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Belle-mère exhibitionniste et beau-fils voyeur – Chapitre 2




— Ben oui, je regardais un film sur internet. Je ne t’ai pas entendu rentrer car j’avais les écouteurs, sinon je serais descendu te dire bonjour.

— Ah ! Ok ! C’est pas grave. Je vais malheureusement me coucher, je me lève de nouveau tôt demain matin. On se voit demain soir ?

— Oui, pas de problème. Bonne nuit

— Bonne nuit

Et il ferma la porte

Quand je lui dis que j’avais les écouteurs, il sembla être libéré d’un grand poids et après avoir feint d’être descendu, je rejoignis rapidement ma chambre pour voir ce qui se passait dans la leur.

Mon père se disputait avec Louise sur le fait qu’elle devait savoir ma présence et que malgré tout, elle lui avait donné les signes du contraire. Qu’en plus, heureusement que j’avais des écouteurs car sinon, j’aurais pu les entendre voire les surprendre.

Louise faisait un air façon « chatte potée » lui spécifiant que je l’aurais informé de mon matage de film avec les écouteurs et que cela l’avait excitée de savoir que j’aurais pu les surprendre. Mon père en resta bouche bée de cette révélation. Il avoua lui-même qu’il l’avait trouvé plus « accueillante » que d’habitude et qu’il l’avait rarement vu jouir aussi rapidement. Elle continua ainsi :

— Tu sais que l’on s’est juré de toujours tout se dire sur les désirs sexuels que l’on pourrait avoir. L’autre jour, je me suis branlé avec un gode dans le salon en espérant qu’une seule chose, c’est qu’il me surprenne. J’ai joui ce jour-là comme rarement en solitaire. Le temps de me rafraichir, il avait trouvé le gode que j’avais laissé sur la table. Il n’a même pas cherché à me faire du rentre-dedans. Tu connais mes goûts d’exhibitionniste. Savoir que cela pourrait être ton fils qui nous mate décuple mon plaisir.

— Tu sais que tu parles de mon fils là ?? Et s’il interprétait mal ? Et s’il te sautait dessus prenant ça pour une invitation sans équivoque ??

— Rassure-toi, je crois que s’il avait voulu le faire, ça fait longtemps que cela se serait fait. Il a trop de respect pour toi pour ne pas baiser sa belle-mère. J’ai déjà acté d’autres provocations pour lesquelles il n’a même pas moufté. Tu peux lui faire confiance.

Elle se rapprocha de lui.

— Laisse-moi jouer encore avec lui. Susurra-t-elle.

— Je te promets que ça n’ira jamais trop loin. Avant de l’embrasser à pleine bouche.

Sa main passa rapidement sous la ceinture et emprisonna le sexe de mon père à travers le tissu. Très vite celui-ci pris des mesures plus qu’encourageant et Louise s’empressa de libérer l’engin de sa prison. Puis elle se baissa et se remit à pomper mon père. Je ne sais si elle faisait ça très bien ou bien la perspective de me voir interférer dans leurs jeux amoureux l’émoustillait lui aussi, en tout cas, Louise ne mit pas longtemps à se reprendre une giclée en bouche qu’elle tenta de garder même si elle n’y parvint pas entièrement. Elle avala cependant ce qu’elle put avant de nettoyer le chibre puis alla prendre une douche suivie de peu par mon père.

Ils se couchèrent ensuite et rien ne vint perturber le reste de leur nuit. Ainsi, c’était ça son jeu ? De la provoc exhibitionniste ? Si elle savait que pour de l’exhib, je n’avais rien manqué de sa soirée… J’éteins tout et parti me coucher moi aussi. Je ne savais pas ce qu’allait donner ces prochains jours, mais si elle voulait du répondant, elle aurait du répondant…

Rien ne se passa les deux jours suivants. Je continuais de chercher mon taf et sinon, je matais ce que faisait Louise mais la séance de l’avant-veille avait dû calmer sa libido. A moins que les paroles de mon père ne l’eussent fait réfléchir.

Je gambergeais et finis par décider de jouer à mon tour à la provoc. Peut-être cela l’incitera à se décoincer de nouveau. Je pris alors mon mal en patience ne sachant pas, malgré tout, comment faire.

Louise sortit l’après-midi. Peut-être pour du shopping. Alors je décidais d’aller visiter leur chambre. J’ouvris d’abord ses tiroirs de sa commode. Le second était rempli de sa lingerie. Certes quelques basiques, mais la plupart affriolante. Une ou deux culottes avait des ouvertures à l’entrejambe comme les soutiens-gorges assortis. D’autres en dentelle transparente ne devaient rien dissimuler. Une ou deux étaient en soie (ou apparenté). Le contact de celles-ci me fit un petit quelque chose et alors me vint une idée. Je décidais de me branler dedans et, la douceur du tissu aidant, je giclais sur le fond rapidement, un paquet volumineux de sperme. Je fis attention de ne pas déborder et de replier tant bien que mal cette culotte que je reposais sur le dessus. Que répondra-t-elle à cette provocation ?

Puis je continuais mon inspection. Je m’approchais de sa table de nuit et ouvrit la porte. Je venais de découvrir une petite caverne d’Ali Baba. Quatre ou cinq godes et sex toys s’exposaient de taille et fonction différentes apparemment. D’autres jouets tels que des menottes, gel, boules de geisha étaient aussi présents.

Eh bien, mon père ne devait pas s’ennuyer…

Je continuais mon inspection et ouvrit la table de nuit de mon père. Je trouvais trois ou quatre clés USB parmi d’autres affaires. Intrigué, j’allumais leur télé et inséra la clé dans l’appareil relié puis enclencha la télécommande. Quatre ou cinq fichiers datés s’y trouvaient de format vidéo. Un de ces fichiers avait la date de leur mariage. Je décidai de l’ouvrir.

Je reculais d’un bon de peur et de surprise. Le visage de mon père apparut en gros plan. Je compris que le début était la mise en place de la caméra. Puis il s’éclipsa et l’appareil se cala en netteté sur le reste de la pièce. Il s’agissait d’une chambre. D’hôtel apparemment car je ne reconnus pas celle-ci. Apparut alors Louise. Elle était vêtue de sa robe de mariée. Puis mon père derrière elle. Il avait aussi son costume de mariage. Il tenait en plus de la caméra mise en place juste avant une autre caméra style caméscope mais avec une lumière qui éclairait juste le devant.

Je n’en revenais pas, mon père avait filmé leur nuit de noces !!

Ils commencèrent par s’enlacer et se caresser. Très vite Louise se baissa, ouvrit la braguette du pantalon pour en extirper la tige rigide qu’elle s’empressa de mettre en bouche. Mon père posa sa main libre sur sa tête et lui indiqua le rythme à suivre. De temps en temps, elle reculait pour prendre sa respiration avant que mon père ne la force à poursuivre. Puis, il la redressa et la fit basculer sur le lit. Puis, il remonta la robe de la mariée avant d’engouffrer sa tête en dessous. Dans cette position, le bustier tendu ne tint pas longtemps et les seins de Louise firent leurs apparitions et elle s’empressa de les malaxer à pleines mains. Elle commença à geindre et à haleter de plus en plus vite.

On ne voyait pas mon père noyé dans les froufrous de la robe mais il avait l’air de savoir y faire car Louise se tendit bientôt dans un premier orgasme. Quand elle fut calmée, mon père se redressa ainsi que Louise qui se trouva ainsi en position assise au bord du lit et je vis quelque chose que je n’avais jamais vu… Alors que je voyais mon père représenter sa verge à la bouche de Louise, celle-ci redressa ses seins avec ses mains comme pour recevoir sa première giclée mais ce qui sortit ne fut pas du sperme…

En continuant de filmer d’une main, mon père commença à lui uriner dessus. Elle avait la bouche ouverte et mon père lui pissait directement dedans. Le trop-plein sortait et venait éclabousser ses seins. Puis mon père leva son sexe et le liquide se rependit dans la belle chevelure. Louise dodelinait de la tête pour que le liquide se répartisse sur l’ensemble de ses cheveux. Il se recula ensuite pour arroser directement le buste généreux de Louise ainsi que sa robe.

Je n’en revenais pas. Louise s’amusait avec le liquide légèrement doré qui lui coulait dessus. Cela sembla interminable. Mon père avait dû se retenir toute la soirée, ce n’était pas possible autrement. Il pissait maintenant directement sur le bas de la robe avant de remonter. Louise sentant la fin approcher se dépêcha de prendre en bouche le peu qui restait à couler et chose encore plus incroyable que tout cela, elle avala en deux gorgées la fin du jet en le regardant droit dans les yeux (ou ceux du caméscope). Puis elle prit en bouche le sexe toujours durci comme pour le nettoyer.

Mon père n’attendit pas longtemps. Il la redressa pour la mettre à quatre pattes sur le lit. Il retroussa la robe d’une main du mieux qu’il put et baissa le string blanc il s’approcha ensuite et s’enfonça sans ménagement dans son vagin. Toujours en continuant de filmer. Ils commencèrent une série de va et viens ou Louise se déchaînait en cris de jouissance. Ses seins se balançaient au rythme effréné qu’imposait mon père. Au bout de dix minutes, vaincue après avoir hurlé au moins trois fois de jouissance, Louise s’effondra ses bras ne la supportant plus lui faisant remonter son fessier.

En tout cas, ce n’était pas un hôtel où ils étaient allés: cela fait longtemps que le service d’étage serait venu leur demander de se calmer…

Mon père en profita pour lui introduire le pouce dans son anus et alors que Louise hurla une nouvelle fois, je vis mon père sortir son sexe et gicler une quantité impressionnant de sperme sur le dos de Louise. Le premier jet lui arriva dans les cheveux, et le reste se rependit dans le dos de la robe et les froufrous. Louise exténuée visiblement se coucha sur le côté et mon père la rejoignit sur le lit. Ils restèrent un moment comme cela à se caresser et s’embrasser.

Puis, Louise se releva et se positionna au-dessus de mon père au niveau de son sexe et se baissa. Elle releva le bas de sa robe et se pencha en arrière pendant que mon père filmait toujours, la caméra braquée sur l’entrejambe. Elle mit quelque temps à se mettre en position, d’une main elle se tenait en arrière en équilibre et de l’autre elle retenait sa robe pour que mon père ait une vue imprenable. Après quelques secondes, je vis un liquide jaillir. C’était à son tour de souiller mon père encore habillé de son costume avec juste son sexe qui ressortait par l’ouverture du pantalon. Le liquide sortait, telle une fontaine, sur tout le corps de mon père. Elle aussi prenait le temps de se vider alors que mon père jouait avec la caméra à tenter de faire des gros plans sans qu’elle ne soit éclaboussée.

Quand Louise eut fini, ils éclatèrent de rire. Elle se redressa au-dessus de la verge de mon père qui s’était redressé par le spectacle qu’elle lui avait offert, et se l’introduisit. Elle s’agenouilla en lâchant la robe mouillée qui s’éparpilla autour et commença à monter et descendre sur le mat qui lui faisait tant de bien. Ses seins toujours en dehors du bustier se mouvaient au même rythme. Louise s’agrippa au flan de mon père et accéléra la cavalcade qui lui fit lâcher de nouveaux cris de jouissance.

Après qu’une vague fut passée, Louise passa sa main en dessous tout en se relevant un peu. Elle sembla tâtonner un peu et chercher une position. C’est quand je la vis descendre entièrement sur le sexe que je compris qu’elle avait dû l’introduire dans son petit conduit. Elle resta bien une minute comme cela à bouger lentement comme pour bien le positionner. Mon père lui ne bougeait pas, sachant qu’au vu de la taille de son sexe, il valait mieux la laisser prendre ses aises au risque sinon de la blesser. C’est ce qu’elle fit et c’est donc elle qui imposa le rythme de ses montées descentes. Au début lent, le rythme s’accéléra. Les cris de Louise reprirent de plus belle. Mon père tenta de lever la robe afin de pouvoir filmer ce qu’il y avait dessous et se voir en train de limer sa belle dans son fondement.

Pour lui faciliter la vue, Louise se repencha légèrement en arrière et retint la robe d’une main mais cela la gêna pour monter et descendre. Alors mon père la suréleva très légèrement et se mit à la limer à grand coup de bassin. De ce que je pouvais voir de cette caméra, c’est qu’il arrivait malgré tout à lui introduire l’intégralité de son sexe. Louise ainsi maltraitée n’arrêta pas de crier sa jouissance qui semblait ne plus finir. Elle semblait partir dans un autre monde jusqu’à ce que mon père se tétanise en enfonçant son pieu au maximum alors que Louise hurlait une dernière fois comme jamais son plaisir.

Mon père resta ainsi enfoncé quelques très longues secondes avant de se relâcher petit à petit et de reculer doucement afin de sortir son sexe. Il mit au moins une minute à se retirer entièrement. Louise exténuée et quasi évanouie de plaisir se coucha sur le dos. Mon père lui sortit d’en dessous de la robe et la retroussa pour libérer le sexe de Louise. Puis il lui écarta les jambes en essayant même de les redresser afin de pouvoir mieux observer avec la caméra, son anus qui libérait doucement le flot de sperme qui s’était rependu en elle. Il filma ainsi deux bonnes minutes avant de se redresser légèrement après lui avoir libéré les jambes et recommença à lui uriner dessus ainsi que la robe. Elle lui répondit sans bouger en se libérant aussi la vessie mais son jet, gêné par ses lèvres vaginales, s’éparpillait dans tous les sens. Mon père quand tout fut fini, coupa sa caméra avec la lumière, puis se leva trempé pour éteindre celle que je visionnais en plan large. Le fichier s’afficha à l’écran.

Je n’en revenais pas de ce que je venais de voir.

Il m’en fallait plus.

Je retournais dans les dossiers de la clé USB et trouva un fichier nommé « bis ». Je l’enclenchai et BINGO !! C’était la vue de la caméra que tenait mon père. En prévision, je retournais dans le tiroir de Louise lui chiper une seconde culotte, une en dentelle cette fois. Et je revisionnais cette lune de miel d’un autre angle. Je vis ainsi Louise tailler la pipe à mon père puis le cunni vu d’en dessous : avec la lumière de la caméra, on voyait clairement comment il doigtait et léchait Louise à la faire jouir. Puis ce fut la scène de l’arrosage sur tout le corps avec un gros plan sur le visage de Louise qui avalait l’urine de mon père. La scène de la levrette clôturée par une éjaculation dantesque sur le dos de la mariée, et là où je finis par éjaculer dans la culotte, la scène filmée en gros plan de Louise se libérant sur mon père. Celui-ci avait à un moment fait un gros plan sur le sexe écarté par deux doigts de Louise et le petit orifice d’où s’échappait l’urine. C’est là que je ne tins plus et me libéra de ma semence au fond de la culotte.

J’en avais mis presque autant que dans la première et remettre tout en place en évitant d’en mettre partout fut délicat. J’empochais toutes les clés USB de mon père et me dépêcha d’en faire une copie sur mon ordi avant de les remettre en place. Je regardais si je n’avais rien oublié dans la chambre avant de la quitter.

Ouaahhh !!! Quelle découverte je venais de faire… J’eus juste le temps de rentrer dans ma chambre que j’entendis Louise rentrer. Il s’en était fallu de peu. C’est vrai que le chargement des clés avait pris un certain temps.

En rallumant les caméras, je la vis déposer et ranger des affaires dans la cuisine avant de prendre deux sacs et monter dans sa chambre. Elle les posa sur le lit et retira son gilet qu’elle posa sur un valet. Du premier sac, elle sortit du linge de maison qu’elle rangea dans l’armoire que je n’avais pas eu encore le temps de visiter, puis du second, un nouvel ensemble de lingerie. C’est fou ce qu’elle pouvait dépenser dans ce domaine visiblement. Il s’agissait d’une nuisette semi-transparente noire ainsi que d’un ensemble haut et bas tout aussi transparent de la même couleur. Elle ouvrit le tiroir à lingerie pour ranger tout d’abord la nuisette et c’est quand elle voulut ranger l’ensemble qu’elle marqua un temps d’arrêt. Elle le posa sur le haut de la commode avant de prendre avec mille précautions la culotte en dentelle que j’avais remplie quelques minutes auparavant.

Damned ! Je ne pensais pas qu’elle le remarquerait aussi vite. Le sperme doit encore être chaud ou tiède, je vais me faire griller en beauté. Louise tenait sa culotte d’une main et avait la seconde en dessous pour empêcher toute fuite du liquide sur le sol. Elle jeta un rapide regard vers la porte d’un air interrogateur. Puis elle soupesa la culotte en l’approchant au niveau de ses yeux comme pour mieux voir ce qu’il y avait dedans et horreur !!! Un filet de liquide blanc s’échappa sur le côté. Louise le rattrapa facilement avant qu’il ne tombe par terre et observant le liquide, elle revint vers le fond de sa culotte et ouvrit la bouche avant d’en faire basculer le contenu à l’intérieur.

J’eu tout à coup l’envie de gerber à la vue de cette scène. Louise secoua la culotte pour tout mettre en bouche ce qu’il y avait dedans et une fois fini, avala ce qui en avait coulé. Elle eut un moment de perplexité en avalant le contenu et regarda une nouvelle fois la porte d’un air plus qu’interrogateur. Elle finit par aller dans sa salle de bain pour mettre sa culotte au linge et revint pour ranger son ensemble neuf quand elle se figea à nouveau. En regardant dans le tiroir elle vit la seconde culotte imprégnée de sperme. Et là, malgré le soin qu’elle prit pour s’en saisir, je vis parfaitement le sperme s’en échapper et tomber dans le tiroir.

J’allais certainement me faire tuer pour ce que je venais de faire. Louise s’empressa de poser la culotte pour prendre celles qui furent tachées et les mettre au linge sale. Quand elle revint pour reprendre celle incriminée, je vis de nouveau quelque chose d’incroyable. Elle souleva sa jupe pour en retirer la culotte qu’elle portait, puis, saisissant celle toujours remplie de sperme, l’enfila. Le fond était marqué d’une tache humide mais elle n’en tint pas compte. Elle se coucha ensuite sur le lit en relevant la robe puis se mit à se masturber à travers la culotte. Je ne comprenais pas. Mon sperme en quantité dans la culotte devait maintenant baigner son sexe et elle semblait s’en délecter. Elle passa ensuite sa main dans sa culotte en continuant sa masturbation et s’introduisit rapidement deux doigts dans son sexe. Sa jouissance fut rapide et bruyante. Quand elle se calma, elle retira ses deux doigts que je vis imprégnés de mon sperme et elle les introduisit dans sa bouche pour les nettoyer.

Elle resta ainsi deux ou trois minutes à reprendre ses esprits puis se releva. Elle descendit sa jupe en se réajustant puis sortit de la chambre. Je n’en revenais pas, elle avait gardé sur elle la culotte souillée…

À suivre…

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