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Les animaux de Priape – Chapitre 5




Il va sans dire que notre attente nous parut bien longue.

A force de ces orgies répétées et inimaginables, nous nous étions habitués à une débauche de cul et en avions presque oublié notre objectif initial… cependant, nous ne doutions plus qu’il allait se réaliser. Mais en même temps cela signifierait la fin de ces bacchanales sexuelles et nous l’appréhendions avec regrets.

Enfin, la lune fut pleine.

Il n’y avait aucune crainte de notre part mais, au contraire, une attente fébrile.

Pacôme vint nous chercher une dernière fois. Le trajet fut silencieux. Assis à l’arrière de la voiture, ma femme et moi nous laissions l’excitation grandir. J’avais ouvert ma braguette d’où ce sexe allongé et grossi que j’avais reçu en cadeau des dieux et qui ne cessait de m’émerveiller sortait fièrement dressé. Clara le masturbait lentement.

Pour la première fois, on ne nous avait pas bandé les yeux et nous pûmes regarder tout le parcours mais comme dans un rêve, sans y faire vraiment attention. Nos préoccupations étaient ailleurs.

Aldéric nous accueillit avec beaucoup de déférence.

Comme j’en avais l’habitude, je me déshabillai dans l’antichambre en compagnie des garçons dont j’admirai à nouveau la plastique sublime mais, désormais, je n’avais plus rien à leur envier en matière de gros paquet.

Clara était dans une autre pièce.

Nous entrâmes dans la chapelle éclairée d’une lumière tamisée et baignée dans une tiédeur humide assez agréable. Les statues étaient telles que nous les avions laissées lors de notre précédente débauche, le sexe énorme pendant presque à terre.

Ma femme apparut. Elle ne portait qu’une cape qui laissait voir tout son buste, ses seins superbement gonflé, et sa culotte qui était toute mouillée déjà.

Apparut alors le chien de Priape dont l’énorme sexe aurait touché terre s’il n’avait été aussi fortement tendu.

Ma femme baissa sa culotte et la lui lança. Le chien la renifla longuement, faisant encore gagner quelques centimètres à sa verge. Mes compagnons et moi, spectateurs, bandions comme des ânes avec allégresse sans que nos queues respectives atteignissent la taille de celle du chien.

Comme je l’ai déjà dit, il se servait de ses pattes avec la même agilité que s’il se fût agi d’un homme. Il prit la fine étoffe de dentelle rouge dégoulinante de cyprine et s’en frotta le bout du gland jusqu’à ce que le tissu déborde de crème blanche.

Ma femme était offerte, debout, jambes et bras écartés, les cuisses internes trempées par le torrent qui s’échappait du con.

Le chien s’approcha. Il saisit la culotte qui était plus chargée de sperme qu’une éponge ne peut absorber d’eau. Il la passa entre les jambes, puis l’essora sur les nichons. Quand ce fut fait, debout, il plaqua son pénis anthropomorphe, rouge vif à l’extrémité, entre les mamelles. La queue était tellement longue que ma femme pouvait serrer contre ses seins l’énorme masse de chair tout en en chatouillant le gland qui dégoulinait de mouille.

La pine n’arrêtait pas de couler et ma femme ruisselait de foutre dont l’odeur nous parvenait d’autant plus aisément que nous nous trouvions très près de la scène. Quant à moi, je me pignolais doucement, attendant mon tour qui viendrait tôt ou tard.

J’eus l’impression que, par rapport à la première fois où ce chien l’avait sautée, il y avait du changement. Ma femme, qui lui avait été totalement soumise lors de leurs premières saillies, semblait désormais avoir l’ascendant. D’elle-même, elle interrompit cette branlette espagnole d’antologie, pour se mettre à genoux et bouffer les gros roustons… enfin bouffer est une expression car elle ne pouvait en avaler aucun entièrement compte tenu de leur grosseur. N’eût été la couleur, on aurait dit des pamplemousses.

Ensuite, elle lui ordonna, sans rien dire, de s’allonger sur le dos. Il obtempéra avec autant d’aisance que s’il avait été moi.

Son pieu se levait tel un obélisque, formant presque un angle droit avec le pubis. Le sperme continuait à en suinter doucement et un fin ruisselet descendait le long du manche et se répandait sur les couilles. Je crus qu’elle allait directement s’empaler dessus, mais pas du tout.

Elle se décida pour un 69 qui se transforma même en 70 quand il introduisit un "doigt" puis deux dans l’anus. La crainte que les griffes ne la déchirassent ne me vint à l’esprit que quelques secondes car il se produit le même miracle que lors de la pénétration du taureau ou des chevaux. La souplesse et la morphologie du corps de ma femme s’adaptaient complètement aux circonstances.

Il en fut ainsi dès le départ quand le chien ouvrit son énorme gueule. Ma femme y emboita parfaitement son cul. La mâchoire se referma, faisant disparaître une grande partie du fessier et le pubis aux regards. La bête aurait pu broyer l’entrejambe d’un seul coup de dents mais, au contraire, la langue dut s’agiter comme dans une lessiveuse. Ma femme eut une premier orgasme.

Elle suçait la bite avec une application gourmande et se délectait du jus qui en sortait. Mais enfin, elle eût envie de se faire mettre. Elle prit donc la position de levrette pour se faire emmancher proprement. Le chien savait ce qu’il avait à faire et il lui enfonça la pine brutalement, lui arrachant un cri de douleur, preuve que l’élasticité n’était pas aussi complète que la fois précédente, mais elle se remit bien vite.

"J’veux une pine dans la bouche. Pacôme, vient me faire sucer ta grosse queue black jusqu’à ce que j’avale ton foutre" !

Ce n’était pas un prière, c’était un ordre. Il fut ponctuellement obéit.

La saillie était magistrale et ardente. Les chairs claquaient avec un bruit de tir à répétitions et les couilles de l’animal se balançaient follement. Appuyée sur les cuisses de Pacôme, ma femme suçait comme une démente. Il ne put pas tenir longtemps et gémit longuement au moment de jouir. Elle n’ouvrit la bouche qu’après qu’il eût fini et recracha le sperme qu’elle n’avait pas avalé, c’est-à-dire bien peu.

Elle se mit alors sur le dos. Le chien la reprit jusqu’à ce qu’il éjacule à son tour., longuement, lentement en basculant son arrière-train d’avant en arrière et en donnant un grand coup sec en bout de course, dans un torrent qui sortait sous pression de la chatte dans la quelle il se déversait. Au sol, une flaque gigantesque s’étendait.

 Il n’avait pas plus tôt fini qu’elle cria : "Au suivant".

Le singe apparut, la queue déjà dardée vers le ciel balançant de droite et de gauche au rythme de son pas chaloupé et rapide.

Elle n’eut besoin que d’un geste pour le faire asseoir en tailleur ce qu’il fit avec le naturel d’un bonze tibétain près pour la méditation… mais ce qu’il méditait, lui, c’était de sauter ma femme et la droite colonne qui s’élevait depuis son entrejambe vers son ventre en trahissait toute l’impatience.

Elle vint s’empaler dessus, en guidant le vit en elle de sa main droite. On ne pouvait avoir été plus lubrifiée qu’elle l’était et, pourtant, la pénétration fut lente et sans doute douloureuse.

Il semblait qu’aujourd’hui, vraiment, elle fût dotée d’une moindre élasticité et que son corps n’absorbait plus que partiellement les énormes contraintes sexuelles qu’il devait endurer en qu’aucun organisme normal n’eût pu supporter.

Je m’approchai au plus près du couple pour voir les lèvres vaginales s’écarter sur l’énorme manche. Quand elle fut bien enfoncée, elle croisa ses jambes dans le dos du singe, ses bras noués autour de  son cou et ils se mirent à faire l’amour sauvagement. L’animal passait ses mains entre ses propres cuisses et les fesses de Clara pour l’aider à se mouvoir sur sa tige. Ils palochaient en bavant et leurs poitrine s’écrasaient maintenant l’une contre l’autre dans une violente étreinte.

Quand ils cessaient de s’embrasser, elle s’adressait à lui comme à un amant ordinaire.

"Vas-y, embrasse-moi grand fou… mets-moi bien ta queue. Caresse-moi… prends moi toute entière… j’veux sentir ta bite" !

Le singe lui répondait par des cris qui tantôt exprimaient une forme de tendresse, tantôt une tension orgasmique.

Quand il fut sur le point de jouir, Il se penchèrent chacun en arrière, éloignant leurs torses l’un de l’autre et ne se tenant fermement que par les épaules.. J’en profitai pour me rapprocher et voir au plus près la décharge fantastique du singe. Je vis, là où les deux corps s’emboitaient, sourdre une mousse épaisse et blanchâtre qui, avec les frottement ininterrompus des sexes l’un sur l’autre couvrait de crème les poils de leurs intimités respectives. La pièce fut emplie de leurs cris.

Elle se détacha en se levant dans un "plop" humide et sonore, un bruit de bouchon qui saute. Elle s’agenouilla  pour sucer le pylône comme un sucre d’orge.

L’érection se maintint et le singe fut prié de reprendre du service, avec Aldéric.

Allongé sur le singe, sa bite à nouveau bien au fond du vagin, elle accueillit le gland d’Aldéric sur sa rondelle rose. Il n’eut qu’à tremper sa trique sur le sperme qui dégoulinait de partout pour graisser et dégourdir l’orifice et s’y introduire san peine. Il s’enfonça jusqu’aux couilles, la chevauchant en bouledogue sans ménager ses mouvements de reins pour lui démonter le cu.

Le singe, sans difficultés, comme si elle n’eût rien pesé sur lui, allait et venait dans la chatte à une vitesse très supérieure à celle de l’homme même quand il la fourrait à la vitesse d’un marteau-piqueur.

Jusque là, trop intéressé par les scènes de cul dont j’étais le témoin, occupé à me peloter les couilles sans trop toucher à ma bite pour ne pas précipiter un orgasme solitaire que je ne souhaitais pour rien au monde, je n’avais pas prêté attention à ce qu’il se passait alentour. Mais, en changeant de place de façon à avoir un angle de vue le plus obscène possible, je m’aperçus que Pacôme était en train de danser.

Il bougeait en une transe semi-religieuse en agitant son gros sexe flaccide à grand coups de mouvements du cul et des hanches.

C’est alors que je remarquai que les statues étaient entrain de reprendre vie. Le satyre était presque entièrement vivant. Seule l’extrémité de ses mains, de ses pieds et sa tête étaient encore en marbre. Peu à peu, le menton se colorait, les lèvres rosissaient et la verge se redressait  péniblement en se regonflant.

Méfistophallos n’en était pas encore là Seule une tâche noire à l’extrémité du gland attestait d"une résurrection lente. La tâche grignotait millimètres pas millimètres. Soudain, me vint l’idée d’essayer de l’aider. Je retournai vers le trio frénétique. Un mélange de mouille et de sperme dégoulinait depuis le con de ma femme sur la base du pénis et sur les couilles du singe. Je m’en approchais en évitant de me prendre les coups de cul d’Aldéric qui s’agitait toujours comme un forcené dans le trou du cul de Clara à grand renfort d’insultes; Les "salope, pute, chienne, garce, truie, guenon…" tout y passait.

Je me mis à sucer les couilles du singe pour aspirer le plus de liquide que je pus… et j’allais tout recracher sur le gland de Méfistophallos. Dès que le liquide entra en contact avec la pierre, celle-ci se mit à noircir… la vie revenait dans cette verge monstrueuse et, de-là, elle allait rallumer tout le corps.

On devine bien que ma démarche n’était pas gratuite. Je me souvenais que Le monstre, lors de la dernière séance, m’avait doté d’une bite plus dure, plus longue et plus épaisse, et de burnes à l’envie. Je ne désespérais pas qu’il me gratifiât d’un ou deux centimètres en plus… on ne sait jamais.

A suivre

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