J’arrive dans le grand hall décoré, où des tables nappées et garnies d’aliments festifs bordent les murs. Quelques dizaines de personnes sont déjà présentes, surtout les personnes importantes, dont mes parents. Je me dirige alors vers eux :

— Bonsoir !

— Oh Julien, comment ça va ?

— Bah bien ça va, ça va.

— Parfait, tu nous excuseras, on a des partenaires à rencontrer. Passe une bonne soirée.

— Merci papa, merci maman.

Je m’éloigne d’eux puis commence à manger quelques apéritifs. Je me sens alors incroyablement seul, j’appelle alors au téléphone Marine :

— Où es-tu, Marine ?

— Maître, je n’ai plus de robe depuis que vous l’avez déchiré ! Comment dois-je faire ?

— Hmm, c’est vrai… Bien, ne te fais surtout pas remarquer et va au bureau n°5, il doit être vide à cette heure. D’ailleurs, tu as des nouvelles de Thulas ?

— Elle est partie, sûrement profiter de la fête.

— D’accord, rendez-vous dans 10 minutes.

— Bien Maître.

Je sors du grand hall, puis m’enfonce dans les bureaux. La porte du bureau n°5 est encore fermée. Je suppose que ma servante n’est pas encore arrivée. Ayant prévu mon coup, j’appelle mon chauffeur dont le coffre de la voiture contient des habits ainsi que des accessoires. Il m’amène alors ce que je lui avais demandé. Au bout de trois minutes d’attente, Marine arrive, robe en lambeaux.

— Maître !

— Marine, tes vêtements sont posés sur la table. Mais avant, je dois avouer que j’aimerais un petit quelque chose, si tu vois ce que je veux dire.

Marine est d’abord étonnée de ma demande, puis comprend. Je descends mon pantalon, puis Marine s’approche de moi. Elle se baisse pour prendre ma verge. Celle-ci durcit au contact de sa chaude main, ce qui fait sourire Marine.

— Maître, aimez-vous cela ?

J’acquiesce, puis prends la tête de ma servante. Elle commence alors une fellation experte, ce qui m’étonne. La maîtrise de sa langue me fait frissonner tant elle est incroyable, pour une fille de son âge. Je sens la jouissance arriver, puis je grogne :

— Hmm…

La semence remonte dans ma verge et jaillit sur le visage de ma belle rousse. Cette dernière lèche, à l’aide de ses doigts, le sperme recouvrant partiellement ses joues. Une fois nettoyée, je lui fais signe du doigt de s’approcher.

— Qu’y a-t-il Maître ?

— J’ai une nouvelle idée… Marine, déshabille-toi entièrement.

— Bien Maître.

Elle s’exécute immédiatement en enlevant les restes de la robe qu’elle porte. Une fois nue, je la plaque contre une chaise.

— Je vais être honnête, tu vas rester ici au moins deux bonnes heures.

— Mais pourquoi ça ? Ai-je fait quelque chose de mal Maître ?

— Non, je t’assure. Au contraire, j’espère te faire profiter d’une expérience spéciale.

J’ouvre une boîte que mon chauffeur avait apportée. Il y a à l’intérieur beaucoup d’accessoires, notamment ceux que j’ai achetés il y a deux semaines. Je sors un bandeau, que j’attache au niveau des yeux de Marine. Ensuite, je prends quatre paires de menottes que j’attache aux membres de ma partenaire. Immobilisée sur la chaise, elle semble stressée.

— Maître ? Qu’allez-vous faire de moi ?

— Chut…! Je reviens bientôt.

Je sors de la pièce, puis appelle mes autres servantes :

— Qui est-ce ?

— C’est moi Natacha, Maître.

— Bien Natacha, écoute-moi bien. Je vous ordonne de toutes venir à l’entreprise au bureau n°5. La personne que vous y trouverez, ce sera Marine. Vous aurez pour mission de récolter le plus de cyprine possible. Je me contrefiche des moyens. Aussi, en fonction du résultat, vous serez récompensées ou punies. Vous avez jusqu’à minuit moins trente.

Je raccroche alors. Ce que je viens de dire n’est qu’un prétexte, pour voir ce que feraient les filles. Aussi, étant donné que chaque bureau est sous surveillance vidéo, je pourrais d’un, effacer mon passage, et de deux, vérifier ce que mes servantes feront. Je me dirige de nouveau vers le hall. Je passe le début de soirée finalement seul entouré de foie gras et de saumon fumé. 23h30 arrive enfin et je reçois un appel de Natacha :

— Maître, nous avons terminé. Où êtes-vous ?

— Dans le hall de fête, près du bar.

— Bien, nous arrivons.

J’attends quelques minutes, puis je vois arriver mes servantes. Toutes me sourient, excepté Marine, qui semble rouge de honte. Je remarque alors qu’elles attirent le regard de beaucoup d’hommes. Une fureur se déclenche alors en moi. Les illades intéressées de ces hommes, pour la majorité pourtant mariés voire pères, me dégoûtent et m’irritent au plus haut point. Sans réfléchir à ma position sociale dans l’entreprise, je prends Alexa, qui attire le plus de regards et saisit sa belle paire de fesses en passant ce message dans ma tête :

— Elle est à MOI, bande de prolétaires. Jamais vous n’aurez des servantes pour vous !

— Maître ? Que se passe-t-il ?

L’innocence d’Alexa me fait sourire. Je lui réponds :

— Rien voyons, n’en ai-je pas le droit ?

Alexa secoue sa tête, signe que non. Au passage, je remarque les ravissantes robes qu’elles portent. Les couleurs de ces robes leur correspondaient bien : bleu pour Sophie, rouge pour Alexa, vert pour Natacha, blanc pour Aurora et jaune pour Marine. Le reste de la soirée passe alors sans encombre. Minuit approche et le traditionnel décompte commence :

— DIX ! NEUF ! HUIT ! SEPT ! SIX ! CINQ ! QUATRE ! TROIS… DEUX… UN…

BONNE ANNÉE !!!

Tout le monde rit et s’embrasse. J’en profite aussi pour faire la bise à toutes mes servantes. Au moment d’embrasser Marine, cette dernière en profite pour m’embrasser langoureusement. Je suis surpris, comme le sont les autres filles. Je pensais que Marine m’éviterait mais visiblement non. La soirée se finit alors tranquillement, dans l’alcool, la joie et la bonne humeur.

Je me réveille dans mon lit, bizarrement entouré de toutes mes servantes, excepté Alexa. Elles dorment toutes profondément, visiblement affectées par l’alcool d’hier soir. Je me lève discrètement, puis je sors de ma chambre. Je rentre dans le salon, l’horloge indique 11 heures 53. Une soudaine envie d’uriner me prend, je me dirige naturellement vers les sanitaires. J’ouvre la porte d’un des sanitaires et vois Alexa affalée au sol, visiblement souffrante. Je la porte et l’emmène vers sa chambre. Ma servante se réveille alors et marmonne :

— Mmm… Que se passe-t-il ?

— Comment ça va, Alexa ?

— Maître ? Je crois que j’ai juste abusé de l’alcool. De votre côté, vous allez bien ?

— Moi ça va, il faut juste que j’urine.

— Dans ce cas, je dois vous laisser, Maître.

Une idée germe dans mon esprit. Pendant qu’Alexa part vers sa chambre, je la suis discrètement. Une fois rentrée chez elle, Alexa, ne m’ayant pas encore remarqué, ferme sa porte. Je l’entends fermer la porte de sa salle de bain. Je rentre alors discrètement. J’entends l’eau couler. L’idée qu’Alexa se trouve nue derrière cette porte m’excite un peu. J’ouvre la porte et vois sa silhouette derrière un rideau clair, presque transparent. Je me déshabille, puis écarte le rideau. Ma servante blonde crie de surprise tandis que je la prends par la nuque. Je la tire violemment et enfourne sa bouche sur ma hampe. Je sens l’urine monter puis jaillir dans la bouche d’Alexa. Elle essaye de crier et de se dégager mais je len empêche. L’urine coule à flots et Alexa avale du mieux qu’elle peut. Au bout d’une quarantaine de secondes, l’écoulement s’arrête. Je lâche Alexa qui tombe contre le carrelage, en quête d’air. Elle respire fortement.

— Merci Alexa, tu es une très bonne toilette. La prochaine fois, ce sera encore toi qui me serviras de vidange.

— Maî… Maître. Plus jamais, je vous en prie.

— Et moi, je te prie d’obéir ou tu vas me servir d’expérience.

Alexa ne me répond pas, mais au vu de son regard suppliant, j’en décide autrement.

— Finalement, tu as de la chance, je suis plutôt de bonne humeur. Je te laisse choisir qui va te remplacer.

Alexa comprend alors que si elle arrête de me servir d’urinoir, elle va devoir trahir une de ses amies. Un choix cornélien s’impose donc pour elle.

— Tu as jusqu’à midi pour choisir. Si personne ne se présente pour me servir, tu seras jusqu’à nouvel ordre mes toilettes. Ladite personne aura pour ordre de ne pas uriner ou déféquer sans mon autorisation. N’oublie pas aussi que cela concerne aussi la grosse commission…

Le regard de ma servante devint horrifié. Je souris d’un air sadique puis je me rhabille avant de sortir de sa chambre. Je retourne dans ma chambre, de nouveau excité sexuellement. Je vois mes servantes dormant tranquillement. Ne sachant pas qui choisir, je laisse le destin choisir. Je prends un dé de jeu de plateau puis le fais rouler. J’obtiens 14 et je commence à compter. Je tombe sur Sophie, je la secoue doucement pour la réveiller.

— Maître, que se passe-t-il ?

— Chut, ne réveille pas les autres. Viens avec moi.

J’emmène ma partenaire hors de la pièce. Sophie est seulement vêtue de sa robe. Je devine son étonnement. Je l’entraîne dans le salon, j’ouvre la grande porte et laisse passer ma servante.

— Sophie, déshabille-toi.

— Quoi ? Pourquoi ?

— Obéis !

Ma voix autoritaire fait sursauter la jeune fille. Elle commence à se retourner mais je l’interromps :

— Ne te retourne pas ! Obéis !

— Oui… oui Maître !

Elle passe son bras dans son dos pour descendre le zip de sa robe. Son habit tombe lentement le long de ses jambes. Ses sous-vêtements rose clair épousent parfaitement ses petites formes. La vue de dos de ma première partenaire me fait bander. Je descends mon pantalon, puis je m’approche d’elle. Je colle ma verge contre son fessier. Elle crie de surprise, sentant mon membre gonfler.

— Sophie, comment me considères-tu depuis la dernière fois ?

Elle hoquette de peur, peur de m’énerver.

— Je… je… Vous êtes mon Maître depuis toujours, je n’ai pas à… à vous détester. Je ne suis que votre servante, je n’ai pas de libre arbitre face à vous. Que voulez-vous que je fasse ?

— Que dirais-tu de… profiter à nouveau d’une partie de plaisir…?

— J… je suis à vous, Maître…

Je commence par masser ses seins à travers le fin tissu qui les recouvrent. Sophie gémit et rougit. Mon sexe dépasse de mon caleçon et vient caresser les belles fesses qui me font face. Le liquide préséminal humidifie mon gland et la fente de ma partenaire. Elle gémit de nouveau. Je la pousse sur le grand canapé, toujours de dos. Je dégrafe son soutien-gorge, puis je lui arrache violemment sa culotte rose aussi. Je vois avec étonnement la quantité de cyprine qui sortait de sa grotte.

— Tu es bien excitée Sophie…

— Maître… vite ! Prenez-moi vite avec votre sexe !

— Très bien, je me lance.

Je pénètre lentement en Sophie. Cette dernière gémit de plaisir. Son intérieur chaud et humide me fait trembler aussi de plaisir. Je débute mes habituels va-et-vient qui s’accélèrent avec le temps. Je sens Sophie se crisper avant de lâcher un cri de jouissance, accompagné d’une explosion de cyprine au fond de son vagin. Sophie semble alors essoufflée, mais je ne la laisse pas se reposer. Je la retourne sur le dos et enchaîne par une missionnaire. Je la sens se détendre de nouveau pendant que je la pénètre. Je continue dans ma lancée et étrangement, je ne jouis pas encore alors que Sophie atteint sa troisième fois.

— Maître ! Je n’en peux plus ! Cela fait plus de dix minutes et j’ai déjà joui trois fois !

A ces mots, je m’inquiète de mon état mais finalement, au bout d’une minute, je sens la jouissance arriver.

— Sophie, prends-le en bouche !

Je me retire de son antre et approche mon pénis contre son visage. Elle l’aspire bruyamment malgré la fatigue. La sève monte enfin et jaillit dans la bouche de ma servante.

— Hmm ! Prends soin de bien tout avaler.

Je la regarde savourer ma semence en ingurgitant puis en le régurgitant. Le sperme arrive même à sortir de sa bouche, coulant le long de son visage rosé par l’effort. Au bout de quelques secondes, elle ouvre grand sa bouche, signe qu’elle vient de tout avaler.

— Si seulement vous en aviez plus, Maître… Je crois que j’en tombe addict.

Sa remarque me donne une nouvelle idée qui certes prendra du temps, mais dont le résultat sera merveilleux.

— Il est bientôt midi, je me demande si Alexa a choisi…

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