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Le club des nymphes – Chapitre 18




CHAPITRE 18 (THOMAS) : LE REVE DE LOUISE LEONNE

Eh bien, quel spectacle ! déclame marraine. Je suis sûre que tout le monde a apprécié. Félicitons donc les deux équipes qui se sont bien défendues. Bien, il est temps de passer aux choses sérieuses. Après toutes ces émotions, nos deux candidates vont devoir maintenant faire un discours où elles exposeront leur programme pour le club. Nous allons commencer avec Élodie.

Marraine me rejoint alors sur mon canapé, me sourit et pose sa main sur ma cuisse. Ma sur se dirige au centre de la salle pour faire son discours. Elle a encore une goutte de sperme sur le sein droit.

Mon programme est plutôt simple en fait, déclare-t-elle. Il se résume en une phrase : « Toujours plus de sexe ! ».

La salle applaudit avec enthousiasme, ce qui fait sourire Élodie.

Tout n’est pas encore décidé, reprend-t-elle, mais je compte bien mettre en place, avec l’aide de mon équipe, quelques événements. Pour commencer, j’ai pensé multiplier les journées sans culotte. En faire par exemple trois dans l’année au lieu d’une ou, pourquoi pas, en faire tous les mois. On pourra même convaincre le plus possible de filles extérieures au club de participer. Ensuite, nous avons pensé mettre en place des bons que les favoris gagneront dans différents concours ou défis. Des bons pour fellation ou pour sodomie, par exemple. Ainsi, quand ils remettront ces bons à une nymphe, elle devra accomplir l’action qui y est inscrite. Nous allons aussi bien évidemment augmenter le nombre de soirées organisées par le club. Croyez-moi, avec moi comme présidente, vous ne vous ennuierez jamais.

La salle applaudit de nouveau, surtout les mecs. C’est moi, ou bien ma sur s’éloigne de l’esprit du club ? À part de rares occasions, ce sont plutôt les mecs qui étaient au service des nymphes. Avec son programme, on dirait qu’elle tente de renverser la tendance. Certaines nymphes risquent de ne pas apprécier. Avec un peu de chance, cela pourrait lui porter préjudice. Elle vise peut-être plus les votes des favoris avec ce genre de programme ; bien que leur vote compte la moitié de celui d’une nymphe, ils sont plus nombreux.

Quoi qu’il en soit, Élodie s’en va se poser dans le public alors que Louise prend sa place au centre de la pièce. Que va-t-elle bien proposer pour concurrencer Élodie ? Elle ne m’a rien dit à ce propos. J’observe ses courbes et repense à ce qu’il s’est passé à la première épreuve. Je suis soulagé que finalement elle ait appris ce qu’il s’était passé avec Élodie, soulagé aussi qu’elle m’ait pardonné. Ça m’aurait fait mal de la perdre maintenant.

Elle est là, debout et nue devant tout le monde et s’apprête à parler. Allez, bon courage ma douce. Fais de ton mieux.

Ne t’inquiète pas, fillot, lance marraine à mes côtés. Elle va vaincre.

Puis Sarah fait un signe à Aliénor qui se dirige vers la porte d’entrée. Bien qu’intrigué, je détourne les yeux de cette scène au moment où Louise prend la parole.

Il était une fois une jeune femme du nom de Samantha Angevin, se lance-t-elle. Samantha intégra une année une école de commerce où la vie scolaire était dun ennui le plus total. Elle intégra cette école avec un rêve en tête ! Elle rêvait dun endroit où les filles nauraient pas à cacher leurs goûts particuliers, où les filles pourraient sadonner à tout ce quelles aiment sans risque et sans crainte de jugement. Elle fit alors part de son idée à ses amies et, après maints efforts, le club des nymphes vit le jour. Il dut malheureusement couvrir son activité principale sous couvert dactivités caritatives. À partir de ce jour, la vie scolaire ne fut plus jamais dun ennui à mourir.

Vous connaissez tous ces paroles : elles sont extraites du discours d’initiation. Eh bien, laissez-moi vous dire qu’elles sont probablement fausses, ou tout du moins en partie fausses. Je ne pense pas que le rêve de Samantha Angevin se limitait seulement à créer un club où les filles pourraient vivre pleinement leurs fantasmes. Je ne pense pas que l’activité caritative du club à ses débuts n’était là que pour faire couverture. Au contraire, je pense que cela faisait partie intégrante du rêve de Samantha. Et puis, quitte à se cacher derrière une fausse activité, elle aurait pu choisir un truc plus banal. Non, elle a choisi une voie plus humaine.

C’est pourquoi, si je suis élue présidente, je redonnerai à ce club un élan caritatif. Réfléchissez à tout ce qu’on pourrait accomplir, à toutes les personnes à qui on pourrait rendre service

Nous avons en nous un énorme potentiel ; autant s’en servir pour de bonnes causes. Je me trompe peut-être. Il est probable que cela ne faisait pas partie du rêve de Samantha. En tout cas, je peux vous affirmer que c’est mon rêve.

Mon cur bat la chamade sur le rythme de ce discours. J’ai bu l’intégralité de ses paroles. Cette fille est vraiment exceptionnelle. C’est une perle rare. Comment ai-je pu ne pas apercevoir à quel point elle était spéciale ? Au diable l’égoïsme de ma sur ; vive la générosité, l’altruisme, la sagesse et la douceur de Louise ! Cette fille est vraiment bourrée de qualités. Il faut qu’elle gagne ! IL LE FAUT !

Je suis le premier à l’applaudir. Je suis bientôt suivi par marraine, Miss Punk, Marie, Anita, François et plein d’autres. Malheureusement, d’autres se montrent plus réticents. J’ai peur que l’égocentrisme et le narcissisme les poussent à rejeter cet ange.

D’un coup, quelqu’un d’autre est en train d’applaudir Louise avec enthousiasme : Aliénor a ouvert les portes d’entrée et fait pénétrer dans la salle une grande femme blonde d’environ la trentaine. L’inconnue s’avance vers Louise tout en continuant à claquer des mains. Le calme revient peu à peu. Comme moi, les autres ont l’air intrigué par la venue de cette femme. Je me tourne vers Sarah, le regard interrogateur. Elle me sourit et me fait signe d’écouter ce que cette inconnue a à dire.

Vous ne me reconnaissez sans doute pas, commence-t-elle, mais pourtant vous me connaissez tous. Je suis Samantha Angevin. J’ai été invitée par votre présidente sortante à cette soirée et j’ai entendu le discours de cette jeune fille. J’aimerais vous dire que je suis fière que l’esprit du club que j’ai fondé se soit transmis jusqu’à aujourd’hui malgré toutes ces années. Oui, je le confirme, je n’ai pas choisi des activités caritatives au hasard. C’était vraiment un objectif majeur du club les premières années. Nous faisions la fête et vivions nos fantasmes, mais nous n’oublions pas de rendre service à notre prochain, car nous en avions le pouvoir. Je suis fière que le rêve de cette jeune fille soit l’écho du mien et je vous souhaite de l’élire, car vous avez là une véritable nymphe.

Décidément, marraine, toi aussi tu es pleine de surprises. Tu as fait venir la fondatrice du club, une femme idolâtrée, presque légendaire, pour soutenir Louise. Cette venue ne peut qu’être bénéfique à Louise. Bravo, marraine !

Louise semble tout émue de voir la fondatrice soutenir son projet. Elle ne s’attendait pas à un tel renfort. Elle a la larme à lil. Les applaudissements ont repris dans la salle avec bien plus d’ardeur qu’avant. C’est un véritable brouhaha. L’équipe de Louise se lève et vient l’enlacer. Je décide de suivre le pas. Je tiens à la féliciter personnellement. Je la prends dans mes bras et l’embrasse passionnément. Elle est surprise, mais me rend mon baiser.

C’est sans réfléchir que j’ai posé mes lèvres sur les siennes. Je me rends compte de la portée de mon geste au moment où nos langues se soudent. C’est comme si un incendie venait de se déclencher en feu. Mes veines brûlent d’une sensation étrange et captivante. Mes sens s’affolent et la tête me tourne. Je n’ai jamais ressenti cela avec un simple baiser. Nos bouches se séparent et nous restons de longues secondes les yeux dans les yeux. Elle les a tout pétillants.

C’est ton petit ami ? demande Samantha, nous ramenant à la réalité.

Euh… C’est compli… commence à répondre Louise.

Oui, la coupé-je. Enfin, si tu veux encore de moi.

Tu es sûr ? cherche-t-elle à se rassurer.

Je n’ai jamais été si sûr de toute ma vie.

Louise me saute en cou de m’embrasse de nouveau. Nos langues s’entrechoquent, ranimant les flammes en moi. Nos corps, tout aussi nus l’un que l’autre, se collent. Je sens la chaleur de sa peau nourrir un peu plus mon feu. Sa poitrine est pressée contre mon torse et nos sexes sont collés l’un à l’autre.

Pendant ce temps-là, Anzhelina et les autres, qui ont bien compris qu’il nous fallait du temps, entraînent Samantha à l’écart et commencent à lui poser un tas de questions.

Je ne vois pas ce qu’il se passe dans le public : mon attention est toute dirigée sur Louise, mais je suis sûr que les choses sérieuses ne vont pas tarder à commencer. Généralement, c’est l’heure où commence la traditionnelle orgie de fin de soirée.

Depuis quand ? me demande Louise.

Ça fait déjà quelques semaines que ça me trotte dans la tête. Je crois que c’est depuis la journée sans culotte que j’en ai pris vraiment conscience. J’ai passé tout ce temps à chercher à comprendre ce que je ressentais au juste, pour en être sûr. Mais ce n’est seulement que ce soir que j’ai compris. Ô Louise, tu es vraiment la fille la plus merveilleuse que j’ai rencontrée ; belle, intelligente et altruiste. Tout ce que tu entreprends, c’est pour les autres. Il n’y a pas une nymphe qui t’arrive à la cheville dans ce club.

Elle a la larme à lil. Mes compliments la touchent véritablement. Elle est si adorable. Elle est forte, mais semble si fragile. J’ai envie de la prendre dans mes bras et de ne plus jamais la lâcher. Mais à la place, je lui prends la main et l’emmène en-dehors de la salle. Elle me suit, le regard interrogateur.

Le l’emmène dans une salle de cours et ferme la porte derrière moi, puis je l’embrasse de nouveau.

Je préfère un peu d’intimité, lui déclaré-je.

Je n’ai pas besoin de préciser pourquoi. Nos corps se collent à nouveau l’un à l’autre. Nos langues se mélangent, nos mains partent à la découverte des courbes de l’autre. Courbes que je compte bien explorer encore et encore. Mes lèvres parcourent sa nuque, ma langue goûte la tiède douceur de ses seins jusqu’à s’enrouler autour d’un petit téton adorable. Louise penche sa tête en arrière et laisse échapper un gémissement de bien-être. Sa cascade capillaire se balance au rythme de ses respirations qui se font de plus en plus fortes.

Nous nous baissons peu à peu et nous retrouvons à terre, allongés l’un à côté de l’autre. Elle peut sentir tout le désir qui m’anime en ce moment pour elle. D’un regard, elle m’invite à le faire, m’implore même.

Mais je n’ai pas envie d’aller si vite. Elle m’a attendu jusque là, elle peut bien m’attendre quelques minutes de plus. Tout du moins, j’ai envie de lui donner du plaisir autrement. Ma bouche embrasse sa peau opaline, passant des douces courbures de ses seins au creux de son ventre pour arriver entre ses cuisses. Elle sursaute au moment où ma bouche se soude à son intimité, et pousse un cri de surprise lorsque ma langue commence à la laper.

Louise coule comme une fontaine. Tandis que ma bouche s’empare de son clitoris, mes mains ne restent pas inactives et cajolent l’intérieur de ses cuisses et son ventre. Une main se pose sur ma chevelure pour la caresser.

Je repense à toute cette année passée. Comment ai-je pu être si aveugle ? Elle était là, à mes côtés quasiment tout le long, et c’est seulement maintenant que je la découvre vraiment. Pourquoi ai-je mis tant de temps à comprendre ce que je ressentais vraiment pour elle ?

Oh oui, c’est bon soupire-t-elle.

Pas aussi bon que celui que tu as reçu tout à l’heure, je suppose.

Ne te sous-estime pas, Thomas.

Sa réponse me fait sourire. Je suis fier de lui apporter ce bonheur. Elle le mérite vraiment. Je la lape encore, lèche la source de son nectar, déguste ce doux abricot sucré. Louise gémit et bouge de plus en plus, comme si elle ne savait pas comment se positionner. Son corps est bouillant.

Je n’en peux plus ; viens en moi, s’il te plaît. Je veux te sentir.

Tu es sûre ? plaisanté-je.

Bien évidemment Allez, viens ! s’impatiente-t-elle.

Attends encore un petit peu, la nargué-je.

Pitié Dépêche-toi implore-t-elle. Fais-moi l’amour maintenant !

Bon. Puisque telle est ta volonté, fais-je sur un ton faussement blasé, je me vois contraint d’obéir.

Je remonte ma bouche, emprunte lentement la route de ses courbes pour atteindre son délicieux visage. Mon sexe se colle au sien et, d’une légère pression, fait naître un contact plus intime. J’enveloppe Louise dans mes bras comme pour la protéger à jamais.

Ah, enfin soupire-t-elle de satisfaction.

J’aime me faire désirer, lui fais-je.

Oui, en effet, tu sais te faire désirer.

Oui, je sais, Louise ; je me suis trop fait désirer. Désolé d’avoir mis tout ce temps à comprendre mes sentiments. Mais maintenant, l’heure est venue pour nous deux. Je suis à toi et tu es à moi.

Notre contact est doux, sensuel, agréable, bercé par de petites oscillations régulières. Elle semble s’être calmée de me sentir en elle. Sa tête est enfouie dans mon cou. Nous nentendons plus que le bruit de nos respirations et du léger clapotis produit par notre aventure. Je la serre plus fort dans mes bras. Je ne veux pas la lâcher. Maintenant que je t’ai enfin trouvée, que j’ai enfin compris, je ne te laisserai pas partir. Je te le promets !

C’est étrange, c’est bien différent de quand je le fais avec Sarah. J’ai toujours pris énormément de plaisir avec elle, mais aujourd’hui c’est différent. Je me sens comme en harmonie, en osmose avec Louise. J’ai l’impression de ne faire qu’un avec elle. Plus je m’enfonce dans cette voie avec elle, plus je sais que je ne me suis pas trompé de route. Plus rien ne semble n’avoir d’importance, si ce n’est elle.

Ses mains me caressent le dos. Cette douce balade sur ma colonne vertébrale est envoûtante. Je l’entends pousser des petits gémissements adorables. La pression exercée dans mes veines augmente au fur et à mesure que notre étreinte se poursuit, mais je me retiens de partir au galop. J’ai envie de faire durer ce contact le plus longtemps possible. Je prends le temps de savourer chaque seconde. Je déguste à petit feu notre union.

Puis soudain, toujours collés l’un à l’autre, nous roulons sur le sol. Je me retrouve dos à terre, elle sur moi. Je tente de me redresser mais elle me plaque pour m’en empêcher. Elle s’installe à califourchon sur moi et prend les commandes. Affichant probablement un sourire béat, je la regarde se balancer lentement le long de mon sexe. Ses longs cheveux suivent le mouvement. Ses mains jouent aux pattes de velours sur ma poitrine. Je n’ai jamais vu les traits de son visage si paisibles. Elle est vraiment encore plus magnifique.

J’accompagne ses gestes avec quelques mouvements du bassin tandis que mes mains remontent le long de ses cuisses pour en éprouver toute la douceur et la fermeté. Elles passent ensuite à ses reins, puis à son dos pour la plaquer contre moi afin que je puisse l’embrasser. Nos langues se mêlent. Louise reste dans cette position pour prolonger ce baiser langoureux.

La pression en moi est encore plus forte. La partie n’a que trop duré. Il est malheureusement bientôt temps d’y mettre fin mais d’autres suivront, encore et encore.

J’enserre Louise dans mes bras et provoque un nouveau roulé-boulé afin de me retrouver au-dessus d’elle. Je la fixe fermement dans les yeux. Elle comprend que le jeu devient plus sauvage.

Les mouvements s’accélèrent, les respirations se saccadent et les corps s’échauffent d’autant plus. Le son de nos ébats gagne en intensité. J’aime l’entendre crier et je l’accompagne de ma propre voix. Je donne tout ce que j’ai pour lui décrocher un orgasme. Tout comme moi, je sais qu’elle en est proche.

Si proche qu’il nous faut que quelques allers-retours pour l’atteindre ensemble. Mon énergie se vide en elle et je m’écroule à ses côtés.

Nous restons enlacés l’un à l’autre durant de longues minutes après notre union, sans rien dire, juste en se fixant dans les yeux. Le moment est tellement magique… Je ne l’oublierai jamais.

C’est moi qui brise finalement ce silence si sacré :

Je t’aime.

Moi aussi, dit-elle, souriante.

Après plusieurs baisers langoureux, nous nous décidons à aller récupérer nos affaires au cocotier. La soirée ne devrait d’ailleurs pas tarder à se terminer. Nous passons les portes ; je croise les yeux de marraine qui me gratifie dans beau sourire. Merci pour tout, Sarah.

Tu veux passer la nuit chez moi ? me demande Louise tandis que nous ramassons nos affaires.

Bien évidemment, mon amour !

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