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Six "sions" pour une scission. – Chapitre 3




CHAPITRE 3 : La détermination.

J’étais rentrée chez moi, suite à la soirée mouvementée au club libertin. J’étais vraiment tiraillée, entre Monsieur que je ne voulais pas décevoir, et Lucille que je voulais revoir.

Je sais, c’est idiot, toute personne sensée aurait couru retrouver Lucille, il me suffisait de contacter Josiane, la gérante du club, pour trouver les coordonnées de la belle. Mais ma vie était justement devenue insensée depuis que j’avais rencontré Monsieur. Je lui appartenais corps et âme, non plus par jeu, ni même par défi, mais par nécessité. Un besoin au plus profond de moi de répondre à tous ses désirs. Il ne me restait plus qu’à attendre le mercredi suivant pour profiter de l’absence de sa femme afin de retrouver Monsieur.

J’en mourais d’envie. Je comptais les jours avec impatience et n’avait la tête qu’à ma nouvelle vie de femme. Le jour, j’étais encore Arnaud en apparence, sur les bancs de la fac de sciences. Mais dans ma tête, j’étais déjà Jessica, la femme que je devenais chaque soir, seule dans mon petit studio. Des amis me proposèrent d’aller passer une journée à la plage le samedi. Mais moi qui d’ordinaire aurais sauté sur l’occasion pour m’éclater entre potes, déclinai l’invitation pour me consacrer au plaisir de réaliser les tâches quotidiennes dans mon appartement, vêtue en Jessica.

Je surfais beaucoup sur le web, cherchant des témoignages de femmes telles que moi afin de connaître leur quotidien et surtout l’évolution de leurs relations sociales sur le long terme. Je passais également pas mal de temps à visiter des sites de prêt-à-porter féminin, fantasmant sur des vêtements et accessoires que mon compte en banque, presque à sec, me rendait inabordables.

Vint le mercredi tant attendu. Je séchai même les dernières heures de cours afin d’avoir le temps de me préparer pour aller voir Monsieur. Je ne souhaitais plus cette fois-ci me préparer à la va-vite devant les phares de ma voiture. Je pris cette fois-ci tout mon temps, durant l’après-midi. Je mis les mêmes sous-vêtements que la dernière fois au club. En même temps, ce n’est pas compliqué, c’étaient les seuls que j’avais, à l’exception de ceux de la femme de Monsieur, dont le soutien-gorge était trop petit pour mes faux seins.

Je passai par contre cette fois-ci une petite robe noire en dentelle qui épousait parfaitement mes formes, avec un effet transparent jusque dans le bas du dos, laissant apparaître mon corset auquel je restais fidèle, tant il me donnait une silhouette hautement féminine.

Il n’était alors que 15h, ce qui me laissait encore trois avant de partir, à la nuit tombante. Mais ce n’était pas de trop pour l’étape que je redoutais, mais qui m’était devenue indispensable : le maquillage.

J’avais acheté les mêmes accessoires que ceux qu’avaient utilisés Lucille. Je n’eus aucun mal à me dessiner les sourcils, les quelques « pâtés » de mascara laissés sur mes cils furent aisément corrigés. Mais je me rendis compte qu’étaler le fond de teint et le blush était plus difficile qu’il n’y paraissait. Je me retrouvais avec les joues roses, et même totalement rouges ridicule.

Je devais donc recommencer. Me démaquiller, le mascara y passait également, les sourcils tout ! Rebelote donc. Pour un deuxième essai à peine plus concluant, un troisième, pas mieux, un quatrième Ah ! Cette fois, ça fera l’affaire. Je n’étais pas aussi belle qu’après être passée entre les mains de Lucille, mais j’étais assez féminine.

Zut ! Il était déjà 19h, je devrais être chez Monsieur depuis quelques temps. Et il me restait l’étape la plus compliquée : atteindre ma voiture sans me faire remarquer par le voisinage, d’autant plus que pas mal d’étudiants vivent dans cette résidence aux loyers abordables et à deux pas de la fac. Je gardai donc mes escarpins et ma perruque à la main, et enfilai une paire de baskets, ainsi que mon manteau d’hiver qui ne laissait apparaître que mes bas. L’obscurité de la nuit tombée devrait cacher mon maquillage, il ne faudrait juste pas que je croise quelqu’un de trop près. Trois-cents mètres jusqu’à la voiture, allez c’est parti

Mission finalement accomplie sans encombre. Je roulais en direction de la maison de Monsieur, dans un petit village en périphérie de la zone urbaine, avec le feu aux fesses. Je savais que moins de dix minutes plus tard, j’aurais probablement la queue de Monsieur dans la bouche.

J’arrivai chez lui, j’enfilai ma perruque et mes escarpins, sonnai à la porte et prit une position déhanchée, perchée sur mes talons, comme pour l’allumer dès le premier regard. Lorsqu’il ouvrit, il me dit :

« Ah ! bonjour petite pouf, entre et va directement dans la cuisine, et apporte-nous deux coupes de champagne bien frais dans le salon.

— Oui Monsieur, répondis-je, toute heureuse de cette délicate attention, et de déjà recevoir l’un de ses ordres que j’appréciais tant. »

Je nous préparai donc deux coupes, et me dirigeai vers le salon, adoptant la démarche la plus sexy possible, eu égard à mon peu d’expérience. Mais lorsque j’arrivai dans le salon, surprise !

« Merci, petite poufiasse, pose ça sur la table devant nous, et regagne la cuisine, et à quatre pattes, n’oublie pas ce que tu es, petite chienne. »

Stupeur en effet La seconde coupe ne m’était pas destinée, mais plutôt à une autre femme, une « vraie » comme Monsieur aime le dire. Une dame d’une soixantaine d’années, très fine, vêtue d’une robe de cocktail noire suffisamment courte pour laisser apparaître de longues et fines jambes nues qui se terminaient par une paire de talons sanglés sur les chevilles. Une très jolie silhouette, mais un visage à faire peur à un zombi. Mais que faisait-elle là, dans une tenue clairement choisie pour séduire ?

J’allais vite le comprendre. Exécutant les ordres de Monsieur, je regagnai la cuisine à quatre pattes, ne manquant pas d’onduler du bassin comme pour lui dire « mon cul vous attend ». Je patientai ensuite de longues minutes, entendant parfois les deux occupants du salon ricaner, quand soudain

« Hmmm Continue Rob, c’est bon Hmmm oui »

Des gémissements féminins, bien qu’à peine audibles depuis la cuisine, se faisaient entendre, laissant parfois place à quelques petits cris de plaisir. Puis j’entendis un peu plus fortement quelques commentaires peu valorisants de Monsieur :

« Oui, pompe-moi bien salope ! »

Et un peu plus tard, leur soirée semblait battre son plein :

« Oui ! Oui ! Oh oui !

— Prends-ça sale pute !

— Oui Rob ! C’est trop bon ! Ouiiii ! »

Je les entendis jouir tous les deux. Je n’y croyais pas. Moi qui pensais passer la soirée seule avec Monsieur, je faisais la soubrette pendant son plan cul avec une vieille peau.

« Petite salope ? entendis-je Monsieur crier Petite pouf ? Jessica, bordel tu te bouges ?!? »

C’était à moi qu’il s’adressait en fait ? J’accourais au salon.

« Sylvie, ici présente, souhaitait te voir, me dit-il. Ce soir, tu es à mes ordres, mais aussi aux siens. Elle à toi, Sylvie.

— Merci, répondit celle qui s’appelait donc Sylvie. Bonsoir petite chienne. C’est la première fois que je rencontre une créature dans ton genre Très réussie, même si le maquillage laisse à désirer. On allez mets-toi debout et ne bouge pas, j’ai besoin de toi pour un certain usage. »

Puis elle s’agenouilla et prit ma bite en bouche. Non mais ça va pas ? Je ne veux pas ! Je suis une femme, on ne touche pas à ce résidu d’Arnaud ! Et pourtant si, elle le faisait. Je regardais Monsieur comme pour lui implorer de mettre fin à cette mascarade. Mais je n’eus pour réponse qu’un regard pervers, très satisfait de la situation.

« Mais il ne bande pas, ton travelo ! s’exclama-t-elle. »

C’est vrai, je n’étais nullement excité par cette bouche féminine qui, il y a quelques semaines, aurait fait jouir Arnaud en quelques secondes. Je ne bandais pas, et n’en avais pas l’intention. Elle continuait tout de même sa fellation, jusqu’à ce que Monsieur prenne les choses en mains.

« Je t’ordonne de bander, me lança-t-il. »

Cet ordre me fit déjà un léger effet, puis il m’infligea une énorme fessée, puis une deuxième, avant de me saisir par la nuque. Je me sentais humiliée et bizarrement, je me mis à bander, et Sylvie se jeta sur ma queue.

Je jouis très vite dans sa bouche, ce qu’elle semblait apprécier. Mais ce ne fut pas cette bouche de femme qui avait fait jaillir ma semence, mais bien les insultes, fessées, et autres tirages de cheveux que m’avaient infligés Monsieur pendant ce temps-là.

« Ah ! je peux rentrer l’esprit satisfait, dit Sylvie.

— Oui, et toi aussi tu peux rentrer Jessica, tu m’as suffisamment déçu pour ce soir. Tu as intérêt d’être à la hauteur demain ! »

Je rentrai, totalement insatisfaite de ma soirée. Non pas parce que Monsieur ne m’avait pas baisée, mais surtout parce que je l’avais déçu. Il fallait que je mette les bouchées doubles le lendemain.

Il est encore relativement tôt lorsque je me couchai. La nuit fut longue et propice à la réflexion. Ma relation avec Monsieur prenait un chemin totalement divergent de ce que j’avais imaginé, une semaine plus tôt, lorsque j’avais sonné pour la première fois à sa porte dans la peau de Jessica. En deux soirées avec lui, je n’ai même jamais pu ne serait-ce qu’effleurer le sexe qui m’avait fait tant de bien quelques semaines plus tôt, et avait fait basculer ma vie.

J’aimais celle que j’étais devenue, et je devais tout cela à Monsieur. Monsieur était l’homme de ma vie, j’en étais certaine. De même que j’avais la certitude que je ne pourrais trouver mon salut qu’en séduisant Monsieur. Et si ce que Monsieur aimait était de m’avoir à ses pieds, alors je le ferais avec plaisir, dussé-je parfois me priver de ma dose hebdomadaire de queue.

Le lendemain, jeudi, même rituel, je séchai les cours de l’après-midi pour mieux me préparer, et j’arrivai chez Monsieur, à l’heure cette fois-ci. Comme je m’y attendais, nous allâmes à la soirée 3è sexe de notre club habituel. Certains me reconnurent tout de suite, ayant probablement toujours en mémoire ma prestation de la semaine précédente :

« Bonsoir Jessica, fais-moi signe quand ton garde du corps lâche la laisse ! Je me réserve pour toi. »

Un autre, que l’alcool avait déjà rendu poète, me fit bien rire :

« Jessica, mon cur ne cesse de battre au doux son mélodieux de mes couilles s’apprêtant à battre la démesure sur ton cul.

— Ah ah ! Vous l’avez travaillé, ça ? lui demandai-je ?

— Toute la semaine, oui ! »

Clairement, je trouvais sa petite introduction profondément ridicule, mais il m’avait fait rire et cela m’enchantait de voir qu’un homme pouvait être amené à faire autant d’efforts pour moi. Alors j’espère qu’il sera moins ridicule lorsqu’il s’agira de s’introduire profondément en moi, car il vient de gagner un ticket pour mon cul enfin lorsque Monsieur me le permettrait, s’il me le permettait seulement.

Nous nous postâmes près du bar, comme la dernière fois, et c’était parti pour la farandole de râteaux récoltés par Monsieur. Après moins d’une heure, il avait déjà abordé toutes les femmes seules de la soirée. Pas une n’avait montré le moindre intérêt à ses avances. Il se tourna alors vers un couple, adossé au bar, près de nous. Lui devait avoir une cinquantaine d’années, elle beaucoup moins. 35 ans, je dirais.

Il discuta avec les deux, mais je n’y prêtais pas attention. Cette soirée ne me plaisait pas. Il manquait clairement quelque chose. Un manque que les regards convoiteurs que presque tous les hommes posaient sur moi, ne dissimulait.

C’est alors que Monsieur s’absenta avec le couple, m’attachant au bar, sans même me consulter. Peut-être avait-il réussi à obtenir le droit de baiser cette jeune femme ? Mais cela m’étonnerait. Elle était jeune et belle, et il venait d’enchaîner les râteaux avec beaucoup plus abordable. Toujours est-il que j’étais attachée à ce bar, seule, sans savoir ce que Monsieur m’autorisait à faire.

« Josiane, il y a un cul qui m’attend mais il est attaché au bar, tu n’aurais pas une tenaille pour libérer cette jolie jeune femme ? demanda aussitôt un homme, déjà à l’affût, à la gérante du bar.

— Laisse tomber, répondit la patronne, c’est Jessica, notre nouvelle star, je fais salle comble pour la première fois, et tous les soirs, depuis sa prestation au milieu de la piste de danse la semaine dernière. Tu peux la baiser sur le bar si ça te chante, et que tu n’as pas peur d’être rejoint par un troupeau de mâles en rut, c’est un véritable aimant à queues, cette gonzesse. »

Je n’en attendais pas tant. Ne voyant pas Monsieur revenir, je considérai que j’avais carte blanche, et m’allongeai directement sur le bar, dans la seule position qui laissait suffisamment de mou à ma laisse pour ne pas m’étrangler.

Et l’homme en question s’approcha de moi, baissa son pantalon afin de découvrir son sexe déjà dur. J’ouvris la bouche, impatiente d’enfin sucer une queue depuis une semaine, et voilà que le show commençait. A peine sa queue ma limait-elle la gorge que j’entendais déjà la nouvelle se répandre :

« Eh ! Les gars, c’est Jessica sur le bar, elle est open ! »

Je vis même certaines femmes se retrouver seules sur la piste de danse, abandonnées par leurs partenaires qui accouraient vers moi, pantalon déjà déboutonné. Cela en faisait, du monde, huit ou neuf, au bas mot, et ma bouche seule ne serait pas assez rapide pour tous les contenter. Il fallait que mon cul entrât en action afin de doubler la cadence de production.

Oui, j’étais une usine à bites, et j’aimais cette image que je me faisais de moi, chaudière à pleine puissance. La révolution sexuelle que je vivais depuis quelques semaines était simplement ma révolution industrielle à moi.

Je descendis donc du bar face auquel je me positionnai, debout sur mes talons aiguilles, jambes tendues mais bien écartées, et me penchai en avant, la tête juste au-dessus du bar. De sorte que dorénavant, le stand sodomie se passerait debout, derrière moi, et l’atelier fellation allongé sur le bar, queue en l’air.

C’est beau comme le langage du corps peut suffire dans le sexe. Tout le monde comprend tout sans parler, et mes partenaires peuvent garder leur salive pour me lubrifier la rondelle, ou proférer quelques insultes bien dégradantes qui sonnaient à mes oreilles comme une mélodie aussi douce que motivante.

J’aimais cette position, elle me permettait de rendre utile chacun de mes mouvements alternatifs. Je m’enfonçai sur la queue qui m’enculait lorsque je reculais, m’appuyant sur le rebord du bar, puis la queue que je suçais me visitait la gorge lorsque j’imprimais le mouvement contraire, tirant de mes bras sur le bar. C’était du sport. Fatigant. Mais une fatigue dissimulée par quelques spasmes de plaisir anal, mêlés à mon goût naturel pour la pipe.

Cela faisait plusieurs minutes que cet exercice durait. Je n’allais cependant pas fléchir. J’avais une réputation à tenir. Les hommes se relayaient des deux côtés du stade. J’étais leur terrain de jeu. J’en sentis un jouir sur mes fesses, puis s’exclamer en se retirant :

« Alors tu vois ? J’ai bien battu la mesure, hein ? »

C’était mon poète aviné.

« Ravie d’avoir pu aider, me dis-je alors dans ma tête. »

Et j’eus un petit rictus tout en continuant ma fellation à un homme aux abdos tellement durs que j’avais parfois l’impression de me casser le nez lorsque j’allais trop loin.

Les hommes se succédant, je commençais à sentir une douleur vive dans le cul. Ils étaient encore trois derrière moi, je ne tiendrais probablement pas la distance. Je commençai par ailleurs à perdre toute lucidité. Ils voulaient tous m’enculer. L’homme que je suçais était le dernier sur le bar, et voilà qu’il se mit à jouir dans ma bouche. J’avalai tout. Et alors que ma douleur anale se faisait de plus en plus sentir, et mon plaisir de moins en moins, je fermai les yeux, pour mieux faire passer la pilule. Je m’étais peut-être un peu trop enflammée. Voilà ce qu’il en coûte de se laisser prendre au milieu de la salle principale. On est à la merci de tous. Mais j’avais tellement besoin de sexe, et Monsieur m’avait laissée attacher, emportant la serrure dans sa poche

Je souffrais maintenant en silence, les yeux toujours fermés, ne sachant guère si d’autres hommes s’étaient ajoutés à la file d’attente. Quand soudain, des lèvres se posèrent sur les miennes. Elles étaient douces et des mains tout aussi douces commencèrent à me caresser les joues. Mais c’étaient des mains de femme, ça !?! J’ouvris les yeux.

C’était Lucille, surgie de nulle part. Debout de l’autre côté du bar, penchée sur le comptoir, son décolleté laissait paraître ses jolis seins écrasés sur la table. Je lui avais pourtant dit que je ne voulais pas être embrassée par une femme. Mais j’étais bien. Je ne retirai pas mes lèvres. J’ouvris même la bouche. Cette douceur à l’instant même où je commençai à ne plus supporter la virilité des hommes dans mon dos, me fit le plus grand bien.

A vrai dire, il n’y avait plus qu’elle et moi dans la salle. Tout autour, c’était le néant. Nous nous embrassions langoureusement, je m’abandonnai complètement à elle, j’étais aux anges. Cela faisait près d’une heure que les bites s’enchaînaient dans mon cul. Je ne saurais dire combien y sont passées. J’avais mal, mais je m’en foutais. Et lorsque l’un d’eux éjacula, Lucille s’interposa entre le suivant et moi.

« Je pense que c’est bon pour ce soir, dit-elle aux deux suivants, apparemment les derniers. Suivez-moi, je vais m’occuper de vous. »

Et elle les accompagna dans une salle privée, après m’avoir donné un dernier baiser que je partageai avec fougue.

La pauvre, pour la deuxième fois elle se sacrifie pour moi, et s’offre cette fois-ci à deux mecs. Pas beaux du tout en plus

Je remis mon string et redescendis ma robe, quand justement Monsieur réapparut, accompagné du couple avec qui il s’était éclipsé. Il avait probablement réussi à baiser la jeune femme, et l’homme les aurait regardés.

« Eh bien, petite pouf, on dirait que tu viens de vider quelques couilles, à moins que tu ne te sois versé ton lait de coco dans les cheveux ? ah ah ! se moqua-t-il tout en me détachant. Allez viens avec nous, après de multiples discussions, je suis tombé sur un accord avec ce charmant couple. Monsieur accepte que je baise Madame, à la seule condition qu’il obtienne préalablement satisfaction avec ton cul. Ne me déçois pas ! »

Mon dieu ! Mon calvaire anal n’était pas terminé. Nous nous isolâmes, l’homme et moi, dans une salle privée. Ce qui d’ordinaire m’aurait enchantée, m’effraya : même au repos, il était monté comme un âne.

« Ecoute petite chienne, m’interpela-t-il alors que j’étais perdue dans mes craintes, je me fiche de ton plaisir, mais toi tu es là pour le mien. Donc les bisous, les caresses, on oublie. Tu as deux minutes pour me faire bander, puis je te ravage le cul. »

Le genre de mots qui m’excite d’habitude. Pas là. Mais je ne pouvais pas décevoir Monsieur une nouvelle fois après ma déconvenue de la veille. Il fallait que j’assure J’étais déterminée à être la chienne que Monsieur attendait de moi.

J’ai assuré. Monsieur a pu baiser une ravissante jeune femme, grâce à moi. Il me remercia en m’offrant sa bite à sucer alors qu’il conduisait sur le chemin du retour. Celle-là, je l’aimais. Je lui vouais même un culte. C’était donc une soirée qui finissait bien pour moi, malgré une vive douleur au cul qui se réveilla le lendemain matin et m’empêcha de marcher durant deux jours.

Mais si je devais faire le bilan de cette soirée, je dirais que mon dilemme était toujours le même : ma dévotion à Monsieur était plus forte que jamais, et les liens indéfinissables qui me liaient à Lucille semblaient évoluer vers une passion réciproque.

En résumé, deux relations qui ne pouvaient faire bon ménage, mais que j’étais déterminée à poursuivre.

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