Antoine devait pas mal d’argent à Henry.
L’important n’était pas vraiment la cause de cette dette, même si le jeune homme avait dû fournir des explications à Gabrielle, sa petite amie, mais le montant de la somme due, le fait qu’Henry n’acceptait plus de délai pour quêtre remboursé, et, surtout, que le jeune couple n’avait pas un sou en poche. Henry, plutôt irrité, avait convoqué Antoine. Face à l’impossibilité de remboursement immédiat, il avait proposé un arrangement en nature sans laisser au jeune homme d’autre choix que d’accepter : le remboursement de la dette, c’était Gabrielle. Elle devait être disponible pour lui à chaque fois qu’il l’exigerait, jusqu’au jour où il estimerait que la dette soit complètement remboursée.
Gab avait été furieuse lorsque Antoine, se confondant en excuses, lui avait exposé la situation en la suppliant d’accepter. Pour le punir, elle l’avait banni de son lit.
L’idée avait fait son chemin et avait commencé à exciter la jeune femme : seule sous la couette, la nuit, elle se caressait en s’imaginant offerte à cet homme qu’elle ne connaissait pas. Des perspectives torrides naissaient de son imagination débordante. Elle finissait à chaque fois par mouiller et marquer le traversin qui faisait office de substitut à l’absence de mon petit ami condamné à jeûner. Elle avait fini par annoncer un soir à Antoine qu’elle acceptait, mais qu’elle, j’espérais que cela lui servirait de leçon, de la savoir baisée par un autre homme.
Puis la première convocation est arrivée.
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Gabrielle porte une tenue légère ce soir-là. Une robe estivale colorée plutôt courte et entièrement boutonnée par le devant. Le décolleté laisse généreusement voir la naissance de ses petits seins dont la pointe imprime le tissu. Elle ne porte jamais de soutien-gorge. C’est inutile, il n’y a presque rien à soutenir.
Henry a convoqué, plus qu’invité, le jeune couple dans sa maison de campagne. Une grande demeure de pierre au milieu d’une vaste propriété, bordant la mer.
A peine arrivés, et plus pour se venger qu’autre chose, Gab glisse à l’oreille d’Antoine :
Je crois que je suis en train de mouiller ma culotte !
L’attente n’est pas très longue devant la porte, un homme vient ouvrir. Un employé d’Henry. Le visage sévère et anguleux, il a une carrure de rugbyman. Il fait entrer le couple puis, à peine franchi le seuil, il leur annonce qu’il doit commencer par les fouiller.
Toi le premier, dit-il à Antoine.
Il lui fait écarter les jambes, lever les bras, puis il passe ses mains le long de son corps mince et fin, de ses jambes. Sa main remonte entre ses cuisses. Il lui empoigne les testicules à travers le jean en les serrant fermement. Antoine lâche un cri de surprise et de douleur.
C’est bon, au tour de ta copine.
Il s’approche de la jeune femme, lui fait prendre la même position humiliante que celle dans laquelle il a fouillé Antoine, puis il commence à la palper impudiquement, en prenant tout son temps, cette fois-ci.
Il lui caresse longuement la poitrine. Gab a fermé les yeux, sa respiration s’est faite plus fort.
Les mains du garde descendent le long de son corps, de son ventre, caressent ses petites fesses fermes, puis elles se glissent sous sa robe.
Gab se laisse faire sans protester.
L’homme caresse sa culotte un petit moment, puis :
Tu mouilles, petite salope, je t’excite ?
Elle ne répond pas. Il explose de rire.
Allez les tourtereaux, suivez-moi !
Il conduit le couple dans un vaste salon meublé de façon très kitsch et m’as-tu-vue. Positions lascives ou suggestives, des femmes nues semblent danser une ronde lubrique depuis les toiles qui ornent les murs. Un feu de bois irradie la pièce plongée dans la pénombre. Le maître des lieux est là, en peignoir, il trône assis dans un canapé près de la cheminée. Tel un monarque, il fait signe au couple de s’approcher.
Tu sais pourquoi tu es là ? Demande-t-il à la jeune femme d’une voix autoritaire.
Elle parvient à bredouiller un "oui… Monsieur" en guise de réponse. Elle baisse les yeux pour ne pas avoir à soutenir son regard d’aigle.
Il la dévisage des pieds à la tête, elle sent ses yeux inquisiteurs envisager déjà son corps.
Henry se tourne vers Antoine et ordonne :
Fous-toi à poil, toi !
Antoine obéit. Il retire son tee-shirt, défait son jean, traînant à baisser son slip.
Tout !!!
Le slip finit à terre. Henry fait un signe à son garde du corps qui s’approche du jeune homme. Il lui présente un petit objet de verre en forme de poire et le lui introduit dans la bouche.
Je te présente Jacques, dit le maître des lieux en riant. Ta petite copine ne va pas être la seule à se faire baiser ici !
Le garde fait pencher Antoine en avant, lui écarte les cuisses, puis il glisse le plug de verre entre ses fesses et le pousse dans son anus sans ménagement, brutalement, arrachant un grognement de douleur au jeune homme.
Gab jette un regard désolé à son petit ami humilié. Henry explose de rire.
Il se retourne vers la jeune femme et lui fait signe d’approcher. Elle se tient debout devant lui, intimidée. L’homme la déshabille des yeux. Il défait son peignoir, il est nu en dessous, son sexe dur est dressé. Il bande comme un âne en rut. S’adressant à Antoine :
Enlève-lui sa robe, elle n’en a plus besoin !
Bouton après bouton, l’unique vêtement de Gab dévoile ses petits seins fermes dont les tétons durcis pointent clairement. Elle est excitée. Le déshabillage se poursuit du haut vers le bas, donnant successivement à admirer aux yeux d’Henry son ventre, puis sa petite culotte blanche candide qui ne masque plus rien de son excitation. Une tâche mouillée imprime les lèvres de son sexe sous le coton collant. Antoine fait glisser les bretelles de la robe qui tombe au sol dans un bruissement léger et soyeux, tel un pétale de rose. Gab jette un regard troublé à son ami.
Eh bien, demoiselle, lui dit Henry, les yeux fixés sur sa fente, j’ai l’impression que tu es déjà bien excitée, une vraie puce en chaleur ! Je me trompe ?
Gab, le souffle court, ne répond pas, elle baisse les yeux. Cette impression de timidité la rend encore plus désirable.
Henry glisse une main derrière elle. Il l’attire fermement vers lui en lui caressant les fesses.
Joli p’tit cul !
Il lui positionne les mains dans le dos, puis il se saisit d’un couteau. La lame froide du métal caresse la peau toute douce de Gab qui frissonne, en retenant son souffle. La lame remonte contre ses cuisses, lentement, Henry l’insère sous le tissu de la culotte, contre son sexe, la faisant glisser jusqu’à la colline de son mont de Vénus, puis sur le côté. Gab n’ose plus bouger, paralysée par l’inquiétude et le trouble que le petit jeu de l’homme fait naître dans le bas de son ventre. Henry semble prendre un plaisir immense à jouer avec sa proie. D’un geste brutal, il tranche l’élastique de la culotte qui s’ouvre et dévoile son abricot tout lisse.
J’aurais donné ma main à couper, exulte Henry, que tu n’avais pas un poil à la chatte ! Ça se devinait dans tes yeux de salope…
Gab est toute rouge. Henry arrache ce qui reste de sa culotte. Elle est nue. Il lui donne une grosse claque sonore sur la fesse. Gab sursaute. Henry empoigne la jeune femme par derrière, l’attire contre lui, puis il fourre son visage entre ses cuisses, il la respire, la hume, il lèche et goûte sa fente trempée et béante de désir.
Tu sens le sexe, demoiselle !
Gab, les yeux fermés, ne répond pas.
Répète après moi, je sens le sexe et je veux être baisée ! Lui ordonne Henry d’une voix amusée.
Gab parvient à peine à bredouiller.
Je sens… le sexe… et…
Henry glisse deux doigts entre les lèvres ouvertes du sexe de la jeune femme, puis il la pénètre brutalement, d’un coup sec
Et ?
Et… je veux être… baisée, parvient à murmurer Gab entre deux gémissements où se mêlent surprise et excitation.
Par qui ? Demande Henry en la doigtant de plus belle.
Par vous, Henry…
Une deuxième claque retentit sur ses fesses fermes.
Tu m’appelles Monsieur, pas Henry, viens sur mes genoux, assieds-toi sur ma queue !
Mettez une capote, parvient à peine à réclamer Gab.
Henry explose de rire. S’adressant à son garde du corps.
La demoiselle veut que je mette une capote !
Jacques s’approche, se colle derrière elle, puis glissant un doigt caressant entre les poires fermes et rebondies de son cul, il lui murmure à l’oreille :
Tous les mecs à qui tu seras offerte ici te baiseront sans capote, ma belle, ça vaut pour toi comme pour ton petit copain !
Jacques retourne Gab vers lui. Il la saisit par le menton, lui fait relever la tête, puis pour empêcher toute protestation, il l’embrasse sur la bouche tout en lui caressant les seins. La jeune femme n’a pas d’autre choix que de se laisser faire. Henry de son côté admire la courbe de ses hanches, de son cul. Tout comme il l’avait fait pour sa chatte, il hume le cul de la demoiselle et le bouton de rose niché au plus profond de son intimité. Il glisse sa langue à la rencontre du fruit défendu. Il la lèche. Gab tressaille et frémit d’excitation. Elle s’abandonne aux baisers du garde du corps et à la caresse mouillée de la langue de l’homme. Jacques, lentement, mais fermement, la pousse vers Henry.
Écarte tes cuisses, petite idiote !
Elle obéit. Henry la saisit par les hanches et la guide vers sa queue tendue qu’il positionne à l’entrée de son vagin. Il n’a même pas besoin de bouger que Gab s’empale sur la tige dure et épaisse en poussant un soupir de délivrance. Son sexe engloutit celui de l’homme tandis qu’elle se cambre en arrière.
Remue ton p’tit cul, ordonne Henry en la prenant par les seins.
Gab s’exécute. Elle gémit, excitée, sous les décharges de plaisir qu’elle sent monter en elle tandis qu’elle fait aller et venir son sexe sur la bite de l’homme.
Tu aimes ça, salope ?
Oui Monsieur !
Le garde, devant elle, défait son pantalon, baisse son slip, et exhibe sa verge aussi dure et bandée que celle d’Henry. Il attrape Gab par la nuque.
Suce-moi, petite garce !
Gab a à peine le temps d’ouvrir la bouche que Jacques y fourre son vit dressé. Elle avale la queue tandis que le garde, la guidant en la tenant par les cheveux, commence une danse lubrique de va-et-vient en elle. Gab a perdu tout sens de retenue. Elle ne se sent plus que sexe, excitée par la nouveauté de la situation, de sa chatte et de sa bouche offertes à ces deux hommes qui sont en train de prendre du plaisir en elle sans lui avoir laissé d’autre choix que d’accepter.
Henry, la respiration saccadée, se retourne vers Antoine :
Elle est divine, ta petite copine ! C’est un vrai plaisir de se rembourser de tes dettes, mon garçon…
Le garde s’est retiré de sa bouche. Il promène son sexe sur le visage de la jeune femme, il se caresse contre elle, dans ses cheveux, sur ses yeux, ses lèvres. Gab le lèche, tente d’attraper la verge tendue sans y parvenir, sous les yeux amusés des deux hommes.
Antoine, rouge de honte, de frustration et de jalousie, contemple le spectacle de son amie qui s’abandonne corps et esprit à ses deux amants. Plus rien d’autre n’existe pour elle que le plaisir qui monte depuis ses reins vers sa poitrine au point de la faire presque trembler. Les yeux fermés, empalée, elle gémit, son corps tendu ondule sous les coups de boutoir qu’Henry lui assène de plus en plus sauvagement, tout en lui malaxant les seins. L’homme grogne de plaisir. Elle est à lui, elle est sa chose. Puis, dans un puissant cri de jouissance, il se cabre, il saisit la jeune femme par les hanches pour l’immobiliser, son sexe s’enfonce au plus profond de son vagin dans une étreinte brutale. Elle crie. Il se vide, bestialement, il jouit en elle. Gab, surprise, a ouvert les yeux. Elle regarde Antoine d’un regard presque coupable d’avoir failli s’abandonner à un orgasme qu’Henry ne lui a finalement pas autorisé.
Tu aimes ça ? Lui demande-t-il.
Gab ne répond pas. Une claque sur ses seins répond à son silence.
Dis-le-lui, à ton copain, que tu aimes ma queue ?
Oui… Monsieur, bredouille-t-elle, j’aime… votre queue !
Henry se retourne vers Antoine, un sourire de conquérant aux lèvres
À quatre pattes toi ! Et viens voir ici.
Antoine, penaud et humilié, obéit. Henry prend une voix plus douce.
Elle est bonne, merci pour le cadeau, je vais en faire quelque chose de ta copine !
Puis s’adressant à elle :
Dis-lui comment c’était ?
Bien Monsieur !
Dis-le mieux que ça !
Vous m’avez baisée comme un dieu, Monsieur.
Gab est toute rouge. Antoine est devant eux. La vision de la chatte de sa petite amie toujours empalée sur le sexe d’Henry l’excite. Il aimerait rester de marbre, mais il bande.
A qui appartient ta chatte, ma belle ? Ajoute Henry.
… A vous… Monsieur ?
C’est très bien, tu vois Antoine, plus besoin de ta queue ! Mais comme tu as été sage, tu vas avoir une petite gâterie.
Henry, d’un mouvement de bassin, se dégage du vagin de Gab. Il bande toujours. Sa bite est trempée. Du sperme se met à couler en abondance de la fente lisse et béante de la jeune femme.
Lèche, Antoine, ordonne Henry, nettoie tout ça.
Gab se caresse. Antoine commence par lécher le sperme qui a coulé sur le sexe du maître. La jeune femme écarte les jambes de manière indécente pour offrir son minou ouvert à la bouche de son petit ami. Il nettoie ses cuisses gluantes, puis sa bouche embrasse son sexe d’où la semence chaude continue à s’écouler.
Avale tout, cocu ! Ajoute Henry en riant.
Antoine boit la chatte de sa petite amie. Sa langue se glisse entre ses lèvres, dans son vagin. Elle a un goût amer, le mélange de sa mouille abondante, de son excitation, et du goût de la queue de son amant, de son sperme qui continue à couler. Elle continue à se caresser et Antoine sent aux crispations de son bassin qu’elle est toujours très excitée. Les mains d’Henry se sont faites plus caressantes. Elles glissent du ventre de la jeune femme à ses seins lui arrachant des cambrements de reins lorsqu’il lui pince les tétons du bout des doigts. Le corps de Gab est comme électrifié par les caresses de l’homme.
Tu en veux encore, petite salope ? Lui demande-t-il.
Oui, répond-elle d’un murmure à peine audible.
Oui qui ?
Oui Monsieur.
Oui quoi, dis le fort !
Oui… je veux être… encore… baisée.
***** À suivre.
