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Une entracte au restaurant – Chapitre 1




Cette histoire mélange histoire vraie et fantasme. J’espère qu’elle vous séduira et je m’excuse par avance de mon vocabulaire assez limité.

Il est environ 19h, tu m’attends devant chez moi, prête et en tenue de soirée, tu portes une robe rouge, plutôt moulante à manches longues, des petits escarpins noir mat et un maquillage assez léger (seulement du rouge à lèvres rouge bordeaux et du mascara). Nous avons rendez-vous pour aller manger au restaurant.

19h05, j’arrive tout en m’excusant du retard, tu montes dans la voiture, et te penches pour m’embrasser. Je remarque assez vite le léger décolleté de ta robe et contemple la belle vue sur tes seins, ne voyant pas quels sous-vêtements tu portes. Ayant très bien vu mon regard appuyé ailleurs que sur yeux, tu me relèves le menton et me demandes " Alors ? Tu as prévu quel endroit pour ce soir ? " tout en me souriant.

Alors que je conduis et m’agace devant la lenteur des feux des boulevards, doucement, tu poses ta main sur ma cuisse. Du bout des doigts tu me caresses la cuisse, me l’effleures, tout en te léchant les lèvres.

Tu commences à aller de plus en plus proche de mon entrejambe déjà bien dur, tu la sors et tu commences à me branler sans retenue. Après avoir joué avec mon excitation tu décides de me frustrer et te stoppes en me faisant un grand sourire comme pour me narguer.

On descend, je fume une cigarette à la voiture pour que ce qu’il se passe dans mon pantalon s’arrête, mais… tu n’es pas du même avis, dès que je sors de la voiture, tu te mets devant moi, me regarde dans les yeux, et agrippe mon entrejambe, la caressant délicatement tout en me susurrant "Allez, suis-moi je commence à avoir soif." Je pars devant, tu me suis, c’est un beau restaurant avec une déco bien travaillée, un serveur nous reçoit et nous place. Nous sommes face à face au milieu de tous, sur une table de deux uniquement. La table possède une très longue nappe qui vient toucher le sol sur les côtés où personne n’est installé. Le serveur arrive pour prendre nos apéritifs et nous donner les menus. Pendant qu’il est à notre table, tu me fais du pied, comme si de rien n’était. Tu me fixes pour voir si je vais faiblir et j’oublie de répondre au serveur. Tu te tournes donc vers moi et, avec un regard sournois, tu me demandes ce que je vais prendre. Je reprends mes esprits avec difficulté et commande en te regardant dans les yeux.

En attendant que les boissons arrivent, tu vas aux toilettes, j’ai le temps de me ressasser ce que tu viens de me faire, à quel point je désire te déshabiller et à essayer de calmer mon sexe qui meurt d’impatience d’être au fond de toi.

Les boissons sont arrivées, tu reviens des toilettes puis passe derrière moi en posant une main sur mon épaule, tu t’assieds, c’est là que je m’aperçois que tes tétons pointent… tu n’as pas/plus de soutien-gorge.

Les plats arrivent, nous commençons à manger, puis tu t’arrêtes et me regardes intensément, tu fais un sourire faussement innocent et recommences à me faire du pied, tu sais très bien ce qu’il se passe un peu plus bas.

Tu prends ton téléphone et le consultes, je reçois un message quelques instants après : "Regarde dans les poches de ta veste, maintenant."

Suivi d’un petit sourire de ta part et d’un regard pervers. Je m’exécute, en passant ma main dans ma poche, je sens comme du tissu un peu humide, je le sors discrètement et regarde ce trophée inespéré : c’est un joli string en dentelle noir… le tien.

Je relève les yeux et vois ton regard fixé sur moi, ton sourire carnassier et m’indique que tu reviens aux toilettes.

Après quelques minutes à réfléchir sur la signification de tes mots, je me dirige vers les toilettes, priant pour que ce soit une invitation…

J’ouvre la porte des toilettes, et je la ferme à clef derrière moi. Tu m’attendais assise en train de te toucher une main sur la poitrine, deux doigts dans ta bouche, je m’approche de toi et t’embrasse langoureusement, tu commences à déboutonner ma chemise pour passer ta main sur mon torse pendant que l’autre maintient nos deux têtes collées l’une à l’autre, nos langues tournent sans s’arrêter.

Tu me pousses doucement le torse pour me laisser m’asseoir, tu arrêtes le baiser et t’éloignes, "ne bouge pas" me dis-tu avec un regard brillant.

Tu attrapes le bas de ta robe et doucement la soulèves, tout ce que je vois c’est ton sexe bien rasé. Tu laisses ta robe levée et t’approches de moi la chemise déboutonnée, tu m’agrippes la tête et la mets dans tes seins, tu me laisses comme ça quelques secondes, puis tu l’enlèves et me plaques encore au fond de mon siège. Tu déboutonnes mon pantalon et me l’enlèves, tu t’assieds sur moi, face à moi et ta petite chatte humide sur mon caleçon.

Tu m’embrasses violemment, et pendant ce temps tu fais des petits mouvements de bassin pour profiter de la sensation de mon sexe qui durcit. Soudainement tu t’arrêtes, te lèves et m’attrapes par la cravate, tu me tires fort et me dis d’un ton ferme "couché", j’obéis, trop excité pour refuser et prendre le risque que tu me laisses comme ça. Tu m’enlèves doucement ma cravate et mon reste de chemise, puis devant moi tu enlèves ta robe, tu étais nue en dessous.

Tu te mets debout au-dessus de ma tête, j’ai pleine vue sur ton intimité. Soudainement, tu t’assois sur mon visage, et me dis "lèche", j’essaye de faire le malin en ne faisant rien car je ne supporte pas d’être le dominé. Mais tout ceci tu le sais très bien et tu vas te servir de mon visage pour te faire du bien toute seule, bougeant ton bassin et frottant ton sexe sur mon visage. Je décide de te lécher au bout de quelques minutes. Tu mouilles de plus en plus dans ma bouche et je ne peux que boire ce délicieux liquide.

Ma verge est bien dure et pointe bien haut vers ton visage comme si elle te suppliait d’être occupée, tu te tournes vers elle, toujours ton entrejambe sur mon visage et tu rentres ma verge tout au fond de ta gorge, empalant ta bouche dessus à plusieurs reprises. Nos entrejambes sont trempés, nos souffles coupés, tu as déjà joui à deux reprises et ne demandes qu’à te faire pénétrer.

Au bout d’un moment, tu te relèves, les jambes tremblant encore de ton précédent orgasme, te mets dos à moi, les mains sur la porte. Tu te retournes, les yeux floutés par le plaisir et me dis "qu’est-ce que tu attends ?" avec la voix la plus sensuelle que tu aies… "prends-moi fort et défonce-moi".

Avec une voix beaucoup plus arrogante

D’une seule traite j’enfonce mon pénis au plus profond de toi, tu gémis un peu fort, le restaurant qui était bruyant, d’un seul coup s’est tu. Malgré cela, je continue à te prendre sans retenue et à éclater ta petite chatte de salope tout en agrippant tes gros seins.

J’alterne entre frotter ma bite entre tes fesses et te la mettre le plus profond possible afin que nos cuisses se frottent et que mes testicules tapent sur ton clitoris.

Je respire fort et gémis un peu, pendant que toi tu te retiens tant bien que mal de crier, laissant échapper quelques étouffements qui pourraient alerter le plus naïf des passants.

J’attrape ton string humide et te l’enfonce dans ta bouche.

Après cela tu t’assois sur les toilettes, les jambes grandes ouvertes, je rentre encore plus violemment en toi, et nous gémissons à l’unisson, j’accélère tes mouvements et en même temps joue avec tes seins, tu enlèves ton string de ta bouche et sur un ton autoritaire me demande "Alors elle te plaît ma petite chatte de salope ? J’aimerais bien que tu me remplisses entièrement". Après ce moment d’insolence, je t’attrape les cheveux et t’embrasse sauvagement tout en rentrant de plus en plus fort et de plus en plus profond en toi, tu te retiens de moins en moins de gémir. Je commence à attraper tes jambes et te pénètre aussi fort que je peux, cette pénétration nous montre à quel point on est sur le point de jouir… tu me griffes dans le dos et me supplies que je jouisse dans ta bouche tout en ajoutant "mets-men partout".

Je sors de ta chatte, je te mets à genoux et tout en te masturbant tu me fais la meilleure fellation que je n’ai jamais eue, tu te l’enfonces tout au fond de toi en me regardant avec envie, commençant à jouir, ta bouche se serre autour de ma bite, je gémis de plus en plus fort et après un coup de langue salvateur, je grogne et jouis dans ta gorge, tu retires vite mon sexe et le diriges sur tes seins, tu te précipites sur ma queue encore dure et la nettoies avec ta langue, passant bien sur mon gland, et mes couilles.

"Tu ne te nettoies pas" je t’ordonne, tu remets ta robe alors que tu es pleine de sperme, tu lèches le peu de sperme qui n’a pas encore séché.

Une fois habillée, tu sors des toilettes d’abord puis retournes à table, je te rejoins quelques minutes plus tard, et nous finissons le repas, les gens n’ont rien remarqué. Arrivé chez moi après t’avoir ramené je me déshabille pour me doucher, et… je vois les traces de rouge à lèvres…

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