Cela fait plusieurs mois que je scrute les sites d’annonces pour rencontre entre homme. Les annonces de mecs actifs recherchant un soumis m’a toujours excité, et donné envie, pourtant jamais je n’ai osé franchir le pas. Aujourd’hui, j’ai décidé de publié l’annonce que j’ai préparé depuis plusieurs jours, pourtant je stresse énormément. Suis je vraiment prêt à ça ? Il est 21h03, je suis seul chez moi, et je me décide enfin à cliquer sur le bouton "Envoyer".
Le lendemain, en me connectant sur le site, je peux voir que j’ai eu plusieurs réponses. Une d’entre elle attire particulièrement mon attention. L’homme se présente comme un actif dans la quarantaine, bien monté, et recherchant un jeune soumis pour en faire son objet, pouvoir en disposer comme bon lui semble. Il a l’avantage d’habiter pas très loin de chez moi, et ça ne semble pas le gêner de prendre un débutant sous son aile. Je lui donne mon e-mail, pour pouvoir discuter des détails d’une future rencontre…
Une semaine plus tard, je me retrouve à descendre du bus, dans un vieux quartier d’une grande ville. L’homme en question habite dans un des appartements des immeubles se trouvant en face de moi. J’ai une boule de stresse au ventre, et je me demande encore si je ne suis pas entrain de faire une connerie. Néanmoins, les échanges que l’on a eu m’ont particulièrement excité, je me rends devant la porte de son immeuble, et sonne à l’interphone. Une voix grave me répond et me demande si c’est bien la personne qu’il attend. Je lui répond que oui, il m’indique qu’il trouvera sa porte ouverte, qu’il faudra que je la ferme en entrant, que je me déshabille, et que j’attende à quatre pattes les yeux fermés dans son hall d’entrée.
J’entre dans l’immeuble et prend les escaliers. Le stresse continue de monter… Enfin j’arrive devant son appartement, c’est le moment ou jamais pour faire demi-tour, et pourtant, je saisie la poignée et pénètre chez lui. Je referme la porte derrière moi, il fait très sombre, et je distingue à peine le bout du couloir. Une odeur que je n’arrive pas à décrire m’attaque les narines, pourtant je fais ce qu’il me dit et me déshabille. Je suis un homme de 22 ans, sans être gros, je ne suis pas non plus mince et possède quelques rondeurs. Je suis maintenant nu, et dans la position qu’il m’a indiqué, c’est à dire à quatre pattes avec les yeux fermés. J’attends pendant plusieurs minutes, et je n’entend aucun bruit, les minutes me paraissent être des heures…
Enfin, des bruits de pas se font entendre au bout du couloir, je le sens venir vers moi, me regarder, m’évaluer. Il fait le tour de moi plusieurs fois, puis s’arrête. Je sens alors une main me palper les fesses, les écarter pour mettre en évidence mon petit trou. Immédiatement, ma queue réagi et je sens une érection arriver. L’autre s’en rend compte, et s’exclame "Hum, t’aime ça toi, petite salope, tu me plais bien…" Je rougie, mais je l’entends s’éloigner. Il revient alors rapidement, et je le sens alors me passer un collier autour du cou, puis une pression m’attirant vers l’avant, surement grâce à une laisse. Enfin, il me permet d’ouvrir les yeux. Je suis dans ce qui ressemblerait à son salon, avec un canapé, une télé, des cadavres de bouteilles de bières qui trainent, ainsi que plusieurs caleçons. Enfin, je le découvre lui. Il est déjà en slip, je remarque d’ailleurs qu’il est jaunit à certains endroits, il a une certaine prépondérance au niveau du ventre, mais surtout à son entrejambe. Ca m’excite, et je sens ma bite qui est toujours tendue au maximum.
Il se place devant moi et me dit "Descend mon slip avec ta bouche, salope." Je commence déjà à être sous son emprise, et m’approche de son entrejambe. Une odeur de transpiration, de pisse et de sperme s’échappe, et commence à reculer ma tête. Il ne m’en laisse pas le temps, la saisie avec ses deux mains et me colle à son caleçon. L’odeur est très forte, mais il maintient la pression, et me demande encore une fois de retirer son slip. L’odeur devenant insoutenable, je le saisie alors entre mes dents et commence à le descendre. Se découvre alors sa bite, encore mole, que pourtant je trouve énorme. Il n’avait pas mentit en disant qu’il était bien monté. Voyant que je reste scotché devant, il me dit "Elle te plait hein ? Aller, dépêche toi de me faire plaisir, ça fait une semaine que jattends ça." Je m’approche, et ouvre la bouche. Je commence d’abord par donné quelques coups de langues, puis enfin je l’enfourne. Il y a un goût très fort, mais pourtant je trouve que la sensation est géniale, cette barre de chair, chaude, vivante dans ma bouche, j’adore ça. Je commence à faire des va et vient avec ma bouche sur sa tige, et je le sens grossir, jusqu’à atteindre une longueur de plus de 20 centimètres avec au moins 5 de diamètres…
Je continue de le sucer, et de bander, il prend ma tête et guide mes mouvements, pour aller plus ou moins vite. Enfin, il se décide d’arrêter, et me fait me relever. "Il est temps de passer à table ma jolie". Il me claque le cul pour me faire avancer, ce que je fais. Il me fait ensuite pencher en avant sur une table, le cul bien en évidence. Je sais que je vais passer à la casserole et j’adore ça, ma queue toujours à son maximum pendant dans le vide pouvant en attester. Je l’entends dire "Écarte tes fesses petite lope." Je décide alors de me cambrer un peu plus, et d’écarter mes deux lobes fessiers, lui donner une vue directe sur mon trou. Je le sens qui crache dessus, étalant sa salive, puis faire glisser sa bite le long de me sillon. "Ah un p’tit cul vierge, j’adore ça." Puis son gland s’arrête sur mon trou, je suis très excité, et enfin, je le sens forcer mon passage. J’essaye de me détendre au max, pourtant avec ses dimensions, je ne peux pas m’empêcher de crier, d’hurler tellement une douleur intense me prend le cul. Il étouffe mes cris avec une de ses mains et continue son travail de perforage.
Enfin, je sens ses couilles battre contre mon cul, signe qu’il est arrivé au fond. Ne me laissant aucun répit, il commence à ressortir quasi entièrement, puis à re-rentrer. "Ah, t’aime ça salope, t’inquiètes pas tu va en avoir…" Ses aller-retours sont lents mais puissant, il me laboure le cul. Petit à petit, la douleur s’atténue et je recommence à bander. Je commence à adorer ce qu’il me fait, et ses coups de reins commencent à aller de plus en plus vite, jusqu’à me défoncer littéralement le cul. Moi pendant ce temps, j’accompagne ses coups de reins, je me cambre pour encore mieux accepter sa bite dans mon fondement. Puis je le sens accélérer, et tout d’un coup, il crie, pousse au plus profond de mon cul, je sens sa bite cracher des jets de sperme dans mon cul, me faisant moi aussi jouir, lâchant mon sperme sur le sol, sans même me toucher. Jamais je n’ai jouis aussi fort de ma vie, c’était génial.
Il s’est affaissé sur moi, me laissant sa bite dans le cul, avec son sperme bien au chaud. Nous essayons tous deux de reprendre nos esprits, et je me demande ce qu’il me réserve maintenant…