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Pulsions au Sex-Shop – Chapitre 1




Une canicule incroyable pèse sur ce mois de juillet, la ville entière semble étouffer, manquer d’air. Heureusement, Elodie peut toujours compter sur son amie Camille pour lui proposer un apéro rafraîchissant, et dieu sait qu’elle en a besoin. La journée a été rude, les réunions interminables et puis mince : chaleur oblige, ses petites robes estivales rendent fou ses collègues de bureau. Elle a dû subir leurs regards vicieux toute la journée. Pour être honnête, si cela est bien souvent assez lourd à supporter, Elodie se sent aussi un peu flattée de cette attention, à 28 ans le tic-tac de l’horloge commence à se faire un peu plus insistant. Sa vie amoureuse n’étant pas au beau fixe, elle apprécie toujours sentir qu’elle plait. Il faut dire qu’elle a certains atouts : taille moyenne, poitrine généreuse sans tomber dans l’opulence, ventre plat, bassin prononcé mais surtout, ses fesses bombées, ses cuisses charnues et sa cambrure naturelle en font une bombe pour qui aime la bonne chair. De son côté, elle se sent partagée entre le complexe de formes aussi prononcées, facilement qualifiées de rondeurs, et la conscience que celle-ci sont dans le même temps l’une de ses principales armes sexuelles.

C’est donc vêtu d’espadrilles à talon compensé et d’une fine robe épousant ses courbes, qui n’a donc laissé personne indifférent sur son lieu de travail, qu’Elodie se rend chez son amie après avoir acheté une bouteille de vin blanc de circonstance et quelques gâteaux apéritifs.

Apéro, ragots, bons plans, fous rire mais aussi : pas mal de discussions cul

La tête d’Elodie lui tourne un peu, "Mince je vais être bien au boulot demain moi" se dit-elle, "Je vais rentrer en marchant, ça me fera du bien". La jeune blonde salue ses amies et s’engage donc sur le chemin de son appartement. Les conversations coquines avec ses deux amies lui tournent également la tête, elle commence même à se dire que quelques caresses intimes en arrivant chez elle ne seront pas de trop. Il fait chaud. Partout. Elodie a chaud partout. Les images et les pensées obscènes se bousculent dans sa tête. "Holala contrôle-toi ma fille" se dit-elle, "Il faut vraiment que je me trouve un mec, je tiens plus là…".

Elodie s’engouffra alors dans l’une des dernières rues avant son appartement, un passage loin d’être sombre tant… les néons criards des Sex-shops qui s’y trouvaient éclairaient cette rue. Par réflexe de jeune fille prudente, elle accélère en baissant légèrement la tête, ayant l’habitude d’être particulièrement observée dans ce lieu. Mais, curieuse et surtout très émoustillée par l’alcool et ces dernières semaines d’abstinence forcée, elle ne peut s’empêcher de regarder discrètement les vitrines. Son regard est machinalement attiré par ces énormes sexes en plastiques. Il y en a pour tous les gouts, toutes les couleurs, formes… prix ? "… après tout pourquoi pas… plein d’autres nanas en ont…". Elodie s’arrête devant une vitrine. Reste un cap à passer, une barrière morale à franchir. Elle ferme un instant les yeux, rassemble son courage et pousse la porte du magasin. Elle reste un instant figée sur le palier. À la caisse, un homme sans âge, la reluque de haut en bas sans montrer la moindre émotion, puis lâche laconiquement un bonsoir. Elodie répond par un hochement de tête. Visiblement son acte n’est pas si dingue que ça pour cet employé, cela la rassure.

Elle commence à déambuler dans les rayons. C’est beaucoup plus grand qu’elle ne l’aurait pensé, et puis quelle variété dans les produits ! Elle ne pensait pas qu’il y avait autant de pratiques différentes. "Mon dieu, il y en a qui sont particulièrement barrés" se dit-elle en passant devant des étals de dvd de fantasmes extrêmes. Elle finit par apercevoir ce pourquoi elle était rentré. Très concentrée, elle ausculte chacun de ses faux membres avec attention, regardant la forme, la taille bien entendu, mais aussi le prix et le fonctionnement. Elle finit par oublier totalement où elle a mis les pieds et, à force d’imaginer toutes ces choses rentrer en elle, son string est trempé de cyprine.

Un mouvement la ramène soudainement à la réalité. A sa gauche, un homme d’une quarantaine d’année, de belle stature, observe le même rayon qu’elle. Après quelques coups d’il, Elodie est vite fixée : ce n’est pas les godemichés que ce monsieur est venu regarder, mais ce sont bien ses courbes à elle. Un grand coup de chaud lui monte à la tête, elle se sent dans un état second, entre panique et excitation. Elle décide de retourner vers les dvd, pour voir si l’homme la suit. Au moment où elle se retourne pour s’y diriger, elle se rend enfin compte que deux autres hommes, d’âge plus mûr encore, feignent également d’observer des produits tout en la matant sans vergogne. Elodie presse le pas, pour s’isoler. Elle atterrit devant un mur de dvd, où de jeune femme se prennent de grandes quantités de foutre sur tout le corps. Un instant son esprit oublie ses admirateurs et se perd dans les images à sa portée. Un bruit la sort de sa rêverie. Là, à quelques mètres d’elle, un petit bonhomme rondouillet se place face à elle. Elodie, paralysée, ne bouge pas. Prenant cela pour une sorte d’accord tacite, l’homme commence à défaire sa ceinture. Elodie a les jambes en coton, elle ne sait plus que faire, elle est terrorisée mais, au fond d’elle-même, fascinée par la scène. Inévitablement, elle pense un instant au viol, mais elle se dit que le monsieur de l’entrée doit surveiller ce genre de chose, sinon l’établissement aurait fermé depuis belle lurette.

Les secondes paraissent s’allonger. "Putain mais ça t’excite ma vieille, ce gros porc t’excite" finit-elle par se dire. Elodie n’est plus vraiment elle-même, elle sent ses pulsions prendre le pas sur son esprit et même si elle en a conscience, s’y abandonnent. "Je ne fais rien de mal, il faut s’essayer à tout" se dit elle pour se rassurer. Devant elle, le petit gros, rejoint par les deux autres hommes, se caresse sans pudeur devant elle, le pantalon aux jambes, la queue fièrement tendue vers elle. Les deux autres, voyant la passivité d’Elodie, lui emboîte le pas. "Je… je ne veux pas de contacts" murmure-t-elle timidement. Les trois hommes se regardent, et acquiescent avec joie, déjà fort heureux de voir une si jolie jeune femme rentrer dans ce jeu. Tremblante, Elodie fait délicatement glisser sa robe de ses épaules et, en un instant, elle se retrouve en lingerie. Un grognement lui fait comprendre que cela fait son effet. "Mon dieu, mais je fais quoi là… ça m’excite en plus… je suis vraiment une cochonne… ou salement en manque" pense-t-elle.

Perdue pour perdue, Elodie passe la seconde. L’air hagard, elle dégrafe son soutien-gorge qui tombe au sol. Ses deux seins, formant un joli 90C, se libèrent dans un joli mouvement de rebond. "Ho putain" laisse échapper le petit gros. Ces mots font tressaillir Elodie, la poussant machinalement à jouer avec ses seins. Le silence est d’une lourdeur perverse, on entend seulement le clapotis des queues et les souffles des protagonistes. Instinctivement, Elodie imite ce qu’elle a vu dans les films où l’on voit des stripteaseuses danser pour des clients. Elle se déhanche, passe ses mains sur son corps. Elle constate que ses spectateurs sont sages, ce qui la rend de plus en plus confiante. Elle se sent bien, elle se sent appréciée, plaire, exciter, faire bander comme cela des inconnus lui procure de nouvelles sensations, une découverte qu’elle fait durer de longues minutes. Elodie se rend compte que son assistance s’impatiente et se rapproche petit à petit. Elle décide de passer encore un niveau. Elodie se retourne, marche en direction du mur du fond en prenant bien soin de faire rouler ses hanches. Arrivée à son but, elle fait glisser son string à ses chevilles et l’enlève avec souplesse. Elle colle son buste à la paroi, offrant ainsi sa croupe à ses fans, se cambrent un maximum, écarte les jambes, et pose sa main sur sa chatte brûlante.

Le contact de sa main avec ses lèvres lui extirpe un gémissement de chienne, un son qu’elle ne se savait pas capable d’émettre, ce qui la trouble et l’émeu encore un peu plus. Un coup d’il en arrière lui permet de se rendre compte que les trois hommes l’entourent, se tenant maintenant a seulement quelques centimètres de son corps. "Pas de contacts hein" répète-t-elle dans un souffle, "Ouais, ouais, t’inquiètes pas ma belle" "On voudrait pas gâcher ton spectacle" "Tout ce que tu voudras" répondirent-ils. Elodie se sent enivrer par le fort parfum de bite autour d’elle. Se fouillant le minou, s’agaçant le clitoris, elle sent que le plaisir monte en elle. "In… Vous… vous pouvez… insultez… insultez moi…" gémit-elle. Il ne fallait pas leur dire deux fois, et voilà qu’une pluie de "Salope" "petite pute" "sale chienne" et autres vulgarités lui tombe dessus. Elodie ne se contrôle plus, elle est comme droguée par ses émotions, elle couine, râle sans retenue. "Vous… vous pouvez… gicler… sur moi…" parvient-elle à dire entre deux trois halètements. Rapidement, elle sent de grosses trainées de sperme s’étaler sur ses fesses et son dos. Un flot de foutre conséquent lui coule entre les fesses, elle le récolte avec ses doigts, s’en servant de lubrifiants pour se finir. Dans sa jouissance, elle perçoit des flashs de téléphone et le bruit d’applications photos. "Merde…" se dit-elle, voilà quelque chose à laquelle elle n’avait pas pensé. Exténuée, elle glisse contre le mur et tombe à genoux, le buste vers l’avant, la croupe relevée. Essoufflée et étourdie, elle ne parvient pas à réunir les forces nécessaires pour demander l’arrêt du shooting photo qu’elle perçoit derrière elle.

Au bout d’une minute, deux peut être, elle se laisse tomber sur le dos : il n’y a plus personne. Son cerveau est vide, elle est vidée de toute pensée, elle constate seulement qu’elle est nue, pataugeant dans le sperme de trois inconnus. Elle met encore quelques instants à recouvrer ses esprits, puis se relève, se rhabille en silence, sans prendre la peine de s’essuyer, sa robe colle à sa peau. Machinalement, elle rentre chez elle, la tête vidée, incapable de penser à quoi que ce soit, incapable d’analyser ce qu’il vient de se passer. Arrivée chez elle, elle s’écroule nue sur son lit, sans s’être douchée, épuisée. Elodie a une dernière pensée avant de sombrer : "Je ne sais pas… j’ai peut-être fait une énorme connerie là… mais putain comme c’était bon…". Elodie s’endort le sourire aux lèvres.

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