Les rapports clients, fournisseurs ne sont pas toujours que professionnels et peuvent être, parfois, la cause de problèmes.

    Je m’appelle Carole et je me demande encore comment, à 33 ans, j?en suis arrivée là. Je suis brune aux cheveux mi-longs et mesure 1M70. J’ai des formes généreuses qui font que des hommes se retournent encore sur mon passage. Ma taille est fine et je suis cambrée ce qui met en valeur mes seins qui sont gros et très sensibles. Mes fesses sont, elles, un peu rebondies (un peu trop à mon goût). Je fais un peu de gym chaque semaine pour garder la forme (et éviter les ’formes’).

    Depuis quelques mois, suite à une restructuration, mon mari part parfois ( je suis mariée avec Alain depuis 8 ans) plusieurs jours de suite dans la semaine . Ces absences rendent évidemment nos câlins plus espacés. Je me suis accommodée de ce changement et je lui étais fidèle jusqu’à ce fameux jour de juillet.

    J’occupe depuis deux ans le poste de responsable des ventes dans une petite entreprise et c’est dans ce cadre professionnel que j’ai rencontré Rachid .

Rachid est de type maghrébin, comme son prénom le laisse supposer. C’est un grand et beau jeune homme qui a environ 25 ans, des cheveux noirs coupés courts et des yeux marrons. Il a beaucoup de charme. Sous son costume très classe, on peut deviner un corps athlétique qui ne me laisse pas insensible.

  Durant les nombreux rendez-vous de travail que nous eûmes, il ne se gênait pas pour lorgner sur mes cuisses et plonger son regard dans mon décolleté (pourtant très raisonnable) pour reluquer mes seins chaque fois qu?il le pût.

 ?tant sur le point de signer avec sa société un très gros contrat, Rachid m’invita à déjeuner. Habituellement, je refuse ce type d?invitations, mais mon patron insista pour que j’accepta, soulignant que mon avenir et celui de la société dépendaient de ce genre de contrat. Toujours est-il que j’accepta finalement l?invitation de Rachid, pour éviter les foudres de mon patron et aussi parce que, en définitive Rachid avait un je ne sais quoi qui m?attirait.

Quand je sortit à 12 H 30, Rachid m’attendait devant le bureau dans une grosse Mercédès et c’est ainsi que je me retrouva en sa compagnie dans un luxueux restaurant. C’était le genre de restaurant où je n’aurais même pas osé regarder la carte, vu que sur le pas de porte se tient en permanence un concierge prêt à vous faciliter l?accès de l?établissement. Rachid semblait y avoir certaines habitudes. Guidés, nous délaissâmes, à ma grande surprise, la salle de restaurant pour gagner un salon particulier. L’atmosphère y était beaucoup plus feutrée. Une table dressée nous attendait et une serveuse très stylée nous pria de prendre place sur un sofa, qui se révéla très confortable, pour y déguster un rafraîchissement.

Canicule oblige, j?avais, en cette chaude journée de juillet, un tailleur léger que je portais à même la peau. La veste, courte et cintrée, était fermée par 3 boutons nacrés. L’échancrure de ce vêtement, quoique bien coupé, laissait voir la naissance du sillon mammaire. Plus bas, suivants les mouvements de mon corps, apparaissait l?entre bonnets d’un soutien gorge en tulle blanc que j’aimais porter. Les balconnets transparents de ce soutien gorge (95D pour les connaisseurs) enserraient la moitié de mes gros seins et laissaient leurs parties supérieures découvertes. La jupe assortie, fendue sur un côté, s’arrêtait au-dessus des genoux et moulait parfaitement mes fesses. Le slip, assorti au s-g, recouvrait largement mon fessier . Pour compléter ma tenue, j?avais chausser une paire de sandales à hauts talons.

    La première coupe de champagne épancha ma soif et les petites bulles des deux autres qui suivirent me mirent dans de bonnes dispositions. Une bouteille avait été vidée. (Moi qui ne buvais que rarement de l?alcool, je suis étonné d?avoir accepté de boire les trois verres sans avoir esquissé le moindre refus.)

Pendant que nous buvions le champagne, je m’étais aperçue que le regard de Rachid se portait très souvent sur le haut de mes jambes. Quand je bougeais, ma jupe se relevait d’avantage, dévoilant involontairement mes cuisses. J?avais essayé, au début, de tirer discrètement sur ma jupe. Seulement, au bout d’un certain temps, je dus bien m’avouer que les efforts que je faisais pour allonger ce bout de tissu ne servaient à rien et non seulement, je ne fis plus rien pour dissimuler le haut de mes cuisses, mais au contraire, je croisais et décroisait souvent les jambes. ?tait-ce à cause du champagne ingurgité trop facilement (et trop vite) ou le regard insistant de Rachid, mais ce petit jeu me troubla quelque peu.

Pour passer à table, Rachid quitta son veston et me proposa de me mettre à l?aise. (Je ne pouvais évidemment pas faire comme lui.) Le service fut attentif et très discret. Une fois à table, le déjeuner, aux mets raffinés, se déroula plaisamment. Encouragée par Rachid, je bus du vin plus que de coutume. La conversation fût plaisante, parfois grivoise. Rachid me faisait une cour discrète mais soutenue. Après avoir déjeuner, il me pria de le rejoindre sur le canapé , où il venait de s’asseoir, pour déguster le café.

Après avoir bu le café, en l’absence de la serveuse zélée qui avait disparue, Rachid me fit boire un digestif très fort. Les propos de Rachid s?orientaient souvent vers le sexe. Moi-même, grisée par l’alcool, je lui avoua que ma relation charnelle, avec mon mari, n?avait plus la même intensité depuis plusieurs mois. Je sentis sur moi son regard salace. Je me laissa aller à certaines confidences concernant notre couple. Je lui confessa encore mon émoi lorsque les regards des hommes se font trop insistants.

Impertinent, il me dit alors à voix basse :

-’Carole, il fait très chaud ici, allez, ouvrez au moins un peu votre veste ! Nous sommes entre nous. La nature vous a donné des formes généreuses et une très belle poitrine. C’est dommage de les cacher. Et j’ai très envie de voir vos seins !’

L?alcool et le vin, après les apéritifs, m?avaient ’libérée’ de ma retenue habituelle et j?avais très envie de rester auprès de Rachid car il me plaisait de plus en plus . Je lui avoua alors qu?il m?était difficile de lui montrer ma poitrine, sur quoi, il répliqua:

-’ J?ne vois pas pourquoi ! Lorsque vous êtes sur la plage, vous montrez bien votre poitrine, et ils sont jolis vos seins, non ? ’

Je lui répondis en m?embrouillant :

  -’Oui, mais c?est pas pareil. Je serais même gênée d?exhiber mon soutien gorge en public…dans un lieu privé’

-’C?est juste de la gêne, Carole? Alors laissez vous aller, fermez les yeux. Vous allez voir, il y a au fond de vous un plaisir latent, qui va vous submerger, malgré vous. Vous avez peur de vos désirs ? Osez, c’est cela qui est excitant. Allez, Carole, je vous en prie, ouvrez votre veste, je vous promets d?être sage,’ lança-t-il,

     ?trangement, les propos de Rachid me troublèrent. Avais-je envie de m’exhiber? Je n?avais pas la réponse, mais mes tétons étaient à ce moment totalement raides et je sentais mon minou s?humidifier. De plus, je ne voyais pas d?alternative à sa demande. Devrai-je le planter là aux risques de voir le contrat m?échapper et passer pour une ’oie blanche’? Je ne voulais pas décevoir , aussi je lui dit, cramoisie :

-’C?est d?accord, vous m?avez convaincue, à cause de la chaleur, j?ouvre ma veste mais rien de plus et surtout promettez-moi de ne pas bouger !’

Je n?entendis pas sa réponse et, d?une main, je déboutonna le vêtement, fixant Rachid droit dans les yeux. Je ne baissa les yeux que pour constater ce que, par mon geste, j?offrais aux regards de Rachid. Repoussés par ma forte poitrine, les pans de la veste s?étaient largement écartés,. Le haut du soutien gorge couvrait à peine mes pointes gonflées d?envies dressées au centre des aréoles sombres, mais le tulle transparent lui ne cachait rien.

-’Voilà, vous êtes content ? Lui lançais-je, penaude.

-’Vous êtes magnifique’, souffla-t-il

Déconcertée, j?ai un peu tenté de cacher ma poitrine avec mes bras et la veste avant de reprendre notre causerie.

Après m’avoir fait boire un autre petit verre d ’alcool, et comme une douce mélodie venait combler nos rares silences, il m’invita à danser. Je n’osa pas refuser son invitation et nous nous mîmes à danser très près l’un de l’autre. J?eus quelques difficultés à garder mon équilibre,(à cause de l?alcool) mais Rachid me soutenait fermement. Il écrasa délicieusement ma poitrine de son torse puissant et glissa ses mains sous ma veste pour me caresser légèrement le dos. Son regard plongeait dans le mien. ?moustillée, je noua mes mains autour de la nuque de mon cavalier.

L?alcool et la chaleur de ses caresses commencèrent à me bouleverser sérieusement. En dansant, et je sentais son sexe plaqué contre mon ventre (il bandait et moi …je mouillais). Rachid déposa sur mon visage de petits baisers qui descendirent lentement vers ma bouche. J’aurais pu protester, le repousser, mais je ne fis rien.

Par défi, je tourna légèrement la tête pour le jauger, les yeux dans les yeux. Je sentis son souffle sur mes lèvres. Il en profita pour poser sa bouche sur la mienne et en prit possession. Sa langue investit ma bouche dans un baiser profond et violent auquel je répondis. Son baiser mit mon corps en feu ( il dut le remarquer car je me pressa tout contre son corps). Ses mains, abandonnèrent mes reins pour descendre le long de mes fesses puis sur mes jambes. Ses doigts saisirent l?ourlet de ma jupe et la remontèrent jusqu’à ma taille. (je ne fis rien pour arrêter son geste) Il me caressa alors les fesses, glissant ses mains entre le slip et la peau. J?étais à la fois paralysée et heureuse. Je me laissais palper, collée à lui, les yeux fermés, sans avoir tenté le moindre mouvement de recul.

Nous restâmes ainsi un long moment presque immobiles. Seules nos bouches et ses mains s?activaient. Ses doigts prenaient, sans ménagement, possession de mon corps qui, malgré moi, s?abandonnait à lui.

Comme je pressais,sans m?en rendre compte, ma poitrine gonflée contre son torse, Rachid me repoussa doucement. D’une main habile, il écarta les pans de ma veste et glissa quelques doigts délicatement à l’intérieur de mon soutien-gorge. Le contact de ses doigts diaboliques sur ma peau m’excita énormément. Il n?eut aucun mal à extraire mes gros seins de leurs balconnets tant ils étaient gonflés d?envie. Il trouva un mamelon dressé, s’y attarda, le faisant rouler entre deux doigts, le pinçant pour l’étirer, puis le quittant pour attraper l’autre et lui faire subir le même sort. Des ondes de plaisir traversaient tout mon corps. Je gémis doucement et ma tête roula sur son épaule.

Je fus presque soulagée lorsqu’il ôta ma veste. (J?avais aussi très chaud) Je garda les yeux fermés, sachant quel spectacle j?offrais. Les nichons à l?air, je me donnais, sans honte.

De sa bouche charnue, il reprit mes lèvres. Le baiser se prolongea alors qu’il continuait à malaxer mes gros seins et à triturer leurs pointes dressées. Ma fente coulait littéralement, inondant ma culotte. J?étais incapable de réagir. J?étais à la fois très excitée et effrayée qu’un homme (autre que mon époux) puisse ainsi me donner autant de plaisir en me caressant . Mais je ne voulais pas briser ces doux instants. ( je me suis dit, à ce moment là, que j?accepterai tout de lui)

Puis la main qui me touchait les fesses vint frôler mon ventre par dessus ma culotte. Quand il effleura ma fourche, je crus m?évanouir. Il força mes jambes à s’écarter, lui donnant ainsi le libre accès à la partie la plus chaude de mon corps. Ses doigts se déplacèrent au-dessus du voile triangulaire. Machinalement, j?ouvris encore un peu plus les cuisses. De ces doigts, il appuya sur le tissu inbibé, le faisant rentrer entre mes lèvres humides. Ayant ensuite contourné la frêle étoffe, il trouva facilement mon clitoris gonflé et l?agaça de son pouce. Il massa avec délicatesse mon bourgeon congestionné. J?étais comme en transe.

Alors que je commençais à avoir de délicieux picotements dans les reins, avec une certaine brusquerie, il saisit l?élastique de ma culotte et la fit descendre le long de mes cuisses. Ses doigts découvrirent mes lèvres intimes détrempées.

– ’Ma belle salope, tu es complètement trempée !’, me lance-t-il.

Avec fermeté, sa main prit possession de mon entre-jambes tout entier, n’épargnant pas un centimètre carré, du pubis à l’?illet anal. Rachid me faisait dégouliner de plaisir. (J?étais effectivement trempée) Ses doigts sur mon clitoris malmené enflammèrent mes sens un peu plus.

Rachid ressortit ses doigts gluants et les porta à ma bouche. Je fus déçue par son geste, mais je les embrassa. Il insista et força mes lèvres. Alors je les suça malgré tout pour ne pas le décevoir. Je me surpris à aimer les téter. Ses doigts sentaient mon odeur et étaient enduits de ma jouissance, cette effluve m?excita comme une folle.

Tandis qu’il recommençait à me doigter, je dirigea ma main vers son sexe. Après avoir constater le volume impressionnant de l’objet de ma convoitise, je baissa la fermeture éclair et je sortit l?instrument de son pantalon. Je n’avais jamais eu en main un si gros membre. (Sa bitte est beaucoup plus grosse et plus longue que celle de mon mari, Alain). Mon corps frémit à ce chaud contact. Curieuse, je me pencha pour mieux apprécier les dimensions imposantes de la queue de Rachid et je la pris en bouche sans trop de préliminaires. Il se laissa sucer deux ou trois minutes. Son sexe avait un goût âcre avec une forte odeur d’urine. J’avais les sens en ébullition. Puis il me repoussa et me demanda de me déshabiller entièrement.

— ’J’peux pas me mettre complètement nue, ici ? répondis-je en rougissant, … C’est très gênant !’

Ignorant mon refus, il passa ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge qu’il m’ôta habilement en disant:

— ’Fais pas ta mijaurée, personne viendra nous déranger.’

Je finis par lui obéir et j’enleva le peu d’habits qui me restait. Je retira alors ma culotte, qui était restée bloquée au dessus de mes genoux et quitta ma jupe, jetant le tout au sol et avec, ma pudeur, pour n?entendre que mon désir sournois. J?étais à poil dans ce salon et, excitée comme une guêpe. Je n?en éprouva pas de honte.

— ’T’es pas mal roulée ! Et j’aime bien tes gros seins en forme en poire, commenta-t-il en les prenant en main et en les soupesant.’

Il recommença délicatement à effleurer du bout des doigts mes pointes de seins, déclenchant à nouveau chez moi d?agréables frémissements. Il se pencha sur mon buste et me suça alors les bouts tout en me frictionnant les mamelles de ses doigts envoûtant.

Tout en dévorant ma poitrine, il m’entraîna sur le canapé et avec beaucoup de douceur, me fit allonger, me tirant les fesses au bord du siège. Je protesta sans beaucoup de conviction.

Il s’accroupit devant moi, releva mes cuisses en m’écartant les jambes et enfouit sa tête dans ma fourche. Profitant de ma passivité, il me mordilla les cuisses après avoir déposer de petits baisers. Il se rapprocha plus encore de ma chatte et, à grands coups de langue, lécha les sucs qui s?écoulaient de ma vulve. Je maintins mes jambes complètement écartées tandis que je me faisais copieusement brouter le minou. Le plaisir m?avait fait tout oublier, ma nudité et l?endroit où je me trouvais. Sa langue pénétra au plus profond entre mes lèvres dégoulinantes et mena une danse délicieuse. Pendant qu?il me branlait de ses doigts, sa bouche aspira mon bouton, ce qui me secoua fort.

Sans me laisser de répit, d’un doigt curieux et gluant de mon jus, Rachid chatouilla ma raie avant de pénétrer mon rectum. Je pensais qu’il allait se contenter d’un doigt dans cette brèche, mais, bien au contraire il accentua les va-et-vient de son doigt dans mon anus et, la bouche toujours vrillée à ma chatte, il enfourna alors un deuxième doigt et me ramona complètement les entrailles lubrifiées de ma mouille. Ma jouissance me surprit. J’étouffa de petits cris tandis que sa langue et ses doigts, unis pour mon plaisir, me déclenchèrent un orgasme fulgurant.

-’Oui, encore, m?entendis-je crier.’

Encouragé, il souleva d?une main mon bassin et je sentis alors sa langue descendre entre mes fesses et pénétrer mon anus. Pendant ce temps, les doigts, qui avaient quitté la place, s’activaient à nouveau sur mon pauvre clito enflammé. La manoeuvre me crucifia et m’arracha de nouveaux gémissements de plaisir.

Rachid me lâcha pour se relever. Il baissa rapidement pantalon et caleçon jusque sur ses chevilles, exhibant sa queue gonflée et s’allongea à mes côtés. Il embrassa mon visage, lécha mes lèvres et m’enfonça sa langue dans la bouche pour un baiser sensuel. Insatiable, il continua de me branler le minou, éperonnant de deux doigts mon vagin. J’étais à peine remis de ma précédente jouissance et il recommençais déjà à solliciter mes sens encore en émoi.

Sans lâcher mon sexe, il m’attira vers lui en me disant:

-’Viens me sucer maintenant !’

J?avais surtout envie de sa grosse queue au fond de mon sexe, mais il m?avait tellement excitée que je ne pouvais rien lui refuser. J’ai saisi le pieu et j?ai commencé à le branler lentement. Puis, je me suis redressée pour me courber vers son ventre. Je lui ai léché le gland quelques instants puis j’ai pompé son sexe dressé qui semblait défier ma bouche et j’ai accéléré mes va et vient. (Je fus obligée d’ouvrir les mâchoires au maximum tant son engin était large.) Au bout d?un moment, je l’entendis haleter et je sentis sa queue enfler encore dans ma bouche : il allait jouir. J?abandonna le pieux congestionné pour remonter mon visage vers le sien. On s’embrassa fougueusement, sa langue enroulant la mienne. Il en profita pour me caresser les seins qui pendaient au dessus de lui. (C?est fou comme j?aime ce genre de caresses)

Il me repoussa vers son sexe et je quitta, à regret, ses lèvres pour positionner à nouveau ma bouche sur sa queue. Tout en suçant en cadence le membre écarlate, d?une main, je branlais avec vigueur sa tige. Pendant ce temps il me doigtait le sexe et le cul de plus en plus vite. Je sentais que j?allais encore jouir.

Le phallus de Rachid était devenu énorme dans ma bouche et je me déchaîna. Il me tint par les cheveux pour que je ne puisse pas me dérober (je n?en avait pas eu l?intention) et il m’éjacula au fond de la gorge lâchant quatre ou cinq jets de foutre chaud, que j’avalais en suffocant. Quand il me libéra de sa queue, je pus décontracter ma mâchoire et reprendre ma respiration. Son foutre coulait de ma bouche.

Il lâcha enfin mon sexe et je posa ma joue sur son ventre. Mais d’une main, il repoussa ma tête vers son bas ventre et de l’autre il me présenta son dard encore bandé en disant :

— ’Suces moi encore, j?aime ça !’

Obéissante, j’engouffra sa bitte dans ma bouche et la suça avec délicatesse jusqu?à ce qu?elle retrouve de la vigueur.

Il bandait lorsqu?il me proposa de boire une coupe de champagne qui attendait dans un sceau rempli de glace. Encore toute étourdie (pas seulement à cause du champagne), je fus ravie quand Rachid présenta sa grosse queue à l’entrée de ma chatte détrempée et l’enfonça délicatement en moi. Je sentis (avec bonheur) sa puissante verge remplir complètement ma vulve. (elle n?avait jamais été aussi bien remplie) Il me besogna très fort et je me mis à jouir sans retenue.

Après un moment, Rachid cessa pour me retourner et je me retrouva à genoux sur le canapé. C’est pris en levrette que je reçus une nouvelle fois sa bitte au plus profond de moi.(je me souviens qu?il allait très loin) Comme il avait déjà joui dans ma bouche, il fut endurant.(j’avais l’impression qu’il ne s’arrêterait jamais) Je sentis sa bitte dure comme une barre d?acier écarter mes chairs les plus secrètes. J’avais l’impression que mon sexe s’ouvrait encore plus à chaque poussée et qu?il allait, à chaque coup, un peu plus loin dans mon intimité. J’étais un trou béant qui coulait et son pieu me comblait totalement. Un nouvel orgasme, encore plus violent que les précédents, me secoua.

Mon corps ébranlé se dérobait sous lui. Il me repositionna sur le canapé et s?arrangea pour que mes jambes soient encore plus écartées. Il retira son membre de ma chatte ruisselante, pour frotter de sa main mon sexe ruisselant. Il humecta, avec ma mouille, ses doigts, sans chercher à me pénétrer, avant de replonger sa queue en place. Avec ses doigts couverts de ma liqueur, il titilla mon trou du cul. Un de ses doigts lubrifiés de mouille s’y enfonça sans difficulté. Son doigt tourna dans mon fourreau étroit, assouplissant les parois. Un deuxième doigt (plus gros que le premier) suivit le même chemin, puis les deux ensemble, et il commença à me masturber le cul comme il l?avait déjà fait. C’était super, d’être ainsi remplie, sa queue dans mon sexe et ses doigts dans mon cul.

Mais il quitta assez vite l’endroit pour présenter son pénis bandé à l’entrée de mon ?illet dilaté. Je m’affolais quelque peu car j’étais presque vierge de ce côté là.(mon mari ne m?avait sodomisé que 2 ou 3 fois en 8 ans)

Je le supplia d’arrêter.

Les mains fermement accrochées à mes hanches, Rachid poussait doucement. Mon cul s’ouvrit avec peine devant le calibre imposant du vit. Mais il s’enfonça, centimètre par centimètre, me provoquant une vive douleur. Il me pénétra totalement, jusqu?à ce que son pubis touche mes fesses.(mon cul igné me faisait grimacer de douleur) Il laissa le temps à mon corps de s’habituer à son énorme cylindre. Sa verge resta plantée longtemps dans mes entrailles. Lentement, Rachid bougea en moi. Mais, cette sodomie, après m’avoir enflammé le cul, embrasa progressivement mon corps et mes sens. Je devenais comme folle et, tout à coup, je me mis à jouir sans discontinuer, orgasme sur orgasme, incapable de me maîtriser. La douleur qui m?avait taraudé, peu à peu, avait fusionner avec un plaisir perfide qui galopait dans mes reins. Ma fente ne put pas retenir le flot de jus qui s?écoulait le long de mes cuisses pour finir sur les coussins.

Rachid envahissait mes reins et augmentait régulièrement la cadence. Son ventre claquait sur mes fesses rebondies. Sans retenue, je mordis ma main pour ne pas crier. (Un marteau pilon défonçait mon cul.) La violence de cet assaut fut stupéfiante. Après un temps qui me parrut interminable, Rachid grossit encore dans mes fesses, se raidit et déversa sa semence au fond de mes entrailles en grognant, me clouant dans un ultime et interminable orgasme.

Nous restâmes longtemps sans bouger, Rachid couché sur moi, sa queue fichée au plus profond dans mon cul. Lorsque qu’il décula mon trou resta ouvert et son foutre s?écoula lentement de mon fondement.

Satisfaite, je le remercia pour cet hommage bestial d’un gourmand baiser.

Il m’indiqua un cabinet de toilettes. Je récupéra mes vêtements, sauf mon slip qui avait disparu, que je remis après une rapide toilette. Lorsque je refis apparition Rachid s’était lui aussi rhabillé et m’attendait en buvant du champagne.

Il était quatre heures de l’après-midi lorsqu’il me déposa, repue, devant le bureau.

Le lendemain, le contrat mirifique était signé et quelques jours plus tard, Rachid me téléphona. Il insista pour que l’on se revoie. Devant le peu d’enthousiasme dont je fis preuve, il insista, me rappelant les moments fous passés au restaurant.

Je restais sous son charme et finalement je céda et lui proposa de le rencontrer deux jours plus tard, le mardi en soirée, sachant que mon époux serait absent pour la nuit. Il fut convenu que Rachid m’attendrait devant son immeuble vers 19 heures.

Rachid me rappela quelques minutes plus tard et me dit ces quelques mots avant de raccrocher:

-’Carole,Fais moi plaisir, mardi, ne mets pas de culotte !’

A suivre (si vous le voulez)

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