La nature a décidé que je naisse garçon, et c’est donc avec ce corps que je passais mon enfance, auprès de ma mère, puisque mes parents s’étaient séparés peu après mon arrivée en ce monde. Pendant mon adolescence, je compris très vite que mes attirances n’étaient pas celles d’un garçon.
Ma mère était jolie, grande avec de longs cheveux, et très méticuleuse. J’aimais la regarder cuisiner, faire son ménage, mais par dessus tout, j’adorais la voir faire son repassage. C’était un moment particulier et d’une grande sensualité. Je prenais du plaisir à observer ses mouvements, ceux de son corps, ceux de ses mains, sa façon de passer le fer sur le linge fumant de vapeur, on voyait bien qu’elle appréciait ces moments, et le joli sourire discret qui pouvait se lire sur son visage en disait long et cela m’intriguait beaucoup.
Un soir, alors que j’étais couché depuis une dizaine de minutes, ma mère qui venait de terminer son repassage entra pour me souhaiter une bonne nuit. Je l’entendait regagner sa chambre à l’étage, puis je laissais passer quelques minutes avant de me lever à pas de loup. Je traversais le couloir qui menait au salon, puis j’arrivais dans la cuisine ou ma mère venait de repasser. Le fer bien que débranché depuis une vingtaine de minutes environ était encore un peu chaud, mais pas assez pour l’utiliser.
Je décidais de rebrancher l’appareil et le voyant lumineux me confirmait qu’il était à nouveau en marche. Malgré ma discrétion, le fer faisait des bruits de dilatation, et une agréable et douce odeur de métal chaud envahissait la pièce. Si ma mère descendait, j’aurais beaucoup de mal à expliquer cette situation, cependant, j’étais très excité. J’étalais un de mes tee shirt sur la table, puis d’une main fébrile, je pris le fer, et le fit glisser sur le tissu. La sensation étais douce et j’essayais de reproduire les gestes de ma mère, soudain une érection montais dans mon caleçon, tant mes sens étaient sollicités. Ma main gauche sur le fer continuait de repasser, et la droite masturbait énergiquement mon sexe. La chaleur, les odeurs du fer brûlant sur le linge ainsi que l’excitation extrême me déclenchèrent un orgasme puissant.
Mon corps enfin calmé, je débranchais et remettait tout en place, comme si rien ne s’était passé.
Une fois dans mon lit, je m’endormais en repensant à la scène et à cet orgasme final, je savais à présent que je recommencerais. Pendant le petit déjeuner, je faisais profil bas et j’évitais de regarder trop ma mère, car j’avais l’impression que mon aventure nocturne se lisait sur mon visage. Pourvu qu’elle n’ai rien remarqué de suspect en rangeant son fer dans le placard.
Au cours des années suivantes, j’ai recommencé à utiliser le fer à repasser de ma mère à chaque fois qu’elle s’absentait, ou que j’en avait l’occasion, et j’ai même acquis une certaine expérience en la matière. Je me posais beaucoup de questions sur mes penchants et je me sentais fille de plus en plus, si bien que je décidais de tenter de me travestir. Cela ne serait pas bien compliqué, car mon physique était bien plus proche de celui d’une jeune femme que d’un garçon. En effet je portais de jolis cheveux longs châtain clair un visage fin ainsi qu’ un corps mince et imberbe.
Mes débuts furent hésitants, mais très vite, je prenais de l’assurance et je parvenais à m’habiller et me maquiller avec autant d’aisance qu’une vraie femme. J’achetais des vêtements ainsi que les accessoires que je souhaitais sur internet et dans quelques vides greniers des alentours. J’avais 22 ans et je prenais beaucoup de plaisir à sortir avec la voiture vêtue en femme dans la grande ville voisine. Parfois des hommes me draguaient en arrivant au feu rouge, et je compris alors que l’on me regardait comme une femme, ce qui m’excitais terriblement.
Je ne m’étais pas encore imaginée faire l’amour avec un homme, mais ma première expérience sexuelle n’allait pas tarder à arriver. Je vivais toujours chez ma mère, et un matin ou elle était partie pour la journée chez ma tante, j’en profitais pour monter dans sa chambre. Je souhaitais récupérer son fer à repasser afin de m’amuser un peu avec mes nouvelles jupes achetées récemment. Bien entendu ma mère ignorait mes sorties en travesti, ainsi que le fait que je repasse mes affaires de fille dans son dos, tout cela était secret, et mes vêtements ainsi que mon maquillage étais caché en lieu sûr. En ouvrant le placard mural ou elle rangeait son fer, mon regard se portait sur une jolie robe pendue sur un cintre. En sortant la robe je fis tomber une pile de serviettes de toilettes sur le parquet, et à ma grande surprise, un objet de couleur chair dépassait d’une serviette roulée. Il s’agissait d’un joli gode réaliste d’une quinzaine de centimètres. Je n’aurais jamais imaginé que ma mère puisse utiliser un tel objet. Après l’avoir remis en place, je descendais repasser mes affaires.
Je ne parvenais pas à oublier cette découverte, et le soir, seul dans mon lit, je me masturbais en essayant d’imaginer quel plaisir on peux ressentir en étant pénétrée. N’arrivant pas à résister à l’excitation, je décidais de sauter sur la prochaine occasion pour essayer le gode de maman.
Ce jour arrivait le lundi suivant, ma mère était absente pour quelques heures, et j’en profitais pour prendre l’objet de mes désirs dans sa chambre, puis je retournais dans la mienne. Je m’allongeais nue sur le lit et je me mis à sucer le gode comme si il s’agissait d’un véritable sexe d’homme. Je trouvais la sensation agréable, j’aimais découvrir le relief de l’objet avec ma langue et je parcourais chaque détail. Quand mon excitation devint trop forte, je pris le gode et je l’enduisait avec de la vaseline, et je faisait de même avec mon petit trou, laissant mon doigt lubrifié enduire mon anus afin de faciliter les choses.
Le premier contact du gland, fût extrêmement doux, et je caressais longuement mon intimité, je trouvais cette sensation nouvelle terriblement agréable. Puis je décidais de pousser un peu plus fort afin de me pénétrer, je sentais mon anus s’écarter de plus en plus au fur et à mesure que le gode avançait. Je poussais un cri lorsque le gland passa, puis je mis à faire des va et viens, la sensation de douleur disparut au bout de quelques temps, et je sentais une onde de plaisir me parcourir. Je me sentais vraiment remplie par cet objet et ce qui devait arriver, arriva. Je fût prise d’une série de convulsions qui montaient dans mon bas ventre et l’orgasme qui me submergeait me fit jouir et crier comme une fille.
Ma féminité faisait désormais partie de ma vie, et je voulais que les choses changent au plus vite.
Je ne voulais plus vivre chez ma mère, me comporter en garçon devant elle, et en fille dans son dos.
Je voulais mon appartement, et vivre ma vie de femme, m’acheter mes vêtements, faire ma cuisine, mon repassage sans avoir honte de toucher à un fer parce qu’à la base je suis un garçon !
Je voulais faire une nouvelle expérience, je décidais de passer une annonce sur un site internet, afin de proposer aux gens de faire leur repassage à domicile. J’irais repasser chez les gens vêtu en garçon, afin de voir si ils me jugent comme le ferait ma mère si elle était au courant. Oui j’aime repasser, et alors ?
Une semaine venait de passer, et un message sur mon portable me demandait de rappeler un certain Pascal en soirée. L’homme au téléphone, m’expliquais qu’il était en instance de divorce et que sa femme était partie, il cherchait donc une personne pour repasser son linge deux fois par semaine.
J’étais ravi d’avoir trouvé un client, j’allais enfin pouvoir repasser du linge chez un parfait inconnu , le rendez vous était pris, et j’appréhendais un peu cette rencontre.
Nous étions samedi, et après avoir parcouru la quinzaine de kilomètres pour me rendre chez Pascal, je me garais devant l’immeuble ou il résidait. Une voix à l’interphone me dit de monter au second étage. En arrivant sur le palier, un homme d’une quarantaine d’années, grand, brun m’attendait dans l’encadrement de sa porte entre ouverte. Mon cur battait fort dans ma poitrine, je venais pour repasser son linge, cela me paraissait irréel et complètement fou.
Bonjour je suis Pascal ! Me dit-t-il en arrivant à sa hauteur.
Nicolas ! Je viens pour le repassage ! Rétorquais je à mon tour.
Pascal m’invita à entrer et me mettre à l’aise, après avoir quitté ma veste, je pénétrais dans le séjour, ou la table à repasser m’attendait, ainsi qu’une corbeille remplie de linge.
Tu penses que tu vas t’en sortir ? Me dit Pascal en souriant.
Oui bien sûr, j’ai l’habitude ! Répondis je
Ce n’est pas courant de voir un garçon faire du repassage…
Oui certainement, mais moi j’aime bien repasser ! Lui rétorquais je.
Pascal me souriait et me dit que si il était satisfait de mon travail, je pourrais compter sur ce petit emploi à raison de deux fois par semaine. Pendant qu’il me parlait, je déroulais le cordon du fer pour le brancher à la prise, et malgré mon apparence, je me sentais comme une femme tout au fond de moi. Pascal me demandait si il pouvait rester dans le canapé pendant que je repasse, et je lui répondit qu’il était chez lui et que cela ne me dérangeait pas. Bien entendu, j’étais à la fois excité de savoir qu’il me regarderait, et terriblement intimidé par sa présence.
Son fer à repasser n’était pas tout jeune, au vu de son design, il devait dater des années 60/70 avec une jolie poignée en bakélite noire, ainsi qu’ une grosse semelle épaisse toute chromée. Le voyant s’était éteint, signe que l’appareil était chaud. Je pris la première chemise sur la corbeille et la disposait sur la table, puis je saisissais le fer pour commencer mon repassage. Je fût surpris par la facilité avec laquelle la semelle glissait sur le linge, je n’aurais jamais penser qu’une telle antiquité puisse être aussi agréable à manier. Les faux plis disparaissaient tout en douceur, et je me laissais aller à repasser avec beaucoup de plaisir, mes mouvements naturels semblaient ne pas laisser indifférent Pascal, qui me souriait lorsqu’il croisait mon regard.
Tu repasses parfaitement bien ! Et tu sembles apprécier ce que tu fais ! Lançait Pascal.
Merci ! Oui, j’aime beaucoup, et votre fer glisse très bien ! Répondis je.
Tu devrais détacher tes cheveux, je suis certain que cela te va très bien.
Ils sont longs depuis mon adolescence, d’habitude on me dit que cela fait fille.
Je trouve que cela te va bien, sans vouloir te vexer, si tu étais une fille tu serais plutôt mignonne, et en plus tu sais bien repasser ! dit-t-il en plaisantant !
Vous…vous moquez de moi ?
Non, je ne me moque pas Nicolas ! Mais c’est vrai que tu ressembles à une fille, en plus tu repasses plus tôt bien et ta manière de faire est assez féminine !
Je stoppais net, ma gorge se serra, et je fondais en sanglot, complètement troublé par ces mots.
Je ne m’attendais pas à cela et je pleurais, je ne parvenais pas à me contrôler. Cet homme m’avait troublé et j’avais à la fois honte et j’étais heureuse, je me sentais démasquée. Pascal se leva et s’approcha de moi, il me prit dans ses bras et me consola. Puis il me releva le menton pour me regarder dans le yeux, et m’embrassa langoureusement. Mes pieds ne touchaient plus terre, et c’était la première fois qu’un homme m’embrassait. Lorsque je retrouvais mes esprits, je me confiais et avouais mon secret.
Il m’écoutait raconter mon histoire avec attention, et me dit qu’il aimerait beaucoup me voir faire son repassage, vêtue en femme. Cette idée me plaisait au plus haut point, et Pascal me proposais d’essayer des vêtements que sa femme avait laissé dans le dressing, et il restait également du maquillage dans la salle de bain. Je trouvais une jupe écossaise style kilt, ainsi qu’un chemisier blanc décolleté, puis je maquillais soigneusement mes yeux d’un trait de liner sur les paupières. Une fois prête, je retournais dans le salon ou Pascal m’attendait…
Tu es ravissantes ! Tu es vraiment faite pour être une femme ! S’exclama t-il en me voyant.
Merci Pascal, effectivement je me sens mieux comme cela !
Comment dois je t’appeler à présent ?
Colynn ! Répondis je
Colynn ! C’est superbe, tout comme toi ma chérie !
Embrasse moi encore…
Pascal me pris à nouveau dans ses bras, et m’embrassa avec beaucoup de sensualité, et soudain je fût prise d’une envie irrésistible de faire l’amour…
Pourrais tu me montrer comment tu repasses en femme à présent ? Chuchotait Pascal .
Oh Oui… assied toi et regarde moi faire…
Je me replaçais derrière la table, puis je pris le fer en regardant Pascal avec un air coquin, et je me mit à le faire glisser à nouveau sur le linge qui fumait de vapeur. Mes mouvements sensuels, je conjuguaient aux formes de mon corps, je passais, puis repassais. Pascal se leva et vînt se placer derrière moi, je pouvais sentir son souffle dans mon cou, puis il posa ses mains sur mes hanches qui ondulaient lentement. Je redressais le fer sur le talon, mais Pascal me pris la main et me dit tout doucement de continuer. J’étais aux anges, je me sentais femme comme jamais auparavant, puis ne tenant plus, je lui demandais de me faire l’amour.
Soudain il se colla à moi et je sentais son sexe se coller à mes fesses, je le sentais palpiter à travers les vêtements. Puis il dégrafait son pantalon et me retourna assez brusquement. Je compris de suite ce qu’il attendait de moi et je me mis à genoux devant son membre déjà bien réveillé. Ma bouche maquillée se referma sur le sexe offert, et ma langue se mit à jouer avec le relief de la verge qui grossissait… Lorsque l’excitation fût à son comble, Pascal me releva et me fit prendre appui sur la table à repasser.
Ne bouge pas ma chérie, je vais te prendre ! Dit -t-il en enduisant son sexe de gel intime.
Oh… Oui Pascal ! Prend moi ! Prend moi maintenant !
Je sentais ses mains remonter ma jupe, puis le bout de son sexe gonflé vînt effleurer l’entrée de mon anus. La sensation était douce et il me caressait longuement de son membre, soudain,il se mit à pousser doucement, et je me cambrais bien pour offrir à sa bite, le meilleur angle pour me pénétrer.
Je sentais son gland bien gonflé qui m’écartait lentement, puis d’un seul coup il passa mon sphincter et occupa toute la place disponible en moi, je poussais un cris en fermant les yeux, surprise par cette intrusion virile. Une fois le gros gland passé, il s’arrêta afin que je m’habitue à cette présence en moi, et que je le sente bien en place…
J’étais cambrée, en appui sur la table à repasser, le fer à la main, et le sexe de cet homme que je ne connaissais pas il y a une heure à peine était bien installé à l’entrée de mon intimité…
Tu me sens bien Colynn ? Tu es prêtes ? Me dit-t-il à l’oreille
Ouiii vas y, prend moi ! Répondis je le souffle court.
J’attendais avec impatience qu’il s’active en moi, car le gland déjà présent me procurait se délicieuses sensations lorsque je me contractais involontairement. Je criais à nouveau ! Il continua son chemin dans mon corps, et je sentais les veines de cette belle verge qui stimulaient mon petit cul en me donnant des frissons à chaque va et viens…
Le plaisir commençais à monter, je ne parvenais plus à retenir mes gémissements, je continuais de faire glisser le fer à repasser tout en recevant de délicieux coups de bite ! La vapeur qui passait sous la table remontait sous ma jupe et je ressentais une sensation de chaleur qui s’ajoutait à ce pur moment de bonheur… Mes mains se crispaient sur la poignée du fer brûlant, mon souffle se faisait de plus en plus court, le plaisir envahissait mon ventre et je sentais son gros gland aller de plus en plus loin. J’écoutais mes propres gémissements et j’étais heureuse, mon visage se mit à décrire mon bonheur en affichant un énorme sourire que je ne parvenais pas à effacer. Je souriais de toutes mes forces, soudain, une onde de plaisir me traversa le ventre et je savais que j’allais jouir ! Pour la première fois, j’allais jouir d’un homme ! Tout mon corps se contracta, et un orgasme dévastateur m’arracha un long cri de plaisir ! Je sentais mes sphincters parcourus de convulsions, je tremblais de tout mon corps, quand d’un coup, j’entendis Pascal pousser un râle libérateur ! Je sentais alors son sexe se contracter en moi, puis des vagues douces et chaudes finissaient de me remplir par de longues saccades de sperme. Je venais de jouir comme une folle.
C’était le début d’une belle aventure, j’ai continuée pendant plus de huit mois à voir Pascal deux fois par semaines. Je faisais son repassage en petite tenue sexy, puis nous faisions l’amour sans retenue. Depuis j’ai connu d’autres hommes, mais grâce à lui, ce jour là, je suis devenue femme.
Colynn