Je voudrais vous raconter quelques émois qui me sont arrivés avec ma voisine que nous appellerons Cécile. Cette histoire se déroule il y une dizaine d’années.

A l’époque, je vivais en couple. Nous avions 2 enfants. J’ai fait la connaissance de Cécile lors de la rentrée des classes ou elle accompagnait sa fille, avec son mari. 

Je l’ai tout de suite remarquée, jolie femme un peu ronde, quelque peu BCBG mais surtout un regard magnifique, des yeux sombres, une intensité déstabilisante. Nous avons vite sympathisé avec ce couple charmant.

Nous les avons rencontrés régulièrement, dînant ensemble de temps en temps. A chaque fois le regard de Cécile me troublait et pourtant aucune provocation de sa part.

A la fin de l’année, nous avons convenu de passer le réveillon du nouvel an ensemble avec quelques amis. Le hasard du plan de table établi par ma femme m’a installé à côté de Cécile. A la fin du repas, me penchant pour récupérer ma serviette par terre, j’ai fait un écart avec ma jambe et est venu involontairement frôlé le genou de Cécile. Et la, surprise, j’ai l’impression fugace que non seulement elle n’écartait pas son genou mais au contraire, l’appuyait un peu plus. Retrouvant ma place, la situation redevient normale mais le doute s’est installé dans mon esprit! Elle et moi nous regardons de temps en temps, normalement dirais je mais ne peu rien déceler de particulier. Serait il possible qu’elle m’est fait un appel? Rien dans son attitude jusqu’à ce jour ne m’a laissé penser que je pouvais l’intéresser.

Je suis d’un naturel timide et peu entreprenant d’ordinaire. Pourtant Cécile, la situation, le vin aussi aidant, j’ai voulu en avoir le coeur net. Et là volontairement, je rapproche mon genou du sien, le frôlant. A ma grande surprise, elle répond à cet appel et colle son fermement son genou contre le mien sans aucune ambiguïté. Jamais, je n’aurais pensé me retrouver dans cette situation avec elle et le tout en présence de nos conjoints respectifs Nos regards se sont croisés plusieurs fois sans qu’elle laisse passer la moindre émotion particulière, un sang froid! Quand à moi, j’ai du mal a ne pas rougir et à garder mon calme. Ca a été comme un déclic, cette femme que je trouvais attirante, certes, s’intéressait à moi.

La suite était un peu plus compliquée. Pas moyen, compte tenu des circonstances d’aller plus loin, vous l’aurez compris et elle imperturbable, son genou collé au mien.

A la fin de la soirée, nous nous sommes quittés, nous faisant la bise non sans qu’elle m’effleure discrètement la main. Encore sous le choc, je suis aller me coucher en pensant a ce qui venait de se passer et en me demandant comment aller plus loin. Pas facile en effet, d’avoir ce genre de relation dans un tout petit village. Je ne vous ai pas dit qu’il n’y a que 300 habitants et qu’ils habitent à 200 mètres de chez nous. Vous ajoutez la présence de jeunes enfants et vous comprendrez que la discrétion est difficile à assurer.

Deux jours plus tard, mon esprit quelque peu obsédé par cette histoire, je décidais de profiter du beau temps pour aller faire un tour. Vous l’aurez deviné, ma promenade m’a fait passer à côté de chez elle. Cécile était à la fenêtre. Me voyant, elle me fait signe de venir, je ne me fait pas prier. Elle me propose un thé, m’informant que son mari est sorti mais que sa fille est là. Nous sommes d’abord resté un peu silencieux devant nos tasses, ni l’un ni l’autre n’osant aborder le sujet. Finalement, je me lance, lui demandant si je n’avais pas rêvé. Elle sourit, plongeant son regard dans le mien, me disant que non, je n’avais pas rêvé mais qu’elle ne voyait pas comment nous organiser pour aller plus loin et qu’il valait mieux en rester à des relations amicales. A contre coeur, j’acquiesçais, me disant qu’elle avait raison. Nous avons bavardé encore un moment, mais je sentais le désir prendre le dessus. Au moment de la quitter, sur le pas de la porte, sur une impulsion, je l’ai embrassé furtivement. Elle n’a pas esquivé le baiser et pour la première fois, j’ai senti le goût de ses lèvres. En partant, je lui est dit que nous ne pouvions en rester là et que nous devions être imaginatifs. 

Quelques jours plus tard, nous nous retrouvons à la sortie de l’école pour chercher nos enfants. Ma femme est partie pour le weekend en séminaire. Le mari de Cécile quant à lui doit travailler de chez lui. Du coup, mes enfants m’ayant demandé d’aller au cinéma le lendemain, je propose à Cécile de venir avec nous en emmenant sa fille qui a envie de voir le film. Et le lendemain, nous voila installés côte à côte au cinéma, les enfants assis juste devant nous. Cécile est ravissante, un chemisier blanc ajusté mettant en valeur sa poitrine généreuse et une jupe portefeuille maintenue en place par quelques boutons. Le film commence, je profite immédiatement de la pénombre pour mettre ma main sur son genou et le caresser lentement. J’essaie de remonter le long de sa cuisse mais sa jupe m’en empêche – frustration! En plus elle prend ma main et l’écarte. Un peu déconfit, je me calme et regarde le filme un peu plus attentivement. Je la sens pourtant bouger et se tortiller quelque peu à côté de moi. Je vois qu’elle me regarde avec un sourire amusé et voit qu’en fait elle déboutonne quelques boutons, libérant le passage à l’intérieur de sa jupe. Puis, assez autoritairement, prend ma main, la remet sur son genou tandis qu’elle même pose sa main sur ma cuisse et la caresse doucement. Inquiet à l’idée que les gamins se retourne, je pose ma veste sur nos jambes pour les protéger des regards. Mon excitation est à son comble. Je pars explorer ce monde qu’elle m’offre. Ma main remonte sur sa cuisse frôlant son bas. Je savoure cette délicieuse sensation prenant mon temps pour continuer ma remontée. Et là, je découvre que ce n’est pas un collant qu’elle porte quand je touche la peau nue et douce. J’essaie de rester calme et discret tandis qu’elle reste imperturbable quoique sa main a frémis sur ma cuisse quand elle a senti le contact de nos peaux. J’ai maintenant ma main calée entre ses cuisses. Je réalise qu’elle me regarde droit dans les yeux tout en écartant un peu les jambes, me laissant accéder à sa culotte. Très vite douceur de la dentelle est remplacée par une sensation humide. A travers le tissu, je peux maintenant sentir la moiteur de son entrejambe. Elle est trempée! Pour le coup, je la sens tendue, le regard fixe droit devant elle, sa main sur ma jambe se raidit. M’enhardissant, je commence à masser son sexe, regrettant qu’elle n’est pas mis un string. Je ne peux passer la barrière de tissu. Mais je sens bien ses lèvres gonflées, frémissantes. Elle tremble au fur et à mesure que je la caresse de plus en plus fermement. Je l’entend réprimer des soupirs. Pas besoin de vous dire que de mon côté, je suis remonté à bloc, mon sexe dressé ne sachant pas ou se mettre dans mon pantalon. Je la sens onduler légèrement, son sexe allant au devant de ma main. Je la masse de plus en plus vite, jusqu’au moment ou d’un coup elle resserre brutalement ses cuisses, ses doigts serrent très fort ma jambe. Cécile reste immobile, figée quelques instants avant de se pencher vers moi et de me chuchoter à l’oreille juste un mot: merci!

Nous nous calmons un petit moment, ma main étant restée dans ce lit doux et humide avant qu’elle ne se penche a nouveau vers moi, me susurrant un "encore s’il te plait". Elle jouira trois fois pendant le film. Exquise sensation, je ne suis même pas frustré. L’avoir fait jouir m’a pleinement satisfait et je sais maintenant que mon tour viendra bientôt. Mais je vous raconterai cela une autre fois si vous le souhaitez…

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