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Les ancêtres de Patrick – Chapitre 1




LE HAREM DE PATRICK

MES ANCETRES

Cette histoire commence pendant la dernière guerre et va couvrir plusieurs générations…

1ère partie

Julien et sa belle-mère.

Nous sommes en 1942. Sans en avertir mes parents je servais de messager entre différentes personnes de la résistance dans le Jura. Suite à une dénonciation une grande partie du réseau local s’était fait prendre et mon nom avait été divulgué. j’ai donc du me cacher dans une maison abandonnée uniquement ravitaillé par ma mère que j’avais mise dans la confidence avant de prendre le maquis.

Je me présente, Julien F.., en ce temps là j’avais 18 ans, le cadet de 3 enfants et je n’avais qu’une idée en tête étant déjà obnubilé par la chose, je ne pensais qu’aux filles et ma voisine ayant trop vanté mes exploits à 2 de ses meilleurs amies, je faisais l’amour plusieurs fois dans la semaine sinon tous les jours.

Planqué dans cette masure depuis des mois, je ne trouvais comme dérivatif que la masturbation plusieurs fois par jour allant jusqu’à un jardin voisin dérober des grosses aubergines, faisant un trou de chaque côté dans lequel j’enfilais mon engin tout raide et faisais manuvrer le légume avec les deux mains jusqu’à la jouissance 3 à 4 fois par jour.

Ca m’apportais un soulagement appréciable mais mon envie devenait de jour en jour plus exigeante.

Ma belle-mère Renée, qui s’était mariée très jeune à 16 ans à mon père qui veuf depuis peu cherchait une compagne pour s’occuper de ses trois enfants, un homme riche mais beaucoup plus âgé.

C’était maintenant une superbe créature de 30 ans mais qui souffrait de manque d’amour, mon père n’étant plus beaucoup porté sur la chose et guère capable de la satisfaire.

Un jour après m’avoir apporté des provisions elle avait relevé son jupon afin qu’on ne s’aperçoive pas qu’elle s’était assise sur la paille. Etant assis en contrebas, j’avais pu voir en un éclair son joli derrière et la bosse que formait sous la culotte la motte abondamment fournie de poils.

C’en était trop pour moi et en un rien de temps ma bite se tendit à éclater, je déboutonnais mon pantalon et profitant que Renée s’était penchée du coté opposé pour ramener son jupon sous son derrière étant cul nu sur la paille, je la saisis avec un bras autour de la taille , la pressant contre moi et je lui introduisis ma verge turgescente jusqu’à la garde.

J’avais agis avec une telle violence si rapidement qu’elle poussa un cri d’effroi.

Elle se débattait pour se dégager mais je la maintenais avec toute mes forces et en moins d’une minute elle étais remplie d’un véritable torrent de foutre.

Cependant, exaspéré par ses mois sans aucunes femmes, je ne sentis même pas mollir mon gourdin dressé et recommençais mes mouvements saccadés avec un peu plus de délice, Renée s’étant résigné après ses premiers mouvements de défense.

Elle était terrorisée à l’idée de ce qui venait d’avoir lieu. Mais étant une femme excessivement ardente et en manque d’amour, elle ne pouvait sentir une aussi belle chose lui labourer délicieusement les entrailles sans sentir venir le plaisir et n’arrivait plus à maîtriser son désir. Ce n’est qu’à ma 3ème jouissance que je me retirais enfin de sa chatte en feu, un véritable flot de foutre s’écoula de sa grotte.

Une fois assise elle retrouva enfin la parole:

— Oh! Julien, qu’as-tu fait?… Comment as-tu pu faire ça!.. C’est monstrueux!..

Je fondis en larme voyant Renée si désespérée et entourant son cou de mes bras lui avouais que cela avait été plus fort que moi, que le manque de sexe m’avait rendu fou.

Elle me caressa la tête en me consolant:

— Pauvre garçon, ton dévouement pour notre pays a fait de toi un paria, tu as des excuses à ton acte et de mon coté ce n’est qu’une petite chose pour notre liberté de me sacrifier à l’irrépressible envie de sexe de mon beau-fils.. de mon beau est vigoureux mâle, tu as un sacré bel engin.

Nous tombâmes dans les bras l’un de l’autre et l’effet fut immédiat sur moi, mon membre reprit aussitôt une rigidité ferrugineuse et c’est presque malgré moi que je la renversais sur le dos et malgré sa faible résistance lui fais écarter les cuisses et pénétrais aisément dans son sexe faisant dégorgé un torrent de mouille de sa chatte.

Et de nouveau je la pris 2 fois de suite sentant ses contractions internes accompagnées nos ébats.

Tous les jours nous avons recommencer variant les plaisirs. Elle adorait prendre ma grosse queue en bouche, s’agenouillant entre mes jambes écartées, elle approchait son visage de ma verge qu’elle maintenait entre ses doigts serrés et se mettait à aspirer mon gland dans sa bouche ouverte au maximum. Ce massage terriblement voluptueux devenant très vite insupportable, mon bas-ventre se contractait sous des accès de plaisir. Incapable de me contrôler je mettais mes deux mains dans sa chevelure l’obligeant à enfourner pratiquement la totalité de ma bite dans sa bouche en extension maximum, en lui bloquant le visage contre mon pubis et je ne bougeais plus, le temps que l’excitation retombe. Je sentais ma verge comme enveloppée par un cocon étroit, chaud et moelleux. je relâchais ma pression sur sa nuque et elle en profitait pour se rejeter vivement en arrière, crachant mon gros chibre qui lui obstruait la gorge. Ouah !… Quel morceau, s’exclamait-t-elle avant de me reprendre en bouche, les commissures des lèvres luisantes de salive… Tu as bien failli m’étouffer…Je n’ai jamais mis dans ma bouche un tel mandrin.

Dans un grognement inhumain en proie à une jouissance phénoménale je déchargeais à longs jets dans la cavité buccale de Renée, tandis que tout mon corps se tétanisait de la nuque aux pieds Elle refermait ses lèvres autour du gland, ne gardant en bouche que le bourgeon de chair. Lorsque le premier jet de sperme onctueux lui frappait le palais elle n’était pas surprise. Vivement elle bloquait sa déglutition afin de garder en bouche cette semence tant désirée. Un second jet aussi copieux que le premier jaillissait du gland et un troisième puis un quatrième. Le sperme encore fluide s’agglutinait au fond de son gosier, elle faisait des efforts pour ne pas avaler immédiatement ce nectar qui lui emplissait les joues. Les jaillissements suivants perdaient enfin de leur force s’écoulant mollement du gland assagi, engluant sa langue.

— Tes décharges sont toujours aussi abondantes! Et ta bite est toujours disponible et dure comme un roc, mon vigoureux mâle!

Par la suite elle venait sans dessous inutiles persuadée de rendre un service patriotique en m’empêchant de risquer ma vie pour assouvir mes instincts.

2 mois après Renée est tombée enceinte et a dû jouer de subterfuge avec mon père pour le forcer à faire l’amour lui faisant croire que le futur enfant était de lui.

Renée mit au monde une ravissante petite fille Lucie.

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