A cette époque dans la petite ville, pratiquement tout le monde se rendait à la messe le dimanche matin, le boulanger en était exempté commerce oblige en contrepartie Chantal se rendait chaque dimanche à l’église et un samedi de temps en temps en confesse.
Et justement la semaine suivant la rencontre dans la cave, ce samedi Chantal se rend à l’église afin de se confesser. Elle se retrouve dans le confessionnal devant le curé et elle lui confesse ses rencontres et ses turpitudes, combien les nuits elle se caresse en pensant à ces garçons qui lont fait jouir.
Derrière la grille en bois et dans la pénombre du confessionnal le bon curé passe par toutes les affres de la tentation.
Le même scénario se reproduisit plusieurs fois, Chantal s’étant aperçu que le bon curé était comme saint Antoine, subissant la tentation, mais bien prêt lui à succomber, elle en rajoutait, donnant des détails bien inutiles dans une confession, mais elle avait pu voir le bon abbé passer sa main dans sa soutane alors qu’elle prenait plaisir à raconter une partie de sexe totalement imaginaire. A chaque fois le prêtre avait bien du mal à contenir son émotion et à prononcer une absolution.
Cette fois-ci Chantal s’est arrangée pour être la dernière pénitente, l’abbé en voyant Chantal entrer dans le confessionnal, prend la décision de profiter de la situation, et durant la confession il se masturbe sans souci d’être vu par Chantal. Il finit par lui donner l’absolution et une longue pénitence à réciter avant que Chantal ne quitte l’église. Et avant qu’elle n’ait commencé le curé sort du confessionnal et se précipite au fond de l’église pour fermer la porte à clé en se disant (cette petite salope ne va pas s’en tirer comme ça, cette fois on va prolonger le plaisir !!!).
Chantal toujours agenouillée sur une chaise, entend la porte de l’église se fermer à clé et les pas du curé qui s’approche d’elle.
Chantal se sent prête, elle sait qu’elle a allumé l’abbé et qu’il va succomber, elle a envie de goûter à cette grosse queue qu’elle a entraperçue dans le confessionnal elle sait que le curé est à point voilà un mois qu’elle le chauffe tous les samedis, et elle a bien envie d’en profiter.
D’ailleurs sous sa jupette, pas de petite culotte, chatte parée pour l’assaut, vagin humide à souhait.
Le prêtre est juste derrière elle, elle entend sa respiration rapide, elle sait qu’il est cuit à point, rôti le petit curé, et soudain l’abbé pose une main sur son sein droit et une main sur sa bouche afin qu’elle ne puisse pas crier, mais ce n’est pas dans ses intentions et pour le faire savoir elle lèche la paume de la main qui la bâillonne. Alors l’abbé libère sa bouche, la relève, et la tourne vers lui pour l’embrasser à pleine bouche, sa langue fouille sa bouche, il joue avec sa langue, pendant ce temps Chantal descend sa main le long des boutons de la soutane jusqu’à rencontrer l’objet de ses désirs, depuis quelques semaines.
La verge n’est pas d’une longueur exceptionnelle, mais par contre le diamètre lui semble impressionnant, de ce fait sa petite main en fait à peine le tour, le curé bande comme un cerf et il ne peut s’empêcher de se branler dans la menotte qui l’a prise, Chantal décalotte le gland et se met à me masser délicatement, passant et repassant sur le filet tendu à mort, le méat suinte déjà d’un présperme qui lui enduit les doigts. Le pauvre curé se trouve à deux doigts de décharger, Chantal le sent alors elle laisse le curé pour qu’il se calme un peu et elle s’empresse de se dévêtir, puis elle entraîne le curé vers le chur bite à l’air dépassant de la soutane, le prêtre la retire il est nu dessous à croire qu’il avait prévu la chose.
Chantal se couche sur le tapis devant l’autel, les cuisses écartées pour montrer son buisson-ardent, le curé en tombe à genoux entre les jambes de Chantal qui aussitôt saisi le mandrin pour l’attirer vers sa grotte bouillonnante, elle aimerait qu’il lui dévore la chatte, qu’il fasse reluire son bouton sensible, mais l’envie de ce gros gourdin est trop forte, et elle le pose à l’orée de sa fente, mais le curé bien trop excité par le tableau plus qu’érotique que lui offre Chantal étalant crûment ses chairs luisantes de cyprine devant ses yeux, il se déverse à gros bouillon sur la chatte affamée.
Le curé s’excuse d’avoir été trop rapide, mais il était vraiment en manque.
Chantal lui répond : « ce n’est pas grave je vous ai bien fait juter j’en ai partout sur la chatte mon ventre et mes seins, venez dans ma bouche je vais nettoyer votre bite on ira plus loin la prochaine fois».
Après avoir sucé cette belle queue qui commençait à ramollir, Chantal s’est rhabillée non sans avoir bien étalé tout ce sperme sur son corps afin d’être bien parfumée.
Le curé toujours à poil, a raccompagné Chantal jusqu’à la porte, juste avant de partir le curé lui demande : « tu pourras m’apporter un gâteau au presbytère demain après la messe nous prendrons un peu plus de temps ».
Chantal lui roule une pelle d’enfer, la diablesse a ferré un nouveau mâle, et vu la taille de l’engin elle n’est pas prête à le laisser à une autre femme. Et elle quitte l’église bien décidée à lui apporter son gâteau dans l’espoir qu’il lui donne son bel éclair à la vanille.