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initiation accidentelle… – Chapitre 7




« A vrai dire, cest pas trop mauvais ce jus »

« Vraiment ? »

« Ben oui ! » je finis par détacher ma main de son sexe mais il y en avait trop dessus pour que je le lèche. « Comment on va se nettoyer maintenant ? »

« Tinquiète pas, jai prévu des mouchoirs » il sorti un mouchoir en coton quil avait dans sa poche et me le tendit « tu me le repasse après ? »

on sessuya ainsi avec le mouchoir qui fut vite remplit.

…suite:

« Tu en as sorti beaucoup ce coup-ci »

« Ben, comme dit, javais de drôles de sensations dans ta bouche. Cest comme si javais sorti le maximum tellement cétait bon. »

« Ça fait quand même peu par rapport à quand tu fais pipi. »

« Je sais, mais ça na rien à voir. Quand je suis dur, je fais pipi très difficilement alors que mou comme ça, cest beaucoup plus facile mais jai pas de plaisir quand je fais pipi »

« Ah ! Mais quand tu te retiens longtemps et que tu tiennes jusquà la limite de faire dans ton pantalon, tu nas pas de plaisir quand tu fais ? »

« Ben non ! Je ne me suis jamais retenu aussi longtemps. Pourquoi ? Toi, ça tarrive ? »

« En fait, ça mest arrivé hier. Quand on jouait à cache-cache. Pendant que vous me cherchiez, javais en fait envie de faire pipi mais je me suis retenue pour ne pas que vous me trouviez. Quand vous êtes partis mangé, jai pût enfin me soulager et là, ça ma fait extrêmement de bien de me libérer un peu comme tout à lheure mais quand même en moins fort. En plus, jai fait pipi longtemps et loin. »

« Ah bon ? »

« Oui, je crois que je navais jamais été aussi loin. »

« Tu veux bien me montrer alors ? »

« Ben, jai toujours pas envie. »

« Pourtant, javais limpression que tu faisais quand je tai léché ton bouton. »

« Je nai rien senti pourtant »

« Cest vrai aussi que ça ne sentait pas le pipi »

« ça doit être comme toi, tu as des gouttes qui sortent avant, ça doit être pareil pour moi. je dois libérer un liquide qui me dois faire moins mal quand on fait ça »

« Cest possible, mais je trouvais que ça faisait beaucoup »

« ça va, tu tes pas noyé non plus » dis-je en riant. Il sourit aussi.

« Dis, je peux te demander quelque chose ? Me demanda-t-il une nouvelle fois.

« ça dépend. Quest-ce quil y a »

«Bben maintenant quon a fait tout ça, quon sest montré nos zizi et tout le reste, je peux voir tes néné ? » je restais bouche bée. Dans le fond, cest vrai quon venait de se découvrir plein de chose mais sa question me choqua sur le coup. Jallais me retrouver entièrement nue devant mon cousin si jacceptais.

« Sil te plait » Me supplia-t-il

« Bon. Si tu veux. » Il me regardait de nouveau comme un grand enfant à qui on avait accordé une friandise.

    Je me levais et fis glisser les bretelles de ma robe sous mes bras puis baissa mon haut je me retrouvais ainsi en soutien-gorge. Cétait un soutien-gorge en coton blanc, adapté pour ma poitrine jeune et ferme. Alors quon sétait tout montré, javais quand même une certaine réticence à lenlever. Me voyant hésiter, T. senhardi :

« attends ! Je peux toucher avant sil te plait ? » Incrédule face à cette question, jacquiesçais machinalement.

Il ne se fit pas prier et avança ses mains. Il arriva avec une main sur chaque sein. Il ne fit que les poser dabord. Puis il les caressa.

« Houaa cest doux. » Un frisson me prit. Encore une fois, cétait la première fois quon me les touchait. Là aussi, cela me faisait bizarre avec de nouvelles sensations. Au fur et à mesure de ses caresses, je senti mes tétons durcir sous ses doigts. Sen apercevant, il commença à jouer avec à travers le tissu, me procurant de nouveaux frissons qui descendirent dans mon bas ventre. Ses caresses me faisaient du bien et je voyais doucement son sexe reprendre de la vigueur. Je passais mes mains derrière le dos et dégrafa mon soutien-gorge. Il le fit alors tomber pour regarder ma poitrine.

« A part les seins de la mariée tout à lheure, jen avais jamais vu avant. »

« Même pas ceux de ta mère ? »

« Non ! Elle est trop pudique pour ça. Elle ferme tout le temps la salle de bain à clé, et elle ne se promène jamais en sous vêtement. »

« ca à lair de te décevoir »

« Ben des copains me racontent parfois ce quils voient de leurs mamans. »

«Cest-à-dire »

« Ben certains voient leurs mères en sous-vêtements voir un de mes copains qui fait du naturisme avec ses parents nous a dit avoir déjà vu beaucoup de chose. Mais il navait pas le droit de nous raconter. »

    tout en parlant, il ne quittait pas mes seins du regard. Après les avoir observé, il rapprocha une nouvelle fois ses mains pour les poser sur ma chair. De nouveaux frissons apparurent. Jeu presque la chair de poule. Ses mains étaient chaudes et douces. Il sy prenait doucement. Je regardais son sexe qui avait repris une dimension plus que raisonnable.

« ils sont doux » me dit-il. « On dirait d la peau de pêche. »

Il samusait à en faire le tour, les caressants, les palpant parfois, sattardait sur mes tétons tendus en les pinçant, les chatouillant. La chaleur de mon bas ventre revint, ma respiration saccelléra. Je me pinçais les lèvres pour ne pas lui montrer ma gène.

« Quest ce qui se passe ? Ca te fais du bien mes caresses ». il avait quand même remarqué mon excitation grandissante.

« Eh bien oui, japprécie comme tu fais. Ça me fait des frissons et les mêmes sensations quavant »

« Ah bon ? Attends alors »

    Avant que je nai pu faire un geste de recul, il se pencha et me prit un mamelon dans la bouche. Il commença à le titiller avec la langue, le mordiller entre les dents. Cela mélectrisa. Enflant la chaleur de mon bas ventre. Je sentais les nouvelles vagues de plaisir arriver. Je naurai jamais pensé que les seins dune femme pouvaient être aussi source de plaisir. De mon frère et mon oncle, je ne les avais pas vus sattarder dessus.

    T. samusait avec sa langue, se mettant à aspirer comme je lavais fait avec son sexe. Celui-ci se tenait presque devant moi. Il avait repris son ardeur maximum. Je tendis le bras pour lui saisir et fit des mouvements de va et viens. T. passa aussi une main sous ma robe et la dirigea vers mon sexe. Jécartais les jambes pour lui faciliter le passage. Javais de nouveau besoin de retrouver ce plaisir abandonné il ny avait pourtant pas si longtemps. Sa langue continuait son jeu, il passait dun sein à lautre caressant lautre avec sa main libre. Sa main sous ma robe avait retrouvé ma fente et mon bouton.

    Mon cur était reparti dans un galop effréné, ma respiration allant au rythme de ses attouchements. Je me surpris à lui coller son visage sur ma poitrine en lui caressant sa chevelure.

« Huumm » lâchais-je en même temps. Ma main continuait comme je pouvais ses va et viens sur son sexe mais mon esprit était maintenant focalisé sur les déferlantes qui arrivaient. Il avait trouvé comment me procurer le maximum de plaisir avec sa main sur mon bouton. Je me surpris à faire des mouvements du bassin pour être à lunisson des mouvements de sa main.

« Huummm oh oui ça revient. Continue. » Lui dis-je. Il ne se fit pas prier, continuant de jouer avec sa langue et une main sur mes tétons et de lautre à enflammer mon bouton jusquà la douleur qui se transformait aussitôt en vague de plaisir de plus en plus forte. Ma main accélérait son mouvement sur son sexe et je lentendis aussi gémir. Je me sentis franchir la limite de non-retour et me laissa submerger une nouvelle fois par mon plaisir. Jeu deux ou trois spasmes qui me firent serer les jambes sur sa main. Je parti une nouvelle fois « de lautre côté » quelques instants me déconnectant totalement. Quand je repris le dessus ; mes jambes étaient toujours serrées et ma main toujours sur son sexe. Je desserrai le tout pour lui rendre sa liberté de mouvement.

« Eh bien dis donc, cest toujours aussi fulgurant ? Je nai même pas eu le temps denlever ma main. Et puis regarde, quand je dis que tu mouilles, ma main est toute mouillée. »

En effet, il avait sorti sa main de mon entrejambe et me la montrait luisante dun liquide qui nétait pas de lurine car aucune odeur ne sen dégageait.

« Je ne sais pas ce que cest et je quand jai ce plaisir, je ne sens plus rien et je me laisse aller. »

On resta perplexe sur ce que cétait quand jobservais que le sexe de T sétait ramolli depuis que je lavais laissé.

« Tu ne tes pas lâché? » demandais-je

« Ben Javais commencé à me sentir bien et puis à la fin tu me faisais mal et tu me las serré très fort. »

« Comme je te disais, je ne savais plus ce qui se passait. Ça va mieux maintenant ?»

« Oui. Mais jai envie de faire pipi maintenant »

« Ben ta quà faire là où tonton la fait. »

« Mais toi, tu ne veux toujours pas faire ? »

« Ecoute, je vais te regarder, peut être que cela va me donner envie »

« Daccord ! »

Il se déplaça pour aller faire son besoin, je me levai et me réajustait en remettant mon soutien-gorge et le haut de ma robe correctement puis le suivi. Il se mit en position et attendit. Son sexe avait repris un peu de vigueur et se tenait droit. Après un bref instant je lui dis :

« Ben alors ? Tu es de nouveau coincé ? »

« Oui, quand je suis dur comme ça, ça ne sort pas facilement »

    Il se tint ainsi quelques longues secondes avant que napparaissent quelques gouttes à lextrémité de son gland qui jaillirent. Puis encore un jet après de nouveau quelques secondes. Puis la fontaine partit en un long jet ininterrompu. Ce coup-ci, le voir faire pipi me troubla. Son jet était dru, bien droit et allait loin. Il se dégageait lodeur si particulière de lurine que lon pouvait sentir quand on faisait soi-même ses besoins. Mais là, cétait quelquun dautre. Je ne sais pas ce qui me prit, javançais ma main pour lui tenir son sexe. Je sentais le liquide passer dans son membre dans une sorte de veine qui faisait toute la longueur en son centre. Il était également plus chaud.

    Ma main alla vers le gland et passa à travers le jet, éclaboussant partout. La chaleur de lurine était encore plus flagrante. Jamais je naurais songé à jouer avec mon pipi, mais ici et dans ces conditions, cela me faisait vraiment tout drôle. Ma main repassa sur le devant. Je lapprochais ensuite de mon visage. Je devenais folle. Je sentis ma main pour mieux mimprégner de cette odeur caractéristique et chose inimaginable, je sortis ma langue pour gouter. Chose encore plus inimaginable, jaimais ce gout âpre et salé que je venais de recueillir. Je léchais une seconde fois pendant que T. finissais de faire pipi. Son sexe faiblissait.

« Attends ! » lui dis-je.

Et avant quil ne puisse réagir, je me mis devant lui pour maccroupir et lui prendre son sexe en bouche. Je me délectai ainsi des quelques gouttes qui lui restait. Jaimais vraiment ce gout. En même temps, son sexe recommença à durcir sous mes coups de langue.

«Y a pas à dire, jaime quand tu me fais ça » dit T. mais jarrêtai car je ne voulais pas recommencer comme tout à lheure au vu du volume que son sexe prenait.

« Mais pourquoi tu tarrêtes ? »

« Ben je croyais que tu voulais me voir faire pipi ? » prétextais-je.

« Vraiment tu veux bien »

« Tu veux voir oui ou non ? »

« Daccord, mais je veux voir de près. Je veux voir sortir de ton petit trou. Tu veux bien taccroupir sur le tronc ? »Il me regardait

de nouveau de son air suppliant.

« Si tu veux »

    es sensations de mon ventre revinrent me torturer. Il voulait me voir faire pipi de près. Jallais lui dévoilé une partie des plus secrète de mon intimité. Certes il mavait vu la veille mais à travers des buissons et de plus ou moins loin. Mais bon, moi aussi javais pu le voir faire de près et même toucher. Mon esprit était des plus confus avec tout ce qui cétait passé jusquà maintenant. Toutes ces nouvelles sensations, ces nouvelles odeurs, ces nouveaux touchés, ces nouvelles expériences de la vie que jétais en train de vivre ne me faisaient plus réfléchir correctement. Je me déplaçais presque comme un zombi vers le tronc darbre et monta dessus. Je me retournais et maccroupis en remontant bien ma robe. T. se positionna devant moi en me regardant dans les yeux. Puis il les tourna vers mon entrejambe. Il était à dix centimètre de mon sexe.

« Attends, tu veux bien écarter ton kiki sil te plait, je vois pas bien. »

Alors tenant ma robe dune main, je positionnais lautre sur mon sexe, lécartant avec deux doigts en forme de v inversé.

« Ouhhaaa comme ça je vois bien » la position nétait pas des plus idéales mais je me tenais bien droite. Alors, jouvris les vannes pour faire pipi mais cela prit quelques temps avant que cela ne vienne. Cela faisait bizarre. Je sentais mon pipi partir de la vessie et parcourir mon ventre. En dehors de cette situation, je ny aurais jamais prêté attention. Mais là, devant limpatience de mon cousin, tout semblait aller au ralenti. Le liquide me semblait mettre un temps fou pour parcourir les quelques centimètre de mon corps qui lui permettait de se libérer. Enfin, les premières gouttes arrivèrent puis la fontaine jaillit. Il sagissait bien dun jaillissement. Cétait la première fois que jentendais mon pipi sortir ainsi. Le fait davoir écarté les lèvres de mon sexe faisait que mon jet était plus dru et allait plus loin en émettant un bruit aigu. T. ne perdait pas une miette du spectacle. A dix cm de mon orifice, il était tout à son bonheur. Je le vis alors approcher la tête jusquà sentir son souffle. Et alors, il sorti la langue sur le trajet de ma pisse. Cela éclaboussa mon sexe et le bas de son visage. Il rentra sa langue pour déglutir puis il se rapprocha de nouveau la bouche ouverte ce coupci. Que voulait-il faire ? Jeu la réponse quasi instantanément. Il fit rentrer le jet dans sa bouche. Jétais une nouvelle fois stupéfiée. Il attendit deux ou trois secondes avant de reculer puis de fermer la bouche. Mon jet pendant ce temps-là faiblit pour bientôt sarrêter. Il me regarda dans les yeux avant de déglutir en deux fois ce quil avait prît en bouche. Ce quil venait de faire maurait certainement fait vomir deux jour plus tôt mais après avoir vu tant de choses et découvert tellement de nouvelles sensations en si peu de temps que je lenviais plutôt davoir osé le faire. « Humm y a pas à dire, cest vraiment bon » dit-il.

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