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Dilemme 2 – Chapitre 2




Le moment où tout a basculé.

Avant de rentrer, je passe par le fleuriste, c’est en principe un bon moyen pour arrondir les angles quand il y a un problème, anxieux, j’introduis la clé tout doucement sans faire de bruit et entre dans mon appartement, hum cela sent drôlement bon, Maman s’est donnée au moins de ce point de vue, reste à voir pour justement le reste.

Silencieusement, je vais à la cuisine et elle est très affairée devant la cuisinière, une cuillère en bois dans la main, les lunettes sur le bout du nez, brassant une sauce que j’estime à l’aneth. Je me place derrière elle et je mets mes mains sous sa jupe et constate que les fesses sont à l’air libre. Ainsi Maman a sauté le pas. Elle se retourne avec un sourire merveilleux.

Alors mon chéri, tout s’est bien passé. Tu as vu, je t’ai obéi et à ce moment, elle me met les bras au tour du cou en me tendant ses lèvres.

Là, je ne peux plus reculer, il faut que j’assume et je prends sa bouche à la recherche de sa langue, elle a un peu le goût de l’aneth. Sans plus de considération, je saisis ses seins, depuis le temps que je rêvais de les refaire miens, en fait depuis le sevrage.

La coquine, elle commence à me caresser la braguette, je sens que les préliminaires vont être courts à mon tour, je mets ma main sous sa jupe pour arriver sur son entrejambe qui ressemble à un marécage moite et agréablement parfumé, un mélange de violette et de mouille.

Le repas de midi peut encore un moment attendre, je vais mettre les plaques sur minimum pour qu’il se finisse lentement, puis allons dans la chambre, cette situation a boosté ma libido, il te faut maintenant la calmer.

Elle commence sans attendre plus à me défaire la cravate, la veste, la chemise puis elle commence à m’embrasser le torse tout en me descendant le pantalon, et accrochant mon slip avec l’index, décolle mon sexe bandé comme jamais. Avec convoitise, elle me regarde nu comme au premier jour, et à son tour, elle se débarrasse de sa robe et se présente à son tour nue, il n’y a rien à jeter, elle est encore magnifique ma chère mère. Comme elle ne s’en doutait pas à l’avance, elle n’a pas passé chez l’esthéticienne pour se faire épiler et c’est une forêt bien fournie qui me cache l’objet de mon désir.

Je me sens devenir soudard et mes appréhensions s’évanouissent.

Viens, mon chéri, je suis impatiente de t’avoir en moi, je vois que tu es fin prêt aussi.

Sans attendre, le vit impatient d’en découdre, la chantilly au bord de la coupe, d’un coup majestueux, j’introduis ma gaule dans son antre.

Mais il y a toujours un mais, je suis tellement excité qu’après 2 aller et retour, la chantilly déborde de la coupe et je me vide complètement.

Mais qu’est-ce que tu fais, je ne savais pas que j’avais un fils EP. Enfin, je suppose que c’est l’émotion, mais maintenant qu’on a consommé, il faut aller jusqu’au bout, ma minette souhaiterait un service plus complet et non pas bâclé.

Mais mère, sois compréhensive, ce moment, cela fait depuis l’adolescence que je l’attends, tu t’imagines ce que j’ai accumulé comme réserve. C’est normal que quand je touche à ce robinet, la pression fait tout éclater.

En attendant, je ne t’empêche pas de venir me faire le gazon, il a besoin d’une brebis égarée qui vienne le brouter.

Merde, en voyant ce que je lui ai envoyé, combiné à la vue de la vulve de la femme qui venait d’accoucher, j’ai de la peine à envisager de me garnir les dents de poils, surtout que mon ex est partie avec la pince à épiler les dents. etc.

Tu ne veux pas plutôt t’occuper de mon thermomètre pour te faire monter la pression, fais donc une prise de température buccale.

Si tu veux et cela fait depuis ce matin que je rêve de ce plat d’une nouille.

Apparemment, de goûter sa propre mouille n’a pas l’air de la rebuter, cela ouvre d’intéressantes perspectives en supposant qu’il en est de même pour toutes les mouilles féminines. Sachant qu’Aurélie avait eu plusieurs aventures féminines avant que nous soyons ensemble, je les voyais bien en train de se brouter le gazon, quoiqu’avec Aurélie, c’est plus dur, vu qu’elle s’épile la place de jeu, par prévenance pour ses partenaires, pour pas qu’ils passent leur temps à s’épiler les dents.

Je ne sais si elle est aussi bonne avec les femmes, mais sa sucette, c’est du délire. La meilleure turlute que je n’ai jamais eue, j’admets qu’elle pourrait donner des leçons à mon ancienne. Mes corps creux devant une telle science ne peuvent s’empêcher de se gonfler, se gonfler pas seulement d’importance, mais de fierté mal à propos …

Eh ! Bien mon chéri, je crois que maintenant, tu dois être prêt à m’honorer, enfin plutôt à honorer le trou qui t’a vu naître.

Sans attendre, je la place sur le dos, relève ses jambes sur mes épaules et m’enfonce à nouveau avec délice dans sa motte. Heureusement que je viens de me vider les burnes, sinon, à nouveau, ce serait le déluge. Furieusement, je me démène sur son puits d’amour tout en prenant ses seins en main.

Les tours montent, mère apprécie de plus en plus mon intrusion brutale dans son tabernacle.

Enfin, je vais pouvoir me payer un bon orgasme, continue, laboure profond et bourre bien fort. Oui encore et ensemble, on orgasmise superbement quand subitement, il y a la sonnette d’entrée qui sonne.

M… rde, qui cela peut être, on ne peut même pas être tranquille pour baiser ?

Reste là mon chéri, je vais voir.

Juste devant la porte, il y a Aurélie qui insiste sur la sonnette.

Tu veux quoi ?

J’ai oublié ma carte bleue et j’en ai besoin.

OK rentre, dis-je, sans contrôler si mère a eu le temps d’avoir une tenue présentable et ce n’est pas le cas, c’est vraiment à poil qu’elle accueille son ancienne rivale, pour lui clouer définitivement le clou.

Bien mon cochon, tu n’as pas attendu longtemps pour me remplacer, mais quand même, pas trop à mon avantage, ta mère.

Maintenant, c’est mon problème, elle m’a dit qu’elle était capable de te remplacer et je dois dire que l’essai est concluant.

C’est vrai que vue à poil, on peut dire qu’elle est bien conservée, si au moins elle n’était pas si méchante avec notre couple.

Je crois pouvoir affirmer que c’est de l’histoire ancienne et si tu veux qu’on continue ensemble, on pourrait le faire à trois en complices plus qu’en concurrents, quand j’ai vu le plaisir qu’elle prenait en me suçant le jonc plein de ses sucs intimes, je vais penser qu’elle aime le jus de femme aussi. T’en penses quoi mère ?

J’ai abandonné tous mes principes et je ferais tout pour toi, tu le sais bien.

Pour moi, je le sais, mais qu’en est-il d’Aurélie, es-tu toujours jalouse d’elle ? Je te rappelle que je t’ai demandé la reddition sans condition.

Je croyais que tu l’avais compris, même si tu me demandes de faire l’amour avec Aurélie, je le ferai.

Avec plaisir ou par obligation ?

Je crois que ce serait avec plaisir, on a perdu tellement de temps à se battre que ce ne sera pas de trop de se rattraper à se fondre ensemble.

Je suis indécis sur la suite à donner, quelques remarques à propos seraient les bienvenues.

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