J’étais avec mes deux enfants de 6 et 9 ans dans notre appartement à la côte belge.

C’était les vacances de Pâques.

Mon mari resté à la maison, nous rejoignait le vendredi en soirée.

Nous avions un temps merveilleux pour la saison, ciel bleu, 20° et pas trop de vent.

Nous pouvions profiter de la plage.

Pour nous faciliter la vie, je louais à la journée des transats pour éviter les déménagements appartement-plage-appartement fastidieux quand on est seule avec deux enfants dans les mains.

En plus une petite aubette nous permettait de trouver notre bonheur en cas de petits besoins.

On pouvait bronzer en paix.

La plage était calme, les enfants occupés avec le sable.

J’étais plongée dans mon roman, allongée sur mon transat, en maillot, un bikini limite, rouge, ultra léger, sans bretelle pour le bronzage parfait, me donnant la sensation d’une deuxième peau.

Surveillant d’un oeil mes deux lascars, j’étais dans une histoire romantique.

L’histoire m’excitait.

J’observais le plagiste dans son travail, ses déplacements.

J’avais appris qu’il était étudiant en dernière année d’humanité et qu’il avait trouvé ce job la première semaine de Pâques pour gagner un peu d’argent pour profiter pleinement des trois mois de vacances qui se profilaient à la fin de l’année.

Il était en slip de bain moulant, torse nu, assez musclé, imberbe.

On lui aurait donné 15 ans.

De l’aubette qu’il gérait aussi, le plagiste avait une vue directe sur mon transat, ma personne, mes jambes.

Ma lecture m’avait émoustillé.

Au travers de mes lunettes, je pouvais le voir lorgner sur mes charmes.

Moi, femme de 35 ans, en pleine maturité physique, encore très croustillante, brune au longs cheveux noirs, à la chute de reins à faire damner un saint, une poitrine juste ce qu’il faut, j’aime être matée par de petits jeunes.

J’aime éveiller en eux le désir.

J’aime les tourmenter.

J’aime qu’il ait envie de moi, de mon corps, de la femme mature que je suis.

J’aime imaginer être la première à cueillir leur première éjaculation.

J’imagine ce qu’il peut voir de moi.

J’ai les jambes écartées sur le transat, mon fond de maillot qui épouse mon anatomie doit lui donner des idées coquines.

J’aime ce jeu.

Ayant soif, je vais innocemment à sa rencontre.

Buvant mon verre, j’apprends qu’il recherche un autre petit boulot pour la deuxième semaine de vacance.

Saisissant l’occasion, je lui propose des travaux de peinture dans notre appartement.

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