UNE AMIE QUI EST DEVENUE MA MAITRESSE
Voici une histoire qui sest passée il y a bien longtemps.
Dans lentreprise où je travaillais, une jeune femme fit son apparition.
Elle sappelle Bernadette, petite blonde, assez mince, mariée 2 enfants.
Quand pour la première fois je laperçus, je fus très rapidement attiré par sa beauté, elle était très coquette, et attirait le regard de bien des hommes, tout de suite, entre nous le courant passa.
Le midi nous déjeunions bien souvent ensemble, au fil des mois, elle devint très rapidement une très bonne amie.
Les années passaient, jétais toujours aussi attiré et captivé par Bernadette qui était toujours aussi jolie.
Je ne manquais pas loccasion de lui faire des petits cadeaux : anniversaires, étrennes quelle appréciait bien sûr.
Elle acceptait quelques baisers, et me laissait la caresser superficiellement lorsque nous parvenions à être seuls, mais cela nallait pas bien loin.
Je savais que son mari, ne soccupait que très rarement delle, il la délaissait, je lavais vu plusieurs fois en charmante compagnie, qui ne laissait aucune équivoque quand à leur relation.
Son anniversaire étant au mois de mars, je me risquais de linviter un vendredi midi au restaurant, elle venait davoir trente cinq ans, à ma grande surprise elle accepta, javais retenu une table pour douze heure trente, le repas sétait très bien déroulé, nous avions plaisanté et bien ri.
Au cours du repas, elle se confia à moi, me parla de ses enfants et de son mari, avec qui elle ne sentendait pas trop bien, mais quelle ne voulait pas quitter, je la sentais heureuse dêtre avec moi, je profitais de la situation, aidé en cela par le vin et lapéritif pour lui signifier que pour loccasion je désirais lui offrir un petit cadeau, mais que javais besoin delle pour lacheter.
Elle me regarda, et me demanda quest-ce que cétait.
Je lui répondis que cétait des sous-vêtements, elle paraissait surprise et avait légèrement rougi, je lui demandais si cela lui faisait plaisir.
Elle me répondit que oui, mais que ce nétait pas la peine ; jétais très heureux quelle accepte.
Le repas terminé, je réglais laddition, nous nous sommes alors dirigés vers un magasin de sous-vêtements féminins que javais repéré, car tout cela était bien entendu murement réfléchi.
La vendeuse nous présenta plusieurs modèles, son choix se porta sur un soutien-gorge à balconnets et un petit slip brésilien, le tout en dentelle rouge, elle prit deux tailles et se dirigea vers la cabine dessayage, moi je massis en attendant.
Cela faisait environ dix minutes quelle était entrée, quand le rideau souvrit légèrement et elle me fit signe de venir.
Surpris je mavançais, elle ouvrit légèrement le rideau en me demandant ce que jen pensais, javais devant moi une très jolie jeune femme en sous-vêtement, qui ne cachait pas grand-chose de son anatomie, jétais très surpris et je sentais la chaleur me monter au visage, je ne perdais pas une miette du spectacle qui soffrait à moi : elle avait de très jolis petits sein 85B et de bien jolies cuisses, ses fesses légèrement rebondies paraissaient nerveuses, je la félicitais pour sa beauté et lui signifiais que cela lui allait très bien.
Elle se rhabilla et nous quittâmes le magasin, en sortant elle me sauta au cou, me donna un baiser assez appuyé et me remercia.
Les mois et les années passaient, javais pris pour habitudes à lavenir de lui offrir bien souvent des sous-vêtements en cadeau, ce qui me faisait fantasmer à lidée du spectacle quelle me donnerait.
Bien souvent nous nous sommes retrouvés au cours de ces dernières années dans la voiture entrain de sembrasser tout en la pelotant, jai bien sûr tenté daller un peu plus loin, sans toute fois dépasser le cadre des caresses, elle me disais quelle ne voulait pas tromper son époux, si elle avait su pour son mari, car lui ne se privait pas, maintenant jen avais la certitude.
Il y a trois ans, ne pouvant aller avec elle acheter son cadeau de fin dannée qui était bien sûr des sous-vêtements, elle vint un dimanche matin chez moi pour me les faire voir.
Elle eut tôt fait de se déshabiller entièrement pour les essayer, elle était très exhibitionniste, de plus voyant que cela mexcitait, elle me fit un strip-tease pour mallumer, je me levais et la caressais en lembrassant, je lentrainais vers la chambre, un peu réticente elle accepta.
Couchés sur le lit, nous nous embrassions, nous caressant, jécartais ses cuisses et me mis à la lécher, elle voulu se soustraire à cette caresse quelle mavait toujours refusée, mais je la tenais fermement jaspirais son petit bouton en le mordillant, elle appréciait maintenant la caresse, elle enserrait ma tête entre ses cuisses en se tortillant et en poussant de petits cris, elle mouillait abondamment, jenfonçais ma langue dans les profondeurs de son intimité, elle eut un petit orgasme, je voulais aller plus loin, mais elle se leva et me signifia que non, jétais un peu contrarié, elle me fit un baiser, se rhabilla, nous avons alors continué à discuter en sembrassant.
Les mois passèrent, nous avons continué à nous voir, elle avait pris pour habitude de memprunter de petites sommes dargent car elle avait du mal à terminer certains mois, bien sûr elle me faisait des chèques que je devais présenter chaque mois.
Elle avait maintenant son compte personnel preuve quavec son mari ce nétait pas le top !
Il y a de cela six mois, un jeudi soir elle vint me voir, elle était habillée très sexy : petite jupe noire assez courte, un petit haut rouge transparent, elle avait mis des Dim-up, elle était très attirante et paraissait bien ennuyée, elle membrassa et me demanda si je pouvais lui prêter huit cents euros, cétait beaucoup plus que les fois précédentes, elle me dit quelle était dans le rouge à la banque, et quelle ne savait pas comment faire.
Je lui dis que oui et lui fis un chèque quelle déposerait sur son compte, elle me fit quatre chèques que je devais présenter à des dates fixes.
En plaisantant je lui demandais quels étaient mes intérêts, elle me regarda et me demanda combien je voulais, je lui répondis que je souhaitais des intérêts en nature, tu veux quoi me dit-elle.
Je lui fis signe de se mettre sur mes genoux, elle se positionna à califourchon face moi, sa petite jupe sétait retroussée et laissait entrevoir un joli petit slip brésilien rouge que je connaissais.
Je lembrassais, en défaisant son petit haut et dégrafais son soutien-gorge , ce qui libéra ses seins que je me mis à caresser et à sucer activement, je passais ma main sous sa jupe et me mis à caresser sa petite chatte qui déjà mouillait passablement, jintroduisis un puis deux doigts et me mis à la pistonner, elle transpirait et soufflait tout en se tortillant sur mes genoux, elle appréciait , je lembrassais par de langoureux baisers, elle était maintenant toute nue et en sueur, je mis sa main sur ma braguette quelle défit, elle attrapa ma queue, fit quelques va-et-vient, se pencha et pour la première fois me fit une fellation, elle aspirait et léchait ma queue avec application, je transpirais et sentais le plaisir monter rapidement, je lui fis signe darrêter que jallais éjaculer, elle me garda en bouche, me fixant dans les yeux, jexplosais dans sa gorge et sur sa figure.
Elle se leva se rhabilla, me fit un petit baiser et me quitta.
Nous avions décidé daller le samedi midi au restaurant, nous nous étions donné rendez-vous à 12H30, jétais un peu en avance, elle arriva, me fit un petit baiser, elle sentait bon et sétait particulièrement mise en beauté : petite jupe assez courte noire, Dim-up, un petit haut sépia, un peu coquin qui laissait entrevoir la naissance de ses petits seins, elle avait mis le dernier sous-vêtement rouge que je lui avais offert que japercevais dans son décolleté entrouvert, de plus fait assez rare, elle sétait maquillé les yeux, elle était très jolie, jy fis allusion et la félicitais pour sa beauté.
Le repas qui était délicieux fut très agréable, nous avions discuté de choses et dautres, elle me remercia encore pour laide que je lui avais apportée.
Nous étions au dessert et jen profitais pour lui dire que je la trouvais très jolie et très désirable, ce qui la fit rougir, jen profitais pour lui dire que mon seul regret était quelle ne veuille pas aller plus loin avec moi.
Elle leva la tête, me regarda, mais ne répondit point.
Après avoir bu le café, en discutant, je réglais laddition et nous quittâmes le restaurant.
Nous nous retrouvâmes dans ma voiture, je la pris dans mes bras et je lembrassais, elle nétait pas comme dhabitude, elle était relâchée et câline et me demanda si jacceptais de lui offrir le champagne chez moi.
Jétais très surpris, et content, bien sûr jacceptais cette excellente idée.
En buvant le champagne, et en parlant, ce nétait plus la même personne que javais en face de moi, jen profitais pour me rapprocher delle la prendre dans mes bras et lui donner un profond baiser auquel elle sabandonna en se blottissant dans mes bras, je la caressais.
Soudain elle se leva, me tendit la main pour que je me lève, et me dirigea vers la chambre, elle se dévêtit entièrement, je la regardais un peu surpris et je fis de même, nous retrouvâmes dans le lit enlacés.
A ce moment précis je sus quelle avait pris la décision que jattendais depuis bien longtemps.
Nous sommes caressés, embrassés pendant un long moment qui nous parut bien court .
Sa petite chatte coulait abondamment sous les caresses et les pénétrations de mes doigts, je me positionnais entre ses cuisses bien ouvertes et me mis à la sucer, je mordillais et aspirais son petit bouton, elle menserrait la tête avec ses cuisses tout en se tortillant, nous étions en sueur et prenions beaucoup de plaisir.
Jétais au-dessus delle, lembrassais, quand elle écarta ses cuisses au maximum, nos deux sexes se touchaient, ma queue était dure et me faisait mal, elle prit ma bite et la dirigea vers sa minette en me disant de faire doucement.
Je poussais lentement et pénétrais son intimité tant convoitée, je me mis à la pistonner, lentement puis plus violemment, lui arrachant des cris de plaisir, elle se raidit, et eut un puissant orgasme, je mis ses jambes sur mes épaules de façon à la pénétrer plus profondément, je sentais ma queue buter au fond de son vagin, elle grimaçait légèrement, je lui demandais si elle avait mal , elle me répondit que non, que cétait trop bon.
Je me retirais de cette chatte ruisselante, lui demandais de se mettre à quatre patte pour la prendre en levrette, je la percutais et menfonçais dun trait au fond de son minou, elle couinait et mencourageait de la voix à la prendre plus violemment.
Tout en la pilonnant vigoureusement, ayant une vue imprenable sur son petit et très joli cul, son petit et sûrement inviolé anus mattira, au début je passais mon doigt et tentais de le pénétrer, sentant lintrus elle se contracta et me dit que non car elle ne lavait jamais fait et avait peur davoir mal.
En me penchant jattrapais un tube de gel dans la table de nuit, jen mis sur mon doigt et son petit trou, tout en continuant de la pistonner, je faisais coulisser mon doigt dans cet endroit inviolé, elle ne disait rien et semblait prendre quelques plaisirs.
Lorsque je la sentis prête, je présentais ma queue sur son anus, elle se contracta, impossible de la pénétrer, jabandonnais et continuais de lui limer la chatte tout en lui caressant le clito, elle gesticulait et prenait bien du plaisir, elle eut un petit orgasme et se relâcha, je profitais de ce relâchement pour la pénétrer analement, ma queue rentra très facilement, elle poussa un cri et se raidit, une fois introduit dans cet étroit et très serré canal, je nosais bouger, cest elle qui bougea lentement au début et me fit comprendre que je pouvais y aller.
Après lavoir pistonnée pendant un bon moment, jéjaculais dans son petit cul, en me retirant un liquide jaunâtre coulait sur ses cuisses.
Fatigués mais heureux nous nous dirigeâmes vers la salle de bain pour prendre une bonne douche.
Depuis ce jour nous avons refait lamour régulièrement.
Bernadette a quitté son mari, elle sest révélée une partenaire délicieuse dans la vie et adore faire lamour.