Re bonjour, cest Juliette et comme je le racontais lors dune de mes précédentes aventures, jai une maîtresse, Dany, sensuelle, douce, et très soumise. Nous nous fréquentons depuis plusieurs mois, et jusquà présent, elle na consacré son corps, quavec moi et quelques amies. Comme je le disais, elle est bi et un homme lui manque, malgré le plaisir quelle peut prendre avec les femmes. Jai remarqué lors de nos jeux, que le fait de lui faire penser à tel ou tel homme, la faisait jouir encore plus fort. Nous en parlons et elle reconnaît quelle aimerait beaucoup, surtout si je suis là pour partager son plaisir. Étant très adepte de lamour avec un couple, (jadore voir une femme prendre du plaisir avec moi, et son homme), jai pris linitiative de lui faire partager un moment agréable avec un vieil ami, bi, lui aussi, qui, je dois le reconnaître, est bel homme. Même lesbienne jusquau bout des ongles, je sais reconnaître un canon quand jen vois un. Cest un antillais à la peau claire, bâti comme un adonis, mais surtout très bien membré. Tout ce quil faut pour la faire craquer et passer un moment agréable.
La semaine dernière, jai eu loccasion de rencontrer Damien, je lui ai demandé sil était daccord pour partager une soirée chaude avec mon amie et moi. Comme javais quelques photos delle dénudée, allongée sur mon lit, je lui ai montré, son accord à été immédiat. Nous avons donc élaboré un scénario ou sa participation serait déterminante. Je néprouve aucun plaisir avec un homme, sauf dans de rares occasions, avec un couple, ou la femme soccupe de moi, et cest plutôt elle qui me fait prendre mon pied. Javais déjà eu loccasion de partager une amie avec Damien, je savais que cétait un super amant, endurant, donnant du plaisir à une femme. Tout un programme.
Le vendredi soir, javais invité Dany à venir passer le week-end à la maison, sans la prévenir que nous ne serions pas seules. Elle a accepté sans hésitation, ma demandé comment shabiller, connaissant mes goûts pour les tenues séxy et accrocheuses.
Elle sest présentée vers 18 heures, vêtue dune jupe droite en cuir très souple, arrivant à mi-cuisse, dun chemisier blanc décolleté, qui laissait entrevoir la naissance de ses seins. Ses jambes étaient gainées de fins bas auto-fixant couleur chair, un petit porte jarretelles, qui servait plus de parure sexy que de soutien de ses bas. Un string ficelle blanc tellement transparent que je me suis demandée si elle ne lavait pas taillé dans ses rideaux. Il ne cachait rien de sa jolie chatte bien dessinée, ornée dune fine toison blonde comme les blés. Elle était juchée sur des hauts talons, qui lui galbaient magnifiquement le mollet mettant en valeur sa jolie croupe cambrée. Elle était à croquer et je me suis mise à mouiller rien quen la regardant. Je navais plus aucun doute, elle allait faire des ravages et servir de dessert.
Nous nous sommes installées sur le canapé, et comme cela faisait plusieurs jours que nous nous nétions pas vue, nous avons échangé quelques potins et banalités. Je la regardais, je sentais mon envie grandir, mon string shumidifier et mes tétons durcir sous ma veste légère. Je lui ai caressé les cheveux pendant que nos lèvres se sont jointes, elle sest enfoncée au fond du canapé, prête à recevoir lassaut de mes mains sur ses cuisses, largement découvertes par sa position assise. Je sentais que son envie nétait pas feinte, quelle voulait que je la caresse, mincitant à prendre possession de son corps.
Jai emprisonné un de ses seins, trouvant immédiatement le téton à travers le fin tissu du chemisier. Nos langues semmêlaient dans un baiser profond et tendre. Elle laissa échapper un soupir de contentement, tendit son buste, posa une main sur ma cuisse. De sa main libre, elle déboutonna son chemisier, faisant jaillir ses seins hors de leur carcan. Je ne pu mempêcher de saisir ce fruit offert, ma bouche sest emparée de son mamelon, et mes lèvres se sont activées autour de son téton offert. Sa main a agrippé mes cheveux derrière ma tête, me plaquant contre elle, laissant échapper un feulement.
— Ouiiii! Me dit elle, embrasse moi les seins, jen ai tellement envie, ça me manquait.
Ses doigts sétaient resserrés sur ma cuisse, comme sils devaient pénétrer ma chair. Sa main laissa ma tête pour me saisir le poignet, le guida sur sa cuisse, sous sa jupe, juste au dessus du bas. Au contact de mes doigts sur sa peau tendre, ses lèvres laissèrent échapper un râle et son buste sest encore tendu. Elle écarta les jambes et mes doigts purent atteindre le fin tissu qui protégeait sa chatte trempée. Son bassin est venu à la rencontre de mes doigts et elle put prononcer ces quelques mots.
— Oh oui! Ma chérie, jai tellement envie de tes mains.
Elle tira sur sa jupe pour la faire remonter le plus possible, écarta les cuisses au maximum quelle put, me guida la main pour la faire glisser sous son string, pris mes lèvres et me demanda.
— Ouiiii! Fais moi jouir avec tes doigts, ils mont tellement manqués.
Sa chatte était trempée et je pus enfoncer mes doigts sans difficulté dans son puit damour, ne sortant que pour titiller son clito tendu, et sa rondelle palpitante à chaque approche. Javais repris son mamelon dans ma bouche, aspirant son téton entre mes lèvres. Son bassin avait pris un rythme endiablé et ses cris samplifièrent, remplissant la pièce. La caresse entamée, je pus profiter pleinement de ses trésors offerts. Elle sest tendue, resserrée les jambes autour de mon bras, et ma inondé les doigts de sa cyprine. Sa main me bloquait le poignet, mempêchant de le retirer, elle fût prise de convulsions, sa main crispée sur ma cuisse à men faire mal. Cela dura une éternité et je la laissai savourer son plaisir, la regardant avec un sourire tendre. Elle mit plusieurs minutes à émerger et ne put sempêcher de dire.
— Bon sang! Quel plaisir, cest mieux avec toi que toute seule, je naurais pas pu attendre!
— Ah bon! Lui répondis je avec un sourire moqueur, parce que tu le fais toute seule!
— Bien sur! Cest de ta faute, tu me manques et javais envie.
Jai retiré mes doigts de sa grotte juteuse et les ai portés à ma bouche, jaimais son goût, me délectant de ce nectar tant recherché. Elle me regardait souriante, les yeux brillant du plaisir pris, et me lança:
— Cochonne! Tu ne peux pas ten empêcher!
— Tu as si bon goût, ce serait idiot de ne pas en profiter.
Nous avons rit et nous nous sommes étreintes tendrement. Elle sest levée, sest rajustée avant de se diriger vers la salle de bain pour se rafraîchir et remettre un peu dordre dans sa chevelure.
Cest moment que choisit Damien pour se présenter, je le reçu avec un large sourire. Il était vêtu dun pantalon blanc très ajusté, ne laissant que peu de doutes sur ce quil cachait. Une chemise ouverte sur son torse musclé et bronzé. Sa nature négroïde dégageait une sensualité, une force rassurante, plaisant énormément aux femmes. Il navait aucunes difficultés pour faire des conquêtes se retrouvant souvent avec de très jolis petits lots dont je me serais bien accommodée. Je le fis entrer au salon, et échangeais le dialogue dusage que lon partage à la venue dinvité. Nous étions en train de plaisanter quand Dany se présenta à la porte du salon. A la vue de son regard surpris, je lui présentai Damien, comme étant un ami de longue date, qui passait par hasard pour minviter à dîner.
Elle savança vers lui, je pus remarquer le plaisir de le rencontrer. Ses yeux brillaient, un large sourire illuminait son doux visage. Apparemment le courant passait entre eux, et il put constater que loriginal était bien au dessus de son imagination.
Nous nous sommes installés pour lapéritif, lui sur un fauteuil, en face, nous sur le canapé, lune à coté de lautre. Nous avons discuté quelques instant, et jai proposé une boisson que je me suis empressée de servir. Dany, après sêtre excusée, ma accompagnée à la cuisine, surement pour faire tomber la pression. Elle était rêveuse et je lui posais la question.
— Alors! Comment le trouves tu?
— Super! Me répondit elle, les yeux dans le vague.
— Il est temps que tu baises avec un mec, il faut voir dans létat que ça te met!
— Non, non! Il ne mintéresse pas, je le trouve beau cest tout.
Je glissais une main entre ses cuisses, accédant directement à sa chatte, constatant quelle était trempée, quil ne la laissait pas indifférente.
— Il ne tintéresse pas! Je ne dirais pas la même chose! En tout cas tu es bien trempée!
— Cest toi qui me mets dans cet état, je ne peux pas men empêcher!
Je lui posais un baiser sur les lèvres et me séparais delle pour retourner au salon, retrouver Damien qui nous attendait bien sagement assis dans son fauteuil. Dany nous rejoignit quelques instants plus tard, les yeux brillant denvie et de frustration en même temps.
Nous avons pris lapéro et sommes parti au restaurant, Damien nous ayant invitées toutes les deux. Tout se passa sans problèmes, la discussion fut riche et plaisante, empreinte dhumour et de fou rire. Je passais plusieurs fois ma main sur la cuisse de Dany, celle-ci, à chaque contact se redressait, les yeux rivés dans ceux de Damien, les tétons pointés, prêt à jaillir du chemisier. Il ny avait aucun doute, elle le désirait et faisait tout pour attiser son envie. La soirée risquait dêtre très intéressante. Je mapprêtais à offrir ma maîtresse à un mâle, sachant que jallais y retirer un énorme plaisir. Moi aussi javais lentrejambe humide et les seins gonflés par lexcitation. Il me tardait que le repas se termine, pour retourner à la maison, assouvir mes envies, et ceux de Dany surement.
Nous sommes rentrés et installés de nouveau au salon, mais cette fois, je pris le fauteuil, laissant Damien et Dany confortablement assis sur la banquette. Nous discutions de choses et dautres, et la conversation est venue sensiblement sur le sexe, narrant ça et là nos expériences mutuelles. Jai vanté auprès de Dany les atouts de Damien, insistant sur les dires de mes amies qui avaient eu la chance de sen servir. Dany souriait dun air entendu, portant les yeux sur la bosse qui déformait le pantalon. Visiblement elle nosait franchir la distance qui la séparait de lobjet de ses désirs. Je me suis donc assise à coté de Damien et lui ai demandé de montrer ce qui faisait tant craquer les filles. Il protesta, pour le principe, mais finit par déboutonner son pantalon, libérant un membre de taille imposante, bien plus noir que le reste de son corps, dressé comme un obélisque. Je laidai à faire glisser son pantalon le long de ses jambes, découvrant la totalité de son sexe à la vue de Dany. Celle-ci ne pouvait détacher les yeux de lengin, comme hypnotisée. Je déboutonnais la chemise, découvrant un torse musclé, des tablettes de chocolat. La panoplie complète du parfait athlète. Je pris la main de Dany, la guidant vers le membre tendu. Malgré une petite résistance de sa part, elle fini par entourer ses doigts autour de la hampe. Sa queue était plus grosse que mes godes ceinture, même mon plus énorme, que mes compagnes appréciaient plus particulièrement. Je posai ma main sur la joue de Dany et lui dit.
— Profites en ma chérie, elle est pour toi, je sais que tu en meurs denvie.
— Non! me répondit elle, je peux men passer, tu me suffis.
— Ne sois pas bête, prends ce que je toffre.
Jai attiré sa tête vers moi, posé mes lèvres sur les siennes, qui se sont ouverte pour un baiser tendre. Je lai libéré, la laissant libre de ses mouvements. Sa bouche sest portée sur le gland, sa langue est venue senrouler autour de la calotte, sattardant sur le frein. Sa main a commencé un lent mouvement de bas en haut, sa bouche sest ouverte, mais lénorme membre avait du mal à entrer, tant il était imposant. A force de sacharner, elle fini par le faire entrer dans sa bouche, entamant un lent mouvement de va et vient, bavant pour lubrifier la pénétration. Je la regardais avaler lobjet de ses désirs, appréciant sa détermination. Tout dans sa gestuelle démontrait la douceur de sa caresse, Damien nallait pas me contredire, vu le plaisir quil éprouvait. Il avait posé sa main sur sa tête, lui caressant les cheveux. Dany enserra les boules quelle faisait tourner dans sa main, les soupesant et les comprimant entre ses doigts. Damien ne pu retenir un râle de bien être et prononça.
— Mon Dieu! Elle suce divinement, elle est douce, quel pied!
Je me suis déplacée derrière elle, enserré un de ses seins, excitant le téton à travers le tissu du chemisier. Mon autre main cest posée sur sa cuisse, lui faisant remonter sa jupe, glissant mes doigts dans son string. Elle avait écarté les jambes pour facilité la caresse, et je pus facilement atteindre son clito et sa chatte dégoulinante. Mes doigts se sont enfoncés dans sa grotte, lui arrachant un cri étouffé par le membre. Elle libera le gland et entrepris de faire courir ses lèvres tout le long du mandrin, léchant les bourses au passage, titillant le frein du bout de sa langue. La caresse devait être des plus gratifiantes, car Damien se tendit et laissa échapper un grognement de plaisir. Mes doigts alternaient entre son clito et son vagin, la faisant se contracter et onduler du bassin.
Elle ne mit pas longtemps pour atteindre son plaisir, resserrant les jambes, emprisonnant de nouveau mon poignet, mes doigts bien au fond de sa chatte, le pouce titillant son clito. Ses doigts de contractèrent sur le membre et sur les bourses. Elle laissa échapper un long cri de jouissance, qui sentrecoupait de silences, cherchant son souffle, pour finir dans un long râle. Elle avait mis Damien dans un état de rut avancé, et lon voyait quil se retenait pour ne pas la pénétrer sauvagement et répandre sa semence. Elle se laissa aller au fond du canapé, desserra les cuisses, libérant enfin mon bras, et resta de longues minutes à reprendre son souffle. Contrairement à ses dires elle avait apprécié cette fellation, et en avait retiré un orgasme immense. Chassez le naturel.
Jai pris la bouche de Dany, ses lèvres se sont ouvertes, et sa langue est venue senrouler autour de la mienne. Jai déboutonné son chemisier, posé mes mains sur ses seins, et fait rouler ses tétons entre mes doigts. Ils étaient encore tendus et sensibles, et chaque passage de mes doigts sur le bout lui prodiguait une agréable décharge électrique dans tout le corps. Damien a fini de se déshabiller, attiré les jambes de Dany pour lallonger sur le canapé. Ses mains ont glissé tout le long de ses cuisses, lui remontant la jupe sur la taille. Elle a soulevé le bassin pour faire descendre son string, écarté largement les cuisses, une fois que celui-ci eu quitté ses pieds. Damien pris position entre ses jambes, ses lèvres parcourant lintérieur des cuisses, jusquà sa chatte gorgée denvie, dégoulinante de cyprine. Sa langue a pénétré le vagin comme un sexe fin. Le corps de Dany sest tendu comme un arc, ne pouvant retenir le cri qui venait de ses entrailles. Damien lapait et aspirait le clito, enfonçait sa langue dans le vagin, et lubrifiait sa rondelle, cherchant à la pénétrer. Dany ne pouvait plus arrêter ses gémissements, le corps secoué de spasmes, ses mains sagrippant sur le dossier et lassise du canapé. Javais saisi ses seins que je triturais, les embrassant, suçant les tétons dressés comme des crayons. Les mains de Damien écartèrent les globes du fessier, et la langue put enfin forcer la rondelle, senfonçant profondément dans lanus. Leffet fut immédiat, le corps de Dany se tendit, un jet de cyprine jaillit, et son cri retentit, nous surprenant. Elle se laissa retomber, continuant à émettre des gémissements, des larmes coulaient sur ses joues. Le plaisir lavait submergé, la terrassant, et la laissant pantoise.
Damien la laissa reprendre un peu ses esprits, et sinstalla entre ses cuisses, frottant son gland le long de sa chatte détrempée. Il lappliquait à lentrée de sa vulve, pénétrait un peu et ressortait. Il exécuta plusieurs fois cette manuvre, et quand il jugea quil pouvait aller plus loin, commença à la pénétrer doucement, laissant la grotte shabituer à la taille de sa queue. Dany sétait soulevée, passé ses jambes autour des hanches de Damien, écartant les cuisses au maximum, laidant dans sa pénétration. Je voyais lengin pénétrer lentement, ressortir, luisant de jus, puis replonger plus profondément. La bouche de Dany était ouverte, cherchant de lair, le corps tendu, acceptant avec plaisir le mandrin tant désiré. Il arriva enfin au fond, commença de doux mouvements du bassin, la laissant prendre linitiative du départ. Ce ne fut pas long, et elle sest mise à onduler du bassin, forçant la pénétration. Je mécartai, le laissant prendre la direction des opérations, et suivi la lente montée du plaisir de ma maîtresse. Damien amplifiait ses mouvements, et Dany le recevait avec plaisir, elle devait mouiller comme une fontaine, car la pénétration était de plus en plus aisée, les mouvements de Damien devenaient plus longs et plus rapides. La tête de Dany se secouait de droite à gauche, ses mains se crispaient sur le canapé, et elle prononçait des phrases que je ne lui connaissais pas.
— Oh ouiiiii ! Vas y défonces moi comme une chienne, baises moi à fond, fais moi jouir comme une salope. Mon gros salaud, tes monté comme un taureau, que cest bon!
Ses paroles se sont transformées en un hurlement, son corps pris de soubresauts et ses doigts se sont enfoncés plus profondément dans le cuir du canapé.
Je métais glissé la main dans mon string, menfonçant les doigts dans la chatte, atteignant mon plaisir en même temps quelle.
Elle était retombée, anéantie, mais Damien continuait de la besogner sans ménagement, la faisant repartir de plus belle. Cela dura un peu plus longtemps, mais le plaisir lenvahit de nouveau, se plantant elle-même sur lénorme pieu qui la perforait.
Je voyais Damien accélérer ses mouvements, son plaisir était proche. Il se retira rapidement, lattrapa par les cheveux et lui planta son membre dans la bouche, quelle ouvrit au maximum, pour laccueillir. Il déversa une quantité énorme de foutre au fond de sa gorge, manquant létouffer, mais elle réussi à en avaler une bonne partie. Elle déglutit encore plusieurs fois, avalant le reste, récoltant au coin de ses lèvres les coulures.
Je la regardais, fière du plaisir quelle venait de prendre, sévertuant à nettoyer le membre qui venait de la faire monter au septième ciel. Elle me tendit la main pour que je mapproche, et me dit gentiment.
— Merci ma chérie, jen avais très envie, tu es un amour.
— Mon plaisir est le tiens lui répondis-je en prenant ses lèvres.
Ma maitresse venait de prendre un énorme plaisir, mais je sentais qu’elle n’était pas au bout de son fantasme. La soirée ne faisait que commencer. Mais ceci est une autre histoire