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abusé pour la première fois par Robert – Chapitre 1




A 18ans, lorsque jai redoublé ma terminale et que jai dû changer de lycée, il ma fallu aussi quitter la maison, car mon nouveau lycée se trouvait dans une ville à 40 km de chez moi. Mes parents ont demandé à un ami de mon père, Roger, de mhéberger. Il accepta, sans manifester un enthousiasme démesuré. Il maccueillit assez froidement chez lui, il avait un 3 pièces. Il me montra ma chambre, et me dit en désignant la sienne :

-Et celle-ci, cest la mienne, tu na pas le droit dy entrer sous aucun prétexte.

Lannée se commença. Je rentrais chez Roger après le lycée, et lui rentrait vers 19h, après sons travail.

Assez souvent le soir, après que je sois allé me couché, jentendais des bruits bizarres provenant de la chambre de Roger. Je crois quil se matait des films pornos.

Un soir, jai succombé à lenvie dentrer dans la chambre de Roger, et de zieuter un de ses films. Après tout, cétait de mon âge aussi. Je suis entré, et jai appuyé sur le « play » de son magnétoscope :

Cétait bien un film porno : un noir monté comme un taureau était pris en gros plan en train de défoncer un petit cul, qui sagitait en criant. Jétais impressionné, jamais je naurais cru quune si grosse bite puisse rentrer dans un trou du cul. Mais lorsque le plan sélargitSurprise : le petit cul appartenait à un mec qui semblait prendre beaucoup de plaisir à se faire enculer.

« Oh oui, vas-y, cest bon, défonce moi avec ta grosse queue ! »

Jétais scié, Roger regardait du porno gay !

Et en même temps, pour un mec qui navait pas encore la moindre expérience sexuelle, je dois avouer que la scène me faisait un certain effet. Je sentais ma queue commencer à durcir. Jai enlevé mon pantalon, et jai commencé à me branler, en me disant quil faudra que je fasse gaffe à ne pas juter dans la chambre à Roger. Finalement, cela mexcitait vraiment, javais une gaule pas permise Et soudain, jentendis un bruit, avant de réaliser que cétait le bruit de la clé de Roger, qui était rentré plus tôt, celui-ci était déjà dans lentrée, face à la porte de sa chambre entrouverte donnant sur Moi, la queue dans la main !

-Eh, bien il ne faut pas se gêner ! Et en regardant mes films, petit vicieux!

Dit-il en rentrant dans la chambre

Je me précipitais sur mon pantalon, mais fus stopper net par une injonction autoritaire

-Ne bouge pas

Jamais je ne lavais entendu utiliser un tel ton. Je crois que je lavais vraiment mis hors de lui.

-Reste comme cela, la crevette !

Il est vrai quavec mon corps blanc de blondinet, et mes 55kg tout mouillé, je ne suis pas un poids lourd, et à lépoque, je faisais facilement 2 ans de moins que mon age !

-Alors dès que jai le dos tourné, tu rentres dans la chambre de tonton Roger, alors que je te lavais interdit! Quest-ce quil faut faire pour que tu comprennes ? Hein ?

-Heu pardon je suis désolé Javais la queue entre les jambes qui commençait à débander, et je me trouvais complètement idiot, nu et rouge devant cet homme soudain imposant.

— Si tu ne mobéis pas, je ne vais pas pouvoir te garder, et je vais devoir prévenir tes parents !

— Oh non, je vous en prie ne leur dites rien, laissez moi rester chez vous !

— Mais tu étais prévenu quest ce qui me dit que tu ne va encore me désobéir

— Sil vous plait, je serais sage maintenant, ne leur dites rien !

— Mouais, de toute façon, si je te gardes, il va falloir que je te punisse, il faut bien marquer le coup !

— Sil vous plait

-Bon, ok, on ne va rien dire à tes parents pour cette fois, mais je vais te flanquer une bonne fessée !

-Quoi ?

— Et oui, dit-il en sasseyant sur le canapé, viens sur les genoux de tonton Roger, quil te donne ta correction !

Jen revenais pas, mais au point où jen étais , je me suis allongés maladroitement sur ce vieux qui me semblait de plus en plus salace.

-Oui, voila, je vais te faire rosir ton petit cul de vicieux.

Il me caressait doucement mes petites fesses, puis me flanqua deux claques magistrales qui marrachèrent un cri

-Aie !!

-Doucement, calme-toi, et tais-toi !, me dit-il en me caressant maintenant mes petites fesses crispées. Tas un petit cul blanc de bébé, tout lisse et tout doux, tu ne veux pas que je lui fasse mal hein ?

Je parvins à gémir un « nooonn » étouffé par le coussin dans lequel était plongé ma tête. Je fermais les yeux, et essayais de ne pas penser à la situation, en espérant quelle finirait au plus vite. Ainsi, mes fesses commencèrent à se relâcher sous les caresses.

— Oui, je crois quon va trouver un arrangement, mais il va falloir être gentil avec tonton Roger, hein ptit cul !

— Hmmm

— Réponds « oui, tonton »

-Oui tonton

Il continuait à me caresser et me malaxer les fesses, ce qui commençait à me faire rebander malgré moi.

-Oh, mais jai limpression que tu aimes cela petit vicieux !!

Cest vrai que je commençais à apprécierje sentais mon petit sexe grossir contre le ventre rebondi de Mr Roger, mais petit à petit je ressentis également une grosseur se développer dans le pantalon de tonton Roger. Je nétais pas le seul à apprécier. Et cette grosseur qui ne cessait de croitre et de durcir participait à mon excitation grandissante, toute en la mêlant dappréhension diffuse. Malgré moi, je commence à onduler des fesses sous les caresses, ce qui a pour effet de faire grossir de plus belle la bosse qui est sous moi.

— Oh oui, tu aimes bien que tonton Roger soccupe de tes petites fesses hein ?

— Répond « Oui tonton ! », dit-il en me fessant de nouveau

— Oui Tonton.

— Ten fais pas, je vais bien men occuper Mais avant, il faut que tu me montres comment tu es devenu gentil, dit-il en me prenant par les cheveux pour me relever. Mets toi à genoux devant moi, et demande moi pardon !

Il avait décidément lart de souffler le chaud et le froid! Je commençais à voir où il voulait en venir. Pendant quil me tenait les cheveux de sa main gauche, je le vis déboucler son pantalon doù jaillit une queue énorme. Son gland tout gonflé sembla se décaloter de lui-même.

-Allez, viens dire pardon à tonton Roger, dit-il en me tirant la tête vers son gland

-Pardon, répondis je, feignant de ne pas comprendre la situation.

-Allez , ne fais pas ta timide, viens lécher la sucette de tonton.

Il me guida à nouveau la bouche vers son gland. Cette fois je léchais. Il me tira la tête et jengloutis le gland.

-Oui, cest ca, allez suce, elle est bonne la grosse bite de tonton, hein ? Oui, cest bien, tavais faim de bite hein ma petite salope !

Je mappliquais à sucer ce gros gland, qui commençait à suinter dun liquide visqueux un peu salé. Mais je dois avouer que la situation et les paroles ordurières de tonton Roger mexcitaient. Tout-à-coup, il me tira la tête en arrière.

-Cela suffit, tu veux pas me faire éjaculer non plus! Allez jen ai marre de ta tête de salope, je veux voir ton cul maintenant. Tourne-toi et présente moi tes fesses !

Je ne fis même pas mine de contester, je me suis mis debout et me suis tourné.

— Allez, à cheval sur les genoux à tonton.

Jenfourchais les genoux du vieux, en gardant le dos tourné. Il me passa ses grosses paluches sur les têtons.

— Cest bien reste docile maintenant, humm, tas tes petits têtons qui deviennent tout durs, hein ma petite fiotte.

Et sans crier gare, il me poussa soudain dans le dos, me propulsant le corps vers lavant, tout en me retenant par les hanches. Je ne pus que me retenir en tendant mes bras vers lavant ; mes mains sur le sol arrêtèrent ma chute, dans une position exposant de manière impudique mon anus au nez de Roger. Loin, den être gêné, celui-ci sembla apprécier le spectacle.

-Oh le joli petit cul que voilà, dit-il en effleurant mes fesses tendues, mes couilles, puis ma queue résolument bandée.

Sa caresse me mettait malgré moi dans un état indéfinissable, et je sentais mes fesses se soulever vers les mains qui me rendaient fou ou folle, je ne savais plus bien, comme un chat lève la tête à la rencontre des mains qui le caressent. Dailleurs, limage se prolongeait jusquau miaulement que je mentendais produire.

-Oui, elle aime bien les caresses de tonton Roger, la petite tantouse ? Regarde moi cela comme cela la fait bander, dit-il en mattrapant la queue à deux mains, et en la tirant vers lui jusquà ce que ma rosette rencontre sa langue rappeuse.

-AAAh ! , je crispais mes fesses, pour rompre ce contact, comme pour échapper au plaisir de cette sensation à la fois trop violente et complètement inconnue.

La réaction du vieux Roger fut aussi soudaine que violente. Il madministra deux claques en quasi simultané sur chacune de mes fesses, et me tira de plus belle sur la queue, pour offrir à nouveau mon petit trou à sa langue experte. Il lapa ma rosette avec application, me procurant un plaisir indéfinissable. Cette fois, malgré mes crispations, aucune rétractation ne fut possible. Roger me maintenait fermement par la queue, et pouvait continuer ses léchouilles sans discontinuer. Pire, les mouvements nerveux de mon cul ne semblaient pas lui déplaire.

-Hmmm, il est bon ton petit cul. Cest ca, remue tes petites fesses. De toute façon, elles ne méchapperont plus.

De fait, je commençais déjà à mépuiser, plus je crispais les fesses, plus mes bras peinaient à maintenir ma tête au-dessus du sol. Je commençais à mécrouler sur le sol, ce qui me fit me cambrer encore davantage, livrant mon petit trou au milieu de mes deux fesses écartées au maximum. Le vieux cochon en profita pour enfoncer sa langue dans mon petit trou. Il me fora de sa langue humide et rapeuse, entamant des va-et-vients qui me procurèrent des sensations de plaisir insoutenables :

— AAAh ! non arretez !

— Dis que taimes pas cela salope ! Regardes comme cela te fait frétiller tes petites fesses !

— HHHmmm, non, arrêtez je vous en prie !

— Arrêter ? Non taimes trop cela que je te bouffe ton petit trou, hein !

— Ah oui cest bon !

— Oh oui taimes cela, petite salope ! Bon, allez, tes un mauvais garçon, mais finalement tes plutôt une bonne fifille !

Il me souleva pour me disposer allongé sur le ventre, en travers de ses genoux, en position de fessée. Mais il ne me tapa pas, il me maintenait les fesses de la main gauche.

— Tas mérité un joli jouet, voyons ce que Tonton Roger va pouvoir te trouver

Il fouilla de sa main libre dans le tiroir de sa commode, puis jentendis un clic de mise en marche et un bruit « brrrr », qui ressemblait au bruit dun rasoir électrique. Il continua à me flatter les fesses, puis écarta mes deux globes fessiers. Le contact dun objet vibrant sur mon petit trou me fit sursauter. Mes fesses se crispèrent delles même, mais elles se refermèrent sur un vibromasseur que Roger maintenait avec vigueur, juste à lentrée de mon petit cul.

-Tu ne devrais pas résister tu sais, de toute façon, je vais te le rentrer !

-Non, sil vous plait arrêtez !

En se crispant, mes fesses enserraient le vibro, et mon cul entier était irradié de vibrations insupportables, telles un chatouilli trop intense. Mes fesses tentaient alors déchapper à ce contact insupportable en souvrant au maximum, faisant décoller mon bassin des genoux de Roger. Mais dans ce mouvement, mes fesses livraient à nouveau mon anus au vibro qui tentait de le pénétrer, provoquant une nouvelle crispation de mes fesses

Ainsi, les vibrations alternées dans mes fesses et sur mon anus, toutes deux insoutenables, agitaient mon cul de convulsions violentes et incontrôlées. Mon corps entier était agité par un tremblement de chair dont mon anus était lépicentre ! Mon corps ne mappartenait plus, mon cul en avait pris le contrôle, et les gesticulations grotesques de mon bassin saccompagnaient de cris de démence :

« Brr brr brr »

-Ah noooon ! ah, ah ! noon ! ouii ! oh non ! ah ! ah !

Jentendais ces cris de chienne en chaleur en me demandant doù ils pouvaient venirpuis je me rendis compte quils suivaient le rythme de mes halètements : La chienne en chaleur cétait moi !

-oh mais tes une folle du cul toi, hein ! Regardez moi cela comme elle agite ses petites fesses ! Elle le veut dans son petit cul le joujou de tonton Roger, hein ? Ten fais pas, tu vas lavoir !

— Ah noooon ! Arrêtez!, ah, ah ! noon ! ouii ! oh non ! ah ! ah !

-mais cest pas possible que cela te mette dans des états pareils, mais regarde moi cela comme ca gigotte, tas vraiment le petit cul en feu ma petite salope ! Tiens, régale toi !

Disait-il en tentant, du bras gauche, de contenir mon corps qui sagitait comme sous lemprise dune crise de démence, tout en poussant le vibro de la main droite.

« Brr brr brr »

-Arretez je vous en supplie, je nen peux plus, haaa haa, haaa, Haaaa

La sensation insupportable décupla dun coup, lorsque je sentis le vibro passer lobstacle du sphincter , mon trou choisit à ce moment précis la nature des sensations quil éprouvait : Cétait du plaisir !

-ouaah , je vous en supplie arrêtez !

— oh, mais cest incroyable, regarde moi cela comme cela te fait frétiller du cul ! Tes vraiment quun petit trou de cul qui réclame de la bite, ma parole !

« Brr brr »

— Oui, cest trop bon, aaah, cest trop bon, ouuuh !

— Bon, maintenant on va passer aux choses serieuses, dit-il en mattrapant par les épaules, pour me soulever jusquà lui, avec un force qui me surprit. Il me repoussa à coté de lui, et me poussa la tete au dessus du dossier du canapé, pour me mettre dans une position qui livrait à nouveau mon petit trou. Allez, je sens que ton petit cul veut passer à la vraie queue !

— Non, je vous en prie, parvenais-je à gémir

Mais il me poussait la tête en avant en me tenant par les cheveux, et il madministra à nouveau un claque sur les fesses.

-Ne fais pas ta mijaurée, de toute facon tu vas y passer. Alors je te conseilles detre gentille et de te relacher !

A ces mots, je sentis le contact de son gland sur mon anus qui se contracta par reflexe..

-Calme toi, dit il en me caressant la rosette avec son gland humide quil passait de haut en bas sur mon illet. Sens comme cest bon, relache toi, profite du beau gland de tonton Roger, allez maintenant, je tiens ma bite et je veux que tu te frottes ton petit trou sur mon gland.

Je mexécutais maladroitement Mais peu à peu, aidé par ses grosses mains qui me caressaient les fesses, je commençais à me détendre, et sentir des vagues de plaisirs montées de mon anus qui se caressait sur cette matière douce humide et molle quétait son gros gland.

— Oh oui, vas-y fais toi plaisir, branle toi ton petit trou de salope sur la grosse queue de tonton Roger. Hmm, tas vraiment un petit cul de rêve tu sais ! Oui, vas-y remue ton petit popotin.

— Hmmm, oui hmmm, ce contact gluant me rendait littéralement folle de plaisir du cul ! Je nen revenais pas de ces nouvelles sensations.

— Allez, vas y, fais toi plaisir ma petite salope.

— Hmmm, en allant et venant sur ce gros gland baveux, je sentais que mon petit trou commençait à souvrir, comme pour permettre au gland de venir caresser le pourtour de lintérieur de ma rosette qui sépanouissait.

— Oui, vas-y, laisse toi aller! Relâche toi et donne toi du plaisir !

— Aaaah ! Au moment même où je commençais à me relâcher complètement, en ouvrant mon cul au maximum pour que mon anus puisse épouser au mieux la boule gluante qui ne reculait pas dun pouce, Ce salop de Roger magrippa les fesses de se grosses mains et tira mon cul à lui, juste ce quil faut pour que son gland franchisses mon anneau culier. Aaah, non, arretez cela fait trop mal, vous mavez déchiré!

— Mais non, calme-toi ! Le plus dur est fait, tu vas voir, dans 5 mn, tu redemanderas de la queue !

Je nen étais pas du tout convaincu, mais il est vrai quà peine son gros gland passé, mon anus se referma sur sa queue, dun diamètre moindre, ce qui soulagea en grande partie cette impression de brulure. Roger ne bougea pas dun iota, pendant de longues secondes, maintenant fermement mes fesses à bonne distance pour que son gland reste bien au chaud dans la cavité quil venait de forer. Il relâcha une main, pour me flatter une fesse.Moi, je nosais plus bouger, jattendais que la douleur diminue.

— Cest bien mon petit, tu vois, tu es comme un cheval quon navait jamais monté et quil a fallu débourrer, sauf que dans ton cas, il sagit plutôt de bien te bourrer !

Ce gros con semblait content de sa vanne, et joignant le coup de rein à la parole, il commença à me limer doucement mon petit fion, dont la douleur commencait à se transformer en une impression de bien être et de plénitude : La grosse bite de Roger semblait créer son propre espace en moi.

— Tu vois quelle nétait pas trop grosse, jarrive même à la faire coulisser.

Et cest vrai, mes fesses commencaient à se détendre, et à shabituer à ce piston, qui forait maintenant sans difficulté mon fondement ! Et je retrouvais par ces va-et-vient cette sensation que javais éprouvé avec le vibro : Jétais en train dêtre affolé du cul !

-Hmmm, parvenai-je à gémir.

— Allez, maintenant que je tai déniaisé le trou de balle, je veux te voir tactiver, vas-y bouge ton petit cul de salope !

Jobéissais, en avançant et reculant mon cul, au rythme imprimé par les mains qui alternaient caresses et claques sur mes fesses.

-Oui, vas-y ma petite fiotte, branle la queue de tonton Roger avec ton joli petit cul !

-Mmmm ! Ahaa, mmm, ahaa !,

Cétait incroyable, je prenais plaisir à venir mempaler sur sa grosse bite de connard ! Soudain, ses mains empoignèrent solidement mes fesses, et je sentis sa queue me pénétrer avec violence, et son ventre vint claquer mes fesses avec un bruit retentissant.

-AAAhh ! Jusquà la garde gamin, alors là, jaurais jamais cru quelle rentrerait dans un aussi petit cul. Tiens, prends cela, han han !

-Aaahh ! aaaahh ! Moi aussi, jaccompagnais ses ahanements par des cris de jouissance ! -Tu laimes la grosse queue de tonton Roger dans ton petit cul de salope ! Hein gamin !

— Ouiiiii ! Jétais incapable de parler, mais je mentendais crier de plaisir, comme si ses coups de bélier avaient ouvert la porte à une jouissance incontrolée.

-Tiens régale toi ! Hann ! Hann !

Ses coups de béliers me projetaient contre le dossier du canapé. Jétais devenu un pantin désarticulé, autour dun trou quon défoncait !

Et soudain, je sentis les mains puissantes de Roger marracher du canapé. Il me plaqua contre lui, en poussant un dernier râle.

-Haaaa ! Oui ! Oh, cest bon !

Au moment ou son liquide jaillit dans mon fondement, mes fesses se crispèrent sur son chibre, comme pour en extraire la dernière goutte.

-Ohh, oui, cest bon, répétait-il en me serrant contre lui à me faire mal. Une main me malaxait un teton, pendant que lautre enserrait ma bite avec une force extraordinaire. Ma réaction fut instantanée, au moment où son flot menvahit, mon sperme jaillit, tel un jeyzer qui explose.

-oooaaah ! criai-je avec une voix sourde et aigue, qui contrastait avec les cris rauques de Roger.

Il resta crispé en moi, quelques secondes interminables, pressant mon corps cambré tel un arc contre lui, comme pour obtenir de mes fesses quelles extraient sa semence jusquà la dernière goutte.

Moi, javais limpression que le jet puissant quil déversait en moi, rejaillissait de ma queue, avec la même puissance, en jets saccadés Et cétait insoutenablement bon !!

Après un dernier cri, Roger marracha à sa queue (jeus limpression quon marrachait lintérieur du cul, la douleur fut attroce !) et me rejeta sur le canapé.

-Regarde ce que ta fait grosse salope, tu mas cradé mon canapé ! Allez, nettoie moi cela !

Je me suis exécuté, penaud, en me disant que jaurais adoré quil fasse preuve dun tout petit peu de douceur et de tendresse.

-Allez, dépêche toi la tafiole !

Mais je compris quil ne fallait pas rêver !

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