Après cette nouvelle partie de jambes en l’air, nous nous endormons tous les deux très rapidement dans nos duvets respectifs, après nous être rhabillés, épuisés comme si nous avions baisé pendant deux heures alors qu’en fait, cela n’avait duré qu’une petite demi-heure, pas plus. Seulement, comme nous étions des débutants, notre endurance était encore parfois assez limitée, mais cela nous convenait très bien comme ça.
Le midi, nous nous arrêtons pour manger sur une aire d’autoroute et, vu le comportement de nos parents, il est clair qu’ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé au-dessus de leurs têtes pendant le trajet. En imaginant la tête qu’ils auraient pu faire s’ils m’avaient vu en train de sodomiser ma petite sur, je ne peux m’empêcher de laisser échapper un petit sourire.
Bref, nous mangeons rapidement puis reprenons la route, comme si de rien était.
Le soir, nous nous arrêtons à une trentaine de kilomètres de la frontière, aux abords d’une forêt, ce qui nous permettra de passer une nuit très calme. Par contre, plus nous nous rapprochons de la France et, curieusement, plus il fait chaud, si bien que, quand je vois Marion enlever son minishort et son tee-shirt avant de dormir, j’ai très envie de la manger de haut en bas. Elle le remarque aussitôt, m’adresse un sourire coquin puis, comme les parents sont juste en bas, nous nous arrêtons là, et nous nous contentons de nous remémorer intérieurement les batifolages du matin même.
Le lendemain, il fait toujours aussi chaud, si bien que nous ne pouvons rester dans la capucine car c’est limite irrespirable. Nous passons donc une grande partie du trajet en bas, à bouquiner, papoter, et à jouer à la console. Quand nous arrivons en France, nous saluons notre retour sur notre beau territoire à grands coups de klaxons et de rires, ce qui semble faire du bien à tout le monde car, globalement, nous en avions marre de rouler depuis plusieurs jours.
Seulement, après la pause de midi, alors que nous reprenons la route après une rapide pause sur une aire, le sommeil se fait ressentir et, s’en apercevant, ma mère nous propose d’aller dormir dans leur chambre, puisque nous pourrons ouvrir légèrement la fenêtre pour avoir un peu d’air.
— T’es sûre que ça vous dérange pas ? Je demande.
— Mais oui, allez-y, vous y serez bien !
Je la remercie d’un signe de tête puis, avec Marion, nous nous dirigeons dans la chambre, et à peine la porte est refermée derrière nous que je me jette sur elle pour l’embrasser.
— Tu sais, je suis vraiment fatiguée, me dit-elle entre deux baisers.
— C’est ça, moi aussi…
Je la prends aussitôt dans les bras et la dépose sur lit avant de me coucher sur elle pour continuer de l’embrasser. Seulement, alors que mes mains se glissent sous son tee-shirt et se posent sur ses seins, elle me repousse gentiment.
— Pas maintenant, sil te plaît…
Elle se lève aussitôt et se dirige vers la fenêtre pour l’ouvrir de quelques centimètres. Aussitôt, de l’air frais se glisse dans la chambre, et Marion se tourne vers moi.
— Ça me donne une idée !
Sans que je n’aie le temps de faire quoi que ce soit, Marion se débarrasse de son tee-shirt, puis ouvre le rideau de la fenêtre, se dévoilant ainsi en soutien-gorge aux automobilistes que nous croisons sur cette portion d’autoroute.
— Qu’est-ce que tu fais ? Je lui demande.
— Je m’amuse !
Je la regarde alors exhiber sa poitrine sans rien dire, amusé par ce drôle de spectacle puis, quand je la vois enlever son soutien-gorge et qu’elle continue de s’afficher ainsi aux automobilistes, je n’en reviens pas.
— Ça a l’air de plaire ! S’exclame-t-elle alors que des bruits de klaxons résonnent autour de nous.
Elle commence ensuite à se tripoter les seins tout en continuant de regarder dehors puis, finalement, après quelques minutes de spectacle supplémentaire, elle referme le rideau, et se laisse tomber sur le lit, hilare.
— T’es complètement tarée, tu le sais, ça ? Je demande.
— Je sais, mais j’ai fait des heureux, à mon avis !
Je rigole à mon tour puis ma bouche se pose sur le téton de son sein gauche que je me mets à suçoter.
— Jai dit non, frangin, j’ai envie de dormir ! Répète-t-elle en me repoussant à nouveau.
— T’es chiante…
— Je sais, prends ton mal en patience, mon mignon…
Sur ses dernières paroles, Marion remet son soutien-gorge puis elle s’allonge sur le lit avant de dormir. Quant à moi, comme je n’ai pas le choix, je l’imite et, quelques minutes après, nous dormons tous les deux, bercés par les secousses de la route, et par le bruit des voitures qui nous entouraient.
Le soir, il est aux alentours de dix-neuf heures quand nous nous arrêtons dans un camping qui se situe dans les Landes, sur un terrain ombragé, peuplé de pins. La journée de route a été longue, c’est pour ça que mes parents optent pour un peu de confort afin que nous puissions profiter des douches du camping.
Aussi, dès que nous nous installons à notre emplacement, Marion et moi attrapons nos serviettes et affaires de toilette, et nous nous dirigeons vers les sanitaires du camping.
Une fois de plus, je ne peux m’empêcher de constater que ma sur attire les regards de beaucoup de personnes et nombreux sont les garçons qui, sur son passage, se retournent pour la reluquer des pieds à la tête.
Alors que nous arrivons à une cinquantaine de mètres des sanitaires, une voix derrière nous nous interrompt.
— Alors, ça t’a amusé de montrer tes nichons à tout le monde ?
Interloqués, nous nous retournons aussitôt, et tombons nez à nez avec deux garçons un peu plus âgés que nous. L’un est brun, la peau tannée par le soleil, et barbu, et l’autre a le crâne rasé et est taillé comme une allumette. Ils étaient tous les deux habillés d’un tee-shirt et d’un short, et ils étaient plutôt beaux mecs, ce qui, à mon avis, n’échappa pas à Marion.
— Tu crois qu’on t’a pas reconnue ? Demanda le brun à Marion.
— De quoi vous parlez ? Je réponds.
— De ta frangine qui s’est amusée à montrer ses seins sur l’autoroute, tout à l’heure. On a reconnu votre camping-car quand vous êtes arrivés ici…
— Ouais, et d’ailleurs, t’es plutôt bien gaulée, rajoute le crâne rasé.
— Vous vous trompez de personne, désolé. Viens, Marion…
Je la prends par la main et, alors que nous nous dirigeons à nouveau vers les douches, le brun nous interpelle à nouveau.
— Non, on se trompe pas. Je suis mécano, figure-toi, donc je suis physionomiste avec les bagnoles…
— Et moi, je sais reconnaître une jolie nana quand j’en croise une…
— Laissez-nous tranquilles, je rajoute.
— Pas de problèmes ! Si ça te convient pas, on va aller raconter ce qu’on a vu à papa et maman, je suis sûr qu’ils seront contents de savoir ce qui se passe dans leur dos pendant que papa conduit…
— Qui vous dit que c’est ma sur ?
— Tu veux prétendre le contraire ?
Alors que je m’apprête à répondre assez sèchement, Marion m’interrompt.
— Qu’est-ce que vous voulez ? Demande-t-elle aux deux garçons.
— Je sais pas, faire connaissance, par exemple, répond le crâne d’uf.
— On a pas le temps de…
— Attends…
Marion se penche aussitôt vers moi, et me glisse à l’oreille.
— Ça m’excite…
Je la regarde alors avec des gros yeux car je ne peux pas croire ce que je viens d’entendre. Et pourtant, quand je la vois se diriger vers eux en leur tendant la main, je réalise que je ne suis pas en train d’halluciner.
— Moi c’est Marion, dit-elle.
— Salut, moi c’est André, et mon pote c’est Fred.
— Vous êtes en vacances dans le coin ?
— Non, on remonte d’Espagne, on passe seulement une nuit ou deux ici, pas plus, et vous ?
— Nous aussi on revient d’Espagne, on y a passé deux semaines avec nos parents…
— OK, et ton frère qui dit rien, comment il s’appelle ?
— C’est Quentin.
— Enchanté, alors…
— Ouais, c’est ça, je réponds. Maintenant, on va aller prendre notre douche, donc…
Je prends Marion par le bras mais, une fois de plus, elle me repousse pour s’adresser aux garçons.
— Ça vous a plu ce que vous avez vu, tout à l’heure ?
— Tu parles de tes nichons ? Demande André.
— Exactement.
— Ouais, c’était très mignon, faut être culottée pour s’afficher comme ça !
— Je sais, j’aime bien surprendre, de temps en temps…
— Et toi, me demande Fred, ça te dérange pas que ta sur fasse ça ?
— C’est-à-dire que…
— On a fait pire que ça, tous les deux, coupe Marion en souriant.
— Ah, je vois, on est tombés sur un sacré numéro, j’ai l’impression !
— Tu te trompes pas, ouais.
Marion marque un temps d’arrêt, regarde André, puis Fred, puis à nouveau André avant de reprendre la parole.
— Vous me montrez votre emplacement ?
— Marion !
Cette fois-ci, je la prends par le bras et l’emmène de force à l’écart.
— Qu’est-ce que tu fais ? Je demande.
— Ils sont mignons, non ?
— Peut-être, mais…
— Il y a pas de mais, j’ai envie de m’amuser un peu, j’ai le droit, non ?
— Avec des inconnus ?
— Oui, c’est ça qui est excitant !
— Je trouve pas…
— Écoute, il y a deux possibilités : ou tu me laisses m’amuser avec eux et tu diras aux parents qu’il y avait du monde aux douches, ou tu viens avec nous, c’est clair ?
— Mais j’ai pas envie de…
— Tu m’emmerdes !
Aussitôt, Marion retourne vers Fred et André qui nous regardaient sans broncher.
— Alors, on va où ?
— Par là-bas, répond Fred en indiquant une direction.
Je vois aussitôt ma sur marcher avec ces deux inconnus et emprunter un petit sentier qui s’enfonce entre plusieurs rangées de pins. D’abord énervé contre elle, j’ai très envie de la laisser se débrouiller avec eux mais, d’un autre côté, c’est aussi mon rôle de la protéger, donc je ne peux pas la laisser seule avec eux.
Finalement, je décide de les suivre et je marche quelques mètres derrière eux. Quant à Marion, je la vois rire et échanger avec Fred et André, et j’ai une idée très précise de ce qui va se passer par la suite.
— On est arrivés, finit par dire André.
Nous arrivons juste devant une grande tente igloo, avec une 306 grise garée à côté, sur un emplacement qui se trouve dans une impasse, un peu à l’écart des autres, en bordure d’une haie de cyprès, et le voisin le plus proche se trouve à une trentaine de mètres de nous. Bref, c’est l’emplacement idéal pour ne pas être vu.
— Vous voulez boire quelque chose ? Propose André.
— Non, merci, on a pas beaucoup de temps, répond Marion.
— Pas beaucoup de temps pour quoi ? Réplique Fred.
— À ton avis ?
Marion pose sa serviette et ses affaires de toilette par terre puis elle s’approche des deux garçons.
— Je vous ai excité tout à l’heure, non ?
— C’est vrai…
— Eh ben, vous savez quoi ? Je vous retourne le compliment !
Aussitôt, Marion enlève son tee-shirt qu’elle envoie valdinguer derrière elle, se retrouvant ainsi en soutien-gorge, puis se met à genoux entre Fred et André. Quant à moi, je regarde autour de nous, et c’est avec soulagement que je constate que personne ne nous regarde. De toute façon, Marion est cachée par la voiture donc, heureusement, personne ne pourrait la voir ainsi, mais par contre, on pourrait nous entendre, ce qui n’a pas l’air de la déranger.
— T’es majeure au moins ? Demande André.
— Oui, t’en fais pas…
Sur ses bonnes paroles, Marion entreprend d’ouvrir la braguette du short d’André qui se laisse faire sans broncher, puis elle en fait de même avec Fred.
— Allez, les gars, montrez-moi vos engins !
Je n’en reviens pas de ce qui est en train de se passer mais, quelque part, voir ma sur s’occuper de ces deux inconnus ne me déplaît pas complètement, au contraire. Quand elle m’a dit tout à l’heure que cela l’excitait, je dois avouer qu’il en est peut-être de même pour moi, et quand je vois Fred et André sortir leurs sexes de leurs caleçons et les présenter à la bouche de Marion, je suis peut-être aussi un peu jaloux.
— Eh ben, ils sont gâtés par la nature, ces deux messieurs !
Aussitôt, Marion prend le sexe d’André en bouche, tout en astiquant frénétiquement celui de Fred, et elle inverse les rôles à plusieurs reprises en quelques minutes. Quant aux garçons, pendant qu’ils se font sucer et branler, ils en profitent également pour la débarrasser de son soutien-gorge afin de lui tripoter les seins.
— Putain, t’es douée ! S’exclame André.
— Merci, mon frangin me le dit souvent, répond Marion en me regardant en souriant.
Elle reprend ensuite la bite d’André en bouche, et elle le branle en même temps que celle de Fred qui ferme les yeux de plaisir. Moi, c’est officiel : voir ma sur s’occuper ainsi de ces deux garçons m’a donné la gaule, et j’ai très envie d’être à leur place. Je pourrais aussi me joindre à ce trio, mais être spectateur plutôt qu’acteur était finalement tout aussi excitant, comme lorsque Marion avait batifolé avec la jolie Mélissa quand nous étions encore en Espagne.
— On peut s’occuper un peu de toi, nous aussi ? Propose André.
— Si tu veux…
Aussitôt, André s’écarte de Marion puis, il se met à son tour à genoux et glisse une main dans le short de ma sur, avant d’entamer une série de doux mouvements.
— C’est déjà trempé, là-dedans ! S’exclame-t-il.
— Je vous ai pas menti quand je vous ai dit que vous m’excitiez, répond Marion, haletante.
— Je vois ça…
Je vois ensuite André baisser le short de Marion jusqu’aux genoux, dévoilant ainsi une petite culotte noire qui finit elle aussi baissée.
— C’est mignon tout ça, remarque André en admirant le sexe rasé de ma sur.
— Tu peux jouer avec, s’il te plaît tant que ça, propose Marion, avant de reprendre la bite de Fred en bouche.
— Je vais me gêner !
Aussitôt, André recommence à tripoter le sexe de Marion et, rapidement, il y glisse deux doigts à l’intérieur, avant d’entamer un léger va-et-vient.
— Ça te plaît ? Demande-t-il à Marion.
Ma sur lui répond en hochant la tête, la bouche toujours occupée par l’engin de Fred, et André en profite pour accélérer la cadence de ses mouvements, tout en lui caressant les seins de sa main libre.
Moi, je le regarde faire avec envie, et aussi avec une gaule d’enfer que j’ai très envie de soulager, mais j’avoue que le fait d’être en plein air, en plein milieu d’un camping où n’importe qui pourrait nous surprendre me refroidit un peu.
Quant à Marion, vu comment elle ne tient pas en place sous l’assaut des doigts d’André, heureusement qu’elle a la bouche pleine, sinon, tous les voisins l’entendraient gémir de plaisir.
— On peut échanger ? Demanda André à Fred.
Ce dernier accepta d’un signe de tête et se retira de la bouche de Marion, rapidement remplacé par celui d’André qui, pour intensifier cette fellation, fait des va-et-vient avec son sexe dans la bouche de ma sur. Pendant ce temps-là, c’est au tour de Fred de lui doigter la chatte avec deux doigts, tout en lui tripotant le clitoris de sa main libre et, une fois de plus, Marion ne tient pas en place.
Ainsi, pendant cinq minutes supplémentaires, Fred et André alternèrent plusieurs fois de place pendant que moi, je continuais de les regarder faire, tout en surveillant autour de nous, et en regardant aussi l’heure sur ma montre car je ne voulais pas que nous nous éternisions ici, de peur que nos parents s’inquiètent de ne pas nous voir revenir des douches, décident de partir à notre recherche et nous voient tous les deux ici. Ce qui me rassura, c’est que Marion aussi n’avait aucune envie qu’on traîne trop ici, et elle le prouva à un moment où Fred se retira à nouveau de sa bouche.
— J’aurais bien aimé que vous me baisiez, les gars, mais on va pas avoir beaucoup le temps, et…
— On en a pas l’intention, t’en fais pas, répondit aussi André.
— Ah bon ?
— Oui, et si tu veux qu’on arrête maintenant, ça nous dérange pas…
— OK…
J’étais autant surpris qu’elle par cette révélation, mais également soulagé. Cependant, quand Marion essaya de se redresser, André l’en empêcha doucement en lui tenant l’épaule.
— On peut au moins se finir, non ?
— Oui, si vous voulez…
— Reste à genoux alors, ma jolie, et ouvre la bouche.
Marion obéit aussitôt, et les deux garçons se mirent chacun d’un côté avant de se branler, tout en dirigeant leurs sexes vers la bouche de ma sur. Quelques secondes après, de longs jets blancs visqueux atterrirent sur sa langue, ses lèvres, et également sur son visage, ce qui la fit sourire. Moi, voir ma sur pleine de sperme, ça m’excita encore davantage, et je ne tins plus.
— Attendez…
Je m’approchai alors à mon tour de Marion, baissai rapidement mon short et, en me voyant sortir mon sexe pour le diriger vers elle, Marion sourit à nouveau.
— Ça m’étonnait que tu ne participes pas, dit-elle, amusée.
Tellement excité par ce que je viens de voir, il ne me suffit que de trente secondes pour cracher la purée et, une fois de plus, Marion avale goulûment ma semence, tout comme celle de ses deux précédents prétendants. Décidément, elle est de plus en plus surprenante et entreprenante.
— Merci, ma jolie, c’était très sympa, dit Fred en se rhabillant.
— Ce fut un plaisir, Messieurs. J’aurais aimé avoir plus de temps à vous consacrer pour que vous puissiez me baiser, mais…
— Même si on en avait eu, on l’aurait pas fait, déclara André.
— Pourquoi ?
— Eh ben…
En guise de réponse, André attrapa Fred par la taille, l’attira à lui, et l’embrassa tendrement devant nos yeux ébahis.
— Vous êtes…
— Homos, effectivement, et fiers de l’être !
— Ça alors, je m’y attendais pas ! Pourtant tout à l’heure, quand vous m’avez dit que vous m’aviez reconnu…
— On avait aucune idée derrière la tête, on voulait juste te faire un peu la morale en disant que c’était pas bien de faire ça, etc, seulement…
— Quand on a vite compris que tu étais chaude comme la braise, on s’est dit que ça faisait longtemps qu’on s’était pas amusés avec une jolie fille, du coup…
— On a joué le jeu !
— Bien joué, j’y ai vu que du feu ! Toi aussi, frangin ?
— Oui, je confirme…