JULIE 16 ANS

Ce soir là comme dhabitude nous nous retrouvions mon beau-père ma mère et moi sur le grand canapé du salon. Cétait lété 2008, à Cavaillon ce mois de juillet il faisait très chaud.

Ma mère avait épousé en seconde noce André, âgé de 53 ans cheminot à la retraite il y a de cela 3 ans.

Cette année jai fêté mes 16 ans et je devenais une vraie belle jeune fille que les garçons regardaient avec envie ; mon corps avait changé, grande brune au teint mat et aux yeux bleus, je ne passe jamais inaperçue dans les rues de Cavaillon.

Nous aimions regarder le soir après le repas, alors que la maison était aérée de partout une célèbre émission policière hebdomadaire. Javais revêtu un tee-shirt blanc et un short assez large en toile. Ayant chaud, je navais mis aucun sous-vêtement, ni soutien-gorge, ni slip.

André était un homme assez rustre, ordinaire, loin dêtre un play-boy. Petit, brun, musclé au regard noir, il paraissait beaucoup plus vieux que son âge.

Ma mère avait épousé André après avoir fait sa connaissance sur un site de rencontre également célèbre. Il habitait un petit village près de Cavaillon. Divorcé comme maman, ils se sont plus et un jour ma mère mannonça quils avaient décidé de faire comme on dit, vie commune !

Je ne laimais pas particulièrement, je le trouvais lubrique, toujours en train de me mâter. Je le surprenais parfois en train dentrer sans frapper dans ma chambre, peut être avec lespoir de me découvrir nue ou en petite tenue. Certes par ces grandes chaleurs, je dormais toujours nue.

Cet été je navais pas de petit copain, je métais débarrassée de Julien il y a de cela 3 mois.

Diable quil faisait chaud ce soir là. Je métais allongée sur le retour du canapé et posé ma tête sur laccoudoir en tissus. André et maman étaient à lautre bout du canapé captivés par cette série.

Vers 22 heures je métais assoupie et javais replié une de mes jambes, plus du tout absorbée par le troisième épisode. Cest ainsi que jentendis ma mère dire à André quelle allait se coucher. Je mapprêtais à mon tour à me lever, puis entre mes paupières presque fermées je me mis à observer le départ de ma mère. Quelque chose me disait que je ne devais pas bouger.

En partant ma mère referma la grande baie vitrée, embrassa André puis me regardant elle fit remarquer à ce dernier que je métais endormie.

-quand tu auras fini, coupes la télé et laisses la sur le canapé.

-bonne nuit chérie à tout à lheure, répondit André en signe dacquiescement tout en se servant un nouveau verre de pastis. Jentendis distinctement les glaçons tomber au fond du verre.

-noublies pas de refermer la véranda ?

-ne tinquiète pas !

Ma mère monta à létage rejoindre sa salle de bains et sa chambre. Je restais immobile à observer mon beau-père qui depuis que ma mère était partie jetait des coups dil dans ma direction

-Tu dors Julie ?

Je ne répondis pas, tout en sachant que dès à présent son regard se portait sur mes cuisses. Je sentis comme une chaleur envahir mon ventre, je mexcitais à cette situation de voyeurisme. Doù il était il ne pouvait pas voir grand-chose. Il semblait rassuré que je dormais. Il se leva pour aller chercher une cigarette et comme par hasard il revint sasseoir à quelques centimètres de mes pieds. Javais toujours ma jambe gauche repliée et je compris très vite que dans cette situation mon bas de short était largement échancré. Sil se penchait il pouvait apercevoir ma chatte nue par léchancrure, tout au moins une partie et larrondi de ma fesse gauche.

Cette idée quil puisse me découvrir dans un sommeil simulé mémoustillait. Je navais pas envie de lui, il ne me plaisait pas, mais cette situation sachant André à laffût de toutes les occasions de découvrir une partie intime de mon anatomie mexcitait au plus haut point. Je mouillais je le sentais, ma chatte étant chaude comme lorsque je regardais sur ma télé des cassettes porno.

André but une gorgée de pastis puis me redemanda

-Tu dors Julie ?

Nouveau silence. Je sentis alors quil se levait et quil sagenouillait près de moi. Je sentis sa présence à lodeur du pastis qui chargeait son haleine.

Quallait-il oser faire ? Ma jambe gauche nétait pas totalement collée à ma jambe droite. Dans cette position mon short en toile était très ample sur mon ventre et sur mon bassin. En fait André qui avait repéré que mon short bâillait se dit quil pouvait peut être découvrir quelque chose. Cest un fait quen approchant presque tout contre ma jambe repliée il pouvait voir mon pubis épilé et peut être les lèvres de mon sexe. Jentendis comme un grand soupir de sa part, preuve quil avait vu mon intimité. Jentendis quil allumait son briquet et là je compris que cétait pour mieux éclairer ce quil cherchait à voir. Nouveau soupir chargé de pastis. Je sentis mon cur battre la chamade à lidée que je me faisais de cet homme en train dessayer de violer mon intimité de son regard lubrique.

Ma gorge se serrait et je priais pour quil ne saperçoive pas de mon faux sommeil. Ma chatte continuait à shumidifier. Un moment de surprise lorsque je sentis quil essayait décarter un peu plus louverture de mon short, je sentais le tissu glisser sur ma peau bronzée. Il nétait plus quà 30 centimètres de mon sexe. Voyait-il quil était humidifié de ma cyprine ? Je sentais son souffle chaud sur ma cuisse. André mauscultait de son regard, il avait certainement une vue imprenable à présent sur toute ma chatte.

Quelle fut ma surprise lorsque après avoir rallumé son briquet je sentis sa main glisser entre mon short et ma cuisse certainement persuadé que dans mon profond sommeil je ne pouvais pas le sentir.

Devais-je faire semblant de me réveiller et de le surprendre dans ses tentatives de caresses ou continuer à faire semblant de dormir ? Je choisis loption de faire semblant de dormir. Son index arriva contre mon pubis. Je lentendais qui respirait de plus en plus fort. Il frôla mes poils presque rasés que je conservais façon ticket de métro, puis redescendit vers ma petite fente et buta contre mon clitoris. Jétais hyper excitée maîtrisant ma respiration. En fait je compris que langle dans lequel pouvait se trouver sa main dans mon short il ne pouvait pas aller plus loin.

Que faire ? Alors je pris le risque de changer délicatement ma position en soupirant comme on le fait lorsque dans le sommeil on se retourne. Là jallais lui faire certainement peur et dès quil me sentit bouger il retira brusquement sa main. Il devait être certainement déçu et aux aguets prêt à séloigner de moi si je me réveillais. Je le devinais certainement à genoux aux pieds du canapé.

Dans mon semi réveil je marrangeais pour que ma cuisse gauche sécarte un peu plus de celle de droite, puis je tournais la tête vers le dossier. Silence, il attendit que je sois certainement repartie dans un sommeil profond. Je nen pouvais plus et je me dis que jamais de ma toute jeunesse dado je navais connu une pareille situation érotique. Javais un homme que je naimais pas qui me mâtait la chatte et qui voulait la caresser et cela me conduisait à jouer avec lui. Je me surpris de cette initiative quand je sentis à nouveau la main se faufiler lentement et gestes brusques dans mon short à présent plus écarté encore.

Son doigt vint se reposer sur mon pubis quil se mit à caresser doucement puis redescendit vers mon clito que je sentais tout dur. Il allait forcément sapercevoir que jétais excitée et que je simulais lendormissement ! Le bout de son index frotta mon clito déclenchant une coulée de cyprine entre mes lèvres et sans que je puisse me retenir déchapper un soupir. Il lentendit et son bout dindex descendit sur mes lèvres gonflées dexcitation et humides. Je sentis son doigt jouer avec mes lèvres puis se glisser entre elle pour senfoncer dans mon vagin détrempé.

Je nen pouvais plus javais à présent une immense envie de pénétration de sentir dans ma chatte un membre dhomme dur et remplissant.

-Que fais tu André ? Dis-je avec un air étonné en me retournant vers lui en simulant de serrer mes cuisses emprisonnant son doigt dans ma chatte et sa main contre le bas de mes fesses

Je vis le regard brillant dAndré, surpris dans ses gestes. Un instant je compris sa panique

-Chuuuuttt fit-il. Ne dis rien il ne faut pas que ta mère nous entende

-Pourquoi fais-tu cela ? Cest dégueulasse ce que tu fais alors que je dors !

Javais envie de lui dire que javais une envie de bite terrible qui me tenaillait à présent le ventre en pulsions incontrôlables. Jétais presque consentante.

Merde me dis-je, tu ne vas quand même pas te faire sauter par ce mec ! Alors que déjà André saisissant lélastique de la ceinture de mon short essayait de le faire glisser sur mes jambes.

Que faire ? Javais 17 ans certes je prenais la pilule je navais connu que deux hommes ados dans ma vie et si jessayais ? Quest ce que je risque ?

Sans trop penser aux conséquences, je me surpris à soulever mon bassin afin quil puisse mieux baisser mon short.

Il glissa jusquà mes pieds, dévoilant à cet homme qui aurait pu être mon grand-père ma nudité à sa vue.

-tu es belle Julie dit-il alors que son visage était à présent cramoisi. Puis il prit mes deux genoux dans ses mains et écarta mes cuisses lui livrant une vue imprenable sur mon sexe détrempé dexcitation.

Il me retourna légèrement vers lui, je me laissais faire acceptant décarter au maximum mes cuisses et me livrer à son regard de fou. Il se jeta littéralement sur mon sexe plaquant sa bouche sur mes lèvres engorgées. Ce contact marracha un soupir, jaimais sentir la bouche dun homme englober mon sexe et sentir quil aspire comme pour boire ma liqueur juvénile. Je mouillais et André me pompait avec délice, puis sa langue fouilla ma chatte et là je me sentis partir comme plaquée au plafond, la jouissance me fit faire des soubresauts incontrôlés de mon bassin et sans hésiter je pris la tête dAndré entre mes mains et le pressais contre mon sexe en feu. Jenfonçais ma tête dans les coussins du canapé pour étouffer ma jouissance saccadée de peur que ma mère puisse mentendre. André le visage détrempé par ma mouille et sa salive me léchait habilement soulevant à présent mes jambes pour laisser glisser sa longue sur ma petite rosette secouée elle aussi de spasmes. Je sentis la pointe de sa langue essayer de me pénétrer mon petit trou. Cétait merveilleusement bon. Plus que jamais je voulais quil me pénètre pour éteindre le feu quil avait allumé en moi. Jétais folle, femelle, envie incontrôlée de devenir ce que les hommes appellent une salope.

Je me surpris de lui dire un mot que je ne prononçais jamais

-Défonces-moi !

André se releva me laissant ruisselante sur le canapé les jambes largement écartées, la vulve en feu. Il baissa son short découvrant un sexe de moyenne taille parcouru de veines, nerveux légèrement recourbé. Il le prit en main afin de le décalotter découvrant un gland violacé de désir.

Il est encore temps de refuser cette saillie me dis-je alors que déjà André ressoulevait mes jambes tout en les écartant. Il mattira sur le bord du canapé et avant que je puisse me refuser son sexe entra en contact avec ma chatte. De sa main il fit glisser son gland le long de ma fente et dans une pression incontrôlée il me pénétra déclenchant un cri de plaisir de ma part. Jaimais sentir dans mes chairs juvéniles, peu expérimentées encore la grosseur dun membre. Je le sentis glisser en moi et son ventre buter contre mes cuisses. Jhaletais à présent à chaque va-et-vient prenant mon plaisir à chaque poussée.

-Tu mouilles bien ! Lâcha André en accélérant son rythme comme encouragé de sentir que je prenais du plaisir. Puis il respira plus fort, je sentis ses mains se crisper sur mes jambes et il explosa au fond de moi, avec une puissance que je navais pas encore connue, je sentis sa liqueur couler dans mes entrailles, mi chaude mi humide, il se vidait de toutes se bourses. Cétait la deuxième fois de ma vie que je sentais ainsi un homme éjaculer en moi, cétait délicieusement bon, avec mes deux petits amis nous mettions des préservatifs. Cette sensation était divine. André restait collé en moi secoué de spasmes expulsant les dernières gouttes de sa semence chaude dans mon petit vagin. Je respirais avec difficulté, jusquà ce que je revienne sur terre en sentant en moi le sexe dAndré se ramollir puis il se retira entraînant une coulée de sperme sur le coussin du canapé.

-On va nettoyer cela me souffla-t-il entre deux sourires dhomme satisfait de sa prestance. Il se dépêcha de remonter son short sur ses jambes grêles et attrapant un kleenex essuya les traces de spermes qui sécoulaient de mon sexe béant.

Jattrapais un paquet de kleenex, messuyais la vulve inondée et visqueuse et sans un mot je remis mon short et sans un mot jallais dans le jardin fumer une cigarette. Révoltée par ma bêtise de mêtre fait sauter par cet homme que je naimais pas et calmée dans ma libido en feu, je me dis que cétait une expérience.

André allait-il recommencer ? Je ne savais pas si cela pourrait se reproduireà présent je nen avais pas envie.

JULIE

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