Je rentre chez moi avec mes enfants. Après les formalités d’une famille normale, nous couchons les petits et retournons dans le salon. Delphine me saute dessus et baisse mon pantalon en moins de temps que de l’écrire. Mon sexe encore mou est déjà à l’air. Delphine le gobe et commence à me prodiguer une de ses merveilleuses fellations. Je bande rapidement et l’attrape par les côté de sa tête pour lui donner le rythme que je désire. Je me vide au fond de sa gorge. Une fois la bite bien nettoyée par ses soins, je m’assoie sur le canapé et Delphine en fait de même. Je lui raconte tout et lui montre quelques photos prises lors des essayages.
– Je sens que l’on va bien s’amuser avec cette pouf !
– Oui tu as raison ma chérie c’est une vrai chienne !
– Tu as les clés de chez elle ?
– Non, pourquoi ?
– Je veux que tu y mettes des caméras espionnes, comme ça d’ici nous pourrons la voir faire ses saloperies et quand tu seras avec elle pour la baiser, je te verrais faire.
– Ça t’excites d’avoir une chose pour assouvir tes fantasmes.
– Oui, carrément, tu me laisseras la baisée des fois ?
– Ça peut ce faire, oui ! ce n’est pas dans ses contre-indications.
– Géniale ! je la ferrais crier cette chienne !
Sur ces derniers mots, elle se love sur moi et nous finissons la soirée paisiblement comme un couple normal en train de regarder la télé.
Après une bonne nuit de sommeil et juste avant le réveil, je sens une main venir me caresser le sexe. C’est Delphine qui me réveille gentiment. Les yeux à peine ouvert que je la vois s’approcher de mon oreille.
– Baise-moi avant de partir toute la journée avec Ta salope !
Sur ces mots, je retourne ma déesse sur le dos et me cale entre ses cuisses. Je l’embrasse fougueusement et étant déjà bander comme un arc, je la pénètre d’un coup. Son vagin est plus que lubrifié, elle a dût déjà se doigter avant de me réveiller. Pas possible autrement. Après quelques va et vient, je ressors et la mets en position de levrette. A peine le temps de se caler que je rentre de nouveau dans son con. Je la lime de toutes mes forces. Son sphincter me fait de l’il, je laisse tomber dessus un filet de bave et commence à le masser avec mon pouce. Il faut peu de temps pour que ce dernier rentre comme dans du beurre faisant céder cet anus si chaleureux.
– Ho, oui ! Encule-moi comme la dernière des trainées !
Il m’en faut pas plus pour changer de trou immédiatement. Mon gland tout juste rentré que Delphine donne à coup de rein en arrière pour s’empaler d’un trait sur ma colonne de chair. Delphine lâche un cri de complaisance. Je pose mes mains sur ses hanches et la lime comme un chien. Je repends mon foutre dans le fond de son intestin. Je commence à la retourner pour qu’elle me nettoie mais à ma grande surprise, elle pose sa main sur mon bas ventre et me regarde droit dans les yeux.
– Non pas aujourd’hui mon Ben chéri !
– Pourquoi d’habitude tu le fais bien !
– Oui, je le sais mais aujourd’hui, c’est ta salope qui va te laver la bite. Je vais amener les enfants à l’école et toi tu vas aller chez elle et l’attendre. Tu montes, et pendant que tu prendras ton café, elle te bouffera la bite souillée de ton foutre et de mon jus de cul !
– T’es une vraie garce toi !
– Merci du compliment !
– Ok, je suis plus que d’accord !
Du coup je me penche vers elle et l’embrasse tendrement. Je m’habille et après un passage rapide pour me laver uniquement les mains, je vais réveiller les petits. L’heure de l’école arrive et Delphine descend avec eux me laissant seul pour aller chez Leïla.
Comme me l’a demandé Delphine j’attends Leïla au pied de son immeuble. Quand elle rentre de l’école, elle a son téléphone à la main et est en train de pianoter dessus. Elle lève les yeux est sursaute en me voyant.
– Vous m’avez fait peur monsieur ! j’étais en train de vous écrire pour savoir ce que je devais mettre pour aujourd’hui.
– Fais voir !
Je lui arrache le téléphone des mains et regarde son SMS. Elle ne mentait pas, je souris et m’écarte de la porte d’entrée pour qu’elle puisse l’ouvrir. Une fois fait, nous entrons tous les deux et nous nous dirigeons vers l’ascenseur. En l’attendant, je fonds sur elle et l’embrasse langoureusement. Baiser qu’elle me rend dans un soupir de satisfaction. Ma main gauche plonge dans son jeans, elle est très docile, pas de string dessous. Elle plie à mes volontés, la journée va être magnifique. Arrivés à son étage, nous rentrons dans son appartement, je ferme la porte et avant qu’elle ne puisse faire quoi que ce soit, je l’attrape par la nuque et l’amène dans le salon.
– A genoux ! tout de suite !
Elle obéit immédiatement et ouvre la bouche sans broncher. Je pensais à cet instant : « Ma coquine tu vas avoir une belle surprise quand tu vas commencer à me sucer. » Je lui empoigne le dessus de sa chevelure et lui enfonce ma bite au fond de la gorge. Elle commence à me sucer, mais après 1 ou 2 secondes, elle l’a ressort de sa bouche.
– Elle a un drôle de gout ! vous avez fait quoi avant de venir monsieur ?
– Tu devines pas ? le goût ne te rappelle rien ?
Je vois à son regard qu’elle vient de trouver, je ne lui laisse pas plus de temps et je replonge ma bite dans sa bouche. Elle a un peu plus de réticence, ce qui lui vaut une gifle sur la joue. Après elle finit de me sucer et je me vide sur ce joli visage les yeux rougit par la cadence de cette pipe et la gifle reçu un peu plus tôt.
– Va t’essuyer le visage et prépare moi un café.
– Oui, monsieur.
Elle se dirige vers la cuisine et se frottant la joue. Je souris et en attendant son retour j’envoie un message à Delphine lui racontant les derniers faits. Elle me répondant juste par un smiley qui fait un clin d’il. Leïla revient rapidement avec mon café. Tout en le prenant, je lui indique de se mettre à genoux, par terre à mes côtés.
– Tu suces de mieux en mieux !
– Merci monsieur.
– Tu veux savoir pour le goût ?
– Oui, monsieur, même si je pense déjà savoir.
– Hé bien, ce matin j’ai enculé ma femme et au lieu de me sucer après comme d’habitude, elle m’a demandé de te faire goûter son jus.
– C’est bien ce que je pensais, monsieur.
– Tu as aimé ?
– Non, pas trop !
– Bah vas falloir t’habituer ma chère ! car j’aime qu’on me suce après une bonne partie de baise, et ce n’importe où je suis passé ! Compris ?
–
– Compris ??
– Oui, monsieur.
– Bien, pose ta tête sur mes cuisses, pendant que je finis mon café et après on va faire quelques courses pour finir ta garde robe.
– D’accord.
Je finis mon café tranquillement tout en lui caressant la joue encore un peu rouge.
Bon j’ai finis, viens dans ta chambre, je vais te choisir ta tenue pour aujourd’hui. Nous nous dirigeons tous les 2 vers sa chambre je lui fais signe de s’assoir sur son lit et moi j’ouvre son armoire. Je fouille un peu et lui sort sa panoplie de petite salope du jour. Jupe ultra courte et pull en laine col roulé. Je les pose sur le lit et lui demande de s’habiller devant moi.
– Je mets pas de string, monsieur ?
– Pas besoin !
– Mais tout le monde va pouvoir voir mon cul !
– Et alors ! de toute façon tu n’as rien à dire, je dis, tu exécute !
– Bien, monsieur.
Elle baisse la tête toute penaude et commence à se changer. Je me délecte de la vue. Elle a un corps sublime, j’en profie pour lui caresser les cuisses et le cul. Une fois habillé nous allons vers la sortie, je lui indique de mettre ses escarpins rouge et de prendre son sac.
Nous partons direction Pigalle.