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En pension chez tante Germaine – Chapitre 3




Fixant ma queue bandée à fond, tante me dit:

"- Tu ne peux pas rester comme ça… Ton pauvre zizi est tout congestionné… Tu dois avoir mal d’être trop longtemps dans cet état… Je vais faire le nécessaire si tu veux… Je vais t’apprendre…"

Si je voulais? Mais jen meurs denvie bien sûr… Je me réjouis déjà en pensant quelle allait me toucher la queue, sans doute me branler car je nai plus de doute sur ses intentions réelles envers moi. Je mimaginais ses doigts de femme mûre serrés sur mon manche, sa main coulissant dessus et venant me caresser le bout du gland… Mon érection se fit instantanément encore plus intense. Je suis si tendu que jai limpression que ma queue va exploser. Je me prépare mentalement à me faire branler par Germaine…

Finalement, je reste sur ma faim… Elle me regarde pourtant avec gourmandise. Ma queue est dressée entre mes jambes, un peu comme le mât dun voilier.

"- Cest vrai que tu es tout raide mon garçon!… Je vois même qu’elle pleure, ta bite…"

Elle venait dappuyer sans ménagement le bout de son doigt sur lextrême pointe de mon gland, là où la fente du méat laissait clairement apparaître une perle transparente… Ca n’a duré quune fraction de seconde mais, avant de retirer son doigt, elle avait tout de même effectué une légère petite rotation que jai trouvée très agréable.

"- Nous allons commencer par un peu d’anatomie… Cette partie là sappelle le gland… Quand tu es très bien avec une fille ou une femme, il sort complètement de la peau qui le recouvre et qui se nomme le prépuce… Cette peau va complètement en arrière, derrière le gros champignon que forme ton gland…. Ca ne fait pas mal mais c’est très sensible…."

Je trouve tout cela un peu technique . A mesure qu’elle parle, avec toute la douceur qu’une couturière peut mettre dans ses doigts, elle caresse délicatement les parties de mon intimité qu’elle décrit…Ce que Germaine me dit mexcite beaucoup… Jaurais voulu quelle me touche plus directement mais je crois qu’elle fait tout ce quelle peut pour me faire languir… J’en reste muet un moment… Puis jessaye de comparer la différence entre hommes et femmes:

"- Et chez les femmes, il y a aussi un gland et un prépuce?

— Oui, si on veut, ça ne sappelle pas pareil, mais cest un peu le même système.

— Il y a aussi ce drôle de liquide qui sen échappe…

— Non, cest différent! Une femme perd beaucoup plus de liquide. Dans ce cas là, on dit quelle mouille… On appelle ce liquide de la "cyprine". C’est compliqué à expliquer, mais c’est comme de la sueur qui sort des parois du vagin… Eh oui, c’est comme ça que s’appelle le "trou" que nous avons là… Ce liquide sert surtout à faire glisser la verge, la bitte, des garçons quand elle rentre dedans…

— Ah… Et cest comment alors?

— Veux-tu que je te montre? Je peux le faire mais tu me promets de juste regarder… Tu pourras toucher quand je te le dirai!

— Oui, comme tu veux, je veux savoir!"

Jen ai presque le souffle coupé. Je sens une veine qui bat dans ma queue. Je nose y croire. Elle allait me montrer l’intérieur de sa chatte… Elle écarte bien ses cuisses, demi assise en haut du lit, en face de moi, à seulement quelques dizaines de centimètres… Je la regarde avec ébahissement séparer les deux pans de sa fente… Cest tout son sexe qui mapparaît… Le spectacle est époustouflant… Cest un peu comme si des gros pétales de fleurs se trouvaient de part et dautre dun sillon plus sombre… Elle ne dit rien pendant quelques secondes, se contentant de me laisser détailler lapparition… Quand elle a repris la parole, ses mots parviennent à mes oreilles comme à travers le filtre dun nuage en coton:

"- Voilà comment une femme est faite! Tu vois, cest tout à fait autre chose que ton gros zizi qui se dresse.

— Oh oui, je vois bien, cest tout fripé et humide!

— Ca cest parce que tu mas bien embrassée tout à lheure. Ca fait gonfler mes seins mais aussi couler ma vulve. Et puis, si ces parties là, mes lèvres, sont si visibles et un peu " fripées", comme tu dis, cest parce que ça ma excité de sentir ta langue dedans… Elles ont gonflé, un peu comme ton zizi qui est devenu tout gros… Cest normal aussi… Tu vois, là en dessous, il y a un petit muscle qui se gonfle et devient très sensible quand on est, nous les femmes, très excitées. On peut le comparer à ton gland… C’est le clitoris… Il se cache sous les replis des petites lèvres. On peut les comparer au prépuce… "

Jétais estomaqué par tant de détails…

Jai quitté un instant des yeux son entrejambe pour la dévisager. Au moment où mon regard passait sur son buste, jai vu deux magnifiques ballons légèrement allongés, surmontés chacun dune longue tétine brune qui pointait. Elle a remarqué que je regardais ses nichons…

"- Petit coquin, tu regardes mes mamelles?… Elles timpressionnent?… Il ne faudra pas en vouloir à tes futures copines si elles nen ont pas daussi grosses que ça… Ce sont celles dune vieille femme qui a déjà vécu… Parfois, elles ont tendance à pousser avec lâge… Je dois dire que je suis assez fière des miennes!"

Il y avait de quoi… Ses deux miches étaient formidablement excitantes… Elles bandaient des tétons et je comprenais mieux pourquoi je les avais vus si distinctement sous le tissu, pourtant épais, du peignoir tout à lheure… Je ne sais pas ce qui ma pris, mais jai subitement été saisi dune envie irrésistible de les toucher… Sans lui demander son autorisation, jai levé la main vers son buste et jai effleuré lune après lautre les deux tétines qui me narguent effrontément. Elle na dabord rien dit… Alors je me suis enhardi et je les ai caressées dune manière plus directe… Elle avait renversé la tête en arrière et je lentends soupirer pendant que je lui masse les pointes des seins… Elle a tout de même tenté de me sermonner sans conviction :

"- Oh! Le vilain garçon qui touche les nichons de sa vieille tante!… Tu veux jouer avec les tétons de tatie? …Bon, je te laisse faire si ça te fait du bien! Mais rappelle-toi, c’est très délicat et fragile…"

Cest surtout à elle que ça fait du bien… Elle ne peut pas le cacher… De petits soupirs séchappent de ses lèvres à chaque fois que mon doigt vient tourner autour de ses belles tétines… Celles-ci semblent devenir un peu plus longues et raides à chaque fois que je les effleure… Je remarque aussi que tante serre et desserre ses cuises fébrilement… Bientôt, elle se met en tête de diriger mes gestes, sans doute pour plus defficacité. Elle se justifie tant bien que mal:

"- Après tout, tu peux aussi apprendre ça!… Les filles apprécient quon leur travaille les seins correctement… Tu es déjà doué pour un débutant… Continue à exciter les petits bouts qui se dressent!… Oui, comme ça, fais-les tourner délicatement mais pas trop!… Tu peux aussi tirer dessus… Fais une pince avec tes doigts et tire dessus maintenant, tords-les un peu, étire-les! Humm, oui, ouiiiii! Cest bien!"

Je ne voulais pas lui faire mal mais ça mexcite de lui obéir, au moins autant quelle-même. Je fais comme elle me dit et je vois bien quelle y trouve son compte… Moi, je bande de plus en plus… Je regarde son sexe, en baissant les yeux, et je vois quil est tout rouge et luisant, encore plus quavant. Elle gémit en savourant mes caresses…

Elle semble avoir oublié les bonnes résolutions qui sont les siennes… Jusque là, elle paraissait avoir tout fait pour ne pas laisser la tension, qui sétait établie entre nous, prendre des proportions qui pouvaient rendre la situation incontrôlable… Elle sest montrée prudente et attentive à ne pas me laisser me surexciter, même si elle ne peut pas ignorer la formidable érection qui se manifeste entre mes cuisses… Mais depuis que je lui tripote les nichons, le calme de façade quelle affichait avait bel et bien disparu… Elle sagite de plus en plus… Ses propos ont tendance à devenir de plus en plus décousus à mesure que jintensifie mes attouchements sur ses tétons… Par ses encouragements, je me sens pousser des ailes… Elle essaye quand même de reprendre ses esprits, mais le cur ny est plus… Les pulsions sexuelles qui la hantent prennent peu à peu le dessus sur la raison quelle voulait afficher.

"- Ouiiii …. continue mon chéri… caresse mes bouts! … Vas-y avec la langue maintenant, mets-la dessus, lèche-moi les pointes! Fais-la passer sur mes grosses tétines! … Aaaahh, que cest bon! … ta bouche! … donne-moi ta bouche, prends-les dans tes lèvres mon garçon! Lun après lautre! Suce, suce mes seins, tète mes gros tétons laiteux !"

Javais du mal à reconnaître en elle la femme si calme dans la journée… La découvrir si vicieuse, écouter ses suppliques si crues et si violentes me rendent comme fou… Sans men rendre vraiment compte, je laisse descendre ma main droite vers mon sexe toujours pointé et aussi raide… Jai commencé à mastiquer le manche… Jen avais trop besoin… Il fallait que je me branle si elle ne le faisait pas… Elle ne sen est pas aperçue tout de suite, mais après quelques secondes elle a remarqué que je me masturbais en lui suçant les nichons. Jai vu ses yeux qui roulaient comme des billes tellement elle était surprise de ma réaction…:

"- Oh le petit salaud, oh le petit cochon! Tu te branles, tu te touches la bite petit vicieux! Ca texcite de sucer les bouts de tatie Germaine? Oooh, continue encore, branle-toi, jaime te voir quand tu te touches. Ca me fait mouiller, je vais me toucher aussi, regarde, je vais me caresser pour toi!…"

Elle joint le geste à la parole de suite … Jai eu un peu de mal à trouver la bonne position pour continuer à la sucer tout en ne perdant pas une miette de ce quelle faisait. Baissant les yeux, j’assiste stupéfait au spectacle de ses doigts qui sont venus se fourrer juste entre ses cuisses. Prenant ses poils, elle tire sur ses grosses lèvres, les fait rouler lune sur lautre… Elle frotte violemment toute la surface de son sexe avec le plat de sa main… Je vois un doigt se glisser dans son sillon vulvaire, écartant sans ménagement les deux babines de sa chatte… Du jus déborde de part et dautre de lindex tandis quil sinsinue dans la fente vaginale… Un second doigt, son majeur cette fois-ci, suit le même chemin dans la foulée… Elle en reste là, pour linstant, mais ne se gêne pas pour continuer à me faire la leçon:

"- Regarde, regarde mon garçon, quand tu toucheras ta copine, cest comme cela quil faudra faire! … Observe bien comme je me touche, je me fourre les doigts dans la foune et je les fais bouger. Ah, aaahhh, cest pour toi que je me branle, tu me rends folle avec ta bouche!"

Je suis fier de moi… Je me masturbe de plus belle en la regardant faire. Je sens ses seins de plus en plus fermes contre mon visage, ses tétons de plus en plus longs dans ma bouche… Mes doigts filent sur la hampe de mon sexe toujours plus vite… Je suis près à jouir, déjà… Je tente de ralentir la cadence de mes caresses mais cétait très difficile de se retenir… Dautant plus que tante se lâche complètement… Elle semble être entrée en transe… Elle relève lune de ses jambes… Ses cuisses sont largement ouvertes et elle me présente son entrejambe comme jamais encore… Jentends les bruits que font ses doigts quand ils "malaxent" sa chatte… Ses propos sont de plus en plus outranciers:

"- Ah, mon petit salaud, tète, tète-moi bien!… Ah, tu vas me faire jouir avec ta bouche!… Ohhh, ça va venir, ça va venir Ah, je me fourre la chatte, huummmm, hummm, branle-toi, branle-toi encore! Tu sens, tu sens que ça vient?… Tu vas jouir aussi, mon petit chéri! Oui, oui, tu vas te vider les couilles sur ta tatie Germaine!"

Je suis en effet au bord de la jouissance… Mes lèvres ont du mal à rester en contact avec les mamelles de ma tante… Elle gigote tellement sur ce lit… Elle soulève son derrière en rythme avec les allers et retours de ses doigts dans sa moule juteuse. Elle est comme secouée de spasmes… Je sens mes couilles se contracter quand elle ma demandé une nouvelle fois de juter sur elle.

"- Viens, viens, inonde-moi, souille-moi avec ton bon jus de gamin! … Balance tout sur ta vieille tante! Je veux que tu craches ton foutre maintenant! Ah, vas-y! , vas-y! "

Il me faut encore quelques va-et-vient de mes doigts sur mon chibre pour quenfin il consente à se vider…. Jai cru que mon gland explosait tandis quil expulse en longues giclées le contenu de mes testicules trop pleins. Comme prévu, ma semence va sécraser sur le ventre de Germaine qui nen finit plus de gémir… Elle a son orgasme juste après moi, en hurlant quelle jouit… Ma bouche na pas quitté la tétine quelle suce jusquà ce que ma tante ait fini de sagiter… Ce nest que lorsque son corps a retrouvé un semblant de calme, après avoir été secoué dune manière qui me faisait presque un peu peur, que je me suis détaché delle et que jai pu contempler le résultat de mon plaisir… De larges traces de sperme sétalent sur son ventre et mon jus abondant coule dessous ses seins, vers son entrecuisse, dégouline sur ses doigts quelle a toujours plantés dans sa chatte… Des résidus de foutre sont également restés sur ma main… Je tiens fermement ma verge qui commence déjà à ramollir… Un frisson me parcourt le dos tandis que je détaille les effets de ma jouissance.

"- Ah, ah Tu as joui petit cochon, tu tes vidé sur moi! Et puis tu as fait jouir ta bonne tante avec ton comportement de puceau vicieux et ta bouche de pervers… Cétait bon… cétait trop bon!… Laisse-moi respirer… Je ne suis plus toute jeune!…

Je me suis allongé à côté d’elle…Elle sest enfoncée dans le lit et elle a fermé les yeux un moment… Quelques dizaines de secondes ont passé durant lesquelles je me suis senti de plus en plus confus. Mon excitation disparait aussi vite quelle était venue et je commence à me demander qu’elle serait la suite des évènements… Germaine semble y avoir déjà réfléchi…

Ayant retrouvé ses esprits, elle madresse une nouvelle fois la parole. Ses propos sont encore un peu hachés, ponctués de soupirs censés lui permettre de reprendre sa respiration:

"- Viens mon garçon viens entre mes genoux un moment! Ah Viens près de moi et donne-moi ta main! Oh Tu es fort et vigoureux… Tu as vu tout le bon jus que tu mas envoyé sur le ventre?… Là, tu le sens?…"

Elle me serre fortement la main et me fait passer mes doigts sur son ventre… Ils baignent dans mon propre sperme… Mon désir étant temporairement retombé, je trouve ça un peu sale mais je nai pas lintention de la contrarier. Je supporte tant bien que mal ce contact peu agréable avec mon foutre déjà refroidi, plus pour lui faire plaisir quautre chose. Elle continue à délirer:

"- Ca cest du bon sirop!.. Tatie Germaine est contente den profiter, tu sais?… Il coule jusque sur ma chatte, tu as vu?… Regarde, là, il y en a même sur ma fente, il coule sur mes doigts. Etale-le, mets-en partout!"

Je nai rien à faire… Cest elle qui sen charge, avec mes propres doigts… Elle les guide jusquà ce quils "tartinent" mon sperme partout où elle le désire. Si bien quà la fin, il ny en a plus uniquement sur son ventre, mais aussi sur son pubis, autour et sur son sexe et même à lintérieur de ses cuisses.

— Tu sais, ça ma fait très plaisir de voir que tu masturbais ton gros zizi rien que pour moi. Je suis touchée et jaimerai vraiment te remercier pour ça."

Ca me fait un drôle deffet… Je trouve tante de plus en plus vicieuse et je me demande bien où ses caprices vont nous mener… Je trouve les gestes quelle fait à la fois très excitants et équivoques… Je décide dentrer complètement dans son jeu et mexécute aussitôt… Je me suis retrouvé face à son ventre. Elle tend son bras vers mes jambes pour prendre ma queue pendante et la caresser… Son autre main me massait littéralement les couilles…

Jai jeté mes doigts en avant pour effleurer sa chatte qui me faisait tellement envie et quelle mautorise enfin à tripoter à nouveau sans son aide.

Jai enduit mon index et mon majeur de salive puis jai commencé à la branler en lui frôlant dabord la vulve avant de pénétrer plus avant dans son étui… Mes doigts sont entrés sans difficulté à lintérieur delle… Jai été étonné de my trouver si à laise et jai tout de suite mis lannulaire dedans en plus… Ca lui a arraché un gémissement presque animal… Jétais content de moi et de mon initiative… Jai tout de suite fait bouger mes phalanges à lintérieur de son ventre et tante sest mise à se déhancher en redoublant dardeur avec sa main sur ma pine… Nous nous sommes masturbés réciproquement comme ça pendant plusieurs minutes… mais je voyais bien quelle avait de plus en plus de mal à tenir… Ses cuisses grandes ouvertes, jai continué à la masturber tandis quelle sacharnait sur ma queue… Ses propos étaient une nouvelle fois très décousus et ponctués de soupirs, de râles et de gémissements:

"- Ah oui, caresse-moi comme ça, avec le bout des doigts, touche-moi là, ça me fait du bien!… Tu sens sous ton pouce mon bouton qui gonfle?… Masse-le, tourne autour… Vas-y encore, continue, ne tarrête pas Hum, hum, oui Oui! " Puis, redoublant d’ardeur sur ma bite se raidissant:

" – Là, sur le gland? C’est sensible mon petit?… Tu aimes quand ta tante te tripote le zizi?… Alors continue aussi si tu veux que ça dure! Fourre-moi tes doigts bien au fond de la foune! Ahhh, ooohhh, ouiiiiiii Gratte-moi le vagin, remplis-moi avec ta main! Hhuuuu, aaaahhhhhh. Oui, oui vas-y, fais comme je te fais, caresse-moi le trou!"

Je la masse comme elle le réclame… Ca me donne tant de plaisir qu’avec ses caresses, mon chibre retrouve son ardeur perdue… Nos corps avaient peu à peu glissé sous leffet conjoint de nos mouvements désordonnés et de notre désir grandissant… Tante sest mise à pivoter pour mieux me toucher… Nous nous sommes rapidement retrouvés tête-bêche… Javais une vue imprenable sur la fourche de ses cuisses et sur lexcitant spectacle de mes doigts qui lui remplissaient la chatte. Je men suis délecté. Le jus qui séchappe de son sexe par tous les côtés me rend fou… Je le regarde couler à chaque fois que mes doigts senfoncent pour pistonner son trou. Avec mon autre main, je lui lutine le clitoris en essayant dêtre aussi efficace quelle-même. Ca a lair de marcher car elle gigote de plus en plus au fur et à mesure que mes attouchements se font plus précis.

Elle ne me délaisse pas pour autant… Sa bouche vient rapidement prêter son concours à sa main qui me branle … (Cétait inévitable dans la position dans laquelle nous nous trouvions). Au début, je nai pas compris ce quil marrivait. Je sentais quelque chose de plus chaud et humide que ses doigts se poser sur mon gland. Cest seulement lorsquelle a mis sa langue sur ma pointe que jai réalisé quil sagissait de sa bouche… Ses doigts continuaient toujours à me masturber le manche et les couilles.

Elle a essayé de me parler malgré tout. Je nentendais et ne comprenais pas très bien tout ce quelle me disait car elle avait la bouche pleine de mon gland :

"- Hmmm, hmmm Elle est bonne ta pine mon petit!… Ohhh, la bonne sucette! Hmmm, tu sens ma langue? Ahhhh!…"

Bien sûr que je la sentais! Jai commencé à bouger mon bassin pour lui baiser la bouche et accompagner sa succion délicieuse. Cest là quelle a collé son ventre encore plus près de mon visage. Je crois quelle réclame que je lui fasse la même chose ou à peu près… Je nai pas pu résister à lenvie de frotter mes lèvres sur ses grosses babines… Jai sorti mes doigts de son trou et jai plaqué ma bouche sur sa fente… J’ai aspiré son clitoris entre mes lèvres et l’ai caressé avec la langue… Quand elle la remarqué, tante s’est écriée:

"- Oh, mon petit chéri, oui, fais-moi ça!.. Bouffes-moi la chatte si tu veux que je continue à te pomper… Vas-y, vas-y, lèches-moi la vulve, bois mon jus! Tètes mon bouton!… Fais-le exploser…"

Cest déjà ce que jétais en train de faire… Je mabreuve à sa source sans pudeur. Ce n’était pas la première fois que je buvais du nectar de femme*… Je trouve ça plutôt agréable… De toute façon, jétais si excité que je crois bien que jaurai pu boire nimporte quoi… Mes lèvres forment comme une ventouse sur son calice et sa mouille se déverse presque sans interruption dans mon gosier… Je suis contraint davaler le mélange de salive et de jus qui me remplissent les joues. Entre mes jambes, je suis en train de perdre totalement le contrôle de mes émotions. Heureusement, Germaine sen aperçoit… Elle relâche un peu la pression quelle exerce sur mon membre turgide… Je crois bien quelle ne veut pas me faire jouir, pas tout de suite. Pendant quelques minutes, elle sest presque contentée de me laisser lui lécher le con, tout en veillant cependant à maintenir en moi un état dexcitation suffisant par de savantes caresses qui trahissaient une expérience solide en la matière.

Jétais heureux de pouvoir me régaler ainsi à sa source. Elle mencourageait de temps en temps, quand elle ne me pompait pas le sexe:

"- Hum, vas-y mon petit, passes ta langue sur ma fente ! Ah, lèches la chatte de ta vieille tante! Cest bon, oui, comme ça! Tu es doué pour un jeune puceau. Cest bien, ouiii

Je faisais de mon mieux pour ne pas laisser la moindre parcelle de sa vulve vierge de mes caresses. Je lui léchais les grandes lèvres à grands coups de langue et jinsinuais de temps à autre le bout de mon muscle dans son trou…

"- Tu me bouffes la moule! Oh, petit cochon, oui, mordilles-moi, mords mes lèvres, suces-les avec ta bouche! Aaaahhhh, vicieux, petit pervers! Ce que cest bon! Attends, je vais encore te pomper la bite pour te remercier!"

Elle est revenue sur ma queue et elle a englouti mon gland dans sa bouche. Jétais raide comme jamais. Mes couilles, quelle serrait dans sa main, étaient lourdes et tendues à craquer. Elle a fini par sen apercevoir et elle ma fait une proposition que je ne pouvais pas refuser:

— Ca suffit maintenant, je nen peux plus! Il faut que tu me prennes, jai assez joué! Je veux ton gros zizi dans mon ventre, je veux que tu me fourres. Viens, viens, grimpe-moi dessus!"

Elle tenait encore ma bite entre ses doigts et cherchait à mattirer vers elle. Jétais au maximum de mon excitation. Je nai pas réfléchi et je suis allé me mettre entre ses jambes. Elle tirait sur mon sexe pour le faire entrer dans son trou. Son visage était déformé par le désir quelle avait de se faire baiser:

"- Viens je te dis, prends-moi maintenant!.. Baise-moi bien à fond avec ton gros manche!.. Je veux te sentir dans moi mon chéri. Nique-moi, nique-moi tout de suite!…"

Jai poussé mes hanches en avant et jai fait entrer mon gland tout rouge dans la gaine de son sexe. Cétait chaud et incroyablement humide. Javais limpression de baigner dans son jus. Jamais encore je navais ressenti une impression de plénitude aussi complète que celle qui memplit quand je suis enfin logé complètement dans sa grotte.

"- Bouge maintenant, défonce-moi avec ta grosse pine!… Ahhhh! Ahh h, ouiiii, comme ça, bien à fond dans mon trou!"

Germaine na plus rien de la tante aguicheuse dont elle jouait le rôle jusquà présent… Cest une femelle en chaleur qui me provoque maintenant… Elle réclame son dû, mimplore de la prendre en force… Elle me fait presque un peu peur… Convaincu de mon inexpérience, je nétais pas totalement rassuré quant à ma capacité à la satisfaire… D’un côté, ce nétait pas plus mal… Mes hésitations mont permis de ne pas finir trop vite ce que je viens de commencer…. Mon excitation est remontée bien vite en raison du comportement presque bestial de ma partenaire…

Elle se trémousse pour faire coulisser le manchon de son sexe sur ma tige dure comme du fer… Elle doit trouver que je ne me montre pas assez dynamique… Elle me le fit savoir bruyamment:

— Allez!… fourres-moi, limes-moi la chatte !… Ramones-moi le minou à grands coups de queue!…"

Ces invectives mexcitent… Je suis aussi raide quavant… Je la défonce copieusement, comme elle lexige. Jadore sentir mon gland buter au fond de sa caverne… Je la pistonne si bien quau bout du compte, cest elle qui me fait comprendre que je dois ralentir la cadence… Elle me bloque avec ses mains tendues en avant appuyées sur lavant de mes hanches. Je ne sais plus où jen suis ni ce quelle veut vraiment… Heureusement, elle nest pas avare de commentaires:

— Je veux que tu me prennes longtemps,… Pas que ce soit bâclé!… Cest ta première fois, tu dois te retenir un peu parce que je veux jouir avec toi… Viens, on va changer de position!… Laisse-moi faire!"

Elle me fait sortir delle rapidement… Je regarde ma verge, toute luisante de sa mouille sextirper de son sexe. Mon gland est tout gros et trempé de son jus… Germaine se redresse, se met à quatre pattes… Elle me présentait ses fesses… Jai dabord pensé quelle voulait que je lencule… Jai même paniqué un peu en avançant le bout de ma pine vers son derrière… Elle me sauve du ridicule en venant chercher mon nud avec sa main quelle venait de passer entre ses jambes… Ses genoux sont largement écartés, ses reins creusés pour mieux se cambrer.

"- Penche-toi, regarde ma chatte par derrière! Tu la vois, tu vois ses grosses babines un peu pendantes qui sécartent pour touvrir le passage? Alors viens y mettre ton zizi, viens le remettre dedans et fais claquer ton petit ventre contre mes fesses en me baisant ! Je suis ta vieille tante et tu vas me baiser jusquà ce que je jouisse!

Vous imaginez sans peine létat dans lequel je me trouve en lécoutant. Dautant plus quelle ma tiré en elle sans ménagement. Je suis retourné dans son ventre qui ma avalé immédiatement. Comme son pubis tout à lheure, cest son cul qui est venu à ma rencontre et qui a commencé à rythmer la cadence de mes coups de pilon. Cest encore plus formidable quavant. Dans cette position, la pénétration est plus profonde et je me sens vraiment bien dans le conduit que je ramone. Mes couilles, bien que très contractées, se balancent sous mon engin au rythme des allers et retours de ma verge dans le vagin de Germaine.

Plus je la baise fort et plus elle gigote, tortillant son cul dans tous les sens pour que je fouille tout le volume de son trou. Sa tête est écrasée contre l’oreiller et son crâne frotte contre la tête du lit. Elle tourne le visage sur le côté et je peux voir les grimaces de plaisir qui le déforment à chaque fois que je replonge mon membre en elle… Une idée vicieuse me vient à lesprit… je la met en pratique aussitôt. Tante s’écrie:

"- Oh le salaud, voilà quil me touche de nouveau le cul!… Il me caresse le fion!… Quel obsédé tu fais pour un puceau!… Mais vas-y, ne te gêne pas, caresse-moi le trou du cul, tu le fais si bien!… Mouille ton doigt dabord et fais-le rouler sur mon anus! Ah, oui, comme ça, tout autour, encore ooohhh!

Ca me fait bizarre de sucer mon doigt juste après le lui avoir passé sur la rondelle. Mais je suis bien trop chaud pour moffusquer de sa demande… Je suis déjà en train de lui évaser la rondelle et je sens quelle nespère quune chose: que je lui enfonce mon doigt bien profondément dans le derrière! Alors je le fais sans le moindre scrupule… Je continue à la baiser tout en lui taraudant les boyaux avec mon index.

Germaine crie comme une bête… Elle souvre les fesses avec les mains et jure quelle navait jamais été aussi comblée. Je veux bien la croire et jen suis fier… Cétait la première fois que je vois tante dans cet état et jy ai droit pour mon dépucelage avec cette femme mûre…. Je nai pas pu soutenir ce rythme bien longtemps. Subitement, un grand flash me traverse le ventre et je jute dans Germaine qui, dès quelle a senti que ça venait, a serré très fort son cul contre moi… Elle sest mise à hurler que je la faisais jouir… Elle a été prise de spasmes violents… Elle est complètement agitée sur ses genoux, finit par s’allonger, mentraînant dans sa descente… Nous nous sommes retrouvés côte à côté… Elle souffle très fort et jai un peu peur quelle n’ait présumé de ses forces… Le calme revient en elle lentement… Je reste tout contre son dos pendant tout le temps où ma queue a débandé… Elle est sortie toute seule de la chatte de mon initiatrice… Alors celle-ci sest tournée vers moi et ma adressé la parole:

"- Quest-ce que tu mas mis petit vicieux! Je crois quon va bien sentendre tous les deux… Jai encore beaucoup à tapprendre, si tu veux…"

— Bien sûr que je veux apprendre, tante…

— Allons nous laver et dormir… Demain sera un autre jour…"

A suivre

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