Et si … et si … j’avais un autre métier.
Je choisirais assistant " vie intime" poste de fonctionnaire bien sur à l’écoute des demandes de gens en détresse sexuelle des gens ordinaires manquant de chaleur érotique, des gens qui veulent bien mais ne peuvent pas par timidité ou par solitude, ou parce que leur fantasmes sont trop intimes pour surgir a la surface, ceux que la peur gagne sur l’envie.
Bref je suis assistant "en vie intime" premier échelon. Le plus bas mais il faut bien débuter. Je suis zélé, consciencieux et discret. La devise c’est passer inaperçu aux yeux du monde et effectuer sa mission du mieux possible. Il n’y a pas que des inconvénients heureusement. Jimagine très bien mon poste:
Venir chez les gens pour leur apporter le soutient sexuel. Dont ils ont besoin avec le soin de répondre a leur demande du mieux possible avec l’abnégation la plus totale, si le domicile n’est pas libre un rendez vous ailleurs est toujours possible.
La devise de mon poste : discrétion, écoute, répondre au besoin.
Je fais parti de la section bi "comme pour homme et femme sans distinction"
Ma fiche : agent 50 ans offrant recto verso passif actif avec femmes, passif avec homme, soumis à la demande.
Alors je vais vous conter mon carnet de bord d’une semaine ordinaire d’un agent du service "aide vie intime.
Dabord discrétion : voiture banalisée et homme tenue classique pour ne pas attirer les regards, et nous voilà parti.
Lundi matin :
Premier usager pour débuter la semaine plutôt pas mal, ma feuille de route a de quoi surprendre le commun des mortels, mais pas moi.
Je cherche un petit parking désert a cette heure matinale. Une femme mattend, mariée et discrète. Je la repère dans sa voiture .Une petite mission ce lundi je m’approche, la vitre de la voiture descend .pas de parole entre nous tel est sa demande. Brune de 50 ans un peu forte avec une poitrine opulente. Cette femme vit en couple et malgré tout a besoin d’un certain réconfort. Je monte à sa demande coté passagère. Devant elle je baisse mon pantalon et mon slip découvrant ma verge et mes parties a son regard allumé d’un coup. Cette femme dominée par un homme macho cherche un défouloir avant de commencer sa semaine. Elle veut branler une verge avec ses mains ce qu’elle n’a jamais pu faire avec son homme trop macho pour s’abaisser à ce genre de plaisir.
Gentille la dame dévoile un peu de ses charmes ses seins sont fermes et bientôt à ma vue sa petite jupe remontée dévoile toute la beauté de son sexe déjà mouillé
Mais bref je ne suis pas là pour ça, sa main empoigne ma verge, caresse mes testicules, ses ongles longs chatouillent celles ci puis d’un coup sa main branle ma queue, quelle ardeur a l’ouvrage la dame. Mon érection la comble daise, elle crache dans sa main puis me lubrifie la tige bien raide, je halète, le souffle court elle me fait du bien la brune et elle le sait. Toujours pas de parole de sa part et moi a part des cris rauques une verge en rut et complètement a poil maintenant je ne suis que çà.
En cinq minutes de ce traitement je capitule vaincu sans cacher ma jouissance, ma liqueur giclant sur mon ventre;
Elle étale soigneusement ma semence sur mon corps, ma queue, mes couilles, l’étalant jusque dans ma raie ouverte (mes mains écartant bien mes fesses)
Mon rendez vous se termine elle signe mon bordereau, je remets mes habits et avant de descendre de la voiture. Je clos le rendez vous par un nonchalant "j’espère vous avoir satisfait etc. etc.
Trois rendez vous par jour ce n’est pas non plus le bagne.
Surtout que le deuxième usager n’est pas loin géographiquement.
Et puis au moins je serai au chaud dans un petit appartement. Un appel urgent d’un étudiant juste majeur qui a demandé deux rendez vous ; ma collègue est déjà passée et maintenant c’est mon tour. Cinq étage sans ascenseur je me suis arrêté le souffle court au troisième pour regarder une dernière fois ma feuille de route.
Le garçon un peu stressé mais mignon me reçoit moins timide que prévu (ma collègue a du le chauffer un peu). Bon bref discrétion absolue il est à l’aube de sa vie sexuelle et s’est important. Plus loquace que mon premier rendez vous il m’offre un petit café puis je me met a l’ouvrage.
Je suis bientôt en string devant lui ma grappe a peine voilée par ce bout de tissu bien moulant. Ses mains cavalent sur mon corps d’abord timidement puis fiévreusement. Mon torse, mes fesses n’ont plus de secrets bientôt pour lui et puis un peu gêné il touche un peu mon sexe à travers le tissu. Il se lance enfin et mon string descend, la ficelle, ultime rempart s’échappe de ma raie rasée de près comme toujours.
Ma nudité ne le gène pas assurément .Un homme de cinquante ans bien entretenu docile et offert ne semble pas le faire fuir bien au contraire. Sa recherche intime semble sur le point d’aboutir car ses vêtements tombent un par un et c’est une nudité triomphante qui parait devant moi. Son érection fait plaisir à voir. Ce garçon a une verge énorme et je sais qu’en épluchant ma fiche il espérait avoir des réponses a son avenir sexuel. Exprimer nos sensations voila ce que l’on nous demande dans notre travail alors mon corps s’exprime et bientôt nos sommes deux hommes avec le sexe en érection sans pudeur. Ses doigts courent sur ma queue, puis nos yeux ne se quittent plus. Ses petits yeux noisette ont choisi :
Ce garçon sera bisexuel actif c’est écrit, la réalité n’est plus très loin. Un sourire une complicité naissante tandis que je dévoile mon verso (je suis là pour çà aussi).
Mes fesses sont l’antichambre de son désir il les écarte lui même son regard se gorgeant de cette vision impudique. Parfois je suis fier de mon job et là c’est justement le cas. Faire découvrir a un jeune une facette du sexe c’est quelque chose croyez moi. Après des tâtonnements bien normaux la sodomie profonde que je subit de sa part est un délice charnel, j’y prend du plaisir d’avoir cette bitte raide enfoncée jusqu’aux couilles en moi, mais il est dit que l’instant ne sera pas éternel et le fonctionnaire que je suis et surtout mon cul comble d’aise ce jeunot en forme. Je reçoit bientôt le flot de sa semence dans mon intimité possédée.
Ma mission s’achève et un quart d’heure plus tard je suis dehors bordereau signé, le cul en feu et déjà à mon troisième rendez vous après mon déjeuner.
Laprès midi me voit garer ma voiture dans un quartier populaire aux barres d’HLM a perte de vue. La cage d’escalier me laisse au troisième étage avec ascenseur cette fois.
Je sais déjà que cela sera mon rendez vous le plus chaud de ma journée a la lecture de ma feuille de route.
Sur le pallier coup de sonnette et la porte s’ouvre précipitamment une femme me fait entrer très vite. Ici pas de frustration ni de découverte mais deux femmes sevrées de sexe. Le mari est parti sa mère, présente, porte le deuil et je sais que l’on attend beaucoup de moi. Cest l’instant ou la chair de poule me prend pas par la peur mais plutôt d’excitation. Je connais bien ce genre de situation ou " deux femelles en chaleur" attendent le l’homme pour se défouler en toute légalité. 25 ans et 45 ans voila l’âge que je leur donne. Jai longuement réfléchi avant d’accepter la mission mais la curiosité est mon péché mignon et puis faire le job d’abord!!
Je me retrouve nu comme un ver avant d’avoir dit ouf et leur regard salace me domine sans vergogne. Bientôt leurs corps sont offerts à ma vue. Des seins fermes
Des chattes rasées, des ventres plats, des rictus au bord des lèvres et l’impression d’être un objet dont on va se repaitre et c’est le cas. Cas difficile je crois que sur ma fiche elles ont noté les mots "passif actif avec les femmes" Les mots qui sortent de leurs bouches ne vienne pas de la bourgeoisie mais ils ne me choquent pas bien au contraire. Comment ces deux femmes savent elles que les insultes ne sont pas un frein pour moi?
Palpé de partout comme un bout de viande je bande bientôt en me faisant traité de petite salope de pute et j’en ai pas honte j’aime ce jeux là. Je me retrouve sur lit léchant une chatte rasée celle de la mère sexe abondamment trempé. Ses mains tiennent mes cheveux me collant a son sexe en chaleur. Ses gémissements font plaisir a entendre et encore ce n’est pas fini la fille derrière moi s’occupant a sa manière de mon coté verso. Cest ce qui m’a fait accepter le rendez vous d’ailleurs.
Pendant un temps très long ma langue lèche un sexe de femme.
Et pendant ce temps là soumis et dominé je reçois la plus belle fessée que cette femme n’a jamais donné à un homme.
La mère gémit et rigole ma langue dans son fourreau et mes fesses rougissent mais pas de honte, loin de là. La suite est logique et les mots "je vais t’enculer petite pute" ne me surprennent pas de la part de la fille excitée. Je sais que le dénouement est proche car en fonctionnaire zélé le sexe en érection j’écarte mes fesses pour recevoir la visite de doigts inquisiteurs de plus en plus nombreux d’ailleurs. Mon cul ouvert n’offre plus aucune barrière décente et je m’offre entier mon cul sexe béant s’écarte ensuite pour le passage d’un joli concombre bien long puis celui d’une bonne cannette de bière bien mousseuse juste décapsulée et dont le contenu remplit bientôt mon boyau, jusquà la dernière goutte. La mère a rejoint la fille et c’est bientôt une franche partie de rigolade au spectacle de toute cette mousse dégoulinant de mon trou du cul.
Un dernier plaisir avant de reprendre la route pour le fun comme on dit. La mère branlant ma verge la fille le sexe devant ma bouche m’offre son champagne intime déposant son besoin dans ma bouche ouverte. Je reprend ensuite ma route en attendant le mardi. Deuxième jour de travail.