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Mélissa, ma jolie jeune black soumise. – Chapitre 5




D’un coup je les vois passer en se donnant la main comme deux pucelles et se jeter dans la piscine. S’ensuit une bonne partie de rigolade, d’arrosages divers et variés. De voir ces deux nanas se peloter plus que de raison, m’excite. Je préfère les laisser batifoler, je vais préparer le barbeuc. Il est vrai que la séance a duré. Il est midi. Je ne peux leur en vouloir.

La blonde est la première à sortir, suivie de près par ma grosse black. Elles se douchent, se sèchent. Mélissa se met en position.

— Va te mettre en tenue…

Sans poser de question, elle part prestement vers sa chambre. Gégé fait le tour de la propriété, j’exagère, du jardin. Sa démarche est paisible. Elle regarde mes rosiers (et oui, mon péché mignon), penche en avant pour humer leur parfum. Elle est belle et désirable dans cette position. Ses fesses, sa cambrure, ses petits seins fermes sont magnifiques. Elle m’a l’air apaisé, détendue. Elle revient devant la terrasse, monte les quatre marches et se bloque. Je me retourne et vois Mélissa habillée en soubrette. Divine créature dans cette tenue qui semble avoir été faite pour elle. On ne peut que remarquer son opulente poitrine sortant par-dessus des balconnets, ses fesses enserrées par son tablier. Elle est belle. J’en bande.

— Waouh, tu es canon, dit Gégé, magnifique…

Je reste sans voix, bouche bée. Elle a mis de petits talons. Encore une chose à laquelle il faudra remédier. Elle avance vers moi d’une démarche aguicheuse et se plante à moins d’un mètre de moi. Elle s’est parfumée discrètement à la vanille. Elle s’accroupit, se penche en avant et me gobe la tige. Je ferme les yeux sous cette sensation de plénitude. Elle descend jusqu’à ce que son nez rencontre mon pubis. Elle joue de la langue sur la base de mon pénis. Je rouvre les yeux, elle me regarde satisfaite. Je lui prends son visage entre mes mains et lui imprime le rythme. Je sais que je ne tiendrais pas longtemps. Elle sait y faire, la salope. Elle ouvre la bouche en descendant, elle serre les lèvres en remontant. Tout en me fixant, elle me sourit. Je lui réponds. Tout en me regardant, elle repousse mes mains et continue son travail de sape. Je sens que ça ne va pas tarder, elle le sait, elle n’attend que cela. Mon jus grimpe depuis mes couilles, passe par ma tige et se répand en flot continu dans la bouche de Mélissa. Gégé, qui a tout observé, vient se mettre à côté de Mélissa.

— Tu partages ?

Question fort inutile. Elle se partage ma semence en s’embrassant, en me pompant. Elles jouent avec ma queue comme deux affamées de sexe. Elle me lave la tige consciencieusement. Quand elles voient ma queue retomber, Gégé rejoint sa place et Mélissa sa position.

— Pouf, dis-je. Il y a longtemps que l’on m’avait pompé ainsi… Il fait que je me rafraîchisse.

C’est dans un grand "Splash" que je me retrouve à l’eau. Je reste à reprendre mes esprits et à me détendre 10 minutes. Mélissa et Gégé s’affairent à mettre la table. Moi je sors de l’eau. La chaleur du soleil sur mon sexe me fait doucement rebander.

— Va enlever ta tenue, je ne voudrais pas que tu l’abîmes. Allez file…

Elle part comme à son habitude, en sautillant.

— Vous avez de la chance, Monsieur Jean…

— Jean, s’il te plaît… Et tutoie-moi. Tu verras Mélissa le fait aussi.

— Très bien, Jean, tu as une nana magnifique.

— Heu, ce n’est pas ma nana. Juste une gonzesse rencontrée samedi soir.

— Quoi ? Et pourtant vous avez l’air de bien vous connaître. Ne seriez-vous pas en train de me dire que vous ne l’aimez pas. J’y crois pas.

Je lui réponds par un simple sourire et me dirige vers le barbeuc. Gégé se lève et me rejoint. Elle me prend par-derrière dans ses bras et pose son menton sur mon épaule. Elle regarde le feu en train de prendre.

— Ne me dis pas que tu n’as pas de sentiments pour Mélissa, je ne te croirais pas.

— Évidemment que j’en ai, mais je ne voudrais pas qu’elle s’attache… Qu’elle m’aime… C’est trop rapide.

— Pourquoi, vous allez si bien ensemble…

— Je vais avoir 50 ans. Il en a à peine 18…

— Et alors, à moins que tu aies envie de finir comme un vieux con ?

— Que va penser ma famille. Mes amis j’m’en fous, bien au contraire. Ils seront fous de bonheur, mais mon frère, ma sur…

— On s’en fout… Profite mon grand garçon, dit-elle en s’éloignant de moi, je te le dis. Vous êtes faits l’un pour l’autre… Hahahahaha.

Mélissa est revenue. A-t-elle entendu ? Je ne pense pas. Elle est en position d’attente. Ce qui me réjouit, mais me met mal à l’aise. Je lui demande d’aller chercher l’apéro. Ce qu’elle aime. Pour moi ce sera pastis. Elle revient avec un plateau ou trône mon verre et une bouteille de champagne et deux flûtes. Elle dé-bouchonne en me souriant. Qu’elle est craquante cette nana. Mon cur bat la chamade. Mais que m’arrive-t-il ?

J’allais me lever pour mettre la côte de buf sur le feu que Mélissa, tel Gédéon, saute et me demande :

— Bleue, à point, ou bien cuite ?

— Euh… Bleue, ma puce.

Qu’ai-je dit. Elle rigole et s’en va cuire la viande. Pendant ce temps, Gégé complice, s’en va à la cuisine pour revenir avec une salade.

— Les frites vont arriver…

Les garces, mon plat préféré. Mais où ont-elles eu le temps de discuter et deviner de tout cela ? La réponse vient de Gégé. La douche, l’ouverture du frigo et du congélo. L’affaire avait été vite entendue. La côte de buf attendait, la salade également et le paquet de frites leur tendaient les bras.

C’est en rigolant que nous avons mangé et bu. L’ambiance était détendue. Mélissa a débarrassé et fait la vaisselle, pendant que Gégé s’était allumé une clope allongée sur un transat.

Mélissa me demande si je ne veux pas aller à la piscine, je lui réponds que non. Je vais faire la sieste. Il faut que je ménage. La peste, elle m’a suivi de peu et s’allonge avec la tête sur mon torse et un bras sur mon ventre. Le rythme de sa respiration s’adoucit et bientôt elle sombre dans un sommeil réparateur. Je la regarde, son cul, ses hanches. Pas longtemps, je m’endors heureux et paisible.

Il est 17 h 00 à notre réveil. Je me lève et vais sur la terrasse. Gégé est partie en me laissant un mot :

" Vous étiez si beaux tous les deux. À plus tard. Votre Gégé."

Mélissa dort toujours du sommeil des justes. Il va falloir que j’aie une conversation avec elle, mais pour l’instant, mon ventre crie famine. Je finis la côte et la salade et vais à la douche. J’essaie de ne pas faire de bruit.

Au sortir de mes ablutions, elle n’est plus dans mon lit, mais dans sa chambre. Elle m’attend.

— Tu ne veux pas manger ?

— Non, c’est de toi que j’ai faim…

Je lui lance un de mes oreillers qu’elle prend entre ses bras. Je ne l’attache pas. Je verrais bien.

Minuit, une soudaine envie de pisser. Après m’être soulagé, je passe devant la couche de Mélissa. Elle doit rêver car elle pousse de petits gémissements. Elle est mignonne. Elle s’est réveillée et me regarde.

— Bonne nuit Jean.

Elle se retourne me montrant son énorme popotin. Je ne lui réponds pas et m’en vais me recoucher.

Il est 7 h 00 quand je suis tiré du sommeil par l’odeur du café. Je vais prendre une douche au radar, me rase et vais discrètement à la cuisine. Elle est là, ma perle noire, debout face à l’évier. Je reste un moment immobile et furtif. Je la mate. Elle est de plus en plus belle. J’adore son gros cul plein et ferme. Je m’avance tout doucement jusqu’à la prendre dans mes bras.

— Tu as bien dormi, me dit-elle.

— Oui, fort bien, et toi ?

La coquine m’avait vu. Je lui palpe ses seins. À son parfum, elle a dû prendre une douche. Mon engin réagit et se cale dans son sillon fessier. Il va falloir que j’aille voir Francis (mon médecin et ami) pour qu’il me file la pilule bleue ou toute autre pastille. À ce rythme, je ne tiendrais pas longtemps. On ira ce matin. Le lundi il ne travaille pas mais accepte ses amis. Elle me pousse doucement.

— Le café est prêt. J’ai fait des pancakes. Allez, va t’installer sur la terrasse, la table est mise.

Bien que d’habitude je ne déjeune pas, je me laisse servir. Ses petites gâteries me vont droit au cur. Elle déjeune paisiblement.

— On va en ville. Tu t’habilles sexy mais pas trop, sans string. Soutien-gorge autorisé.

Elle débarrasse, fait la petite vaisselle et file dans sa chambre.

9 h 00, elle est prête. Petit short en jean blanc, ce qui dessine joliment son fessier et un haut blanc col en V qui lui met en valeur sa poitrine. Moi, banal jean tee-shirt.

Habitant dans le même quartier, on est vite arrivé chez Francis qui nous accueille chaleureusement. Je lui explique ma situation, pendant que Mélissa se promène dans son jardin.

Il me prend la tension tout en matant la petite.

— 12-7, dit-il. Parfait. Ou tu l’as dégotté celle-là, poursuit-il, je te savais attirer par les blacks et là tu as tiré le gros lot. Fait-il en me faisant l’ordonnance pour deux boîtes de Viagra. Prends-en que si tu es en perte de régime. Elle est bonne au moins.

— Et très serviable.

— À quel point ?

— Mélissa, peux-tu te déshabiller ?

Sans aucune hésitation, elle se plia à mon bon vouloir. Une fois nue, elle se met en position.

— T’es quand même gonflé, ma femme… Oh putain quel canon…

Il sort sur sa terrasse et commence une palpation des seins. Professionnel jusqu’au bout. Il lui touche le cul, les cuisses et la chatte.

— Heu, je vois qu’elle connaît déjà Aurélie. Joli petit lot que tu as là. Dit-il en passant sa main sur le ventre de Mélissa.

— Elle n’est pas farouche et suce comme une actrice. Pour son jeune âge, elle a dû en voir des bites. Tu veux y goûter ?

— T’es con ou quoi. Fais-la se rhabiller. Si ma femme se lève, ça va être le scandale.

Je fais signe à Mélissa.

On prend ma voiture, il va falloir que l’on se débarrasse de sa vieille guimbarde. Elle fait tache dans le quartier. Direction ma pharmacie.

La jeune préparatrice est rouge de honte en me servant. Je ne vois pas pourquoi. Direction les Pennes-Mirabeau, sur la terrasse d’un petit café où j’ai mes Habitudes. J’achète des clopes. Mélissa en allume une et me la passe avant de se servir. Quelle classe.

— Bon, je n’ai pas encore décidé où aller et quoi faire, mais j’aimerais t’habiller à ma façon. Ça te dit.

Son regard s’illumine. Après avoir bu nos bières, je l’entraîne vers une échoppe spécialisée dans la lingerie sexy, voire très érotique. Pas que je ne veuille pas revoir Gégé, mais là je suis sûr de trouver la taille adéquate.

Une femme proche de la soixantaine nous approche.

— Messieurs, Dames. Que puis-je pour vous ?

— Je recherche des tenues très sexe pour mademoiselle.

Mélissa pique un fard. Elle ne sait pas où se mettre. La Dame rigole.

— Allez, ne faites pas l’enfant. J’en ai connu d’autres. Veuillez me suivre, les grandes tailles sont peu demandées mais je dois avoir de quoi vous satisfaire.

Elle nous entraîne dans un dédale de portants. Les tenues sont plus affriolantes les unes que les autres. Elle nous fait passer dans un petit salon à la moquette rouge et entouré de miroir. Kitsch mais fort bien entretenu. Elle nous abandonne un instant, nous dit-elle en demandant à Mélissa de se dévêtir. Une fois nue, Mélissa est resplendissante. Sous l’éclairage rouge de la pièce, on dirait une star du porno dans un film dont j’ai oublié le nom.

La dame revient.

— Voilà quelques modèles. Du plus sage, que voici. Au plus hard, que voilà. Que désirez-vous pour votre… Heu…

— Soumise.

— Hum, je vois. Celui-là lui ira à merveille. Tourne-toi que je t’aide à le passer…

Mélissa est apeurée, mais excitée, ça se voit à ses cuisses. Elle commence à perler. Bref, c’est un très joli corset de cuir noir avec des énormes balconnets qui viennent lui supporter les seins de façon outrageuse, aidé par de larges bretelles. Il est lacé dans le dos et sur le devant. C’est tout un art pour le poser. Elle s’évertue à bien positionner les volumineux seins de la black de façon parfaitement symétrique.

— Allez, retourne-toi que ton Maître…

— Monsieur Jean. Lui dis-je.

— Pardon. Que Monsieur Jean t’admire.

Mélissa est fantastique. "Rêves de Cuir", c’est ce fameux film ou l’héroïne sombre peu à peu dans la luxure. Superbe film.

Elle a les seins très haut et ses tétines appellent à être torturées. Je fais signe à la Dame de le lui ôter.

La tenue suivante est une robe en cuir aussi, mais rouge. Ses seins sont serrés, ses fesses mises en valeur et ses hanches redessinées. Elle s’arrête juste au-dessous des cuisses. Parfait.

Je demande à la Dame de nous emballer tout cela. Elle nous fait une remise plus que substantielle. Elle reluque Mélissa avec envie.

— Vous avez quelque chose à me demander ?

— Non, non, dit-elle. Vous avez là une charmante soumise, avec de très belles formes. Vous ne devez pas vous ennuyer ?

— Non, effectivement, je l’avoue. C’est une suceuse et une mangeuse de minou hors normes, croyez-moi.

— Hummm, tentant, dit-elle en allant verrouiller l’entrée. Venez, nous serons plus à l’aise dans le petit salon.

Elle remonte sa longue robe noire et nous dévoile un pubis bien fourni, d’une couleur sombre. Elle s’assoit sur un fauteuil et écarte les jambes. Sans demander son reste, Mélissa se met à genoux et commence un savant cunnilingus profond. La dame se pâme, râle. Elle essaie de se toucher le clito avec une main, vite repousser. Sa langue rose fouille au plus profond du sexe de sa partenaire improvisée. De mon côté, j’ai sorti ma queue et m’approche de la Dame. Voyant mon rostre elle hésite. Je lui force la bouche en lui appuyant sur la nuque. Quel bonheur ! Me faire sucer par une inconnue et ce, devant Mélissa qui me sourit. La brave Dame bave sur son décolleté. Je lui sors un sein et commence à m’amuser. Je lui tire son téton. Elle va pour crier, mais mon chibre planté au fond de son gosier l’en empêche. Je donne des coups de bassin de plus en plus violents. La Dame est rouge pivoine, les yeux révulsés.

— Elle n’est pas bonne bouffeuse ?

— HUM, HUM.

Je ne lui tiens plus la tête, elle me bouffe la bite d’elle-même. Mélissa s’acharne sur son clito. Elle l’aspire, le mordille, le triture. La pauvre Dame n’en peut plus. Elle jouit sans discontinuer. Elle essaie de s’exprimer, mais ne peut sortir que des borborygmes, des gazouillis bien baveux. Elle est prête à éclater. Mélissa s’amuse et lui a enfoncé trois doigts qu’elle fait aller et revenir à une vitesse folle.

Je sens que ma semence ne va pas tarder à gicler. Ma semence monte et se répand au fond de la gorge de la pauvre vieille. Une fois ma bite sortie de son conduit buccal, elle éructe.

Je demande à Mélissa de se relever. Ce qu’elle fait tout en allant embrasser sa pauvre proie. La dame à du mal à se remettre de ses émotions, mais arrive à dire :

— Vous êtes de beaux salops… Vous m’avez démonté…

— Cela ne vous a pas plus ?

— Si… Hummm…

Mélissa est en train de l’embrasser à pleine bouche. Je lui administre une fessée. Elle comprend qu’il est temps qu’elle se rajuste. On allait partir quand la Dame me tend une nuisette en soie noire. Un cadeau pour Mélissa. Décidément.

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