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L'université : de la soumission à la consécration – Chapitre 14




La nuit est intense et éreintante. Nous nous couchons aux premières lueurs de l’aube, il est donc inutile de préciser que les cours de la matinée se dérouleront sans nous. Heureusement, l’influence de Sonia et de Jules sur l’université semble telle que ça ne devrait pas poser de problème particulier.

  Et cette influence est aussi la mienne désormais ! Même si j’ai du mal à m’y faire, cette idée me plaît beaucoup.

  Quand j’émerge enfin vers midi, je me rends compte que quelqu’un vient d’entrer dans l’appartement. Sans doute est-ce d’ailleurs ce qui m’a réveillé. Je me frotte les yeux pour essayer de chasser la somnolence qui s’y attarde, mais il me faudra manifestement un peu plus que ça.

  Pourtant, je me sens pleinement réveillé à l’instant où j’identifie les nouveaux arrivants (car ils sont deux). Il s’agit de Sonia, qui revient avec Paul ! Elle n’a pas traîné.

  Je comprends mieux d’ailleurs en m’attardant une seconde sur sa tenue : elle n’a pas vraiment lésiné sur les moyens. Elle a de nouveau enfilé une de ses robes qu’il serait encore bien en-dessous de la réalité de qualifier de provocante : s’arrêtant juste sous ses fesses, qu’elle dévoile largement à chacun de ses mouvements, elle est percée sur le devant d’une large ouverture qui laisse bien plus que deviner ses seins.

  L’attrait de sa tenue sur Paul est évident : il la regarde en bavant presque, et il semble avoir toutes les peines du monde à la regarder dans les yeux. Tout au plus consent-il à jeter sur moi un regard féroce, totalement dénué d’empathie, lorsque Sonia mentionne mon existence. Il est bon que Paul soit un tel salaud, ça m’aidera à ne pas avoir de scrupules à mon tour quand le moment sera venu.

  C’est-à-dire très bientôt.

  Je ne sais pas exactement quelle histoire elle lui a raconté, mais les regards méchants qu’il me jette dans les rares moments où il parvient à détourner les yeux du corps de Sonia m’inclinent à envisager le pire. Le pauvre, s’il savait !

— Comme je te le disais, lance soudain Sonia, reprenant apparemment leur conversation là où ils l’avaient laissé, Justin est venu me voir en espérant coucher avec moi.

  Nos regards qui se croisent ont la même petite lueur joyeuse, l’espace d’un court instant, mais il est peu probable que Paul s’en aperçoive. Je reprends d’ailleurs immédiatement mon masque de douleur.

— Comme s’il ne savait pas que j’appartiens à Jules, et juste à lui ! conclut-elle.

— T’es vraiment con me jette méchamment Paul à la figure.

  Je baisse la tête, faussement humilié.

— Pourtant, j’aimerais lui donner une petite leçon, reprend Sonia en se tournant vers lui.

  Elle se colle à lui, si bien qu’il doit sentir le contact de ses seins contre son torse. Et qu’il a sans doute beaucoup de mal à y être indifférent.

— Qu’est-ce que tu dirais de lui montrer ce que sait faire un vrai mec ? demande-t-elle en posant sa main sur le sexe de Paul, que j’imagine déjà aussi dur qu’il est possible de l’être.

— Mais et Jules ? s’alarme-t-il mollement.

— Jules n’est pas là.

  Ce disant, elle plaque déjà ses lèvres contre celles de Paul et l’embrasse en se lovant contre lui. Il ne résiste pas, évidemment, et il l’enlace avec vigueur. Les mains de l’infortuné veinard sont déjà sur les fesses de celle qui se livre à lui sans combat.

  Soudain, il la pousse brusquement sur le lit, où elle s’affale juste à côté de moi.

— Regarde-toi, sale chienne en chaleur ! lance-t-il à celle qui n’a commis d’autre crime que de combler ses désirs. La reine de l’université, qui nous regarde de haut comme une sainte nitouche crache-t-il encore avec mépris.

  Il s’approche d’elle, puis tire brutalement sur sa robe pour dévoiler sa poitrine. Il bave presque de désir devant ses seins, puis il en attrape un dans sa main pour le malaxer.

— Huuummm quelle bonne paire de mamelles Avec ça, tu devrais être en libre service  à l’entrée de l’université ! En tout cas, à partir de maintenant, tu le seras pour moi.

  Je retrouve là le Paul que je connais, qui ne semble capable de prendre du plaisir qu’en étant méchant, et surtout en rabaissant sa partenaire au rang d’objet. Tant mieux : plus il est odieux et moindre seront nos scrupules à l’humilier par la suite.

— Je sais que Jules est ton frère, et je suis au courant de vos cochonneries contre-nature. Mais maintenant que tu m’as révélé ta vraie personnalité de salope, il va falloir passer à la caisse pour que je garde ça pour moi.

  J’écarquille les yeux de surprise : il ne compte quand même pas la faire chanter pour gagner de l’argent ?

— Tu vas être à ma disposition sexuelle permanente maintenant, poursuit-il. D’ailleurs, fous-toi à poil et vient me sucer !

  Sonia joue le jeu : elle s’exécute en faisant tomber sa robe sur le lit, puis en se baissant pour prendre le sexe de Paul dans sa bouche. Elle est magnifique, si bien que je dois me retenir de toutes mes forces pour ne pas lui sauter dessus et lui faire l’amour encore une fois.

— Oh oui, c’est trop bon soupire Paul de plaisir lorsque les douces lèvres de la jeune métisse se referment sur sa queue. Putain je vais me faire plaisir avec toi

  Il me lance alors un regard mauvais, et il remarque manifestement que ma queue est largement dressée dans mon caleçon.

— T’aimerais bien être à ma place, hein ?! lance-t-il. Mais c’est pour les vrais mecs !

  Il pose alors sa main sur l’arrière du crâne de Sonia et la force à le sucer plus profondément.

— Allé, tu peux faire mieux que ça, va bien tout au fond, salope ! Et caresse-moi un peu les couilles pendant que tu me suces.

  Sonia s’exécute encore, bien décidée à jouer son rôle jusqu’au bout. Je lui en suis très reconnaissant, parce qu’au fond c’est pour moi qu’elle le fait alors que ça ne doit pas lui être très plaisant, elle qui est effectivement habituée à être « la reine ».

— J’aime bien t’avoir comme public ! me lance encore Paul, qui décidément est bavard quand il baise. Il faudra que je couche avec Camille, ça fait longtemps. Et j’aimerais bien que tu sois là pour regarder.

  Mais quel salopard ! Ça ne lui suffit pas de coucher avec ma copine, il veut en plus m’humilier en me forçant à regarder ? Je prends alors conscience que, malgré mes doutes sur ma moralité ces derniers jours, je suis tout de même très loin d’être comme lui.

  Je ne suis pas un modèle de vertu, c’est sûr, mais si j’aime prendre du plaisir, j’aime aussi en donner. Tout se passe entre personnes consentantes, et même si adultère et inceste sont de la partie, le but n’est que l’épanouissement de tous. En cela, je ne suis pas très différent de Nico, il me faut en convenir, mais certainement pas de l’ordure qui se trouve devant moi.

  Paul, lui, jouit d’abord du malheur de ceux qu’il prend plaisir à humilier. Il rabaisse les femmes, les traite comme des objets (qu’elles le souhaitent ou non), et il aime tout autant rabaisser leurs mecs. Si ma morale est défaillante, au moins je ne souhaite que le bonheur de tout le monde ! Paul en revanche ne pense qu’au sien, et il asservirait l’humanité entière pour ça, s’il le pouvait.

  Son châtiment sera donc à la mesure (ou plutôt à la démesure) de son vice.

  Un pâle sourire se dessine sur mes lèvres à cette idée, mais Paul le traduit bien sûr différemment.

— Ça te plairait, hein ? croit-il deviner de ma réaction. Je vais être cool : tu me regarderas baiser ta copine devant toi, et en échange je t’autoriserai à te branler devant nous.

  Mais c’est qu’il est magnanime ce garçon !

  Je baisse la tête, comme si je n’osais reconnaître mon approbation. Moi aussi je compte bien jouer le jeu jusqu’au bout !

— On va bien s’amuser ! me lance Paul après un dernier regard mauvais.

  Il repousse ensuite Sonia, toujours sans tendresse ni le moindre égard pour elle, puis il lui ordonne de se retourner.

— Je veux t’enfiler, salope ! se justifie-t-il seulement.

  La jeune femme se positionne alors à quatre pattes, dos à lui, prête à la saillie. Un nouveau sourire me gagne en me disant qu’on y est : ce salopard de Paul vit ses derniers instants de « maître ». Très bientôt, les rôles seront échangés. Quel plaisir ce sera de l’humilier, de le rabaisser, de lui faire payer toutes ses injures et ses coups bas !

  Incapable de tenir plus longtemps, il s’insère en elle d’un coup sec, presque brutal. Elle gémit de douleur, mais j’imagine que c’est plus un nouveau bluff à destination de Paul qu’autre chose : ça m’étonnerait que la succube expérimentée qu’est Sonia soit aussi fragile.

  Il la ramone quelques secondes en l’abreuvant de divers noms d’oiseaux, parmi lesquelles « pute » et « salope » reviennent tout de même trois ou quatre fois chacun, puis il hurle son plaisir sans retenue.

  Il semble un peu pris au dépourvu par la rapidité de son orgasme : sans doute espérait-il nous offrir la prestation de base dans son esprit de macho, soit plus ou moins celle de l’acteur porno moyen. Mais il ne sait pas à qui il a affaire.

  Il nous jette un regard qui n’est pas loin d’être gêné, guettant notre réaction, mais il se reprend vite :

— J’avais pas envie de faire traîner les choses, t’es juste là pour me satisfaire ! Ne crois pas que tu vas prendre du plaisir à chaque fois que je te passerai dessus, je suis pas là pour ça.

  Voilà qui est clair. Il n’a d’ailleurs pas entièrement tort : il risque de ne pas prendre que du plaisir dans les jours à venir.

  Il retire alors son sexe de celui de Sonia, indifférent au sperme qui s’en écoule et qui vient maculer les draps, puis il lui claque les fesses avant de se retirer.

— A bientôt ! nous lance-t-il avant de disparaître.

— A bientôt oui… marmonne Sonia alors même qu’il n’est déjà plus là.

  Elle s’assoit sur le lit, puis m’observe avec un sourire aux lèvres.

— Alors ? me demande-t-elle.

— Je crois qu’il a marché à fond dans notre piège. Surtout qu’il a l’air encore plus con que je ne le pensais, ce qui fera taire mes derniers scrupules.

— Exactement, je n’aurais pas dit mieux ! approuva Sonia. D’ailleurs j’ai eu une idée concernant sa copine.

  Je m’approche d’elle, instinctivement, poussé par la curiosité.

— Je t’écoute ?

— Je me suis un peu renseignée, et il s’avère qu’elle est un peu du genre sainte nitouche. Apparemment, Paul aime bien maltraiter les femmes des autres, mais ça lui va bien d’avoir sa gentille petite femme à lui qui est assez prude. J’imagine que ça le rassure, ou qu’il n’assume pas de faire avec elle ce qu’il aime faire, au fond, avec les autres. Enfin bref, l’important c’est que même avec tes nouvelles capacités, ça pourrait être compliqué pour toi de coucher avec.

— Mince ! Une solution ?

  Un sourire mauvais se dessina sur son beau visage.

— A vrai dire, oui. Tu te souviens que pour transformer une femme en succube, il faut que j’ingurgite d’abord le sperme d’un incube, puis que je lui fasse téter mes seins ?

— Tu comptes la transformer ?

— Bien sûr que non ! Il faut le mériter, ce n’est pas quelque chose qu’on offre à la légère. Même Paul ne mérite pas qu’on déploie ce genre de moyens pour lui. En revanche, si je lui fais boire mon lait sans avoir au préalable goutté le sperme d’un incube, je la rendrais simplement hypersexuée pendant quelques jours.

— Hypersexuée ?

— En gros elle sera un peu comme une succube : ses seins vont un peu grossir, et surtout sa libido va monter en flèche ! Sauf que Paul ne sera pas en mesure de la satisfaire. Tu vois où je veux en venir ?

— C’est limpide ! Mais comment comptes-tu lui faire boire de ton lait ?

— Facile, il suffit d’en glisser un peu dans son bol le matin. Rien ne ressemble plus à du lait que du lait. Et dès le lendemain, elle commencera à avoir des envies presque aussi perverses que les tiennes !

  J’éclate de rire, incapable de me retenir. Décidément, les choses ne se déroulent pas mal du tout ces derniers jours. Vraiment pas mal du tout

  Comme nous sommes déjà vendredi, le week-end m’offre l’opportunité de me reposer un peu. Je ne tente rien durant les deux jours que je passe chez mes parents, avec personne. Or comme ma mère semble décidée à reprendre une vie rangée, comme si rien ne s’était passé, les choses rentrent dans l’ordre. En apparence du moins.

  Avec Charlotte, c’est bien sûr un peu différent. Nous échangeons parfois des sourires complices, un peu gênés dans son cas, et même quelques bisous de temps à autres. Mais nous nous sommes fixés des limites, à sa demande, notamment de ne rien faire chez nos parents. Dans l’ensemble, nous nous y tenons.

  Ce repos, bien mérité, arrive rapidement à son terme, et c’est de très bonne humeur que je reprends le chemin des cours le lundi matin. Malgré mes multiples sujets de pensée, j’arrive même à me concentrer en cours ce matin-là, ce qui tient de l’exploit.

  Pourtant, les souvenirs de ces derniers jours et mes projets pour les prochains ne tardent pas à m’exciter au-delà du raisonnable, si bien que je ne tiens plus en place en recevant un texto de Sonia :

  – C’est fait, elle sera prête dans les prochains jours .

  N’y tenant plus, ayant impérativement besoin de sexe, je finis par envoyer un texto à Anna :

"13h30 dans le hall"

  Impatient, j’engloutis mon repas à vitesse grand V en songeant que j’aurais pu envoyer un message à Léna, que je délaisse un peu ces derniers temps. Pourtant, qu’est-ce que je l’aime ma marraine ! Mais punir ma sur est plus important

  Je me hâte tant et si bien que je me retrouve bêtement à l’attendre dans le hall dès 13h15. Mais quel crétin ! Heureusement, elle est en avance aussi. Sans doute est-elle au moins aussi impatiente que moi

— Qu’est-ce que tu veux ? me demande Anna avec une relative mauvaise humeur, même s’il me semble deviner également un semblant d’espoir dans sa voix.

— Viens avec moi.

  Déçue par cette réponse bien maigre, elle me suit malgré tout avec docilité. Je la conduis jusqu’à une salle de classe, puis je referme la porte derrière nous. Qu’elle est belle la vie d’incube !

  Anna sursaute en entrant à ma suite dans la salle. Les deux pauvres étudiants qu’elle utilise de temps à autres comme jouets sexuels s’y trouvent déjà à ma demande bien sûr et elle n’a guère de mal à imaginer la raison de leur présence ici.

— Je croyais que commence-t-elle.

— Pas encore ! Je t’ai dis que ta punition n’était pas finie. Or comme je sais qu’une des choses auxquelles tu tiens le plus ici, c’est le piédestal que tu t’es créé et depuis lequel tu t’affiches et tu te mets en scène, rien ne me ferait plus plaisir que de te voir en descendre.

— Salaud ! me crache-t-elle au visage.

  Elle semble hésiter sur la conduite à tenir, mais je n’ai aucun doute sur son acceptation finale. Je sais bien désormais que mes pouvoirs d’incubes sont trop importants pour qu’elle renonce au désir dévorant de coucher avec moi. Elle fera tout ce que je lui demanderai, même se rabaisser devant ceux qu’elle considère comme ses sujets. Quelle ironie, pour le rôle de reine qu’elle s’est créé !

  Le regard avide et envieux des deux étudiants en dit assez long sur leur désir et, comme le mien n’est pas moindre, je ne les fais pas attendre plus longtemps :

— Les règles sont les suivantes : Anna, tu te soumettras à tous leurs caprices pendant l’heure qui suit. Voilà, c’est tout. Messieurs, elle est à vous !

  Excités comme jamais, les deux jeunes hommes ne se font pas prier. L’un d’eux se jette même presque sur elle pour lui attraper les nichons et commencer à les malaxer. Il semble fébrile, comme si une heure ne lui suffirait pas. Vu son désir, je pense pourtant que ce sera largement assez !

  L’autre est plus posé, il lui ordonne d’une voix ferme de se déshabiller entièrement. Rouge de honte et de colère, Anna s’exécute néanmoins sans discuter. Lorsqu’elle se retrouve nue devant nous, je réalise soudainement que j’aurais besoin de plus que du voyeurisme. Elle m’excite trop ! Pourtant, je ne peux pas me jeter sur elle et la baiser comme j’en ai envie, alors je trouve une autre solution.

  "Salle 401, vite"

  Le message, identique, est envoyé à Camille et à Léna. Autant m’offrir un peu de bon temps aussi pendant que je regarde ma chère sur se faire prendre dans tous les sens devant moi !

  Pendant ce temps, le mec fébrile a déjà planté deux doigts dans la chatte d’Anna et il entreprend de la masturber ainsi. Quel impatient ! Son pote, lui, est plus mesuré : après avoir simplement sorti sa bite par sa braguette, il se présente devant elle et lui ordonne de s’agenouiller.

  Anna hésite, mais après m’avoir lancé un regard à la fois plein de reproches et suppliant, elle s’exécute et entreprend de le sucer. Le deuxième, qui voulait apparemment encore profiter de son corps offert, proteste vigoureusement, mais il se range pourtant vite à la voie de la raison. Il présente son sexe à son tour, si bien que la reine déchue passe d’une bite à l’autre comme une vulgaire actrice porno. Que c’est bon de la voir ainsi, surtout qu’elle ne décolère pas !

  Heureusement pour moi, Camille et Léna ne sont pas longues à arriver, presque en même temps. Elles comprennent vite ce qui se joue, j’ai donc à peine besoin de leur indiquer que je souhaite une fellation pendant que je regarde le spectacle. Après tout, ça va de soi, non ?

  Camille se jette presque à mes pieds et déboutonne mon pantalon pour en extraire mon sexe. A peine a-t-elle posé ses lèvres avec gourmandise autour de ma hampe que je la morigène gentiment :

— Non mon cur, à poil.

  Léna, elle, a plus de jugeote, elle avait anticipé mon désir. C’est donc déjà nue qu’elle se présente devant moi et engloutit mon membre avec voracité sous le regard envieux d’Anna. Camille ne tarde pas à se positionner à côté d’elle, attendant son tour, mais j’ai d’autres projets en tête.

— Léna, allonge-toi sur la table.

  Ma marraine obéit bien sûr sans discuter, et une fois que c’est fait j’ordonne à Camille de lui lécher la chatte, je sais qu’elle adore ça. Je prends quelques secondes pour observer ma copine s’adonner à du sexe lesbien sous mes yeux, la scène est magnifique. Surtout compte tenu du fait que ma sur est agenouillée quelques mètres plus loin, en train de sucer deux bites dressées devant elle.

  Je vois même des larmes couler le long de ses joues, mais je ne tarde pas à découvrir que l’humiliation d’être ainsi rabaissée n’est pas seule en cause : un filet de mouille coule le long de sa cuisse, qu’elle ne parvient à dissimuler à personne. Ainsi, la fière Anna adore être traitée comme une chienne ! Mais elle n’oserait bien sûr jamais le reconnaître Voilà une chose dont je saurais me souvenir.

  Trop excité pour en supporter davantage, je plonge ma queue brûlante de désir dans la bouche douce et chaude de Léna qui n’attendait manifestement que ça. Elle me suce avec autant d’ardeur que de talent, comme à son habitude, et je ne me prive pas de lui malaxer les nichons pendant ce temps.

  Malheureusement, Camille semble être très habile de sa langue puisque Léna hurle bientôt de plaisir en expédiant des jets de mouille dans la bouche de ma copine. Un peu frustré par autant de hâte, je lui ordonne de se rhabiller et de nous observer d’un peu plus loin.

— Mais, Maître, je peux encore commence à protester Léna.

— Non, c’est à moi qu’était destinée ta mouille. Je voulais la sentir ruisseler autour de ma bite pendant que je te baisais, inonder mes couilles que Camille aurait léchées consciencieusement. Mais tu n’as pas su te retenir, alors voilà ta punition.

  Tandis qu’elle s’éloigne piteusement, je me promets de très vite revenir vers elle. Après tout, il n’y a pas de raisons que la personne qui m’a été la plus fidèle soit punie, surtout pour une telle broutille, alors que les autres sont pardonnées. Mais asseoir ainsi mon autorité me plaît.

  Coupant court à mes propres réflexions, j’indique à Camille de se positionner devant la table, dos à moi, puis de se pencher en avant. Je l’enfile alors en levrette sans plus de façons, la gratifiant au passage de quelques claques bien senties sur le galbe de ses jolies fesses. Je la baise tranquillement en regardant ma sur se soumettre à contrecur à ses deux anciens esclaves.

  A contrecur, c’est d’ailleurs un bien grand mot. Bien sûr elle fait mine de détester la situation et c’est sans doute le cas d’une certaine manière mais pourtant elle est follement excitée, et elle peut de moins en moins le dissimuler. Elle suce maintenant avec une certaine ardeur l’une des queues qui se présente à elle, tandis que l’autre étudiant a glissé la sienne entre ses seins.

  Il se masturbe ainsi un moment entre ses deux grosses loches, mais il est trop impatient de la baiser pour se contenter longtemps de ce traitement. Il l’oblige donc à se redresser, trop heureux apparemment qu’elle lui obéisse docilement, puis il la pénètre sans autre forme de procès.

  Son ami n’a pas bronché pendant ce temps, et Anna continue de le sucer tandis qu’elle se fait baiser. Mais la situation ne dure guère, puisque l’autre ne tient pas longtemps. A force de la ramoner comme une bête en lui pressant les seins, il se vide bientôt en pleurant presque de bonheur.

  Le calvaire de l’humiliation doit être terrible pour Anna, car je vois une nouvelle larme rouler le long de sa joue. Elle qui ne considère les hommes que comme des jouets soumis à ses caprices, voilà que les rôles sont inversés ! La voici souillée comme le dernier des objets, utilisée par des hommes qui ne songent absolument pas à lui faire du bien mais juste à profiter d’elle

  Lorsqu’il se retire, l’heureux jouisseur est suivi par un substantiel filet de son propre sperme qui dégouline le long de la cuisse de ma sur et accentue encore son humiliation. Il se rhabille, puis il rejoint Léna pour observer son comparse en finir avec Anna.

  Je remarque alors que l’étudiant restant a glissé à son tour sa bite entre les seins de mon ainée, qui le suce tandis qu’il s’y masturbe. Qu’il me donne envie le bougre !

  D’ailleurs c’est précisément le moment que choisi Camille pour hurler de plaisir à son tour, signe que Sonia ne m’avait pas menti : les incubes sont bien capables de donner du plaisir avec une aisance presque indécente, tandis que leur endurance est sans limite.

  Je me retire donc un peu à regret, pas encore près à baisser les armes. Pourtant, en observant le 1ère année jouir à son tour dans la bouche de ma sur, qui en bouillonne d’indignation, je me dis que ça pourrait bien venir très vite

  Je m’approche donc d’elle d’un pas conquérant, et le regard qu’elle me lance, plein d’espoir, m’indique qu’elle se méprend manifestement sur mes intentions : "non surette, je ne vais pas te baiser, je vais juste profiter de ta bouche et de tes seins comme il vient de le faire !"

  Je ne perds d’ailleurs pas de temps à lui expliquer, je me contente de prendre la place que l’étudiant vient de déserter. J’enfourne ma bite dressée comme jamais entre ses deux grosses mamelles, puis je lui pose une main derrière la tête pour l’inciter à me sucer en même temps. Mon Dieu que c’est bon !

  Je retrouve les merveilleuses sensations que j’avais brièvement expérimentées lors de la soirée durant laquelle elle et Paul m’avaient humilié. Sauf qu’à l’époque, cette chère Anna avait stoppé ce doux traitement juste un peu avant que je ne puisse jouir, assez pour me ridiculiser lors du coït avec Camille qui avait suivi.

  Il me suffit d’échanger un bref regard avec elle pour me rendre compte qu’elle se souvient bien de cet épisode, et qu’elle est consciente de vivre le match retour. Son regard soumis devient suppliant, mais elle sait bien que je ne cèderais pas. J’irais jusqu’au bout de mon plaisir, jusqu’à emplir sa bouche de mon sperme.

  Le délicat fourreau constitué par les deux gros seins de ma sur me remplit d’un plaisir intense. Je les presse moi-même pour me masturber avec, ne me lassant pas de les malaxer longuement. Ses lèvres refermées autour de mon gland mettent également ma résistance d’incube à l’épreuve, mais c’est quand elle commence à me titiller le gland du bout de la langue et à me caresser les couilles qu’elle me fait réellement atteindre l’extase.

  Quand l’orgasme commence à monter, je gémis immédiatement de plaisir, incapable de me retenir. Je sens un premier jet s’échapper de mon sexe en éruption et lui inonder la bouche.

— Garde-le bien ! parvins-je à articuler entre deux râles de plaisir.

  Bien conscient que tout ne tiendra pas dans ce doux réceptacle buccal, je me retire à temps pour que le second jet vienne s’écraser sur son visage d’orgueilleuse salope. Une longue et abondante trainée de sperme chaud et gluant s’étend de son front à son menton, mais elle a à peine le temps de le réaliser qu’un autre jet vient lui maculer les seins.

  Mon regard est comme hypnotisé par son visage couvert de foutre et ses seins dégoulinants de ma semence, mais je ne me déconcentre pas et je réintroduis rapidement mon sexe dans sa bouche pour lui faire profiter de mes derniers spasmes de plaisir.

  Anna ne songe plus maintenant à sa dignité, juste à me plaire. Un filet de sperme s’échappe paresseusement de sa bouche et vient dégouliner lentement le long de mon sexe. Son regard de chienne en chaleur ne me quitte pas, et il exprime à merveille toute sa perversité et sa soumission.

  Elle me regarde toujours droit dans les yeux en avalant goulument mon sperme, puis elle récupère ce qu’elle avait laissé maculer mon sexe en le léchant avec gourmandise. Sa prestation est sublime, mieux encore que je ne l’aurais attendu. Et pourtant, Dieu sais que je la soupçonnais salope !

  En l’observant dévorer mon pénis comme une affamée, je me dis que j’ai décidément franchi toutes les étapes de la consécration. Maintenant, il ne me reste plus qu’à terminer de mettre en uvre ma vengeance, dont les rouages sont déjà en place

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