À force, jen ai marre des hommes qui me lèvent, que jaccepte souvent, sinon, toujours pour du pèze. Je ne suis pas une pute comme les autres. Je suis en master de droit, jai besoin dargent pour finir mes études. Lété, je trouve du boulot comme serveuse, le reste du temps, je suis dans un bar. Jy ai ma clientèle attitrée, des hommes entre 40 et 50 ans. Jai pu faire un tri entre ceux qui me plaisaient et les autres. Autant jaime baiser avec mes préférés : ils me donne 500 et en plus du plaisir. Jen connais deux qui sont doués pour me donner les orgasmes que jaime. Surtout un qui sait me faire monter au ciel en me sodomisant.

Je pense souvent à ce que je faisais avec une copine du lycée, quand ses parents étaient absents, dans sa chambre : nous nous aimions. Jaimais quand nous avions dans nos bouches le sexe de lautre, sexe toujours bien humide, qui donnait des liquides odorants et visqueux à la fois.

Quand je suis dans ma chambre, souvent je suis nue, allongée, ma main droite sur la chatte. Je caresse tout, surtout le clitoris en commençant, avec deux doigts. Je me fais jouir, je recommence presque aussitôt, cette fois, en mettant mes doigts dans le puits. Je trouve toujours les endroits sensibles, je peux jouir plusieurs fois sans marrêter. Quelques rares fois, je caresse lanus : cest seulement quand je suis très excitée. Je ny mets jamais quelque chose à lintérieur : je ne mencule jamais. Je laisse ça à mes clients qui me font jouir;

Ce soir, cest décidé, je demande à la patronne du bar où je siège de ne pas menvoyer de clients. Je naccepterai que des femmes. Elles sont plus rares, et paraît-il, plus exigeantes que ces messieurs. Je sais, par expérience, que lamour avec elle est plus doux. La patronne qui me connaît bien, depuis le temps que je vais chez elle, se propose comme première cliente. Elle a aussi envie de goûter au fruit défendu des filles. Après tout, pourquoi pas, elle est mignonne, bien faite, sans doute efficace; après son apprentissage, je serais sa première fille. Nous sommes seules dans le bar. Elle me fait connaître ses fantasmes : dabord, que je la déshabille, que je lembrasse partout, que je la branle avant de la sucer. Elle voudrait que nous soyons clitoris contre clitoris et, enfin, que nous fassions un 69.

Je ne sais pas pour elle, en tout cas pour moi, accoudée au comptoir, je sens mon string se mouiller très vite. Il est trop tôt pour que les clients soient là : elle se baisse, ramasse quelque chose par terre pour me le mettre sous le nez : son string est aussi mouillé que le mien. Elle va me faire mourir denvie. Normalement, elle reste au bar jusquà 19 heures, remplacée par sa sur. Je suis dans lattente de sa venue près de moi. Je me suis installée pour quelle me voie quand jécarte les cuisses. Elle peut voir ma chatte autant de temps quelle veut. Je mouille de plus en plus. Finalement, je ny tiens plus, ma main descend sur le clitoris. Je me branle en la regardant dans les yeux. Elle me regarde aussi. Je vois son épaule droite bouger aussi, même quand elle sert un client dont un des miens qui ne comprend pas pourquoi je le refuse aujourdhui. De temps en temps, elle se met juste à la sortie du bar, elle a ses jambes écartées, sa main sur sa chatte : je vois sa main qui la branle. Elle a aussi envie que moi.

Enfin elle est libre, Normalement, elle doit aller dîner. Son dîner sera mon sexe, jen ai le sentiment. Je ne change pas dhôtel. Le seul étonné est le réceptionniste. Nous sommes enfin dans une chambre. Je vais faire lamour avec une autre femme. Jen avais envie depuis un moment. Je commence par lembrasser sur le bouche. Sa langue est vite contre la mienne. Notre baiser dure longtemps, très longtemps. Nous en profitons pour nous mettre presque nues. Je nai aucune pudeur, cest normal, elle en a un peu. Elle se cache les seins, nenlève pas son string. Je passe derrière elle, je prends ses seins dans les mains pour les caresser, jen profite pour enlever le soutif. Jai en mains, deux seins magnifiques. Je me demande pourquoi elle ne voulait pas me les montrer. Je les caresse les deux à la fois, je tiens ses tétons qui durcissent. Maintenant je sais que je peux aller très loin, je me baisse, accroupie, je prends le string pour le descendre. Ma bouche est sur ses fesses. Je vais pousser le vice jusquà les embrasser en déviant vers sa raie. Cest ma langue qui suit la raie pour aboutir à lanus. Je ne fais que le frôler. Mes mains sont devant, sur son ventre : elles descendent, elles aussi. Je les passe dans laine, puis lentement entre les cuisses. Je vais jusquaux genoux pour remonter ensuite à lintérieur, là où la peau est tendre. Je suis sur sa chatte. Jy entre un doigt, juste un seul. Il est en reconnaissance : je trouve vite son clitoris. Je le caresse peut-être 10 secondes, pour labandonner.

Elle me demande encore. Je la fais languir. Jattends un bon moment avant de lui donner satisfaction. Cette fois, je la masturbe fort bien, comme je fais pour moi. De temps en temps, je laisse le clitoris pour aller plonger dans son puits. Elle tend son bas-ventre vers ma main. Cest à un de ces moments que je lui entre mon doigt dans le cul.

Elle gémit de plus en plus fort.

Jarrête tout pour la coucher. Elle est sur le ventre, avec mes doigts dans sa chatte et ma langue sur son cul, puis dans le cul.

Je crois quelle ne sattendait pas à une telle fête des sens. Elle ne gémit plus, elle hurle quand elle jouit. Je lembrasse dans le cou, sur la nuque. Je fais comme un chat à une chatte. Jenlève ma languie pour la remplacer par deux, puis trois doigts. Elle jouit sans cesse.

Je suis trempée à cause du plaisir que je donne et lenvie que jai delle.

Je le lui demande : elle est plus que daccord. Je suis couchée sur le dos, les jambes bien ouvertes. Elle me regarde avec étonnement : je suis sa première chatte, Je mattendais à des tâtonnements. Au début, bien-sûr, elle ne sait pas trop comment me faire du bien, elle apprend vite et les cadences et les caresses, à commencer par une bonne masturbation. Cest pour moi, la première depuis des années. Je ferme les yeux pour avoir encore dans mes souvenirs, le visage de ma première chérie.

Elle me fait bien jouir. Elle narrête pas, elle se penche sur mon sexe, sa langue sortie, elle me lèche remarquablement bien. Mon clitoris prend la première fois sa langue, ensuite elle plonge dans mon puits, puis sans attendre elle va sur lanus. Je ne pensais pas quelle allait me faire rapidement cette chose que jaime : elle me sodomise mieux que bien. Sa langue va bien loin dans le cul.

Quand je lui demande de se retourner, elle le fait volontiers, sans que sa langue quitte ma chatte. Elle enjambe ma tête pour me donner son sexe. Son goût me fait mouiller encore plus. Pendant que ma langue est prise par son clitoris, je lui plante deux doigts dans le cul. Elle me rend la faveur. Que ce 69 est agréable, bon et jouissif. Jaime sentir ses seins contre mon ventre.

Nous jouissons pratiquement ensemble. Cest bon de sentir lorgasme dune autre contre sa bouche, mieux que celui dun homme quand il donne sa semence.

Elle tient à prendre une douche avant de partir : cest une feinte pour que je la douche entre les jambes. Je vois son visage se crisper plusieurs fois. Finalement, elle me rend la caresse, une seule fois. Cest suffisant pour moi !

Arrivées au bar, sa sur lui demande où elle est allée. Sous le sceau du secret, elle lui dit quelle vient de jouir comme une dingue avec moi. Je connais déjà la prochaine cliente.

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