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Ma soeur, le couvent – Chapitre 1




Je naurais jamais du entrer au couvent. Après la perte par accident de mon chéri, jai eu un coup de cafard. Je me suis tournée vers la religion trop rapidement. Mon confesseur aurait du me prévenir, comme la mère supérieure. Je nai pu tenir quun mois à peu près. Un soir dans ma cellule, je me suis souvenu davant : jai eu envie de retrouver le plaisir physique.

Jai à peine soulevé ma chemise de nuit, je me suis à peine touchée en bas du ventre, ma main a retrouvé le chemin du ravissement. Oui en le disant vulgairement je me suis branlée. Jen ai joui. Le lendemain jen avais un peu honte, je me suis confessée. Je ne devais pas être la seule puisque laumônier ma vite absout. Je nétais juré de ne plus refaire cette vilaine chose. Le surlendemain je recommençais. Cétait délicieux, charmant. Jajoutais même un petit supplément : jentrais mes doigts dans lanus, là où mon chéri aimait mettre sa queue, avant.

Au réfectoire, la nouvelle sur est près de moi. Pendant la lecture de saintes écritures, elle est tête en lair ; je remarque que sa main droite est souvent sous sa robe quelle a remontée. Son bras indique quelle sacrifie au plaisir. Je ne suis pas la seule. La nuit bien tombée nous retournons ensemble vers nos cellules. Nous sommes voisines. Jai la mauvaise idée de lembrasser légèrement. Un tout petit sourire triste doit me suffire.

Sur ma couche je reprends mon activité solitaire favorite. Jai en tête cette gamine. Il me semble quelle doit elle aussi se caresser, et même penser à moi. Les jours passent lentement. Lhiver est là. Ma voisine a un problème, elle vient toquer à ma porte en pleine nuit, elle entre rapidement. Elle a froid, voudrait que je la réchauffe. Que fait une âme chrétienne charitable ? Elle lui ouvre son lit. La brave enfant est contre moi. Si elle se réchauffe, moi elle me chauffe.

Je lentoure de mes bras, je lui donne un tout petit baiser. Nos bouches se rencontrent. Je sens le gout de sa langue, de sa salive. Je ne retiens plus mes mains. Je la caresse partout. Elle ne sattendait pas à ça.

Si je ne suis plus vierge depuis longtemps, elle lest encore certainement. Le sexe est loin de ses préoccupations, même si elle sait se caresser. Je lexcite doucement. Elle me laisse faire, vaincue par le début de plaisir différent du sien. Et puis quest ce que je risque ? De toute façon elle est ma première fille. Je ne veux que lui apprendre de bonnes choses, bandantes comme dirait mon chéri. Je me risque à passer ma main sur ses seins. Ils durcissent, le contraire maurait étonné. Elle se dessale rapidement quand elle me caresse aussi. Elle me donne envie de jouir pas seule cette fois, avec elle.

Je viens lécraser sous moi, la bouche dévore ses lèvres. Mon désir est trop fort, je passe une main entre ses jambes. Elle me laisse faire, je trouve sa faille. Elle est toute mouillée. Là, je ne peux abandonner ce corps dans létat où il est. Je la masturbe doucement. Il frémit, elle se tend totalement sous la caresse précise. Elle serre ses cuisses sur ma main : elle jouit sans un bruit sinon un léger soupir.

Je nattends pas longtemps sa réponse. Elle me caresse depuis les seins jusquaux mollets Elle passe vite le bas ventre comme si elle en avait peur. Et puis non, elle revient, cherche un peu avant de mettre toute sa main sur ma féminité. Je suis aussi tendue quelle. Elle ne sait pas trop branler, elle me fait du bien quand même. Enfin elle agite bien ses doigts. Je suis raide quand lorgasme attendu arrive.

Jen veux encore, je vais lui faire ce que mon chérie me faisait, que jadorais entre autre. Je me tourne écarte sa jambes : elle est étonnée. Encore plus quand ma bouche se pose à cet endroit oh combien privé. Elle a une bonne odeur de foin, de guimauve, de sexe, de mon envie. Le bout de la langue senroule dans sa chatte. Létrangeté de la caresse la laisse inerte quand elle jouit. Jai une maîtresse, moi qui dans le civil était presque hostile aux lesbiennes.

Je nose pas lui demander la suite que jaimerais bien. Elle y pense seule : je reçois ses lèvres avec gourmandise. Quelle me lèche, quelle me fasse jouir, que je décharge ma cyprine dans sa bouche, quelle me mange totalement. Je nen peux plus.

Je suis sur elle, en 69, elle ne connait pas cette position bien sur, moi jaime. Il me semble dans lobscurité que son petit trou me fait signe. Je ne résiste pas à cet appel, mes doigts caressent doucement son petit anus. Ma langue est dans son vagin étroit ; elle est toujours vierge. Je passe sur le périnée, elle ouvre doucement son cul. Elle se doute de la suite. Elle a un gout à peine différent de ce coté. Ma langue elle ne fait pas de différence, elle, jentre dans son cul facilement. Je pistonne ses fesses uniquement avec la langue : elle part dans un inévitable orgasme.

Il faut que je la force pour quelle me masturbe lanus. Bien avant laube elle me quitte sur un baiser sur la bouche. Presque tous les soirs, elle me rejoint, elle a besoin de mon corps pour bien jouir. Dés fois elle me montre comment elle se masturbe, cest charmant. Un soir, elle me fait rire : elle veut que je la dépucèle avec un cierge assez gros. Comment dépuceler une fille ainsi. Je la laisse ainsi, elle nen a pas besoin, ni moi Nous nous faisons jouir avec nos doigts et nos langues ça suffit pour le couvent.

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