Chapitre 1 : Fantasme de se toucher devant toute une classe
Je serais une étudiante en BTS dans un lycée privé pour fille et je me toucherais avec ma cousine assise à mes côtés, en l’embrassant en même temps. Madame Agnès notre prof de math nous surprendrait (une blonde coiffée en chignon, avec des petites lunettes lui donnant un air très strict, portant un chemisier, une jupe droite et des escarpins vernis) et nous ordonnerait de nous approcher, puis de nous pencher sur son bureau. Elle relèverait nos jupes, baisserait nos culottes et nous ordonnerait de reproduire ce que nous étions en train de faire devant toute la classe. Hésitante, on commencerait à glisser nos mains entre les cuisses de l’autre et dès les premières caresses, elle commencerait à nous fesser en nous traitant de tous les noms. Nos culs nous brûleraient et on serait morte de honte de nous satisfaire comme ça et dans ces conditions. Et pourtant ma cousine se mettrait à jouir la première.
Pour me finir, Madame Agnès m’ordonnerait de m’asseoir sur son bureau, m’obligeant à faire face à la classe. Ma cousine me saisirait par une cuisse et ma prof par l’autre, les deux me fesseraient en cadence tandis que je continuerais à me masturber sous ma jupe, devant mes spectatrices rendues silencieuses par ce spectacle fascinant. Je garderais ma tête baissée en subissant ça, trop honteuse de croiser le regard de mes camarades.
Fatiguée, la prof laisserait sa place à Sophie, cette petite blonde aux yeux bleus assise devant. Ne pouvant se caresser comme moi, c’est avec ses claques sur mes fesses et mes cuisses qu’elle libérerait sa frustration, tout en me fixant avec un sourire narquois.
Madame Agnès demanderait aux filles assises au fond de se rapprocher, pour voir comment les petites vicieuses sont traitées dans cette école. Elle m’ôterait alors l’une de mes chaussures et ma chaussette, pour frapper la plante de mes pieds et l’intérieur de ma jambe avec sa règle en bois. Mêlant mes gémissements de plaisirs à des cris de douleurs.
Voyant que je n’arrivais toujours pas à me finir, pour me motiver elle me menacerait de finir cette punition dans la cour devant toute l’école, si je ne jouissais pas avant la sonnerie de la récréation. Complètement paniquée, je m’allongerais alors complètement sur le dos, pour ne plus voir la tête de toutes ces filles qui avaient leurs yeux braqués sur mon bas-ventre, mais aussi pour m’enfoncer le majeur de la main gauche dans mon cul. J’entendrais alors des commentaires comme "Vous avez vu ? Elle s’est glissé un doigt dans l’anus !" suivi de "Mais quelle salope ! Je savais que c’était une fille comme ça dès le début.". J’aurais les joues encore plus rouge écarlate que mes petites fesses en entendant ces mots.
A 60 secondes de la sonnerie, la prof se mettrait à faire un compte à rebours avant d’exécuter sa menace et c’est au rythme des claques sur mes fesses et des morsures de la règle sur la plante de mon pied, que je malmènerais mon minou tout en me doigtant le cul. Dans les dix dernières secondes, toutes les filles se mettraient à compter en cur avec Madame Agnès et même Sophie cette peste, me motiverait en me disant "Allez vas-y sale garce, je sais que tu peux y arriver ! Je sais que tu peux faire jouir ta chatte de salope devant toute notre classe !". Et c’est sur cette remarque horrible sur mon intimité que ma pire ennemie me ferait jouir. Je crierais alors comme une folle, tandis qu’un puissant jet giclerait hors de mon intimité, arrosant au passage mes spectatrices.
Une fois repue de cet orgasme, j’ouvrirais les yeux et mes camarades autour de moi me regarderaient d’un air étonné, mais aussi dégoûté qu’on puisse prendre autant de plaisir à faire un truc pareil devant elles. Ma prof dirait alors "Allez les filles lâchez-la ! » et en s’adressant à ma cousine et à moi « Et que je ne vous y reprenne plus !". J’entendrais alors la sonnerie de la récréation et c’était à présent l’heure pour moi d’affronter dans la cour, les regards et les remarques sur ce que je venais de faire devant toute une classe d’un lycée pour fille.
Chapitre 2 : Punition chez la directrice
On était à genoux avec Tiphaine sous le bureau de la directrice, embrassant ses pieds et léchant le cuir de ses talons. Elle nous a précisé qu’elle aimait qu’on embrasse ses orteils qui dépassaient par les bouts ouverts de ses chaussures. On espérait que Madame Aguilar notre directrice, soit moins stricte que Madame Agnès notre prof de math (qui nous avait punies la veille), mais elle avait la réputation d’être beaucoup plus vicieuse quand il s’agissait de punir des élèves coupables de fautes à caractère sexuel, dans ce lycée pour fille qu’elle dirigeait.
Quand Madame Agnès nous avait emmenées vers son bureau ce matin-là, elle nous avait bien précisé de faire tout ce qu’elle nous demanderait de faire. Sinon la directrice appellerait nos parents pour leur raconter ce qui nous a valu d’être punies devant toute notre classe. Son inquiétude était contagieuse parce qu’avec ma cousine Tiphaine, on ne l’avait jamais vue aussi nerveuse jusqu’à maintenant.
Madame Aguilar était une femme brune qui avait la cinquantaine, elle avait des origines espagnoles qu’on devinait avec sa peau mate, que le rouge sur ses lèvres mettait en valeur. Elle a été enseignante toute sa vie et elle aimait dire qu’elle avait dressé beaucoup de petites perverses à sa façon. On na jamais vraiment compris ce que cela signifiait, mais en marchant au côté de Tiphaine dans ce long couloir silencieux qui menait à son bureau ce matin-là, on savait qu’on était sur le point de le découvrir.
On était toujours à genoux sous le bureau de la directrice et elle avait sorti ses pieds de ses talons, qu’on s’appliquait à lécher avec ma cousine. On passait nos langues entre ses orteils vernis en rouge, avant de les sucer comme des petites bites un par un. En plus de l’odeur du cuir et de transpiration, ses pieds sentaient une odeur de crème hydratante qui m’a rappelé celle que ma mère utilisait après sa douche. Cette pensée m’a rendue triste, mais ça, c’était avant que Madame Aguilar n’écarte ses jambes, pour que ma cousine et moi puissions admirer sa chatte très poilue sous sa jupe grise. Pendant qu’elle bougeait ses pieds de façon à nous obliger à lécher leur plante et leur talon, ses jambes s’écartaient plus, nous laissons voir ses petites lèvres roses qui dépassaient des grandes, à la couleur plus foncée que la peau de ses cuisses.
Elle s’est penchée sur le côté et en nous regardant, elle a demandé à Tiphaine de soulever ma jupe et de tirer le devant de ma culotte vers le bas. Madame Aguilar a alors glissé son pied avec ses orteils mouillés par ma salive sous ma chatte imberbe, avant d’ordonner à ma cousine de lâcher l’élastique. L’effet fut immédiat et je me suis mise à gémir sous cette caresse. Comme pour éviter de m’entendre, la directrice a mis son autre pied dans ma bouche et elle a ordonné à Tiphaine de venir la rejoindre. Cette dernière s’est exécutée en me faisant un petit bisou sur la tempe avant de sortir de sous le bureau, parce qu’elle était sûrement inquiète de ce que cette femme allait lui faire.
J’entendais la directrice ordonner à Tiphaine d’enlever ses chaussures et ses chaussettes, puis de faire la même chose avec sa culotte.
Madame Aguilar : « Très bien, donne-la-moi et assis-toi sur mon bureau ! Maintenant écarte les jambes !»
Je voyais les jambes de ma cousine pendre du bureau et les mains de la directrice ont saisi ses chevilles pour les poser sur ses accoudoirs.
Madame Aguilar : « Remonte ta jupe et caresse-toi ! »
J’entendais ces mots de la directrice, tandis qu’elle s’adossait à son siège et qu’au passage elle enfonçait plus profondément le bout de son pied gauche dans ma bouche, sans arrêter de caresser mon vagin avec le haut de son pied droit. Quand elle recourbait les orteils de celui-ci vers le haut, ses ongles me griffaient le vagin ou l’anus, ce qui me faisait sursauter et je me cognais la tête contre son bureau. Elle sortait alors son pied de ma bouche, pour me frapper méchamment la fasse avec ses orteils, l’enduisant avec ma propre salive. Avant de les enfoncer à nouveau en direction de ma gorge, ce qui provoquait chez moi des haut-le-cur et un long écoulement de salive, qui dégoulinait sur son talon avant d’imbiber la chemise blanche et la jupe plissée bleue que je portais.
Madame Aguilar : « Caresse-toi plus vite, utilise ton autre main pour jouer avec ton cul ! Passe ta main sous tes fesses si t’as du mal à atteindre ton trou !"
C’était le genre de choses que cette perverse demandait à ma cousine de faire. J’entendais Tiphaine gémir en lâchant des "Oui Madame la directrice.", à chaque fois que cette femme lui donnait un ordre. Au bout d’un certain temps, ma cousine a demandé à la directrice si elle pouvait jouir. Alors Madame Aguilar a retiré ses pieds de ma bouche et de sous mon sexe pour les poser sur la moquette, avant de tirer sa chaise pour mieux y caler ses fesses.
J’étais un peu déçu de ne plus sentir de caresses sur mon minou, mais ma déception s’est envolée aussitôt que j’ai vu qu’elle était en train de remonter sa jupe à deux mains. J’ai alors compris qu’elle a ensuite écarté les jambes pour que je vienne la lécher. J’ai longtemps demandé à faire ça à ma cousine, mais elle m’a toujours dit non parce qu’elle ne se sentait pas prête. L’instant d’après, la directrice a tiré Tiphaine par les cuisses en penchant sa tête sur son entrejambe.
J’ai commencé par faire des petits bisous à l’intérieur des cuisses bronzées de Madame Aguilar, sentant l’odeur musquée au fur et à mesure que je progressais vers sa chatte. Je voyais les jambes de ma cousine pendre à nouveau de chaque côté de la directrice. Ses orteils se tortillaient à mesure qu’elle poussait des gémissements, grâce aux coups de langue de Madame Aguilar qui faisait du bruit sur sa chatte vierge.
Comme j’ai mis trop de temps à la lécher, la directrice a passé une main sous son bureau. Ses doigts ressemblaient à des serres de rapaces avec ses ongles rouges taillés en pointe, qui se sont enfoncés dans mon cuir chevelu, au moment où elle a agrippé l’arrière de ma tête et l’a écrasé sur son intimité. J’étais tellement collée à sa chatte que j’avais du mal à remonter ma langue vers son clitoris, que je massais avec mon nez. Tandis que ses poils pubiens me chatouillaient le front et les joues.
J’ai bougé ma petite langue à toute vitesse au milieu de son intimité et ça a dû lui plaire, vu toute la liqueur qui s’échappait de sa fente pour rentrer dans ma bouche. Ça sentait très fort et le goût était très salé. Je l’ai entendu gémir, puis elle m’a caressé les cheveux, avant de remonter sa main pour mieux immobiliser les cuisses de Tiphaine, qui était en train de jouir en criant, tout en faisant craquer le bureau au-dessus de moi par ses soubresauts.
Madame Aguilar m’a demandé de sortir à mon tour de sous le bureau, elle a repoussé sa chaise en arrière et a remonté sa jupe sur ses hanches. Après elle m’a dit de me remettre à genoux, avant de positionner mon visage entre ses fesses. J’étais toute rouge en m’exécutant en pensant à ce que j’étais sur le point de faire. Elle a aussi demandé à ma cousine de se tourner et de se mettre à quatre pattes, le buste contre son bureau. Elle a relevé sa jupe plissée et a commencé à la lécher à nouveau dans cette position. De mon côté j’étais comme hypnotisée par cet il brun entouré de poils que j’avais sous les yeux, son trou était dilaté et en y approchant mon nez, j’ai senti que ça ne sentait pas la rose. J’avais peur d’avoir la nausée en le léchant et que ça me fasse vomir. Et comme avec sa chatte, la directrice a dû prendre les choses en main, en désignant d’un doigt impératif son anus et elle m’a dit "Lèche-moi le cul !".
Chapitre 3 : Autour de Madame Agnès
Après la jouissance de Madame Aguilar, Tiphaine est descendue de son bureau et elle a remis sa culotte. De mon côté j’ai demandé à la directrice si je pouvais avoir un mouchoir pour essuyer mon visage, mais elle m’a dit que ma punition serait aussi d’être maculée de son jus durant toute la journée, à la vue de mes camarades et de mes professeurs. Avec ma cousine, elle nous a envoyées nous mettre à genoux à côté de son bureau, pendant qu’elle attrapait des mouchoirs pour s’essuyer l’entrejambe. Elle a ensuite fouillé dans son sac à main et en a sorti une culotte qu’elle a enfilée. Elle a rajusté sa tenue, s’est rassise sur sa chaise et a appuyé sur un bouton de l’interphone pour rappeler Madame Agnès, qui attendait dans la pièce à côté où il y avait sa secrétaire.
Son bureau était redevenu silencieux, on entendait que les bruits du clavier de la directrice sur lequel elle pianotait et parfois le son d’un téléphone qui sonnait chez sa secrétaire. De mon côté j’avais envie de me laver le visage en sentant ma salive et la mouille de Madame Aguilar qui séchaient sur mon visage. Quand soudain on a entendu des bruits de talons claqués et la porte du bureau s’ouvrir.
Quand Madame Agnès est entrée, elle a à peine jeté un coup d’il vers Tiphaine et moi. Elle était assise jambes croisées en face de la directrice et elle portait ses escarpins noirs avec un pantalon de la même couleur, qui avait une coupe qui rendait ses jambes encore plus fines et longues. Comme haut, elle avait un chemisier couleur crème qui me semblait être en soie, avec un décolleté profond laissant voir un soutien-gorge en dentelle blanc.
Elle avait un air si sérieux avec ses lunettes en discutant avec la directrice. Parfois elle mordillait le capuchon de son stylo, quand elle réfléchissait avant de répondre à sa patronne. Une mèche blonde s’échappait de son chignon et retombait sur le côté de son visage, qu’elle replaçait d’une main derrière son oreille avec ses doigts délicats. La directrice était jolie, mais notre prof de math était magnifique et intelligente. Pas étonnant si la plupart des filles de ma classe (et sûrement de toute l’école) l’admiraient et/ou étaient amoureuses d’elle.
Quand je suis sortie de ma rêverie, Madame Agnès était en train de me fixer tout en continuant à répondre à Madame Aguilar, qui elle nous regardait en souriant. J’ai baissé les yeux et j’ai senti le rouge me montait aux joues. Durant un instant, j’ai eu peur qu’elle ait deviné ce que j’étais en train de penser sur elle. J’ai entendu la directrice dire à notre prof de math que si elle voulait se détendre un peu, qu’elle pouvait m’essayer parce que j’étais très douée pour relaxer le personnel de cet établissement.
Madame Agnès s’est levée et je l’ai entendue manipuler sa boucle de ceinture en répondant à la directrice, qu’il n’y avait pas que le personnel que j’aimais détendre, puis elles se sont mises à rire. Le bruit de son pantalon et de sa culotte qui glissaient le long de ses jambes se sont fait entendre, avant qu’elle ne se rasseye sur sa chaise. La directrice s’est levée à son tour et s’est rapprochée de ma cousine et de moi, avant de nous saisir par les cheveux et nous traîner à quatre pattes en direction de l’entrecuisse de la prof de math.
Le visage collé l’une à l’autre, Tiphaine et moi lapions comme deux petites chiennes l’entrecuisse de Madame Agnès. Nos langues se battant pour lécher la chatte aux poils blonds et le clitoris de notre prof. Même s’il s’agissait d’une punition, on savait avec Tiphaine qu’on avait une chance immense d’avoir le droit et le devoir de faire jouir cette femme sublime. Madame Agnès nous maintenait par l’arrière du crâne et nous ordonnait de la regarder pendant qu’on l’a léché. Tandis que Madame Aguilar avait soulevé nos jupes et a commencé à nous mettre une fessée comme pour rythmer nos coups de langue.
Je voyais Madame Agnès qui serrait les dents et son air derrière ses lunettes rectangulaires, ressemblait plus à de la colère qu’à de l’excitation. Comme elle nous faisait flipper, avec ma cousine on accélérait nos coups de langue sur son intimité trempée et elle s’est mise à fermer les yeux et à gémir de plus en plus fort.
Elle nous a repoussées juste avant de jouir. Elle a aussi repoussé sur le côté avec ses pieds son pantalon et sa culotte, puis elle s’est mise debout perchée sur ses escarpins et a agrippé la chevelure rousse de Tiphaine pour qu’elle se remette à la lécher. Elle s’est ensuite mise face au bureau cuisses écartées, sur lequel elle s’est appuyée d’une main et elle s’est tournée vers Madame Aguilar en lui demandant de me forcer à lui lécher l’anus. Celle-ci m’a aussi agrippé par les cheveux et m’a traînée de force comme si je n’étais qu’un objet.
La directrice m’a mis des baffes en m’insultant parce que j’étais désorientée et que j’ai mis du temps pour me mettre en position. Madame Aguilar a saisi ma tête à deux mains pour que je fasse des allers retour avec ma langue dans le trou du cul rasé de l’autre femme. Elle a continué à faire ça même quand je me suis mise à pleurer et que c’était mon visage qu’elle enfonçait à présent dans la raie de ma prof de math. J’ai entendu Tiphaine crier, parce que Madame Agnès venait de jouir en lui pissant sur le visage, trempant le devant de sa chemise et de sa jupe plissée.
Quand on est sorties de là, on était encore en pleurs avec Tiphaine. Madame Agnès marchait entre nous et nous tenait par le bras. On était tellement traumatisé par ce qui venait de se passer dans le bureau de la directrice, qu’on se fichait des autres élèves que l’on croisait dans les couloirs et qui devaient dévisager ces deux filles aux cheveux en pétard, avec la tronche maculait de… on ne sait plus trop quoi et dont l’odeur (surtout celle de Tiphaine) faisait retourner les foules avec un air de dégoût.
Chapitre 4: De retour dans notre classe
Le reste de la punition s’est faite devant le reste de notre classe. Avec Tiphaine on était assises à notre bureau que Madame Agnès a fait monter sur l’estrade, pour qu’il soit à côté du sien. On s’asseyait face à la classe, le devant de la jupe remonté et coincé dans l’élastique à la taille. Notre prof nous a confisqué nos sous-vêtements et nous a obligées à écarter les cuisses pendant qu’on notait nos leçons comme les autres élèves.
Parfois Madame Agnès s’approchait de nous et vérifiait que nous travaillons correctement. Alors elle posait sa main sur notre épaule qu’elle faisait glisser jusqu’à notre cou, quand elle voulait qu’on se penche pour lire ce qu’il y avait écrit sur nos cahiers. Elle nous posait des questions sur la leçon en cours et lorsqu’elle était satisfaite de notre réponse, elle nous caressait le cou. Nous donnons des frissons quand ses doigts venaient effleurer nos clavicules. Ce geste avait l’air affectueux et réconfortant dans un premier temps, mais lorsqu’elle voyait quon navait pas compris la leçon, elle se mettait derrière nous et passait ses mains devant pour faire sauter un à un les boutons de notre chemise. Elle faisait ça tout en continuant à nous interroger calmement.
Ma cousine et moi étions complètement paniquées quand elle arrivait aux boutons au niveau de notre poitrine. Et comme le trac n’améliorait pas notre intelligence, bien au contraire, elle écartait alors délicatement l’ouverture de nos chemises avec ses doigts très fins. Mes yeux à ce moment-là faisaient des allers-retours entre mon cahier et mon soutien-gorge et ma culotte, qui étaient posés dans un coin de la table. J’étais morte de peur à l’idée de me retrouver seins nus devant les autres filles, qui ne perdaient pas une miette de notre strip-tease forcé.
On avait tellement le trac que Madame Agnès finissait par se relever et plonger ses deux mains dans nos chemises pour palper nos poitrines à pleines mains. Ma cousine et moi nous mettions alors à sursauter en criant, avant de nous effondrer en larme à cause de la honte d’entendre les rires de nos camarades. La leçon était vraiment très longue et très compliquée, et notre Prof s’est bien amusée avec nous en malmenant nos seins devant toute la classe. Ceux de Tiphaine étaient déjà bien développés pour son âge et on voyait sous sa chemise que Madame Agnès pinçait et tirait sur ses tétons, pendant qu’elle l’a questionnée en murmurant tout près de son oreille.
Notre punition a été levée à la fin de ce cours et en nous rhabillant devant tout le monde, on a fait très attention en remettant nos soutiens-gorge, tellement nos poitrines nous faisaient mal. On a eu très honte en remettant nos culottes, quand Madame Agnès a fait remarquer à toute la classe les traces de mouilles qu’on a laissées sur nos chaises. Nos camarades se sont approchées et Sophie a passé son doigt dedans pour le renifler et dire aux autres qu’il s’agissait bien de ce que ça semblait être. On gardait la tête baissée en rajustant notre tenue, avec les joues devenues écarlates en entendant les remarques des autres filles, à propos de l’excitation qu’on a eue en se faisant humilier comme ça devant elles.
Une fois notre bureau remis à sa place, Madame Agnès a mis tout le monde dehors sans oublier de nous rappeler à Tiphaine et à moi de ne plus recommencer nos petits jeux pervers. Elle nous disait ça, en nous raccompagnant vers la sortie, tout en glissant ses mains par-derrière et sous nos jupes, en nous caressant la chatte à travers la moiteur de nos petites culottes en coton blanc.