit string de coton blanc plein d’odeurs fraîches des adoucisseurs et du linge propre.

Le son de la serrure résonna dans ma tête. Je bondis. Mais il était trop tard. J’entendis la porte se refermer alors que je n’avais toujours pas bougé du lit comme tétanisé. Enfin libéré, d’un bond, je me retrouva dans le couloir, face à … Caroline. J’étais plus choqué qu’elle. Ce fut un grand soulagement pour moi de me trouver face à elle. Je préférai cela à des cambrioleurs mal intentionnés. Elle ne paraissait pas surprise de me voir.

— J’ai cru d’abord à un cambriolage en voyant le store levé. J’ai attendu qu’il n’y ait aucun bruit avant de passer la tête par la fenêtre. Mais quand j’ai vu que c’était vous j’étais rassurée.

Je fus content du ton employé par Caroline. Elle aurait pu être furieuse d’une telle incursion dans son intimité. Caroline posa sa petite valise au sol et jeta ses chaussures légères contre le mur d’entrée, se mettant pied nu sur le carrelage. Elle portait une robe légère de printemps, ravissante, à petites bretelles. Elle était bien bronzée et semblait fort reposée. Ses cheveux étaient retenus un peu en arrière par une petite barrette très féminine.

— Nous pourrions nous dire bonjour tout de même ?

Caroline s’avança. Son baiser était chaud à souhait. J’étais sur d’avoir senti sentit les lèvres de Caroline trembler. Je sentit le muscle entre mes jambes se raidir, et réalisa que j’étais nu face à Caroline.

— Je suis sure que maman aurait bien aimé être à ma place ce soir

Cela confirmait ce que je pensais à propos de la gourmandise de ma voisine aînée. Mais déjà Caroline était dans le frigo et s’ouvrait une canette d’une boisson glacée.

— J’ai une de ces soifs. Je suis rentrée ce soir parce que j’ai des partiels à repasser en Septembre. Il me fallait de quoi bûcher et réviser.

Caroline se dirigea vers le salon et se jeta sur le canapé. Les cassettes vidéo jonchaient le sol, éparpillées dans un classement mystérieux, certains boîtiers à moitiés ouverts. Je s’accroupis au sol et rangeai sommairement. Caroline s’empara de la télécommande, mit en route le magnétoscope et monta le volume de la télévision.

— Ah. Vous avez trouvé la collection de papa ?

Les images et le son d’une scène à trois virent à l’écran. Deux hommes donnaient du plaisir à une jeune femme. Je regardai Caroline fixer les images, assise en tailleur sur le canapé, main entre ses cuisses sagement posées sur sa robe. Je la trouvai belle et fragile, désirable à souhait.

— Vous avez du goût, j’aime bien cette cassette la.

Visiblement, cette chipie connaissait aussi l’existence de cette collection de charme. Caroline regarda la scène, sans mot dire. Elle avalait de temps en temps des gorgées de sa boisson.

Gêné, je pris enfin la parole.

— Bon ben excusez moi, mais je vais vous laisser.

Caroline se tourna alors vers moi et m’observa de haut en bas. Elle faisait passer la canette contre son cou et dans sa nuque pour se rafraîchir. Je baissai les yeux au sol, voyant bien que son regard s’accrochait sur mon sexe tendu.

— Non restez… Venez donc près de moi… approchez.

D’un geste elle m’invita à s’avancer vers elle. Je ne me sentis pas le courage de résister à son appel. Une fois arrivé à ma hauteur Caroline s’avança sur le bord du canapé. Son visage faisait face à mon sexe tendu.

— Pourquoi aviez vous une de mes petite culotte à la main ?

— Cela me rappelait un peu de vous.

— C’était très beau de vous voir endormi sur mon lit en serrant dans votre main ma culotte. Très mignon. Romantique. Je vous manquais tant que cela ?

Elle posa la canette glacée sur mon ventre et la fit rouler sur mon sexe et mes cuisses. Puis avançant ses lèvres elle couvrit doucement mon ventre et mes cuisses de baisers. La course de ses lèvres se rapprocha irrémédiablement de mon sexe. Je fermai les yeux, gardant en mémoire la superbe image de Caroline, me laissant aller à ce rêve éveillé, bercé par le son torride des scènes de plaisirs qui se jouaient sur la télévision. Un doux choc électrique parcouru mon corps quand les petites lèvres fraîches de Caroline touchèrent enfin l’extrémité de mon sexe. Elle s’en empara sans empressement, progressivement, tout en continuant à m’embrasser un peu partout. Elle savait très bien s’occuper de cette partie si sensible d’un corps d’homme. Elle devait avoir les gènes de sa mère. La langue souple et ferme de Caroline fit monter en moi les meilleures sensations. Elle se décida enfin à avaler petit à petit mon sexe puis par morceaux entiers. Elle fit monter mon plaisir en flèche. Caroline s’aidant d’une main entreprit de me faire jouir une première fois. Cela ne fut pas long tant j’étais excité. Quelques caresses bien placées et je connus la meilleure décharge de ma vie. Jamais encore je n’avais fait celà dans de telles conditions. Le choc de tant d’émotions donna un résultat extraordinaire. Caroline garda pour elle la totalité de la substance chaude que je venais de lui offrir. Je lui caressai les cheveux et défit la petite barrette qui commençait à tomber. Les mèches de cheveux lâchés vinrent caresser tout en souplesse mon ventre. Caroline conserva mon sexe dans sa bouche jusqu’à ce qu’elle puisse être sure que j’étais prêt à continuer une partie si bien commencée.

Caroline se leva alors pour embrasser. Le baiser était torride en lui même, chargé du goût de ma substance masculine. Un tel baiser me ravit. J’étais persuadé que Caroline avait déjà joui, elle aussi une fois. A mon tour je me chargeai de lui donner du plaisir. Dans une même baiser j’entrepris de la déshabiller. Un à un les boutons de la petite robe légère s’ouvrirent. Je profitai de sa position pour caresser à travers le tissu les seins de Caroline. Je sentais que leurs extrémités étaient déjà bien dures. La robe une fois au sol fut suivie de près par le petit soutien gorge de coton qui devait dater de son adolescence. Je pus ainsi mieux caresser ces seins jeunes et blonds, presque vierges et si durs d’excitation. Mes mains caressèrent le dos de Caroline quelques instants avant de plonger vers ses fesses. Je retrouvai en bas les mêmes atouts que plus haut. Belle fermeté et douceur de peau de coquine. Je mis au carreau la culotte, prenant soin de ne pas faire approcher mes caresses du sexe de Caroline. Mais il pouvait imaginer la chaleur et la douce odeur qui l’attendait.

Apres un temps d’attente, toujours tous deux debout, Caroline m’enlaça plus fort. C’était signe que la pression montait pour elle à son tour. Il était temps pour moi de m’attaquer à la pièce maîtresse. Mes mains caressèrent le sexe de Caroline déjà bien humide. Les premiers miaulements de Caroline vinrent se mêler aux nombreux autres sons de plaisirs issus de la télévision. Une caresse bien menée lui arracha un premier cri, sec et franc. Je basculai Caroline sur le canapé et m’agenouillai au sol pour aller lui donner un plaisir câlin. Ma langue remonta le long de ses cuisses et s’attarda aussi sur son ventre avant de cibler l’objectif du plaisir. Puis ma langue s’emmêla au reste des caresses. J’entendais et sentais bien que Caroline approchait du plaisir ultime. Ses jambes tremblaient sous le poids d’une future jouissance extraordinaires. A peine ma langue s’était elle emparée de son sexe que Caroline lâcha un des plus beaux grognements que j’aie jamais pu tirer d’une femme. Une série de spasmes puissants traversèrent son corps attestant de son état de jouissance. Son corps se relâcha en arrière, tête vers le ciel, corps courbé en arrière, bras lâchés, façon évanouissement. J’eus juste le temps de la cueillir dans mes bras.

Elle resta ainsi les yeux fermés, murmurant dans une langue inconnue de douces paroles.

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