ACTE VI mon corps est vôtre

Un jour de plus sest écoulé ; un jour de plus où jai été le jouet de ces deux belles femmes-enfants. Me voilà à présent debout, ou plutôt suspendu par les poignets à une gosse poutre ancienne qui traverse ma chambre ; avec mes orteils tendus, je touche quand même le sol.

Mes tétons ont été percés dans laprès midi, et une chaînette en V tendue passe dun téton aux deux anneaux de ma calotte pour remonter à lautre téton. Mon anus est pluggé, mais elles mont mis deux ufs vibrants à lintérieur avant ; je les sens car ils sont en fonctionnement, sur le mode lent.

Devant moi, sur le lit, ces vicieuses se sont habillées ultra sexy. Il semble que mon seul pouvoir soit le choix de leur tenue, cela afin de me stimuler, me disent-elles. Je suis assez classique dans le genre, mais cest efficace : jai opté pour une tenue bas, porte-jarretelles, fin bustier qui relève leurs seins et escarpins à talons hauts. Dos à dos, ou plutôt fesses à fesses, elles se dandinent du bassin avec un double gode de 45 centimètres qui les relie entre elles. Les voir et les entendre gémir est absolument divin, même si elles mont promis de me cravacher si je les regardais, et ce dès quelles auront joui. Tant pis ! Je mate et je bande. Je nai pas le cadenas, et ma queue est déjà droite.

Elles sagitent lune contre lautre, une main sur la minette, roulant le bouton ou agitant la vulve de quelques doigts. Jenvie ce gode ; jenvie sa taille Je rêve dune verge puissante qui remplacerait mon zizi de gamin.

Les voilà qui viennent en un sulfureux orgasme lune après lautre, se léchant lentrecuisse pour se nettoyer labricot. Vraiment, deux femmes ensemble, cest comme voir des anges en enfer. En sueur, elles se relèvent.

Sonia, la plus experte des deux, se frôle à moi comme une chatte en chaleur. Elle caresse ma cuisse sur ses jambes ; ses bras câlinent mon gros ventre. En mon for intérieur, je bénis tous les dieux de la création et la Providence davoir pu me faire rencontrer deux femmes que mon physique ne rebute pas.

Sa main caresse ma raie, appuie sur le gode pour vérifier sa bonne mise en place, vérifie les télécommandes des ufs accrochées à ma cuisse et vient lécher mes mamelons.

Étrange sensation que de voir les deux vicieuses venir me téter les seins comme si jétais une femme… Même sil est vrai quavec ma corpulence, jai une poitrine plus grosse quun athlète. Leurs langues lèchent, lapent, sucent mes nouveaux anneaux, me grisant de cette douceur alors que leurs mains glissent partout sur moi.

Aoutch ! Première fessée : je ne lattendais pas vraiment, mais cest étrangement agréable, surtout la caresse qui suit derrière.

Les autres fessées se succèdent ; je bave comme un gros porc en me tortillant. La chaînette tire mes tétons et ma verge, mais jy prends plaisir Je suis griffé, mordu, fessé, cravaché au cul, aux cuisses, au ventre. Les deux diablesses samusent de mes tourments pendant près dune heure, alternant vagues frénétiques et caresses. Ma nièce se place à genoux devant moi, la bouche ouverte en coupe. Les ufs vibrants sont mis en mode grande vitesse, et Sonia me lèche le cul. Je sens parfaitement leffet des vibrations sur ma prostate : cela se répand en moi comme une onde de plaisir et de chaleur. Dans un râle de plaisir et dextase, jexplose, tel une bête. Ma petite nouille tendue et fière comme un soldat balance ses puissantes giclées sur la langue de ma nièce. Je râle, je jure comme un charretier et, épuisé, je me laisse pendre par les bras le temps de retrouver la force de mes jambes. Complètement vidé par mes déesses, je suis aux anges

Elles se congratulent, se caressent ; je crois quelles sont toujours excitées par mon état dhomme-objet à petite bite. Sonia demande à ma nièce si elle va le faire ; celle-ci hoche la tête. Allons, bon Encore une perversion ? Je viens juste de jouir et je suis plutôt épuisé, mais ça va. Elle me retire le plug et les ufs. Jai eu tort de men faire… ou pas.

Un peu de vaseline enduit mon anus ; ses doigts me pénètrent avec plus de souplesse car je commence à être bien détendu, suite à leurs engodages à répétition.

Tu te rappelles une de mes premières promesses, tonton ?

Heu Je sais plus : tu mas dit tant de choses !

Humm, rappelle-toi : je tavais promis de te fister le cul.

Oh !

Étrange ; je me sens soudainement excité à lidée de me faire fouiller les tripes. Dépucelé de ce côté-là depuis seulement quatre jours, me voilà déjà avec un sacré challenge Mais de toute façon, il semble que je nai pas le choix.

Ses fins doigts tartinent ma rosette ; je sens la vaseline fondre et devenir un jus qui sécoule sur mes cuisses. Sonia caresse mes couilles flétries par mon éjaculation ; ses caresses semblent me faire du bien : elles reprennent forme. Je cherche constamment mon équilibre, toujours suspendu par les bras, sur la pointe des pieds : très inconfortable, mais très stimulant. Sonia se retourne, se place en levrette sur le lit devant moi, moffrant une vue imprenable sur sa minette qui se fait labourer par ses doigts, son regard par-dessus son épaule Ou plutôt était-ce ma nièce ? En fait, je nen sais rien.

Je commence à gémir sous la douleur provoquée par la dilatation. À chaque fois que je couine, elle ralentit et prend le temps de me dilater, puis reprend en ajoutant de la vaseline. Quatre doigts, déjà Mon cul tremble de spasmes en lâchant des bruits obscènes. Un va-et-vient incessant me fait entendre des « floc-ploc-sploc ». Jai honte ! Cest bon Je rebande. Ma queue me brûle à cause de tant de sévices Elles musent jusquau bout, repoussent mes limites Je les adore !

Son pouce se loge entre ses doigts en poire ; elle pousse, me fore le fion. Je halète rapidement ; mes pieds quittent parfois le sol et je me balance, accroché aux cordes. Une douleur plus forte, mais aussi un désir qui menvahit ; et soudain… sa main en moi !

Je bave ; jen perds la parole. Je suis en sueur. Je sens ma bite juter sans avoir été branlé, et dans mon fion la main fine et douce de ma nièce qui me taraude.

Quel soumis je suis !

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