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Mon harem au travail – Chapitre 2




Bonsoir, je me décide enfin à revenir pour raconter la suite de mes péripéties. Voyant que pour une première histoire, je ne m’en suis pas trop mal sorti, je vais donc raconter la suite de mon histoire.

Le lendemain après midi de cette soirée hyper excitante avec caroline, qui en parlant d’elle, m’avait envoyé un sms me disant un simplement " merci ", allez comprendre cette signification, j’ai compris en fait que cette dernière était parti en congé maternité. Hier soir donc était son dernier soir et quelle soir mes amis.

Nous sommes donc mardi après midi, mes horaires sont 14h 22h et cet après midi je bosse avec Armelle. Armelle, pour la décrire, il n’y a pas mieux que faire référence à Jennifer Lopez. En effet, Armelle, de religion musulmane, arbore un corps avec une poitrine, un peu plus généreuse que la star je dois dire, mais par contre un fessier, un beau petit cul bien bombe, qu’on aurait envie de sodomiser tout simplement. D’ailleurs, je fantasme beaucoup sur son cul. Elle a mon âge, brune yeux marrons.

Cet après midi là était une journée banale, Armelle finissait à 21h et donc du coup moi dans ma tête, après ce qu’il s’est passé avec Caroline,je me suis dit que je n’aurai aucune chance qu’une occasion se présente. Et pourtant… Armelle, n’aimant jamais rester assise à rien faire , avait, ce soir là, fait pratiquement tout le boulot du coucher, et du coup alors il me restait plus qu’une résidente à coucher après son départ. Il n’était que 20h30 alors quand du coup avec d’autres résidents, qui eux étaient autonomes pour se coucher, nous regardons la télé tranquillement. Je parle avec Armelle de tout et de rien puis elle se lève pour changer la chaîne de télé, et ce pour le plus grand plaisir de mes yeux. Elle est habillé d’un bas de survêtement moulant ses fesses vert, et d’un haut manche longue. Mes yeux ne quittent pas de vue ce beau fessier, et Armelle s’en aperçoit alors mais ne me dit rien bizarrement. Moi totalement gêné, je me lève pour aller voir si tout le monde dort bien.

Il est 20h45 et Armelle est dehors au téléphone, moi je ne cesse de penser à Caroline et sa fellation d’hier soir. Je vais pour m’asseoir sur la chaise du bureau des moniteurs mais je n’ai pas trop compris comment j’ai du me coller à Armelle qui elle voulait aller sûrement voir les autres résidents, mon bas ventre contre ses fesses. Je peux vous dire que mon pénis a immédiatement réagi durant le quart de secondes ou il a pu être en contact avec ce fessier, ce qui a déclenché chez moi un rouge pivoine mais chez Armelle rien du tout. Je me rassieds alors le pénis qui bande de plus en plus mais caché par le bureau, Armelle qui part voir les résidents, je comprend alors comment je me suis retrouvé coincé contre le beau fessier d’Armelle. Une résidente partait fumer son cigare du coup j’étais bloqué entre elle et Armelle à ce moment la.

Enfin bref, 20h55 arrive, Armelle a bientôt fini mais je ne l’ai toujours pas vu revenir. Les autres résidents présent vont tous se coucher alors et je remarque que le trousseau de clef de l’unité n’est pas la. Cela veut peut être dire qu’Armelle est au toilettes ou dans la réserve médicale. Voulant en avoir le coeur net je me dirige donc vers les fameuses toilettes, où hier soir j’ai reçu une fellation de Caroline mais la lumière étant éteinte, je me dirige alors vers la réserve médicale qui se situe en fait au fin fond d’un couloir. Et en effet, la lumière est allumé mais bizarrement la porte est fermée. C’est une porte munie d’un petit hublot pour voir à l’intérieur alors.

Je m’approche donc et regarde alors par le hublot et là… le spectacle le plus improbable que j’ai vu: Armelle debout, son bas de survêtement descendu, dos à la porte, son bras bougeant alors un peu plus vite, signe donc qu’elle se faisais du bien. Mon pénis atteint sa taille maximale, me fait mal dans mon jean, je regarde dans le couloir pourtant allumé mais personne ne fais attention à cette scène si excitante. Je regarde alors au travers du hublot mais je ne vois plus Armelle et c’est à ce moment là qu’elle ouvre poussant un petit cri et reculant.

" Marc ? Mais …Mais que fait tu ici?

— Je…Je voulais savoir ou tu étais c’est ton heure…et heu…

— Cela fais longtemps que tu es derrière la porte? me demande t’nelle toute gênée mais admirant alors la bosse forme dans mon jean

— Je …heu ….Non….enfin….oui mais non…

— Tu m’as vu c’est ça? dis elle un peu sèchement

— Écoute Armelle je t’assure que….

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’Armelle pose ses deux mains sur mon t-shirt et me pousse alors dans la réserve médicale.

— Écoute moi bien….Tu ne dois rien dire ok? J’ai eu…une dure semaine, les horaires s’enchaînent, mon copain, pas souvent là….

— Non mais calme toi hein Armelle bien sur, je ne dirais rien, mais…fais attention quand même la prochaine fois, dis je avec un petit sourire croyant pouvoir détendre l’atmosphère par le simple pouvoir de mon sourire.

— Tu dis rien ok? Toute façon je dirais que c’est de ta faute …

— Quoi? Ma faute? Mais qu’ai je fait? demandais je alors abasourdi

— Oh s’il te plaît ne fais pas le malin hein, tu crois que je te vois pas reluquer mon cul, et la bosse que tu as la? c’est pas en reluquant non? dit elle me montrant du doigt mon érection

-Wow wow wow oki oki j’avoue je suis repéré je matte ton cul oui et je peux pas mentir j’ai une érection oui, désolé mais…honnêtement tu as un …

J’allais dire le mot mais elle met son doigt sur ma bouche

— Surtout ne dis rien…. J’ai compris..

Malgré son doigt je dis:

— Heu…ok …bon ben tu vas y aller non ?

Armelle ne me répond pas et me sourit alors.

— Écoutes….tu me tiens, et je te tiens….on pourrait s’arranger non? dit elle se rapprochant de moi, son doigt se retirant de ma bouche, sa main se posant sur mon épaule, toute souriante.

Je sursaute gêné, n’en croyant pas du tout mes yeux parce que je peux vous assurer qu’Armelle au travail, c’est le modèle gentille employée qui travaille et ne dit rien, mais là je peux vous assurer qu’elle en dit des choses.

— Tu…et tu penses à quoi? demandais je

— Toi dis moi à quoi tu penses en voyant mon cul, dit elle souriante, s’écartant un peu et me montrant ses fesses ayant même l’audace de les prendre en main.

— Je…Je ne suis pas sur que tu veuilles entendre cela tu sais… dis je n’arrêtant pas de mater ses fesses.

— Dis toujours, ça m’intéresse je dois dire…me dit elle se retournant alors et s’avançant vers moi me poussant gentiment une main sur mon torse contre le mur, puis ses mains défaisant ma braguette

— Oh mon dieu…heu je peux pas dire quand même ….dis je réellement troublé de ses mains.

— Dis moi détend toi y a personne, dit elle s’agenouillant alors, baissant mon jean et mon caleçon, exhibant ainsi mon pénis.

Je la regarde faire alors tétanisé d’excitation et de surprise venant de sa part

— Tu veux pas me dire? me dit elle en me regardant et léchant mon gland alors.

— Ohhhh oo…je…je fantasme de ….hummm ohhhh oui…de sodomiser ton joli petit cul… dis je haletant de plaisir alors qu’Armelle donne des coups de langues sur mon gland

— Hum ben tu vois, on va pouvoir arranger ça mais d’abord…dit elle alors qu’elle engouffre mon pénis dans sa bouche.

Je gémis de plaisir la regardant faire, elle me suce avec un certain désir, adoptant de suite une allure vive concernant les va et vient. J’halete de plaisir ne voulant pas réveiller tout le monde, Armelle fait des bruits de succion digne de films pornos et je sens bien qu’elle bave aussi sur ma bite. Je ferme les yeux de plaisir de temps en temps alors puis soudain elle me masturbe.

— Bon allez …tu me sodomises vite fait, tu jouis dedans, et j’y vais dit elle me masturbant un peu avant de se relever de baisser son bas de survêtement et son string, puis de se coller, dos à moi, au mur d’en face, se cambrant bien.

— Allez Marc on n’a pas toute la nuit! me dit elle.

— Mais attend comme ça là…sans préparation? lui demandais je, voulant paraître poli malgré cette immense instant de sexe.

— T’inquiètes pas mon cul en a vu des queues allez dépêches, je dois partir…

Je ne me fais pas prier, voyant que je m’approche Armelle écarte au maximum ses fesses me montrant alors son anus.

— Et ne te trompe pas de trou ok? la chatte c’est pour mon mec…

— Ok dis je alors approchant mon pénis de l’anus, je crache dessus mais Armelle a l’air de s’énerver.

— Mais putain t’es con ou quoi! dit elle tenant mon sexe alors et d’elle même se le plante dans l’anus

Je n’en crois pas mes yeux ma bite entière s’y faufile sans réelles difficultés.

— Allez Marc grouille!

Je sors de ma rêverie et lui tenant les hanches je commence donc à la sodomiser là debout dans la réserve médicale. Armelle halète de plaisir, bougeant son cul contre ma bite aussi. Moi je crois défaillir, j’accélère mes va et vient dans son anus gémissant de plaisir aussi. Armelle gémit un peu plus fort et moi aussi.

— Ah oui défonce moi bien le cul Marc, putain oh! oui je la sens bien, allez viens dans mon cul, remplis moi le.

— Ah ouiiii ouiii continue, je te le défonce bien ton cul de salope je vais te le remplir tu vas voir.

— Oui ouii gémit elle

Je deviens fou, il n’y a pas de mots. Je prend fermement ses hanches et j’y vais de bon coeur, donnant des coups de reins vite et fort. Je commence à raler, le sperme monte direct, je la pistonne sauvagement, alors et au bout d’une dizaine de minutes de sodomie je me vide dans son anus en ralant de plaisir. Armelle gémit tout le long de mon ejaculation dans son anus. Une fois terminé, je me retire. Armelle soupire de plaisir avant de remonter tous ses habits.

— Hum à bientot Marc, ferme la réserve médicale pour moi tu veux?

Un petit bisou sur la joue, je me rhabille alors vite fait, reprenant mon souffle et mes esprits, me demandant si je ne rêve pas. Une fois arrivé sur l’unité, je couche alors ma derniere résidente, repensant à cette sodomie….tellement excitante….

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