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Amandine, ma voisine d'en face – Chapitre 24




De sa main à l’arrière, elle se saisit de mon pénis déraidi, le fait grossir palpant par petites pressions. Quand il est bien à point, elle l’entre sans difficulté…

Les hommes terminent leur café. Elle sort de l’eau. Le bout des petits seins est tendu à l’extrême. Elle monte par l’échelle. Elle marche sur le sol. Les traces de ses pas s’effacent aussi vite qu’elles se sont formées. Elle sait que des yeux la regardent. Il y a des bains de soleil. Elle vient s’allonger, voit Alex arriver…

— Tu veux un café ?…

— Mmm, mmm…

Il vient sasseoir à coté d’elle, lui parle de sa voix grave, douce, de la façon de le faire, bien fort, tassé pour mieux concentrer les arômes. Elle sait que ses yeux courent. Cela ne l’embête pas. Les deux clients s’installent avec eux. La conversation part sur les différentes manières de le cultiver, l’arracher, le griller, le moudre avant de le faire se mouiller d’eau brûlante pour devenir noir ébène dans le fond de la tasse. Tous regardent sa peau. Elle aime être la proie de ses yeux qui se tendent…

— Vous avez de très jolis petits seins, Lola ?…

— Merci, Monsieur Longue !…

— Appelez-moi, Thomas !…

— D’accord, Thomas !…

— Vous les trouvez comment, Alex ?…

— Moi, je suis habitué, ma femme a les mêmes !…

Les hommes paraissent troublés par ce secret dévoilé…

— C’est la couleur qui change… D’ailleurs à ce propos, Lola vous devriez mettre de la crème. Vous en avez ?…

— Non, je ne pensais pas…

— J’en ai, moi !…

Alex revient, un tube entre les doigts. Il l’ouvre. Il place un peu de produit glissant entre ses mains, tout en continuant de parler de sa femme. Il frotte ses doigts pour étaler la crème, explique qu’elle a beau être noire, elle se protège aussi. Les deux hommes s’étonnent pendant que ses paumes viennent se poser sur les épaules de Lola, qu’elles descendent ses bras…

— Si elle ne le fait pas, elle prend des coups de soleil…

— Ah, bon ?…

— Mmm, mmm… On ne le sait pas, une peau noire, c’est fragile. Ce qui l’est le plus, c’est la poitrine. Il faut la protéger… Comme çà…

Il monte sur les seins. Il masse sans arrêt, faisant se tendre les tétons devant les yeux ébaudis des deux hommes…

— Votre femme, je ne la verrai plus de la même façon Alex… Et toi, Antoine ?…

L’autre client semble sortir de sa torpeur…

— Hein ?…

— Tu le savais ?…

— Non, non….

Il fixe les seins de Lola qui se laissent tranquillement masser devant ses yeux hagards. Elle jette un regard vers le pantalon d’été de l’homme. Le salaud, sous le tissu, est en train de bander. Lola se mord les lèvres. Moi, je rentre et sort à l’intérieur d’elle…

— Il n’y a pas que les seins !…

C’est Alex qui dit çà. Il fait passer sa main sur le ventre. Il masse en cercle de plus en plus long, se retrouve par instant sous le haut du string. Lola ferme les yeux, se mord. Elle crie sous mes assauts, rêvant peut-être à cet autre qui la touche ou à celui qui la regarde…

— Vous ne vous mettez pas en maillot ?…

Elle vient de dire çà, fixant les yeux de son client…

— Vous en avez un, Monsieur Finn ?… Pardon !… Vous préférez peut-être que je vous appelle Antoine, comme le font les autres ?…

— Si vous voulez… Non, je n’ai pas de maillot avec moi…

— C’est possible que vous en commandiez pour tout le monde, Alex ?…

— Excellente idée !… Au frais de la princesse !…Vous êtes d’accord, Thomas ?…

— Avec plaisir !… Par les chaleurs qu’il fait, à voir Lola, cela donne envie de se jeter à l’eau…

Pendant que, d’une main, Alex téléphone à la boutique, l’autre main fait se tourner Lola sur le ventre. Il prend de la crème, la fait gicler sur son dos, masse, descend jusqu’aux fesses. Lola se laisse faire, regardant amusé le pantalon du client qui ne se détend pas. Comment va-t-il faire ?… Thomas, lui, de son coté ne s’en fait pas. Il observe la main d’Alex glissant sur le petit derrière qui n’a pour le couvrir qu’une ficelle passant entre les fesses. Elle sent ses mains qui la pétrissent. Elle se pince tandis que la fille, toujours plus belle, avec trois petits sacs, arrive…

— Ne vous défaites pas ici, vous avez des vestiaires là bas !…

Elle dit çà de sa jolie voix. Alex lui fait un grand sourire, la toisant de haut en bas, lui montrant bien ce qu’il est train de faire en-dessous de la ceinture de Lola…

— Vous venez avec nous ?…

— J’aimerais bien, mais le travail m’appelle…

— Vous ne savez pas ce que vous perdez…

Il masse de plus belle…

— Oh, si !… C’est bien ce qui me fait le plus peine…

Elle se mord les lèvres, lance un rire, s’en va, tortillant du popotin. Alex masse dans le rythme…

Je regarde ses fesses qui se laissent faire devant moi. J’ai envie de les claquer. Pourquoi Lola ne dit rien ?… Moi, je m’enfonce en elle. Elle crie. Elle repense à ces hommes, lorsqu’ils sortaient de l’eau, venus pour se faire bronzer à coté d’elle. Ils était beau. Plus personne n’a parlé. Le temps que les peaux, les tissus se sèchent, elle les regardaient, étendus sur leurs bains de soleil. Elle ne voyait pas s’il pouvait la voir, à cause des lunettes…

Alex a proposé de prendre une douche. Les deux hommes ont dit oui…

— On va dans les vestiaires, il y en a des communes. Toi, Lola, tu peux aller dans la chambre…

— Vous n’allez pas me laisser toute seule. Je viens avec vous…

La gorge des hommes se noue. Alex, lui, reste zen…

— Très bien, on y va, on reprendra la réunion après !…

Lola a les yeux clos. Je suis à fond en elle. Les gens regardent cette fille qui marche dans son string, ses chaussures à talons vers les vestiaires des hommes…

Ils entrent dans l’espace douches. L’eau se met à couler sur leur peau. Antoine Finn n’est pas à son aise. Son visage est rosé. Thomas, lui, n’en perd pas une bouchée. Elle est face à eux dans son mini-string, rassemblant ses cheveux mouillés pour les faire s’essorer. La pointe de ses seins, énervée par la fraîcheur de l’élément liquide, sort…

Alex, d’un geste banal, descend son maillot. Il prend le gel, le passe sur son torse. Lola le voit faire, vient l’aider. Elle met dans le creux de sa main du liquide, le place sur son dos, le serre. Il sent ses seins contre sa peau. Elle descend sur les fesses, les masse tandis que le pénis de l’homme se raidit sous le regard ému des clients…

Restant derrière, elle fait passer ses doigts, se saisit de son sexe. Alex sourit, se tourne, descend le string de Lola, fait apparaître le petit minou taillé. L’objet coulisse entre ses doigts. Elle lance un sourire en direction de Monsieur Finn…

— Et vous, Antoine, vous ne vous défaites pas ?…

Elle le fixe, s’appliquant sur son geste…

— Vous me trouvez jolie ?…

Il s’apprête à répondre. Sa gorge se serre. Elle a arrêté son mouvement. Elle vient se placer devant lui. Elle descend son maillot…

— Eeeeeeeeeeeeeeeeeh !… Vous êtes un coquin, Antoine !… Votre sexe est au plus haut !… Et vous Thomas, vous êtes comme çà ?…

Elle tire sur le tissu pour voir…

— C’est une maladie dans votre entreprise !… Vous aussi !… Regarde, Alex !…

Elle s’assied sur ses talons. Elle prend chacun des objets mis en cause dans une main. Elle applique un mouvement. Je la pénètre. Elle crie. Ce n’est pas possible. Lola ne ferait pas çà. Elle ne me trompe pas. Je ne sais plus. Je regarde ses fesses. Il y a des marques. Pas celles que je crois. Celles d’un maillot couvrant. Elle n’était pas en string, cet après-midi !…

Je me suis trompé. Je la sens sous moi, fébrile. Que m’a raconté cette petite conne de réceptionniste avec sa voix suave ?… Si je l’avais devant moi !… Prends çà, petite garce !… Prends çà !… Huuuummmm !… Elle se laisse faire. J’entre dans son corps. Je m’amuse à monter. Je la vois si bien… Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !… Je viens de jouir !… Lola pousse un cri fort. Je gicle à l’intérieur de la fille. Je sens ses parois qui me pressent. Son corps se serre. Ses doigts poussent mes hanches…

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