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Nice 1… Suite de Croisière – Chapitre 1




Elle avait préparé un magnifique… Poulet rôti… !!!

Mais quel poulet… rien à voir avec le bateau, accompagné de gratin de pommes de terre tomates et courgettes, pour finir avec une île flottante, qu’elle seule savait réussir aussi bien.

Repus après ce merveilleux repas, j’ai dû raconter tous les détails de cette croisière, avec les merveilleux sites que j’avais visités et contemplés. Heureusement que j’avais aussi profité à fond de l’aspect culturel de ce voyage, c’en était d’ailleurs le but initial, mais, j’avoue, je me sentais un peu gêné quand même. J’en avais eu plein les yeux… mais aussi, plein les trous… Plusieurs sexes d’hommes m’avaient perforé, troué, défoncé, s’étaient rependus dans moi, et j’avais aimé ça… Et surtout, surtout, j’avais trouvé mon homme… Un simple copain de classe à l’origine, sur lequel je fantasmais depuis si longtemps, et qui m’avait prise, qui avait fait de moi, pendant ce séjour, ce que je suis vraiment…

Nous avons passé la soirée en famille, j’ai donné à mes parents trois pellicules à faire développer (Eh oui… Pas de numérique à l’époque), et je me suis couché vers 23h, assez fatigué, mais en pensant que le lendemain, j’allais retrouver Patrick. Son corps me manquait, ses poils, son odeur de mâle, son sexe monstrueux… Il me tardait de le retrouver au Rouret…

Après un rapide petit-déjeuner pris avec ma mère, elle m’a complimenté sur ma forme, me trouvant beaucoup plus épanoui depuis mon retour de croisière. Elle m’a aussi informé que ce soir, ils allaient diner chez des amis et qu’ils rentreraient sans doute assez tard.

« Pas grave Maman, j’irai chez mon pote et je dormirai chez lui, ne t’inquiète pas… On est en vacances maintenant. »

Vers 14h je suis allé au café du Rouret, où j’ai vu Patrick qui m’attendait, dans sa splendeur de mâle bien provocant… Chemisette ouverte sur ses poils, bermuda moulant le paquet entre ses jambes et ses mollets velus apparents…

Un café vite absorbé et il m’a entrainé vers les immeubles

« Mon frère a un appartement qu’il n’occupe plus depuis qu’il est parti à Paris, mais il veut le garder et il le laisse à ma disposition… Viens… suis-moi »

J’ai suivi mon homme, sa main était déjà sur mes fesses et son sexe se frottait sur moi…

« Tu vas prendre Chéri… Suis hyper en manque… Tu peux rester jusqu’à quand ? »

« Toute la nuit, mes parents ne sont pas là et officiellement, je dors chez un pote »

« Génial… je veux te baiser comme un fou… !!! »

Ça me faisait drôle de revenir dans ce quartier, face à ce collège que j’avais fréquenté pendant quatre ans, et dans lequel j’avais rencontré le beau Patrick, dans ma classe de quatrième, et déjà si viril, si mec, faisant déjà, à cette époque, beaucoup plus homme que son âge, avec sa barbe drue et ses poils dépassant de partout. Inconsciemment, je crois que j’avais déjà flashé sur lui, et lui, bien qu’étant la coqueluche des filles, me regardait quand même d’un regard trouble et qui me fascinait.

Nos scolarités se sont séparées, moi j’étais au Lycée Masséna, et lui, au Parc Impérial, et je me retrouvais, quatre ans plus tard, après cette croisière, dans ce même quartier, retrouvant le garçon qui avait tant occupé mes jours et mes rêves.

J’étais avec lui maintenant, et je le suivais, tellement envie de le sentir sur moi, tout mon corps le réclamait, je n’attendais que ça depuis l’arrivée sur le quai de la Gare de Nice.

Nous sommes rentrés dans l’appart de son frère, un beau deux-pièces bien rangé… Patrick a filé à la cuisine nous préparer du thé, il savait que j’adorais ça, et s’est assis à mes côtés.

Je sentais ses odeurs de mâle, ces senteurs si belles, si merveilleuses, un concentré de testostérone et de phérormone masculine dont il en débordait, en l’embrassant partout, bouche sur son bermuda, j’humais ces effluves de son sexe qui avait mariné toute la journée dans ce slip trop petit pour contenir toute sa puissance.

Il est devenu fou tout d’un coup… Il m’a pris dans ses bras, m’a transporté jusqu’à la chambre, m’a jeté sur le lit et m’a déshabillé en quelques secondes…

Cuisses écartées, son sexe s’est enfoncé en moi brutalement, d’un seul coup… à m’en faire pleurer tellement c’était gros et brutal… A grands coups, ce membre énorme s’enfonçait dans moi, toujours plus fort, toujours plus profond… Cherchant son plaisir de mâle qui possède sa femelle, sans pitié… Son plaisir était fort, et j’ai pris le mien quand je l’ai senti se vider dans moi, à longs jets, comme s’il voulait enfoncer toujours plus loin dans moi, cherchant à vider sa semence au plus profond de mon être… Ce merveilleux nectar s’était rependu dans l’orifice de ses délices, mais aussi jusque dans mon cur et dans mon âme…

Repu, il s’est mis sur le dos, son membre encore semi-bandé, et il a pris ma main pour la poser sur son torse velu, avec ses poils humides, et ses lèvres se sont approchées de miennes…

« Pardonne-moi d’avoir été si violent, mais tu me manquais… vraiment… jamais, sur ce bateau, je n’aurais cru avoir autant de plaisir, me sentir aussi, épanoui, aussi libre, libre de faire l’amour autant que j’en ai envie et besoin… »

« J’attendais ce moment depuis si longtemps, Patrick… !!!! »

« Je sais… depuis la quatrième, non ? » Avec un regard mi-ironique, mi-amusé…

« Moi aussi je t’ai attendu, mais tu étais un peu jeune pour ça à cette époque… Je suis tellement content de t’avoir retrouvé… Tu es à moi maintenant, mais tu sais aussi ce que j’attends de toi… !!! »

« Je veux que tu sois à moi, mais que tu continues, ici, ce que tu as fait sur le bateau, avec Mario, les autres marins, les arabes… Tu as pris trop de plaisir, et je veux que ce soit pareil à Nice… Offre-toi à tous ceux à qui je vais te donner… Sans discussion aucune… OK ? Sinon, tu me perdras à jamais… !!!! C’est clair pour toi ? »

« C’est très clair Patrick… Tu es mon mec, et j’accepterai toujours ce que tu me demanderas »

« Alors, on va rester ensemble cet après-midi, j’ai trop envie de toi, et ce soir, on monte à Las Planas… Mes potes Ahmed, Karim et Mehdi ont trop envie de te connaitre… Je leur ai parlé de toi hier… Ils t’attendent avec impatience… Tu es bien libre toute la nuit ? »

« Oui » Dans un murmure, mais aussi dans une acceptation totale… !!!

En fin d’après-midi, après m’être offert à Patrick à plusieurs reprises avec un plaisir sans cesse renouvelé, son appétit me semblait insatiable, j’ai pris une douche en me rendant propre partout et nous sommes partis rejoindre ses potes.

J’avais super faim et Patrick s’est arrêté prendre des kebabs pour tout le monde, ce que je ne connais pas, peu répandus en ville, mais fort appétissant… Surtout à l’agneau pour moi.

Nous sommes arrivés chez ses potes, son âge à peu près… la vingtaine, et les bières étaient déjà sur la table… Pour ma part, je m’étais contenté de soda. La soirée a commencé de manière très sympa, en mangeant, même si je remarquais que les jeunes se touchaient fréquemment la queue, souvent chez les Arabes, mais que celles-ci grossissaient à vue d’il, surtout chez Mehdi.

Patrick est sorti, en discutant discrètement avec Mehdi auparavant, et ensuite, me laissant seul avec eux, assis entre Ahmed et Karim, Mehdi affalé sur le fauteuil en face de nous, avec une bosse énorme dans son short, qu’il entretenait à mains puissantes.

« Tu es là pour ça, non ?? Alors, fais ton job de salope comme nous l’a promis Patrick »

En quelques secondes je me suis trouvé à poil, ces trois Arabes aussi et leurs membres se sont présentés devant moi…

A Patrick, oui… Mais pas qu’à Patrick… J’avais bien compris la leçon, surtout quand le sexe de Medhi s’est enfoncé dans moi et que les deux autres se sont présentés devant ma bouche…

Oui Patrick… J’accepte…

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