Nous sommes finalement partis en vacances aux Canaries, cet archipel espagnol en Atlantique, au niveau de la Mauritanie.
Là bas, sur des plages volcaniques encore laissées désertes par un tourisme de masse ravageur, se sont installés quelques rares hôtels dits « resorts ». C’est dans l’un d’entre eux que nous avons réservé notre séjour.
Cet hôtel est naturiste, exclu aux enfants, il est d’orientation très libérale. Chacun fait ce qui lui plait, mais la circulation dans l’hôtel se fait toujours nu ou très légèrement vêtu. Les maillots de bains traditionnels sont bannis ; les femmes portent des voiles translucides en guise de paréos ou des tenues plus étudiées et outrageusement sexy. Les hommes portent au maximum un pagne léger.
Au bout de quelques jours, j’ai pu constater chez toi un changement d’attitude. Après quelques réticences à la nudité tu t’y es mise avec le sourire. Quant aux soirées, si nous n’avons participé à aucune, elles ont déchaîné ta libido et nous ne nous endormons pas sans avoir fait fougueusement l’amour. Je retrouve la braise que j’ai épousée, inventive, insatiable, baiseuse invétérée : Tu me suces avec voracité, tu me demandes de te « pilonner », « défoncer », pour ne reprendre que quelques uns de tes termes. Naturellement je ne me fais pas prier et les adjuvants médicamenteux de couleur bleu que j’ai emmenés avec moi ne nous aident pas à ralentir la cadence !
La scène se passe l’après-midi du quatrième jour. Depuis le déjeuner, tu conserves un mutisme hautain et je redoute encore une bouderie pour une obscure raison. C’est la raison pour laquelle je te laisse seule et vais me prélasser autour de la piscine de l’hôtel et de son bar à rafraîchissements.
C’est une piscine carrée de 8 mètres de côté avec un bassin moins profond de 3 sur 3. Tout autour sont disposés les transats et les lits à baldaquin.
C’est à 16h que tu fais ton entrée. Toujours mutique, fière comme une déesse, et merveilleusement nue. Je ne discerne pas ton regard derrière tes lunettes de soleil ni sous ton chapeau de paille aux larges bords.
Ce que je remarque en revanche c’est combien ta peau déjà joliment brunie brille de mille éclats ; tu t’es généreusement enduit le corps de cette huile scintillante que je t’ai offerte.
Lentement, tu fais le tour de la piscine, détaillant les hommes, tous nus bien entendu.
Finalement, tu viens t’allonger sur une chaise longue à côté de moi, encore ébahi par le spectacle. Et pour rajouter encore à ma stupéfaction, tu relèves les jambes et les écartes d’un angle large, offrant ainsi à la vue de tous ta délicieuse chatte épilée quasi intégralement à part un mince ticket de métro sur le pubis.
Il faut dire que le bain de soleil que tu choisis permet, grâce à ses accoudoirs très relevés, de laisser reposer les jambes dans cette position très obscène, relevées et très écartées, sans se fatiguer.
Ton petit manège n’est pas passé inaperçu et les hommes autour du bassin regardent désormais tous dans ta direction.
Rapidement, compte tenu de la chaleur qui règne, un léger voile de moiteur a rendu ton corps encore plus scintillant au soleil. Je vois ton ventre se soulever au rythme de ta respiration un peu plus rapide.
Tu n’as toujours pas dit un mot, lorsque ta main droite descend vers ta chatte et entreprend de la caresser ! Le spectacle devient encore plus intéressant. Tes gestes sont un peu exagérés et je comprends que tu pars dans une exhibition sensuelle.
Rapidement, tu joins ton index et ton majeur et tu te pénètres lentement la chatte avant de te masturber à la vue de tous. Tes doigts vont et viennent, ce qui contribue à accélérer ta respiration, faire luire d’excitation ta chatte et se redresser de leurs transats tous les hommes autour du bassin.
Tu es là, allongée, ouverte comme rarement je t’ai vue et tu te pistonnes la chatte avec deux doigts ! Je bande comme un âne en te regardant et je n’ose regarder les autres hommes qui doivent être dans le même état que moi.
Toujours muette, tu tournes la tête de mon côté et entrouves la bouche. C’est un appel que je comprends : en me rapprochant, agenouillé à côté de ton transat, je te donne ma bite à sucer. Dieu que tu suces bien ! Ta langue lèche ma queue, descend jusqu’à mes testicules puis titille le frein et le gland. Et toujours tes deux doigts qui vont et viennent. Je gémis, les yeux mi-clos :
« _ Oh, oui ! suce-moi bien ! J’adore te voir te doigter devant tout ce monde
Après quelques rares minutes de plaisir égoïste, je rouvre les yeux : les hommes autour du bassin sont désormais autour de nous, certains la queue en main se tripotent déjà. Tous ont les yeux braqués sur ta chatte mouillée, juteuse, entrouverte, qui les hypnotise.
Tu lâches alors mon sexe et prononce ces mots sans retour :
_ Amène-les moi tous un par un ; je veux qu’ils jouissent tous en moi. »
Je ne te reconnais pas ! Mais cette transformation me semble plutôt enfin la révélation de ta véritable identité sexuelle.
Je me lève alors et m’approche d’eux ; ils sont sept en tout, déjà dressés pour toi. Il y a des clients bien sûr et même le barman qui est sorti de derrière son bar, un beau black avec une sacrée grosse queue (on ne conteste pas un cliché qui marche !).
Pour ton plaisir, je décide de les classer par taille ; c’est donc notre professionnel des cocktails qui termine la file.
Dès cet instant, pendant je ne sais plus combien de temps, tous ces hommes viennent sur toi. Les deux premiers te pénètrent rapidement, un peu trop sans doute et ne tardent pas à éjaculer à l’intérieur de ta chatte. Toi, tu commences à gémir et à bredouiller des « oui ! » et des « c’est bon ! ».
Le troisième s’avance ; il a une belle bite, arquée, veineuse et assez large ; il remonte encore tes jambes et t’enfile directement. Il faut dire que les deux premiers ont copieusement juté en toi ! C’est alors que celui qui venait de jouir a l’idée perverse de se présenter au niveau de ta bouche, la queue encore dégoulinante de sperme.
Tu te jettes sur sa bite pour sucer les dernières gouttes de sperme et tu lui rends un sexe reluisant. La vision de cette splendide femme en train d’essorer la bite qui sort de sa chatte fait exploser ton partenaire et lui donne envie d’en profiter à son tour. Il est immédiatement remplacé par un grand allemand au sexe plus fin mais bien plus long qui t’arrache de forts gémissements.
Pour patienter plus agréablement, les trois restant se font sucer la queue par les femmes restées spectatrices de ta performance ; aucune bien sûr ne suce son compagnon attitré.
L’Allemand te pistonne à grand coups de bassin ; à chaque fois, son sexe ressort presque entièrement avant qu’il te l’enfourne jusqu’à la garde d’un coup sec. Entre ta mouille et le sperme qui remplit ta chatte, il fait un bruit liquide :
_ »floc, floc » fait ta chatte comblée.
Tu lâches un moment la bite que tu as fini de nettoyer, tu te tournes vers moi et me dit :
_ Ah ! si tu savais ce qu’il me met ! il me défonce ! je le sens qui tape au fond ! Ooooh, c’est bon !
_ Tant mieux, ma chérie, je veux que tu te fasses défoncer comme une petite salope.
_ Oui, je suis une salope qui aime la bite !! »
C’est sur ces mots que l’Allemand bûcheron laisse éclater en toi sa jouissance ! Ton sexe déborde de foutre, c’est magnifique !
Immédiatement, il vient réclamer le nettoyage de sa bite dégoulinante, et le numéro 5 vient prendre sa place. Un bel Italien, svelte, avec un mandrin parfaitement dressé et lubrifié par la fellation que vient de lui faire l’épouse de l’Allemand.
Il te baisse le bassin au bord du transat, se met à genoux et commence à te baiser lentement. C’est une douce torture car cette lenteur te frustre d’un orgasme qui s’annonçait. Enfin, une de ces dames, la copine de ton partenaire, prend pitié de moi et de mon érection d’acier depuis que je te vois te faire emmancher par tous ces mecs.
Elle s’approche et me prend suavement la bite dans sa bouche non sans la léchouiller de manière mutine, ses yeux perdus dans les miens. Je me déconnecte un peu de ta performance A peine noté-je que l’Italien préfère t’éjaculer sur le corps et se répand en de nombreuses giclées sur ton ventre et tes seins que tu te mets à masser pour étaler dessus tout ce foutre.
Le sixième n’est qu’une formalité tant la fellation qu’il a reçue pour patienter l’a mis en état d’excitation. Après quelques rapides va-et-vient, il éjacule lui aussi sur toi, avant d’aller se faire nettoyer la queue par ta bouche toujours aussi vorace. Simplement, ce rythme rapide qu’il a mis à ses derniers mouvements viennent de te faire jouir en un cri rauque. Ton corps tressaute et tu hurles un tonitruant « _Ouiiii ! ». Depuis tout à l’heure, tu suces en même temps que tu te fais baiser.
Mais tu n’as pas le temps de trop redescendre sur terre. J’indique à ma suceuse une pause car voici que se présente à toi notre barman africain, un solide sénégalais, doté d’un engin monstrueux. Son sexe paraît doté d’une vie à part tant il se balance et se dresse par à-coups au bas de ses abdominaux saillants. Tu as cessé de sucer ton précédent partenaire, tu reprends à peine et péniblement ta respiration, mais tu sembles passive, attendant ce morceau de chair en toi.
Puissamment, il te recule dans le transat, rejoint tes jambes et les remonte au point que tu puisses toucher tes genoux.
Il se met à genoux et entreprend d’engouffrer sa bite dans ta chatte, centimètre par centimètre. Tu souffles car le diamètre de 5 à 6 cm n’est pas fréquent ! Il finit par tout te rentrer ! au moment où tu te prends la totalité de cette bite monstrueuse longue de pas loin de 20 cm dans ta chatte, ma suceuse me reprend en bouche !
Lui commence ses mouvements et te pistonne de plus en plus vite !
Tu n’es plus qu’un objet, un vide-couille pour sa puissance virile !! il te démonte la chatte et pourtant toi tu couines ton bonheur, ponctué par des « oh oui ! » en cascade ! Tu n’es qu’une chatte, qu’une femelle offerte aux mâles du bassin et tous t’ont couverte de foutre ! tu n’es qu’une poupée désarticulée sous l’énorme pieu que ce black t’enfonce frénétiquement dans la chatte.
L’Italienne m’indique que je dois la baiser sur le champ ; à côté, je remarque deux couples de femmes qui se bouffent la chatte avec avidité ! L’italienne se positionne en levrette et cambre son cul. Elle prend ma bite et la présente à son anus. Je pousse un peu et la porte s’ouvre ! Quel délice ! j’encule une femme devant ma femme qui se fait démonter la chatte par un grand black !
Tu pars alors dans ton second orgasme, plus terrible encore que le premier tandis que ton amant du moment sort et gicle une fontaine de sperme sur toi ! Pour ma part, après quelques rapides mouvements, n’y tenant plus, je remplis de sperme le cul de mon Italienne.
Tout le monde autour de nous jouit de concert, se baigne et se met à discuter. L’apéritif s’annonce charmant !