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Charlotte ma chérie – Chapitre 4




Comme je te le disais, je pense que Léa va venir de plus en plus souvent ici et, comme aujourd’hui, y passer quelques nuits.

A ce que j’ai pu voir dans le salon et aux bruits que j’ai entendu provenant de ta chambre, je m’en doutais un peu. Mais c’est la première fois que je te vois avec une femme et je suis très heureuse que Léa t’ai fait faire ce bout de chemin.

A bon, pourquoi ?

Parce que j’en ai marre de te récupérer à la petite cuillère à chaque fois que tu te fais larguer par un homme ou que tu le largue. Tu n’as jamais tenu une relation avec un homme plus de quinze jours. Tu les trouves machos, brutaux, égoïstes, puérils, bêtes, ne pensant qu’à leur plaisir et j’en passe. Je pense que tu es plus faite pour des relations saphiques, tu aime trop la douceur et le partage, ce qu’une femme peut mieux t’apporter, beaucoup mieux qu’un homme.

Et bien, tu ne l’envoies pas dire.

Nos rapports ont toujours été basés sur la confiance, je te dis ce que je pense.

Et j’aime mieux.

Charlotte se penche sur moi pour m’embrasser.

Tu vois, c’est ma mère.

Je vois.

Je me sens un peu conne dans cette tenue.

Tu as raison, à poil !

Olga se lève, enlève son corsage et sa jupe pour se retrouver nue. Elle pose ses vêtements sur le fauteuil et retourne à sa place. Sa poitrine, en poires pas trop grosses, est superbe, elle est assez svelte et a une peau uniformément bronzée comme nous toutes. Son pubis est glabre, ses hanches lisses, ses fesses encore hautes et ronde et ses jambes superbes, c’est une belle femme qui a dut être un sacré canon.

Nous buvons l’apéritif dans la bonne humeur, Charlotte est aux petits soins avec moi, je suis aux petits soins avec elle. Olga nous regarde faire en s’amusant, je la sens heureuse de ce qui arrive, elle voit sa chère Charlotte heureuse, car Charlotte donne tous les signes d’une femme heureuse de ce qui lui arrive. Au bout de quelques temps, nous passons à table, le repas est assez vite expédié, je suis, comme Charlotte, très pressée de retourner dans sa chambre. Quand elle donne le signe du dodo, Olga nous dit de ne nous occuper de rien, elle s’en charge. Elle vient vers nous, nous embrasse sur les deux joues et nous fait signe de nous éloigner.

Allez, au lit les filles et surtout, faites-vous plaisir.

Charlotte me prend la main et m’entraine dans sa salle de bain.

Une petite douche s’impose.

Ok, mais à condition qu’elle soit crapuleuse.

Il va sans dire, mais tu dois m’apprendre.

Je suis ton « homme ».

Nous rigolons et arrivons dans salle de bain, Charlotte règle la douche qui nous accueille quelques secondes plus tard. Ses immenses cheveux mouillés collent à son dos jusqu’au bas de ses fesses épousant ses formes de rêve. Je me mets derrière elle, je ne peux m’empêcher de les caresser jusqu’aux fesses. Je m’attarde un peu sur ses fesses, je remonte le long de son dos sous ses cheveux, mes mains passent devant pour envelopper ses seins, les caresser, les soupeser, et lui titiller les tétons. Son bas ventre s’anime. Je me positionne devant elle, dépose un rapide baiser sur ses lèvres et commence une descente jusqu’à son pubis en embrassant tout ce que je trouve sous mes lèvres. Elles finissent par arriver sur son clitoris. Ma langue s’active dessus, plonge dans sa vulve pour la boire, c’est un mélange de cyprine et d’eau chaude, mais je la bois, j’ai envie d’elle, de son gout. Ses mains se posent sur ma tête au moment où elle se raidi.

MMMMMMMMMMM

Elle jouit en émettant toujours ce léger grondement. Je remonte le long de son corps jusqu’à ses lèvres, après un rapide baiser, c’est elle qui descend le long de mon corps. Elle embrasse tout ce qu’elle peut, me fait tourner pour s’occuper de mon dos et de mes fesses. Comme moi, elle finit sur mon clitoris et me fait jouir comme une folle. Nous sortons de la douche les jambes un peu molles. Il faut un quart d’heure pour sécher et démêler ses cheveux, je m’y attelle avec plaisir. Une fois dans le lit, nous nous enlaçons, nous voulons que nos corps se touchent, s’imbriquent, fusionnent. Je caresse ce merveilleux corps avec un immense plaisir, je sens qu’il en est de même pour elle.

Je suis heureuse, j’ai l’impression que cette fille est faite pour moi, sa manière de se comporter avec moi me montre qu’elle apprécie énormément les moments que nous passons ensemble. D’elle-même, elle pivote pour mettre sa tête entre mes cuisses et me présenter ses cuisses ouvertes. Nos bouches respectives se posent sur le sexe offert pour s’amuser avec. J’enlace ses fesses pour la maintenir contre ma bouche, elle en fait autant. Nos corps ne sont que vibrations, contorsions, ils sont à l’écoute des ondes qui montent en eux. Tout ça se termine par un superbe orgasme de ma part, très vite suivi par celui de Charlotte. Nous nous abreuvons longtemps de nos nectars d’amour, jusqu’à ce que les sources se tarissent. Nous nous remettons côte à côte, nous sommes épuisées, lessivées, liquéfiées. Il ne nous reste qu’une solution, dormir. Nous nous glissons dans les draps et nous endormons très rapidement dans les bras l’une de l’autre.

Le lendemain, très tôt, aux alentours de six heures, je suis réveillée par une drôle d’impression de mouillé. C’est Charlotte qui s’est glissée sous le drap et s’occupe de mon sexe avec sa langue, elle me lèche du périnée au clitoris. Je ne bouge pas, faisant semblant de dormir encore. Elle lèche, suce, mordille mon petit bouton, elle sait que je réagi, ma cyprine coule à flot, comme d’habitude. Mais je veux résister le plus longtemps possible, je sais que l’orgasme en sera que plus fort. Elle y met tellement de cur, que je fini pas céder et exploser dans un orgasme gigantesque. Je lui plaque vigoureusement la tête sur mon sexe en la ceinturant avec mes jambes. Elle insiste jusqu’à ce qu’elle sente mon corps se détendre. Quelques secondes plus tard, je la vois émerger de sous les draps un grand sourire aux lèvres.

J’ai gagné, c’est toi qui as joui la première aujourd’hui.

Elle se jette sur ma bouche pour échanger un magnifique baiser. Je la retourne sur le dos et me glisse sous les draps pour lui rendre la politesse. Au passage, j’en profite pour m’attarder un peu sur ses seins, son nombril, son pubis. Je finis sur son sexe déjà ruisselant de cyprine que je m’empresse de boire. C’est plus long que je ne pensais, cette fille a une résistance hors norme et peu retarder son orgasme assez longtemps, ce que, personnellement, je fais très difficilement. J’arrive à mes fins quand je la sens se raidi et pousser son petit grondement.

MMMMMMMMMMMMM.

Je sors des draps pour l’embrasser à mon tour. Une fois remises, je me tourne vers elle.

J’aime être réveillée de la sorte.

Je m’en souviendrais, mais il est tard, il faut aller travailler.

Nous nous précipitons vers la douche, Charlotte évite de mouiller ses cheveux, ce qui nous fait gagner un quart d’heure. Cela ne m’empêche pas de m’occuper de son minou pour la faire exploser de plaisir. Elle me rend la politesse en dehors de la douche. Après nous être maquillées, nous rejoignons Olga dans la salle à manger. Nous sommes nues, mais elle ne porte qu’un tee-shirt qui ne lui couvre même pas les fesses. Elle nous embrasse.

Alors les filles, mes oreilles m’ont dit que vous avez pris un encas ce matin ?

Nous nous regardons en souriant.

Oui, un excellent encas.

Parfait, Léa, comme je ne savais pas ce que tu aimes, je t’ai préparé un petit assortiment.

Il y a de tout sur la table, pain de mie grillé ou pas, pain grillé ou frais, céréales, beurre, confiture, margarine, petits gâteaux.

Je ne prends qu’un café avec du pain grillé et du beurre, c’est tout.

Je le saurais pour les prochaines fois.

Elle me regarde avec un sourire tendre. Je sais qu’elle souhaite que je revienne. Après le petit déjeuner nous allons nous habiller. J’avais amené des affaires de rechange, mais quand Charlotte a vu mon string, elle l’a sorti de mon sac. Elle me regarde en souriant.

Pas de ça dans mon service.

A vos ordres chef !!

Elle le jette dans mon sac. J’enfile donc ma jupe courte droite sur mes fesses nues et un corsage sans soutif. Elle fait de même. Nous allons chacune dans notre voiture au boulot. J’arrive deux minutes avant elle. Nous devons faire très attention, nous sommes dans un gros bourg, une relation entre femmes ne passerait pas, ici, une relation amoureuse ne peut exister qu’entre un homme et une femme. La matinée se passe normalement, toute personne nous voyant travailler ne peut soupçonner quoi que ce soit, le travail se fait comme avant à ceci près que quand j’apporte un document à faire valider par ma chef de service, une main vient flatter mes fesses ou titiller mon clitoris. J’ai même poussé le vice jusqu’à me pencher sur son bureau à côté d’elle, sa main m’a flatté les fesses, mais son pouce est venu titiller mon clitoris jusqu’à me faire jouir debout à côté d’elle. J’ai dû rester silencieuse, c’est dur. Ça ne peut se faire que dans un sens, mais comme je sais que ce soir, je pourrais me rattraper, ça ne me dérange pas, d’autant que c’est moi qui en tire le plus de plaisir.

A midi, nous déjeunons séparément, nous nous sommes promis de faire entrer dans les murs le fait de manger ensemble, étant du même service, mais il va falloir être patientes. Le soir, je passe par chez moi pour prendre quelques affaires, afin d’avoir de quoi me changer pendant quelques jours sans avoir à passer chez moi. Quand j’arrive vers dix-neuf heures, Olga est là, toujours en tee-shirt ultra court, elle m’ouvre et m’embrasse.

Tu vas bien ?

On ne peut mieux, tu sais, je suis heureuse, je crois avoir rencontrer la femme de ma vie.

Ça se voit, et je dois te dire que Charlotte est métamorphosée depuis hier, pourvu que ça dure.

Je vais tout faire pour.

Elle est sous la douche, vas-y, elle s’impatiente.

Je fonce.

Olga me regarde aller vers la douche en souriant, elle aussi est heureuse de ce qui se passe. Je fais valser ce que j’ai sur le dos et me jette sur elle ruisselante sous la cascade de la douche.

Tu es enfin là chérie ?

Mon cur explose, elle m’appelle chérie.

Oui mon amour, excuse-moi, mais le temps de prendre quelques affaires pour le week-end et le temps passe.

Nos bouches se soudent dans un long baiser. Nous nous caressons sous l’eau, nous nous embrassons, et, après un orgasme chacune, nous sortons de la douche ruisselantes et enlacées. Je la sèche, elle me sèche et nous finissons sur le lit. Je lui ouvre à peine les jambes, me glisse entre ses mollets et les embrasse. Je remonte doucement le long de ses jambes, je ne veux pas la faire jouir en me jetant sur son clitoris, je veux juste la gouter, sentir sa peau, l’embrasser, la lécher. Je remonte doucement vers le haut. Elle ondule du bassin, mais calmement, comme si elle avait compris ce que je désirais. Ma bouche dépose un baiser sur son clitoris mais s’éloigne tout de suite. Je la fais mettre sur le ventre et m’occupe de ses fesses que j’adore. Je les embrasse, les lèche, glisse ma langue entre elles. Le bout de ma langue effleure sa rondelle, elle à un sursaut.

Ah.

Tu aimes ma langue sur ta petite rondelle ?

C’est bon, recommence.

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