Il y a quelques jours, j’ai reçu le sms suivant de Nathalie : « Pas fait l’amour depuis que je suis allé avec vous à Saint-Ouen. Je me désole ! ». A la lecture de ce mail, je me souviens combien Nathalie, responsable RH dans une société cliente, avait pris son pied lorsque je l’avais entraînée sur un chantier en banlieue et livrée à quelques jeunes ouvriers blacks et beurs (Cf. chapitre 37 « Deux salopes sur un chantier »). Cette séduisante quinquagénaire à la poitrine opulente délaissée sexuellement par son mari s’était joyeusement offerte à ces mâles en manque et s’était rassasiée de longues fellations, de saillies bestiales et de sodomies profondes. En la voyant se donner sans compter, offrant grands ouverts tous ses orifices, j’avais deviné qu’une salope en manque sommeillait dans la peau de cette bourgeoise BCBG. Elle était donc comme moi ! Mais, contrairement à moi qui assouvis régulièrement mes envies, Nathalie avait accumulé du retard et souhaitait maintenant rattraper le temps, ou plutôt les occasions manquées. Cette première approche de la pluralité dans une cabane de chantier lui avait donné une envie frénétique de sexe. Il me revenait de l’aider à apaiser sa faim.
Après quelques échanges téléphoniques avec mon marabout pour bien organiser le projet que j’ai en tête, je me décide à envoyer un sms à Nathalie : « Nathalie, RDV demain 18h30 métro Barbès Rochechouart. Tenue BCBG de rigueur ».
Je n’en ajoute pas plus car je veux qu’elle s’interroge sur ce que je lui prépare, qu’elle ressente en elle comme un mélange d’excitation et de peur. Je sais en effet, suite à ses confidences lors de notre déjeuner il y a déjà quelques semaines, qu’il lui est arrivé d’aller en voiture rodée dans les cités au nord de Paris. Au volant de sa petite voiture, elle se met en chasse de jeunes mâles désoeuvrés, blacks ou beurs de préférence. Une fois au volant, elle remonte suffisamment sa jupe pour que l’on voit les jarretières de ses bas et la blancheur de ses cuisses. Elle défait deux ou trois boutons de son chemisier pour que son 100 D soit accessible au regard. Enfin, avant de démarrer, elle se remaquille devant le rétroviseur intérieur – rouge à lèvres un peu brillant, petit coup de fond de teint pour effacer les fatigues de la journée, ombre à paupières et mascara pour mettre en valeur le bleu des yeux puis se fait un petit chignon pour rehausser son allure de bourgeoise BCBG. Une fois dans la cité, elle fait semblant de chercher sa route, s’arrête lorsqu’elle voit un jeune correspondant à ses envies, baisse la vitre et lui dit
– Je cherche le bâtiment A, rue des lauriers mais je crois bien que je suis perdue.
Comme la rue n’existe pas, puisqu’elle vient de l’inventer, le jeune ne peut pas lui indiquer sa route mais il commence tout de même à la baratiner. Elle aime car c’est ce qu’elle attend qu’il la regarde des pieds à la tête, fixe ses jarretières, plonge les yeux dans son décolleté puis fixe ses lèvres rouges et humides. Rien qu’à la lueur brillante qui s’allume dans les yeux du gars et au rictus qui se dessine sur son visage, elle sait qu’il est en train de se dire
– Quelle salope !!! Avec son look, elle doit aimer la queue ! Il me la faut !
De tout son corps, elle voudrait que le jeune la fasse descendre de voiture et l’entraîne vers l’une de ces caves sordides où il la jetterait sur un vieux matelas puis la baiserait rapidement avant de l’offrir à ses copains. Mais au dernier moment, sa raison prenant le dessus, la peur que ça finisse mal surpasse l’excitation qu’elle ressent. Elle remonte brusquement la vitre électrique, démarre sur les chapeaux de roues et quitte rapidement le secteur. Mais quelles minutes plus tard, quelques kilomètres plus loin, elle va refaire le même numéro dans une cité voisine. Il n’y a que le nom de la rue qu’elle cherche qui change !
Comme convenu, il est 18h30 en cette fin d’après-midi de vendredi lorsque nous nous retrouvons en bas des escaliers de la station de métro Barbès Rochechouart sur la ligne 2. Nous nous faisons la bise et nous décidons aussitôt de nous tutoyer ; après nous être faites baisées ensemble dans la même cabane de chantier, nous sommes devenues des intimes ! J’ai volontairement mis un tailleur bleu- chemisier et pantalon – très sobre et non provocant, tout le contraire de Nathalie qui affiche une robe rouge en laine ultra collante qui sculpte son 100 D et ses fesses. Je la prends par le bras et nous voilà parties. Les vendeurs à la sauvette de cigarettes de contrebande, de parfums contrefaits et autres smart phones d’origine plus que douteuses nous interpellent au passage. Nous les ignorons superbement en riant et poursuivons notre route en imaginant leurs yeux scotchés sur nos silhouettes, notamment sur celle de Nathalie. Je dis à mon amie que je l’entraîne faire des essayages dans une boutique que je connais, un peu plus loin dans l’une des petites rues qui montent vers le Sacré-Cur. Quittant le trottoir du boulevard Rochechouart, je l’entraîne à droite dans la rue d’Orsel, puis à gauche dans la rue Seveste et enfin à droite dans le passage Briquet. Mon amie est un peu perdue mais elle me fait confiance. Soudain, alors que nous passons devant une porte cochère, quatre hommes se précipitent sur nous et nous obligent à entrer dans l’immeuble. Je crie pour appeler à l’aide mais une main se plaque sur ma bouche. Une porte s’ouvre à gauche une fois que nous sommes dans le bâtiment et on nous entraîne à l’intérieur.
Nous sommes maintenant dans une petite salle très mal éclairée, il doit bien avoir là une bonne douzaine d’hommes qui nous dévorent du regard. L’un deux, un grand black qui semble être le chef de la bande, nous dit
– Vous pouvez criez mais ça ne servira à rien, personne ne peut vous entendre ici. Si vous vous laissez faire, il n’y aura pas de souci et vous pourrez repartir tranquillement.
Nathalie me jette un regard apeuré, incrédule, elle est incapable de comprendre ce qui se passe.
Je réponds alors au grand black
– Nous n’avons pas beaucoup d’argent ! Mais nous vous le donnons et vous nous laissez repartir.
Tous les mecs se mettent à rire et à échanger des propos incompréhensibles entre eux. Le grand me rétorque
– On se fout de votre argent ! Nous sommes des immigrés clandestins et nous n’avons pas baisé depuis un bon moment. On va bien s’occuper de vous deux et ensuite vous partirez.
L’un de ses camarades, qui semble parler le français contrairement à la plupart des autres, ajoute
– On adore les blanches super bandantes comme vous. Vous allez voir, vous allez aimer.
Après que le chef ait donné quelques ordres toujours incompréhensibles pour nous, Nathalie est entraînée dans une autre pièce par sept ou huit hommes. Une fois que la porte s’est refermée derrière eux, le chef me fait un grand sourire et me dit
– Bonjour madame de Saint Jouy, je m’appelle Kilambé ; j’espère qu’on ne vous a pas fait trop peur. Mais mon ami Coulibadou m’a dit qu’il fallait que cela soit très crédible.
Je lui réponds
– C’était tellement parfait que j’ai cru que nous nous faisions réellement enlevées. Alors j’imagine que mon amie Nathalie, qui n’est pas au courant de l’affaire, doit être dans tous ses états.
– Venez, nous allons voir si le plan se déroule comme prévu.
me dit-il en m’emmenant avec lui dans une troisième pièce contiguë à celle où a été entraînée ma copine.
Une fois dans cette pièce simplement éclairée d’une petite lampe rouge, il se dirige vers un petit cadre accroché au mur, le retire puis le pose par terre. Il me dit ensuite
– Venez voir avec moi ! Soyez tranquille, on ne peut pas nous voir depuis l’autre pièce. Pour eux, ce n’est qu’un simple miroir, sans tain.
Je m’approche et je découvre qu’il s’agit en fait d’une petite fenêtre donnant sur la pièce voisine. Me rapprochant plus près de la vitre, j’aperçois Nathalie qui est allongée sur le lit, les hommes sont en train de lui retirer sa robe tandis que l’un d’eux la bâillonne de sa main. Elle porte un soutien-gorge à demi balconnets qui laisse libre accès à sa superbe poitrine ; un string rouge assorti souligne le galbe de ses fesses et de fins bas noirs complète sa tenue. La dizaine d’homme est déjà à poil et ils sont tous autour d’elle en train de la caresser de leurs grosses paluches. Les mains noires se détachent particulièrement sur sa peau blanche. L’homme qui l’empêchait de crier retire sa main et l’embrasse à pleine bouche. Elle continue à gesticuler pour tenter d’échapper à ces mâles assoiffés de sexe mais on voit bien qu’elle est en train de céder. Ses gestes sont moins désordonnés, elle ondule du bassin et la pointe de ses tétons commence à se raidir sous les doigts des hommes.
La situation est des plus excitante pour moi et une douce moiteur commence à envahir mon entrejambes. J’envie presque Nathalie et je me dis que je me donnerais bien à Kilambé et aux deux beurs qui sont là avec nous dans la pièce à mater l’orgie qui va se dérouler dans la pièce d’à-côté. Mais je n’en fais rien en espérant tout de même que mon marabout leur a donner des consignes me concernant.
De l’autre côté de la vitre, Nathalie semble avoir complètement oublié son statut de captive. On lui a retiré son soutien-gorge et son string et les hommes sont allongés autour d’elle. On lui dévore la chatte, on lui mordille les seins, on lui suce les orteils, on l’embrasse à pleine bouche. Ce n’est plus nécessaire de la bâillonner, elle s’abandonne aux envies de ses kidnappeurs et ne semble vraiment pas avoir envie de leur échapper. L’envie a surpassé la peur !
La voici maintenant qui se met à quatre pattes sur le matelas et un black s’allonge aussitôt sous elle pour qu’elle s’empale sur sa queue. Voilà qui est fait ! Aussitôt, deux queues se présentent devant sa bouche et elle s’empresse de passer de l’une à l’autre pour bien les sucer, les téter et les gober. Une fois qu’elle est bien plaquée sur le corps du black qui la baise, un beur s’allonge derrière elle, lui écarte bien les fesses de ses deux mains et y enfouit son visage. J’imagine la langue agile de l’homme titillant le petit illet de mon amie afin de la préparer à la saillie. Je mouille de plus en plus et je serre fort les jambes pour m’exciter. Au bout de quelques minutes, le beur se redresse, se cale derrière Nathalie en lui saisissant les hanches et il l’encule d’un coup sec. A travers le mur pas plus épais qu’une feuille de cigarette, j’entends les gémissements de ma copine et les voix rauques des mâles qui l’entourent.
Un corps se colle enfin à moi ; je ne me retourne pas et me laisse faire tout en continuant à jouir du spectacle qui se déroule de l’autre côté de la vitre. Tandis que l’on me retire le pantalon et la veste de mon tailleur, je mate Nathalie qui en a déjà fait jouir deux dans sa bouche, un dans sa chatte et un quatrième dans le cul. Ses orifices n’ont pas le temps de refroidir et de se refermer que trois autres se précipitent sur elle et l’allongent à plat ventre sur le matelas. L’un se positionne sur elle et la salope ouvre grand le compas de ses jambes. Je ne sais pas si elle se fait baiser ou enculer mais elle ondule.
De mon côté, je m’appuie des deux mains sur le mur, toujours devant la petite fenêtre, et je tends la coupe vers l’arrière. Une main écarte mon string et un gland turgescent commence à se frotter à ma fente bien humide. Je ne quitte pas Nathalie du regard qui vient d’être ensemencée par le black qui l’enculait et qui est maintenant en train d’être fécondée par un jeune beur. La queue est maintenant plantée dans ma chatte et j’ai l’impression d’être à la place de Nathalie qui est en train d’épuiser le sixième ou septième homme. Moi je me laisse investir par celui qui me défonce la chatte à grands coups de boutoir.
Un jet de foutre se répand en moi et, à peine ma chatte est-elle libre, qu’un dard fin et long se glisse entre mes fesses. Je ne jette même pas un il derrière moi pour savoir à qui appartient cette queue ; mon corps est dans cette pièce mais mon esprit est dans la chambre voisine où Nathalie est entourée de tous les mecs qui se branlent au dessus d’elle. On se vide de nouveau en moi à longs jets crémeux tandis que mes doigts caressent frénétiquement mon petit bourgeon bien gonflé de sève. Nathalie est en train d’être arrosée par ses ravisseurs, nul doute que cela est un ravissement pour elle ! Trop excitée, je me retourne, m’agenouille et j’embouche la queue du jeune beur qui se masturbait pendant que son copain m’enculait. Comme une furie, je pompe son dard, lui malaxe les bourses, tète son gland et m’acharne comme une affamée sur ce sucre d’orge qui ne demande qu’à fondre dans ma bouche. Le jeune ne résiste pas longtemps à un tel régime et, d’un geste brusque, il plaque ses deux mains sur ma tête pour que son gland vienne buter au fond de ma gorge. Il me maintient ainsi tandis qu’il crache tout son jus. J’avale tout puis lui suce bien le gland pour recueillir les dernières gouttes de cet élixir de jeunesse.
Quelques minutes plus tard, Kilambé nous raccompagne dans la rue avec deux autres blacks. Avant de refermer la porte pour disparaître dans l’immeuble, il nous crie
– Si vous allez voir les flics, on vous retrouvera et on vous fera la peau. Alors silence !
J’entraîne Nathalie à grands pas et je lui dis
– Quelle peur j’ai eu. Je me suis faite violer par cinq ou six mecs mais ils ne m’ont pas fait mal. Et rien volé !
Elle me répond
– Au début j’ai failli mourir de peur. Mais je t’avoue qu’à la fin j’ai failli mourir de plaisir !
Je poursuis
– Quelle histoire !!!! Cela m’a coupé les jambes. Nous allons dîner puis nous rentrerons. Nous ferons les boutiques un autre jour.
Mon amie ajoute
– Tu ne peux pas imaginer combien j’ai eu d’orgasmes ! Je rêve souvent de me faire baiser ainsi par une bande de racailles mais j’ai toujours eu peur de franchir le pas. Quel pied !
Je lui fais un grand sourire mais elle ne peut pas imaginer que c’est moi qui aie tout organisé avec la complicité de mon marabout. Je ne sais pas si j’ai pris autant de plaisir qu’elle mais cela a été diablement bon de me faire saillir en regardant mon amie vivre son fantasme. N’est-ce pas là l’essentiel pour les deux salopes que nous sommes..