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Christiane et Claude les parents de mon pote Jean-Louis – Chapitre 3




Salut c’est votre folle de lycra.

Dans les épisodes précédents, je vous racontais les choses inavouables que je faisais avec mon pote Jean-Louis, j’avais pris l’habitude de le sucer, mais surtout il avait pris l’habitude de me pénétrer. Mon petit péché mignon quand j’allais le voir, c’était d’aller sentir les petites culottes souillées de sa maman. Malheureusement mon ami est parti en pension à la rentrée suivante et je me suis retrouvé seul sans lui, heureusement un jour sa maman Christiane m’a contacté pour que je lui donne un coup de main pour ranger la chambre de son fils. C’est avec grand plaisir que je me suis libéré pour être en sa compagnie car je fantasmais très fort sur elle. Arrivé chez elle, cela a été plus fort que moi, il a fallu que j’aille humer une de ses petites culottes dans le bac à linge sale. Et là, catastrophe elle m’a surpris la main dans le bac (allusion à une de mes histoires), d’une façon relativement autoritaire, elle m’a emmené dans sa chambre et sans trop me demander mon avis elle s’est chargée de me faire en éducation.

Le fils s’était déjà chargé de me dépuceler par derrière et sa maman s’est occupée du devant, j’étais vraiment aux anges. Cette femme, qui depuis mon plus jeune âge me faisait énormément envie, j’étais en train de la découvrir sous un nouvel angle, un angle bien plus intime, un angle que sans doute très très peu de personnes devaient connaître. Ce jour-là j’avais eu le droit à ma première fellation et surtout ma première pénétration avec une femme, d’expérience qui plus est. La punition qu’elle m’avait infligée pour avoir osé fouiller dans le bac à linge sale, de m’obliger à rentrer chez moi avec sa petite culotte souillée enfilée à la place de mon boxer. Quand je suis rentré à la maison, je n’ai pas arrêté de penser à Christiane, en même temps, je m’en voulais d’avoir fait l’amour à la mère de mon pote. Quand je suis rentré je me suis rendu directement dans ma chambre pour me caresser à travers cette pièce de tissu réservée aux femmes. Le téléphone a sonné dans la maison mais ma maman s’est chargée de répondre, la conversation a duré très longtemps.

Une fois la communication terminée ma maman est venue me voir, elle aussi était une grande et belle femme et elle me faisait aussi fantasmer, mais ne serait-ce que par la pensée, l’inceste me gênait. Marie ma maman m’a expliqué elle venait de converser longuement avec la maman de Jean-Louis et que cette dernière se proposait à me donner des cours de maths car je pataugeais un peu dans cette matière. Ma mère a trouvé très gentille, la proposition de Christiane et elle m’a dit qu’il faudrait trouver quelque chose pour la remercier. De mon côté j’avais bien compris la manigance de la maman de Jean-Louis et pour ma part cela m’arrangeait. Je pouvais en conclure que j’allais pouvoir lui faire l’amour régulièrement avec un alibi en béton. Le soir je me suis endormi après avoir enfilé la petite culotte de Christiane, je la trouvais très douce en plus de ça bonne odeur féminine. Elle était blanche mais était marquée au niveau du pubis et du vagin, en enfilant cette culotte j’avais l’impression d’appartenir à la mère de mon meilleur ami. La culotte était tellement grande qu’elle arrivait à contenir mon érection quelque soit le sens de mon sexe.

Je prenais maintenant grand plaisir à me le caresser, mais aussi à l’arrière entre mes fesses. Jusqu’à maintenant je me faisais des petits plaisirs avec les culottes de ma mère ou celle de la femme de Claude; pour la première fois de ma vie je m’endormais avec un vêtement féminin sur moi et pas des moindres. Bien que m’étant endormi sur la béquille ce soir-là, j’ai dormi comme un bébé jusqu’au lendemain matin, par contre je n’ai pas arrêté de rêver de Christiane. C’est en fait un message de Jean-Louis qui m’a réveillé, il voulait savoir comment c’était passée ma rentrée scolaire et si tout allait bien pour moi. De son côté il m’a expliqué que tout était bien qu’il avait un alcôve pour lui dans un dortoir d’une trentaine d’élèves. Je lui ai expliqué que je galérais un peu en maths mais que sa maman s’était proposée à me dispenser des cours pour essayer de me remettre à niveau. Puis j’ai reçu un autre SMS sur le coup j’ai cru que c’était encore Jean-Louis.

— Alors ma bouffeuse de minou, tu vas revenir voir ta maîtresse.

— Désormais je ne me laverai plus le minou, c’est toi qui vas t’en charger quotidiennement.

— Si tu ne viens pas tous les jours, le goût de mon entrejambe sera plus fort mais de toute façon tu me le nettoieras.

Avec mon manque de tact, je me suis empressé de lui répondre que je prenais la place de son mari, qu’allait-il en dire

Elle m’a répondu sur-le-champ comme quoi son mari ne l’avait pas touché depuis plusieurs années, ou il avait une maîtresse ou il était homo désormais, je comprenais mieux pourquoi ma future prof de maths avait une telle énergie et était à ce point gourmande. Elle avait un côté autoritaire, directive, limite dominatrice qui me plaisait beaucoup; pendant que je communiquais avec elle, j’avais de nouveau une grosse érection.

— Je suis libre ce soir et j’aimerais que nous nous voyions, si il reste un peu de temps je te donnerai un cours de maths.

— Par contre vu que tu es de la même taille que ta mère, j’aimerais que ce soir , tu viennes en ayant enfilé un de ses collants usagé.

Je me suis permis de rouspéter comme quoi je n’étais pas une femme je voulais à la rigueur porter une culotte mais un collant cela commençait à aller loin.

— Je te confirme que tu es un homme bien vigoureux et bien membré, mais il y a une partie soumise en toi que j’aimerais développer.

— Je vais t’apprendre à te soumettre totalement à une femme mais aussi te comporter comme telle.

Ces propos commençaient à me faire peur, j’étais pressé que nous nous retrouvions le lendemain pour que nous débattions du sujet qu’elle avait posé sur la table. Ce jour là nous étions vendredi et après les cours j’allais de nouveau pouvoir caresser une magnifique femme. En milieu d’après-midi je lui ai envoyé un message pour l’informer que je serai là vers dix-huit heures, j’ai à peu près envoyé le même SMS à ma mère pour lui dire que je risquais de ne pas manger avec elle car je serai chez Christiane. Ma mère m’a dit d’être studieux, concentré et poli avec la maman Jean-Louis, si elle savait que cette dernière m’avait déjà fait une fellation et que j’avais déjà éjaculé en elle… Quand je suis arrivé chez ma nouvelle prof il m’a accueilli dans une guêpière on ne peut plus évocatrices et les bas assortis, déjà que j’étais bien chaud avant d’arriver, là si je ne m’étais pas retenu, je lui aurais sauté dessus. Elle a fermé la porte derrière moi et m’a sauté au cou pour m’embrasser avec passion. Tout ce que je rêvais de vivre avec une copine j’étais en train de le vivre avec une femme mûre et qui savait ce qu’elle voulait.

Christiane n’a pas tardé à prendre les choses en main et s’est chargée de me déshabiller pour me voir en collant dans sa culotte. Je me sentais vraiment con et minable dans cette tenue face à une femme de cette classe. Quand elle s’est mise à me caresser les jambes à travers mon collant satiné la sensation a été immédiate je me suis mis à onduler du corps et pousser de petits cris pas vraiment virils. Bien évidemment ses caresses étaient bien plus insistantes dans la raie de mes fesses, j’en arrivais au fond de moi à avoir envie de la prendre sauvagement sur une table. Malheureusement c’était une femme elle ne risquait pas de me sodomiser avec son petit clito si goûteux. Elle m’a pris par la main pour m’emmener dans sa chambre, là elle m’a tendu une robe très douce, très fine, qui me descendait en dessous des chevilles. Sur le coup j’ai rouspété mais elle m’a convaincu en me disant que tous les sms que je lui avais envoyé mais surtout ce qu’elle m’avait envoyé elle pouvait les montrer à ma mère, si besoin était. Je n’ai pas cherché à savoir j’ai obtempéré et c’est ainsi que je me suis retrouvé totalement travesti par la mère de mon meilleur ami.

Vous me direz, en même temps ce dernier m’avait déjà sodomisé à plusieurs reprises pour mon plus grand plaisir. J’avais l’impression que sa mère avait pour projet de me dresser, au rythme où cela allait je pense qu’elle y arriverait très vite. Elle m’a fait tourner sur moi-même, la robe était ample et cela me faisait tout drôle de la voir tourner autour de moi. Ce qui était aussi agréable, c’est qu’ avec les collants, je glissais parfaitement sur le parquet bien entretenu de leur appartement. Elle s’est approchée de moi pour me caresser le corps à travers ce doux tissu, cela me faisait des frissons partout tellement c’était agréable. Maintenant à travers ma robe de sa main droite elle me tenait le sexe et de sa main gauche elle me caressait entre les fesses. J’avais honte mais je n’arrivais plus à contenir le bien qu’elle me faisait avec ses caresses indiscrètes. J’en étais arrivé maintenant à aller à la recherche de ses caresses, je pense que tout devait se passer comme elle le désirait. Elle est partie s’asseoir sur la commode qui était dans sa chambre, m’a invité à venir m’agenouiller entre ses jambes qu’elle avait au préalable bien écarté.

— Viens me faire ma toilette ma bouffeuse de minou.

Si je lui obéissais j’étais fini mais en même temps, je ne savais pas trop ce qui allait se passer si je restais impassible à sa demande. Je suis donc venu m’agenouiller au pied de la commode mais surtout entre ses jambes et j’ai commencé à me délecter de son nectar vieux de vingt quatre heures. Il ne m’a fallu que quelques instants pour être aux anges tellement le goût et le parfum étaient enivrant; il n’y a pas à dire j’adorais manger une moule goûteuse. Puis une idée lui est passée par la tête et elle m’a emmené dans la salle de bain, s’est installée, les jambes écartées au-dessus de la baignoire il m’a invité à m’agenouiller toujours pour lui bouffer l’abricot. La position était autrement plus inconfortable mais j’avais toujours mon petit plaisir, qui était de lui lécher son vagin et son clito. À ma grande surprise elle m’a coincé la tête avec ses cuisses, je ne pouvais plus la bouger, je me demandais vraiment pourquoi elle faisait ça. Quelques secondes se sont écoulées puis j’ai malheureusement compris pourquoi nous nous étions retrouvés ici.

Christiane était en train de m’uriner sur le visage, elle m’a expliqué que c’était une douche dorée. Je voulais me retirer mais elle continuait à me serrer très fort avec ses cuisses, c’est vrai que j’aurais pu forcer mais je risquais de la faire tomber et de lui faire mal. Après s’être soulagée sur mon visage, elle m’a expliqué que ce sont des copines qui lui avaient parlé de ça et qu’elle voulait l’essayer. Je me sentais méprisé, vexé et humilié mais en même temps je me sentais un peu plus à elle, totalement à sa merci. C’est avec un grand sourire dominateur qu’elle s’est chargée de me laver la figure avec soin et douceur, j’avais l’impression qu’elle faisait ça dans le but de réparer ce qu’elle venait de me faire subir. Ensuite elle s’est mise à m’embrasser, mais pas un baiser innocent, un baiser passionné, un baiser gourmand, un baiser indiscret, un baiser comme il m’était arrivé d’en voir dans les films. C’est vrai que jusqu’à maintenant je n’avais embrassé qu’une seule fille et c’était un baiser furtif. Embrasser la mère de mon pote était vraiment un plaisir il y avait du l’amour dans son regard et ses cheveux longs ondulés me faisaient craquer. Elle était toujours tirée à quatre épingles et cela me faisait tout drôle de la découvrir coquine à ce point; en fait je crois que c’était une femme libérée.

Elle m’a pris par la main pour que nous retournions dans la chambre parentale, cela me faisait tout drôle de marcher dans l’appartement paré d’une douce et longue robe. Je me sentais un peu femme à sentir les courants d’air sous la robe et surtout le frottement de cette dernière sur mes cuisses et mes mollets. Il ne me manquait plus qu’un peu de poitrine pour commencer à ressembler à une femme car j’avais la chance de n’être pas trop embêté par les poils. Arrivés dans la chambre j’ai eu le droit à un:

— Franck j’ai envie que tu me baises de façon virile, prends-moi comme tu veux.

— J’ai envie que tu me prennes de façon sauvage, fais comme tu le sens.

Vu que j’étais un peu long à réagir je me suis pris une grande claque, cela me faisait tout drôle de recevoir sa de sa part, j’en ai eu des larmes aux yeux. Je l’ai donc plaquée contre le mur, la tête entre deux tableaux, j’ai soulevé l’avant de nos deux robes de façon à ce que nos corps soient en contact puis surtout je lui ai soulevé une jambe, que j’ai monté à l’équerre.

Durant cette opération Christiane a accroché ses bras autour de mon cou, mais surtout s’est servi de sa jambe levée pour me maintenir contre elle. Mine de rien, elle voulait quand même contrôler les événements, heureusement qu’elle n’avait pas de culotte de mon côté mon sexe dépassait de plus de la moitié de sa culotte que je portais. Elle a légèrement baissé mon collant et c’est elle qui a saisi mon dard pour venir le positionner à l’entrée de son vagin, elle s’était mise sur la pointe de sa jambe portante et mon sexe était juste à l’entrée de sa grotte à plaisirs. Ensuite elle s’est remise correctement au niveau de son pied et mon sexe est entré tout en douceur en elle, la position m’excitait énormément. D’autant que Christiane faisait en sorte que j’aie l’impression que ce soit moi qui dirige les opérations, elle était un peu plus petite que moi mais elle faisais facilement quinze ou vingt kilos de moins que moi. Maintenant la mère de mon meilleur ami que j’étais en train de pénétrer s’est mise à m’embrasser mais surtout me mordre les lèvres. Elle avait une façon de me faire ça vraiment excitante, d’autant qu’elle me disait des tonnes de mots crus qui eux aussi m’excitaient.

Maîtrisant parfaitement la situation Christiane a décidé que elle pouvait très bien accrocher ses deux jambes autour de ma taille. J’avais peur qu’elle tombe mais en même temps je donnais de sérieux coups de rein mais surtout je la plaquais fortement contre le mur. Du coup la position qu’elle nous avait imposé allait à merveille et ma vigueur s’en est retrouvée redoublée. Faire la soumise auprès de son fils me plaisait beaucoup, mais il n’y avait pas photo, m’envoyer en l’air avec sa mère était vraiment le summum des sensations et du plaisir. Maintenant en plus de me mordre les lèvres et demander le coup, je pense qu’avec les douleurs que cela générait, elle devait laisser des traces. Je pense que la position a aidé, toujours est-il que ma partenaire a rapidement pris son pied, elle m’a profondément griffé les fesses de plaisir. Aidé par la contraction de son vagin, je l’ai rapidement rejointe, à peu de chose près nous venions de prendre notre pied ensemble. J’ai continué plusieurs minutes à lui donner des coups de reins cela nous faisait encore du bien à chacun.

Ensuite je l’ai bien plaquée contre moi puis je me suis dirigé vers son lit où je l’ai déposée tout en douceur tout en restant emboîté en elle. Je commençais à prendre confiance en moi et du coup je prenais des initiatives qui avaient l’air de beaucoup plaire à Christiane. J’avais la sensation de ressembler à un prisonnier qui sortait d’une décennie de détention, car bien qu’ayant pris mon pied voilà quelques instants, j’avais à nouveau envie d’aller et venir en elle. Vu que mon sexe ne dégonflait, pas je me suis remis à la prendre pour son plus grand plaisir à elle aussi.

— Vas-y ma cochonne donne-moi du plaisir, je n’attendais que ça.

— Je suis agréablement surpris par ta vigueur et ton endurance.

— Cela change de mon mari à l’époque où il m’honorait.

— Je t’ai connu tout petit, si j’avais su qu’un jour tu serais là, en train de me faire l’amour.

Maintenant que Christiane était allongée, je pouvais savourer la douceur de ses jambes gainées. Il n’y a pas à dire j’adorais la douceur des vêtements féminins, et si j’avais trouvé le bon compromis à savoir me faire prendre par le fils et faire l’amour à la mère.

En espérant que ce troisième chapitre vous ait plu

bisous à mes lecteurs

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