Petit résumé du premier épisode : Alexandre, le narrateur, est parti en voyage scolaire en Allemane après les résultats du bac, avec toute sa classe. Il héberge chez Peter son correspondant, avec deux camarades de sa classe, Mélina et Emilie. Suite à un problème à l’aéroport, sa valise est partie au Portugal et devrait lui être restituée sous deux jours. Il compose avec ce qu’il portait sur lui en arrivant pour le dimanche, et dans l’attente d’en racheter, Mélina lui prête des sous-vêtements ainsi qu’une nuisette pour la nuit. Si le premier soir se déroule sans encombre, il croise son correspondant allemand le deuxième soir après sa douche, alors qu’il se trouve dans son accoutrement féminin. Peter l’entraine alors dans sa chambre.
— Toi exciter moi, me dit Peter, dans un français approximatif. Moi avoir envie de toi, moi vouloir féconder toi.
Si les termes n’étaient pas exacts, ses intentions étaient claires. Tout s’est déroulé très vite, je n’avais ni le temps ni les capacités de réfléchir, j’étais toujours dans l’ivresse de la soirée, mêlée à celle de me retrouver habillé d’une culotte de demoiselle, ainsi que sa nuisette. Lorsqu’il approcha ses lèvres des miennes pour les unir, je n’eus même pas le temps d’opposer quelque forme de résistance, puis, sa langue se fraya un chemin jusqu’à la mienne et le baiser fut total. Dans ce court moment qui sembla durer une éternité, il en profita pour caresser mon corps, au travers de la nuisette qui par son satin décuplait les sensations, faisait frissonner chaque parcelle de ma peau. Je bandais comme un âne dans ce bouillon d’excitation imprévue, puis j’en vins à l’enserrer à la taille, me cachant sous sa protection, lui qui me toisait de son mètre quatre-vingts, je m’abandonnai à lui comme le ferait une femme.
Sans vouloir perdre de temps, il me recula lentement jusque sur le lit, m’assit dessus puis dans un mouvement de douceur mêlé à des caresses, il prit ma main pour la guider jusque dans son caleçon. Sans aucune expérience dans ce domaine si ce nest les quelques vidéos porno que j’avais déjà regardées, j’essayais de m’en inspirer pour le satisfaire, en remplissant le rôle de la femme. Cela m’excitait davantage, tandis que ma main trouva sans mal son pénis, qui était tout chaud et se mit à durcir et à trembler à mon contact. Toujours dans l’inspiration des vidéos, je baissai son caleçon complètement, puis lentement avec chacune de mes mains je caressai ce qui allait m’honorer ce soir. Je repoussai lentement la peau pour dévoiler un joli gland avant de venir y déposer un baiser. Je n’en revenais pas moi-même que j’allais faire une fellation alors que je n’avais jamais connu de plaisir sexuel avec une fille… Mais peu importait, l’excitation dominait totalement la raison.
Ma main commença alors à faire des va-et-vient sur son pénis, pour continuer de le faire durcir, et je continuai de déposer des baisers dessus de temps à autre. Il se mit à suinter de liquide séminal, et attiré par cette odeur, je me mis à lécher, ce qui en fit sortir davantage et qui me faisait continuer à lécher. Pris dans ce cercle vicieux, je finis par passer mes lèvres de part et d’autre de son gland, me l’enfonça dans la bouche le plus loin possible puis le ressorti, je léchai sa hampe avant de recommencer ce manège, tandis que mon autre main commençait à lui masser les bourses. Je continuai un moment, puis il m’arrêta gentiment, me releva et m’embrassa à nouveau.
Lentement, il me fit pivoter puis me poussa sur le lit, je tombai naturellement à genou dessus, et il en profita pour relever la nuisette et fit glisser la culotte pour me la retirer. J’étais complètement offert à lui, il écarta mes fesses puis commença à titiller mon petit trou avec ses doigts dans un premier temps, avant que je sente sa langue. Mon corps entier frissonnait sous ses caresses, mon sexe plus tendu que jamais me faisait presque mal. Il s’arrêta, fouilla dans sa table de nuit, puis il me badigeonna d’une crème lubrifiante et il recommença à me doigter, s’enfilant en moi de plus en plus loin. Je me sentais totalement abandonné à moi-même, je ne me rendais même plus compte de la situation, je respirais fort et mon sexe suintait aussi d’excitation. Il s’arrêta de nouveau, pris un préservatif dans sa table de nuit puis l’enfila, je me retournai pour voir ce qu’il faisait et il me prit par le menton pour m’embrasser, puis sans un mot, il se repositionna derrière moi. J’allais devenir une femme avant de devenir un homme. Il vint présenter son gland contre mon petit trou, pour s’introduire lentement dedans, jusqu’à la garde tandis que ma respiration s’accélérait. Lorsque je sentis sa toison contre mes fesses, je fis un bref état des lieux mais je n’avais même pas mal, j’étais juste un peu gêné de cette présence en moi. Cette gêne fut vite dissipée quand il commença à faire de petits va et viens, très lentement si bien que je pouvais sentir chaque centimètre de son bâton de plaisir. Il me prit par la taille, comme il l’aurait fait pour une femme, puis accéléra les mouvements, les rendant de plus en plus profonds. Il avait fait de mon cul un vagin dans lequel il allait et venait, se retirant presque à chaque fois avant de s’enfoncer jusqu’à la garde. Je sentais ses couilles claquer contre les miennes à chaque fois. Je râlai de plaisir, je lâchai même de petits couinements. Pour ne pas se faire remarquer, il s’empara de la culotte et me la mise dans la bouche pour me bâillonner avant de reprendre ses va et viens. Sous ses assauts et le plaisir que j’y prenais, je tombai en avant, ce qui ne l’empêcha pas de continuer. Mon sexe frottait sur les draps, ce qui m’excitait davantage, puis je sentis qu’il arrivait au terme et il finit s’enfoncer loin en moi pendant que je sentais son sexe battre dans mon cul, contre ma prostate. Le mien en fit de même, je me contractai un grand coup avant de tout lâcher ma purée sur le lit.
Abasourdi par la situation, encore dans l’ivresse complète, j’eus du mal à retrouver mes esprits. Lui, complètement satisfait, retira la capote, puis se contenta de me remercier. Je remis la culotte pour remonter. Je faisais le point au fur et à mesure de mon retour : je venais de me faire dépuceler l’anus par un allemand que je connaissais à peine alors que j’aurais pu connaître une partie de sexe avec ma meilleure amie… Mélina, que devait-elle se dire à ce moment-là ? Avait-elle entendu quoi que ce soit, d’ailleurs Emilie aussi ? Est-ce qu’elle m’attendait toujours ? Est-ce que je devais lui en parler ? Je n’avais pas honte de ce qu’il s’était passé, et bien que je ne me sentais nullement attiré par les garçons, j’avais grandement apprécié ce moment de plaisir entre couilles. J’arrivais dans le couloir, et pris la décision de rentrer dans la chambre de Mélina pour honorer sa demande.
Je frappai à sa porte puis l’entendit m’inviter à entrer, mon cur battait la chamade au moment où j’ouvris la porte. Elle était assise sur son lit, en train de pianoter sur son téléphone, et vêtue de la même manière que moi, c’est-à-dire une nuisette de satin rose et une culotte. Je pouvais voir sa poitrine dressée fièrement sous la nuisette, ce qui réveilla mes envies masculines. Elle avait manifestement décuvé plus vite que moi, et elle sentait magnifiquement bon.
— Tu es un peu en retard, tu as trainé sous la douche ?
— Euh, bredouillais-je, ne sachant quoi lui dire. Tentant le tout pour le tout, je décidai de tout lui avouer : j’ai croisé Peter en remontant, qui m’a dit que je lui faisais envie, et …
— Quoi ? Tu as fait quelque chose de sexuel avec lui ? Oh non, moi qui te pensais aimer les filles plus que les garçons…
— C’est assez compliqué, mais finalement assez simple, je me suis laissé entrainer dans son plaisir, et j’ai énormément apprécié, mais, et ça te concerne directement, ça n’a pas coupé mon envie de te faire l’amour. Oui, tu as bien entendu, il a fait du sexe avec moi mais j’ai envie de faire l’amour avec toi Mélina, car je t’aime, oui je t’aime, de tout mon cur, de toute mon âme…
Vraisemblablement émue, elle s’approcha pour m’embrasser, quelques petits baisers furtifs dans un premier temps puis plus longs, plus langoureux par la suite. Rien à voir avec ce que je venais de vivre, ces baisers étaient humides d’amour et de sincérité.
— Ca fait bientôt deux ans qu’on se connait et qu’on s’entend à merveille mais j’en voulais tellement plus avec toi Alex… Je n’attendais que toi, je ne voulais que toi, et je voulais qu’on fasse notre première fois ensemble…
Elle reprit ses baisers, puis se blottit contre moi pour un câlin. Je sentais tout son corps au travers de la nuisette, ses seins contre ma poitrine, ses jambes contre les miennes, et mon entrejambe se réchauffait.
— N’attendons plus pour partager ce moment alors, lui dis-je tout en la caressant du mieux que je savais faire, ses bras, son dos, ses fesses, ses hanches, …
Subtilement, je remontai sa nuisette pour la dénuder, elle passa volontiers ses mains et sa tête pour s’en débarrasser. Inconsciemment, je la détaillais, elle que j’avais toujours vue vêtue jusqu’à ce soir. Elle ne tarda pas à me faire retirer la nuisette que je portais toujours, puis la culotte. Timidement, elle prit mon sexe en main, et fit maladroitement quelques va et viens dessus pour lui donner de la vigueur. Elle n’avait manifestement pas envie d’aller plus loin en terme de préliminaires de son côté, mais je décidai de l’honorer comme elle le méritait, avec tout l’amour que je lui portais.
Je fis glisser sa culotte, puis passa un doigt sur son vagin avant de venir l’embrasser. J’insistai un peu pour trouver son clitoris et commencer à l’agacer, provoquant instantanément des réactions de plaisir sur son hôte. Elle respirait fortement et prenait une inspiration à chaque contact accompagné d’un « oh là là » ou d’un « que c’est bien ça ». Je l’embrassai à nouveau, avant de lui demander si elle était prête, ce qu’elle me confirma. Elle me montra également sa plaquette de pilules signe que je pouvais lui faire l’amour sans risques d’engrossement, et sans risque de maladie puisque c’était notre première fois à tous les deux.
Elle prit un linge qu’elle glissa sous elle, puis elle s’allongea prête à me recevoir, puis je m’installai entre ses cuisses qu’elle m’avait ouvertes. Je décalottai mon gland, puis le frottai contre son vagin afin de le lubrifier directement à la source. Puis, je vins le positionner, prêt à lui donner du plaisir comme Peter venait de le faire avec moi, bien que je ne pensais plus à lui à ce moment-là. Je m’insérai doucement en elle, puis senti une résistance, alors je m’arrêtai pour la laisser prendre la décision. Elle me souffla d’y aller, alors je repris ma pénétration, jusqu’à ne plus pouvoir avancer. Elle me glissa à l’oreille qu’elle avait vraiment eu raison d’attendre de faire ça avec moi tellement elle trouva ça merveilleux. J’étais dans le même état qu’elle, et déjà au bord de l’explosion. Je lui expliquais, et sans être déçue, elle m’incita à continuer, car si c’était la première fois ça ne serait certainement pas la dernière. Je fis lentement trois allers-retours en elle, puis je sentis mon pénis se contracter avant de lui tapisser l’intérieur de mon sperme. Elle eut un sursaut de son côté qui me sembla être un orgasme mais je n’avais pas la prétention d’en être sûr. On resta un moment l’un dans l’autre en se câlinant et en se disant des mots d’amour, puis je me retirai lentement sentant mon pénis ramollir. Elle laissa le sperme couler de son vagin sur le linge, puis se nettoya avec des lingettes pour bébé, et j’en fis de même. Je remis la culotte pour le reste de la nuit, elle m’imita, puis je l’attirai contre moi en cuiller et nous nous sommes endormis de la sorte.