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Vieux Frères – Chapitre 1




G. s’était levé tôt ce matin-là. Tout se devait d’être parfait : son sac était prêt de la veille, l’appartement dans un état irréprochable, et il avait passé la matinée dans sa salle de bain. Rasé de près, parfumé, enveloppé dans ses vêtements frais et repassés, il pouvait dorénavant partir pour cette journée qui s’annonçait bien particulière.

Sur le trajet, G. pensait à lui. Un nud d’angoisse se formait dans son bas-ventre. Il n’avait plus eu de rendez-vous avec B. depuis janvier, et appréhendait ces retrouvailles. Aurait-il changé ? Leur complicité serait-elle intacte ? Allaient-ils trouver les mots pour se parler ? Autant que questionnements qui accaparèrent l’esprit de G. tout le long du chemin. Son arrivée à V… le fit sortir de sa torpeur, à peine avait-il eu le temps de se préparer que déjà, il était devant sa porte.

Son cur battait la chamade, et déjà, de la sueur perlait sur ses tempes. Pour faire taire cette angoisse insoutenable, et pour se donner une certaine contenance, il se lança en un élan inespéré vers la sonnette. Tout se fit très rapidement. On lui ouvrit, il monta les escaliers, et se retrouva à l’appartement 7.

B. était là, fidèle à lui-même. Les cheveux en bataille, une chemise surannée, et les yeux remplis d’une fatigue et d’une malice toutes personnelles.

Un instant de flottement s’installa. Ils étaient là. L’un en face de l’autre. Haletants. Se noyant dans leurs propres yeux. La tension rendait l’air écrasant. Leur souffle était court.

En un geste commun, brutal, et impulsif, les deux hommes se jetèrent l’un sur l’autre. Leurs lèvres vermeilles s’unirent en un échange passionné, leurs langues se fouillaient, et déjà leur sexe prenait une ampleur provocatrice. Il se sentait l’un et l’autre au travers de leurs vêtements, leur verge se frottant timidement, puis devenant de plus en plus pressante. Leurs mains parcouraient leur corps, se perdaient dans les cheveux, sur le visage, les épaules, le dos, le ventre … Leurs bouches se souillaient tandis que leurs doigts glissaient inexorablement vers le sexe de l’autre, qu’ils finirent par empoigner au travers du tissu …

N’y tenant plus, les bellâtres se déshabillèrent l’un l’autre et finirent à genoux, à même le sol, au milieu de leurs affaires éparpillées en un joyeux carnaval. Ils se masturbaient à présent à pleine poigne. Leur verge dure et chaude gonflait à l’unisson tandis que les premiers soupirs se faisaient entendre.

Leurs jambes endolories par le parquet dur et froid ne les tenaient plus. B. prit alors les devants, saisissant la main de G. pour l’emmener dans un endroit plus confortable. Ils montèrent dans sa mezzanine, sans échanger un seul regard. Leur fougue les intimidait, et ils n’osaient ni l’un ni l’autre briser ou interrompre le charme qui s’était emparé d’eux. B. allongea délicatement G. sur son lit. G. découvrait son intimité, quelques photos accrochées au mur, des livres, des bibelots … Son exploration fut de courte durée. B., se postant au-dessus de lui, avec plaqué son sexe turgescent sur le sien et se masturbait avec force et frénésie, laissant la peau lisse de sa queue aller et venir sur la peau chaude de son ami.

Leur gland rond et doux se cherchait, et chaque effleurement tirait à chacun un soupir voluptueux. B., enhardi par les réactions encourageantes de G., remonta lentement ses doigts le long de ses cuisses frissonnantes, cherchant à atteindre un point bien précis … Sentant les intentions de B. changer, G. eut un moment de panique. Une lueur de détresse s’alluma au fond de son regard. B. sut la capter, déposa un baiser délicat sur ses lèvres en un sourire charmeur, et le rassura.

Le geste fut d’une extrême lenteur et d’une douceur infinie. B. posa son majeur sur l’anus vierge de G. Il en fit le tour, le caressa lentement, l’explora. Jusqu’à détendre peu à peu son anneau serré par l’angoisse des premières fois … Doucement, il inséra un premier doit. G. grondait, soupirait, ronflait … Des râles à peine audibles s’échappaient de lui. Peu à peu, il lâchait prise, s’abandonnant entre les mains expertes de celui qu’il connaissait depuis maintenant 20 ans.

B., encouragé par les signes de contentements de G., redoubla d’audace et enfonça un deuxième doigt venant rejoindre l’autre. Profondément. Il sentait les parois de ce rectum, auparavant inexploré, se dilater, s’ouvrir comme une fleur … Cette initiation s’était figée dans le temps. Les deux vieux frères étaient en apnée. Guettant les réactions de chacun, G. saisit alors le poignet actif de son ami, le repoussa tendrement, et saisit son sexe en signe d’acceptation et d’abandon. Une sorte d’espoir se lisait sur son visage. Une envie nouvelle, un bonheur partagé qui était resté insoupçonné pendant toutes ces années.

Maladroits, ses mouvements ne guidaient guère son compagnon qui semblait bien plus aguerri. Avec adresse et expertise, il dirigea la pointe de son dard vers l’abîme en forme d’étoile, obscur objet du désir. Lentement, très lentement, les curs se mirent à battre à l’unisson, les muscles se bandèrent, les regards se perdirent …

Tandis que B. ouvrait de son gland le cul étroit de G. Le morceau de chair gonflé s’enfonçait dans cet anus timide et caché dans les replis du corps et de la peau. Puis, ce fut au tour de la verge de s’enfoncer, lentement, toujours plus lentement …

G. se sentait rempli. B. se sentait complet. Ils ne formaient à présent, à eux deux, qu’une seule et même personne. G. ne souffrait pas, bien au contraire, il jouissait de ce sexe nouveau en lui, ce sexe qu’il n’avait jamais osé imaginer. Il était à présent logé en son être. B., quant à lui, moins pensif et plus actif, remarquant qu’aucune douleur n’avait surgi, se mit à l’ouvrage. Il accéléra ses mouvements, explorant toujours plus. Ses coups de reins se faisaient pressants, insistants. G. cherchait sa bouche, sa tendresse, mais B. était perdu dans une sauvagerie montante. Il limait son ami sans plus aucune retenue. Il défonçait son cul sans ménagement. Le plaisir était intense, presque insoutenable. Cette pénétration nouvelle laissait G. sans voix. Perdu. Il ne savait que faire, que penser. Jusqu’où cela irait ? Quels outrages lui seraient infligés ?

G. avait envie d’explorer par lui-même. De découvrir ce pan de sexualité qui lui appartenait à présent. De l’apprivoiser. Il se redressa légèrement, les coudes posés sur le matelas. Il profita de cette position pour dégager le sexe de B., et lui arracha un baiser en suçant sa lèvre inférieure. D’une main sur l’épaule, et d’une légère pression, il inversa les positions et se retrouva au-dessus. Il avait ainsi tout le loisir de l’observer. Sa peau laiteuse, ses boucles d’argents, ses yeux bleus à en faire pâlir les plus beaux ciels d’été … Il réalisait peu à peu à quel point B. était beau. Cette beauté l’émouvait. Et d’émotion, il porta sa bouche à son sexe. Timidement, agaçant le gland du bout de la langue, le recouvrant de baiser … Le gobant par moments. Puis, il se mit à descendre. À apprécier sa verge dans toute sa longueur. Dans sa bouche.

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