Sylvie et les collègues,

Mariée depuis deux ans à un homme de treize ans plus vieux quelle, Sylvie 22 ans se morfondait davoir perdu son emploi. Voici trois mois, une restructuration a mis à la porte, une centaine demployés, bien sur en commençant par les derniers arrivés. Sylvie en fut, pour son plus grand désespoir.

Son mari Alex 35 ans, travaillait dans une entreprise de produit surgeler. Il était conducteur et livrait dans les grandes surfaces.

Un soir, vers 19h30, il entra comme un fou et sécria à Sylvie :

— Chérie ! Je crois que je tai trouvé du boulot ! Chez nous !

— Cest. Cest vrai ?

— Demain présentes-toi chez Monsieur Vincent en lui disant que, tu es ma femme. Cest le type qui soccupe des engagements et il ma dit quune place de Compteuse était libre.

— Compteuse ? Cest quoi ? Enfin je veux dire ques-ce quil faut faire ?

— Ten fait pas chérie cest un boulot facile apparemment !

— Ok ! Jirai me présenter! Fait une prière pour moi.

— Ne tinquiète pas ! Mais. Peut-être que, Heu !… tu devrais te mettre en valeur pour te présenter. On ne sait jamais ! Cest un vieux et je sais quil est sensible aux jolies filles ! Enfin daprès les collègues !

— Tu Tu veux quejemhabilleheu !… Sexy ?

— Ouais ! Cest ça mon ange ! Fait-lui un peu de charme et je suis sur quil tengagera !

— Comme tu veux ! Mon amour !

Puis, Sylvie sauta au cou de son mari et lui fit un patin monstrueux mélangeant sa salive et la sienne. Sa main descendit sur sa braguette et frotta à rendre bien dure le sexe dAlex.

Alex ne resta évidemment pas insensible et sa main sintroduisit dans le chemisier de sa femme, attrapa un sein et le malaxa.

Deux minutes plus tard, nus tous les deux, ils firent lamour sauvagement. Sylvie jouit à plusieurs reprises avant quAlex se déversé en elle, telle une fontaine.

Sylvie sembla heureuse, car tous leurs projets reprenaient forme si elle retrouvait un job. Lachat dune maison ou dun appartement, peut-être même un enfant « Enfin léclaircie après lorage » se dit-elle

Le lendemain, peu avant 9h00, Sylvie frappa à une porte marquée « Personnel » Un soulagement visible par sa respiration, se faisait entendre. En effet, alors quarrivée devant lentreprise et ne sachant où se diriger, elle demanda à un type en salopette fourrée et ganté.

— Heu !… Excusez-moi !…

— Hum ! Mazette ! Cest à moi que vous parlé, ma jolie ?

— Heu !… Je voudrais savoir où se trouve le bureau de monsieur Vincent ! Sil vous plait !

— Waouh ! Une poupée comme toi qui vient sengager ?

— Heu !… Sil vous plait ?…. Dit Sylvie rouge comme une tomate.

Il faut reconnaître quelle navait pas hésitée à shabiller très sexy. Elle avait mit, une petite jupe écossaise courte, des bottes mi-cuisse, un débardeur qui laissait voir une bonne partie de son torse, une petite veste fourrée qui sarrêtait a dix centimètre au-dessus de sa taille. Son rouge à lèvre fluorescent et le contour de ses yeux la marquait de façon « pute ».

Le type en salopette lui mit une main aux fesses et la poussant vers une entrée du bâtiment lui dit :

— Venez ! Ma jolie, je suis daccord de vous faire visiter tout le bâtiment ! Railla-t-il en malaxant une fesse !

— Mais !… Non !… sil vous plait ! Sécria Sylvie en essayant déchapper à la main.

— Avec un corps et des fesses comme les tiennes, tu pourrais te faire un blé pas possible.

— Mais !… Vous Vous êtes fou ! Arrêtez ! Mon Mon Mari travaille ici ! Je pourrais lui en dire un mot sur votre attitude !

Sécria Sylvie furieuse mais dans son ventre se nouait le nud quelle connaissait bien lorsque lexcitation arrivait.

— Tout doux ! Ma jolie ! Tu sais moi je ne suis pas jaloux ! Hahaha !

— Ça suffit, maintenant ! Lâchez-moi immédiatement ! Dit Sylvie en baissant quant même la voix.

Ils venaient de rentrer dans le bâtiment, lhomme malaxant toujours la fesse de Sylvie et dune poussée plus forte lamena devant un escalier.

— Cest au premier !… Troisième porte ! Dit-il en lui lâchant enfin la fesse.

— Je Heu !… je Mer. Merci !

— Quant tu veux poulette ! Je mappelle Alain et jai une bonne queue pour toi ! Hahaha !

— Je

Sylvie haussa les épaules et, toujours aussi rouge, monta les escaliers. Elle tourna à droite et trouva la troisième porte.

— Entrez ! Cria une voix.

— Heu !… Heu ! Je suisHeu ! Je suis lépouse dAlex ! Monsieur !

— Ouais ! Au lieu de bafouée tu pourrais dire « bonjour Monsieur »

— Oh ! Excusez-moi ! heu !… Bon Bonjour Monsieur ! Je je viens. Je viens pour la place !

— Hum ! Habillée comme ça on pourrait croire que, tu viens pour autre chose !

Sylvie repiqua un far et ses jambes se mirent à tremblées. «Mais dans quel traquenard suis-je tombée » se dit-elle.

— Bon, met-toi à ton aise et rempli ses papiers !

— Heu ! Oui Monsieur !

Sylvie enleva sa petite veste fourrée et sassit sur le bord de la chaise face au bureau. Seulement celle-ci se trouvait à deux mètres du bureau et Monsieur Vincent avait une vue parfaite sur le string que Sylvie portait.

Sylvie voulu rapprocher la chaise du bureau mais Monsieur Vincent fut plus rapide quelle. Il se leva brusquement, pris les documents à remplir et les tendit à Sylvie qui se rassit aussitôt.

— Voici un stylo et un carton. Prenez lhabitude décrire directement comme ça car, cest ce que vous devrai faire ici Entre-autre !

— Je heu Bien Monsieur !

Assise, Sylvie croisa ses jambes, y déposa le carton et les documents et entrepris de les remplir. Monsieur Vincent profita dêtre debout pour tourner autour de Sylvie. Il la détailla comme une marchandise et brusquement, alors quil se trouva derrière elle, il se pencha, lui attrapa un sein et le malaxa.

Sylvie prise de terreur, nosa bouger ! Seul un tout faible : « Oh ! Non ! Sil vous plait » sorti de sa bouche. Monsieur Vincent se releva et pris ses cheveux et tira lentement vers larrière.

Sylvie, saisi ouvrit la bouche pour crier et son cri se transforma en gargouillis lorsque sa bouche se rempli de la salive que lâcha Monsieur Vincent penché au-dessus delle.

— Avale ! Ordonna Monsieur Vincent en lâchant ses cheveux.

Sylvie sauta de sa chaise, se mis debout et recracha le reste de la salive de Monsieur Vincent car, elle en avait avalée une petite quantité.

— Mais !… mais vous êtes fou ! Complètement Fou ! Sécria Sylvie en reprenant son souffle.

— Ecoute ! Petite salope ! Tu arrives chez moi, habillée en pute, tu me montre ton string transparent et humide et tu fais ta mijaurée ?

— Mais !… Mais !… Balbutia-t-elle honteuse !

— Si tu veux la place Tu devras mobéir au doigt et à lil ! Tu as compris ?

— Je. Non. Je ne.

« Splaf ! »

La gifle laqua et Sylvie porta sa main sur la joue ! Des larmes sortirent des yeux et son souffle fut coupé par la stupéfaction et laudace de Monsieur Vincent !

— Alex mavait bien prévenu que, tu nétais pas très docile ! Mais, je vais te prendre en main !

— QuQuoi ?

— Maintenant tu vas te mettre à genoux, sortir ma queue et me sucer !

— Vous Jamais !

« Splaf ! »

La deuxième gifle lenvoya à terre et cest à genoux, devant Monsieur Vincent, quelle se retrouva. La douleur, a sa joue en plus de lahurissement de ce qui lui arrivait, avait complètement chamboulé son esprit.

La vue brouillée de larme, la douleur de sa joue et lincompréhension lui fit obéir. Elle tendit ses mains vers le pantalon de Monsieur Vincent, lui sorti son sexe et le pris en bouche.

— Voilà ! Tas presque gagnée ton engagement.

Sylvie ne réfléchissait plus et suçait ce sexe, encore mou qui, grandissait au fur et à mesure de ses sucions. Bientôt elle eut en bouche un sexe plus gros que celui de son mari et constata avec stupeur que son entre-jambe mouillait.

Sa main droite alla chercher les testicules de Monsieur Vincent et sa main gauche descendit vers son entre-jambe dégoulinant. Elle se caressa le clitoris et fis de profond vas et vient sur ce sexe inconnu voici quelques minutes avant.

— Hum ! Jai bien vu ! Tu es une vraie salope ! Ton mari avait raison !

— Heuft ! Mhum ! Slurp !

— Cest ça suce bien profond, je sens que ça vient ! Hum !… Tu as intérêt à tout avaler !

Monsieur Vincent mit ses mains de par et dautre de la tête de la pauvre Sylvie, qui ne savait plus où elle en était et commença un véritable baisage de sa bouche.

Trois minutes, pendant lesquelles Sylvie en vu de toutes les couleurs, sétranglant régulièrement et pour finir par recevoir cinq à six giclées, abondantes, de sperme. Sans même sen rendre compte elle avala lentièreté de la jouissance de son tortionnaire.

— Waouh ! ça Cest de la pipe ! sécria Monsieur Vincent en reprenant ses esprits.

Sylvie continuait de sucer et lécher le pénis qui perdait de sa rigidité, comme une automate. Sa joue en feu, les yeux encore plein de larme suite au gorge profonde quelle venait de subir, Sylvie ne se rendait même plus compte quelle suçait le sexe dun autre homme que son mari.

— Suffit ! Salope ! Tu as gagnée ton engagement. Tu commences lundi 8h00 ! Tâche dêtre à lheure.

— Je je Heu !… Merci !

— Merci qui ?

— Heu ! Merci, Monsieur !

— Hum ! Tu passeras me voir dès que, tu seras là, Je te montrerai ton chef déquipe.

— Heu !… Oui, Monsieur !

— Bien ! tu peux rentrer chez toi ! Dit-il puis se tournant vers son bureau lui dit encore à mi-voix : Tes très bonne en pipe espérons que ton petit cul soit aussi bon !

Sylvie, pris sa veste et sorti chancelante de ce maudit bureau. Elle hésita entre aller directement à la police ou en parler à Alex.

Complètement dans ses pensées, elle passa lescalier et se retrouva au fond du couloir devant une porte « Issue de secours » Elle poussa cette porte et se trouva devant un escalier sombre. Lesprit complètement brouillé par les événements récents, Sylvie descendis les escaliers, pour se retrouver dans un sas avec devant elle une porte métallique, doù sortait de la vapeur blanchâtre.

Elle ouvrit et se retrouva dans un hangar frigorifique. Le froid la prit brusquement lui coupant la respiration. Elle enfila sa petite veste qui ne la protégeait en rien contre ce froid.

Dans la buée froide, Sylvie vit une silhouette sapprocher delle et entendit pour son plus grand malheur, une voix quelle connaissait depuis peu.

— Mais !…. Qui voilà ! Tu tes perdue ou tu veux de la grosse saucisse dAlain ?

— Non !… Non ! Vous êtes fou !…. Laissez-moi tranquille ! Où est la sortie Sil vous plait ?

— Tout doux, ma jolie ! Reste calme ! Je ne te veux que du bien ! . Vient ! Suis-moi !

Alain, tendit sa main ganté, attrapa la main, dune Sylvie complètement frigorifiée et groggy des derniers évènements. Elle se laissa entraînée vers un local qui servait de réfectoire ou de salle de pause. La différence de chaleur assomma la fille et lorsquelle se retrouva assise sur les genoux dAlain, une main de ce dernier dans son chemisier, lui malaxant un sein et lautre sur sa cuisse remontant vers son minou, elle craqua et se laissa emportée par sa propre excitation.

— Mais tes déjà trempée ! Sécria Alain alors quun de ses doigts, sengageait dans sa vulve !

— NNon. Sil vous plait ! Dit Sylvie dans un souffle, mais écartant les cuisses.

— Tu dois être bonne, toi !

— Sil Vous.

Alain, avait atteint le clitoris de Sylvie et fit tourner son doigt autour, le pinça, le tira et joua avec. Sylvie rejeta sa tête en arrière, bomba le bassin et joui comme une folle. En fait la pipe à Monsieur Vincent, lavait mise au bord de la jouissance et lattouchement dAlain fit le reste.

En quelques secondes, Sylvie se retrouva pliée en deux sur une table et senti un sexe bien gros senfoncer en elle. Au lieu dêtre choquée ou révoltée, Sylvie poussa son derrière vers Alain qui se mis à la pistonner comme si sa vie en dépendait.

— Oh ! Oui ! Encore ! Ouiiiii !

— Alex avait raison tes vraiment une pute !… Je vais te remplir comme jamais !

— Hum !…oui !….Ooooooh !

Alain se donnait à fond dans ce vagin accueillant et lorsquil sentit sa jouissance venir, il donna un coup plus fort et se déversa dans lutérus de Sylvie qui joui immédiatement.

Alain resta enfoncé au plus profond de la femme, savourant ce vagin serré de la femme dun de ses collègues.

Sylvie sétait affalé sur la table et reprenait lentement ses esprits, appréciant cette grosse queue en elle. A cet instant précis, Sylvie aurait souhaitée que cette grosse barre de chair continue à la dévaster.

Cest elle, qui, donna de petits coups de cul faisant comprendre à Alain quelle le voulait encore.

— Putain ! Mais !…Mais ten veux encore ?

— Hum ! Ouiiii ! Sil te plait ! encore !

À ce moment, la porte souvrit et Alex entra. Un moment de stupeur, des deux hommes et un sourire magistrale se forma sur la bouche dAlex.

— Alors ! Elle est bonne ! Hein ?

— Bonne ! Tu parle dune chaude salope ! Ouais !

— Je te lavais bien dit !

— Oh ! Oui et si tu veux elle en redemande ! Dit Alain au mari de Sylvie !

— Tiens-la au chaud, je vais chercher Julien ! Dit Alex, sortant de la salle.

Alain recommença de petits va et vient son sexe reprenant vigueur dans le vagin de Sylvie qui se contractais et se décontractais sur son sexe.

Alors quAlain avait repris une cadence régulière, la porte souvrit sur Alex et Julien.

— Mazette ! Mais cest ta meuf ! Fis Julien du haut de son mètre nonante !

— Elle est à point ! Tu peux la baiser comme tu veux, dit Alain au bord dune nouvelle jouissance.

Julien, ouvrit sa salopette et en sorti un monstre aussi noir que lui. Alain se retira prestement laissant la place à Julien, puis tourna autour de la table et enfonça son sexe turgescent dans la bouche grande ouverte de Sylvie qui, venait de recevoir lénorme engin de Julien en elle.

— Waouh ! Elle est étroite ! Je sens que je vais la remplir comme jamais.

Le gros sexe de Julien, sétait enfoncé assez facilement à cause du sperme dAlain que contenait encore le vagin de Sylvie et malgré ça, Sylvie cru au déchirement de son vagin. Jamais, malgré les godes quavait utilisé son mari, elle navait été aussi pleine.

Cinq minutes plus tard et un avalement du sperme dAlain, Julien joui au plus profond de Sylvie qui cria sa jouissance comme jamais et malgré le sexe devenant mou dAlain, encore dans sa bouche.

Sylvie perdis connaissance sous la foudroyante jouissance et se réveilla dans le camion de son mari. Hébétée, transie, et douloureuse entre se jambes, Sylvie bafouillait des paroles sans suites. Elle sendormi, malgré les différentes douleurs subies et les chocs de la route. Puis ce fut le trou noir.

— Chérie !… Chérie ! Cest lheure !

— Mais mais Quel heure ?

— 7h00 !

— Mais Mais, je ne commence que lundi ! Heu !… quel jour on est ?

— On est vendredi, je sais que tu commences que lundi !…. Mais. Monsieur Vincent veux te voir aujourdhui !

— ComComment ça ?

— Ouais ! Il paraît que tas oubliée de signer tes documents dengagement.

Sylvie se réveilla complètement et son esprit se rappela dans un désordre indescriptible, les évènements de la veille.

Mais comment cétait-elle retrouvé dans son lit, Elle se rappelait le camion, puis revint en mémoire les viols de sa bouche et de son vagin. Elle descendit une main à sa vulve et constata lhumidité de cette dernière.

— Mais mais ques-ce qui sest passé hier ! Tu Tu mas laissé me faire violer ?

— Ecoute, ma puce ! le principal cest que tes engagée, non ?

— Mais Tes devenu complètement fou !

— Quoi ? Tu ne vas pas te plaindrehein ? Toi qui aime le sexe.

— Que Jaime le Maisavec toi !

— Ouais ! Avec moi ou un autre Ce nest pas ça qui compte !

— Mais tu es fou !

Malgré ses paroles offusquées, Sylvie se rappela les jouissances de la veille. Son vagin encore rempli de sperme des autres hommes et le sperme avalé, lui refis un effet qui trahissait les paroles quelle émettait.

— Tu sais, ma chérie, Monsieur Vincent, Alain et Julien mont tous dit quils navaient jamais jouit comme ça. Que tu étais vraiment à la hauteur de te réputation.

— Ma Ma réputation ?

— Enfin !… Heu !… La réputation que je tai faite en décrivant nos parties de jambe en lair.

— Mais

— Allez ! Dépêche-toi !… Tu vas arriver en retard ! Monsieur Vincent ne sera pas très content si tu commences en retard.

— Je Bien Comme tu voudras

Sylvie sen alla sous la douche et une demie heure plus tard, pris le bus en direction de la société de son mari. Lui était déjà parti pour livré et était content de lacceptation de sa femme de devenir une pute à son travail. Il faut dire que les trois lascars avait été généreux dans le paiement en « liquide », des prestations de Sylvie.

Sylvie sétait habillée de la même façon que la veille à la différence quelle ne portait aucun sous-vêtement.

Lorsque dans le bus, un vieux vit lentre-jambe de Sylvie offerte à son regard, il se pencha vers elle et lui demanda ; « combien pour une pipe ? »

Sylvie le regarda, sembla réfléchir, haussa les épaules et lui souffla dans loreille :

— Pas encore, pépé mais, je suis sur que bientôt, je te ferai ce plaisir.

Le vieux se rassit étonné de cette réponse. Il vit Sylvie prendre un papier et un Bic dans son sac, écrire quelques mots et lui tendre le papier.

Avec une certaine fébrilité, le vieux ouvrit le papier et pu y lire ; « Je ne suis pas encore une pute, mais appelez-moi dans 2 jours » Suivit dun n° de Gsm !

Le vieux leva un visage complètement abasourdi et regarda Sylvie et le papier à plusieurs reprises ? Sylvie lui fit un beau sourire, se leva et descendis du bus qui était arrivé à son arrêt.

Sylvie nhésita pas une seconde, entra dans le bâtiment et se retrouva devant la porte de Monsieur Vincent.

— Entez !

— Mais ! Qui voilà ! Notre petite salope préférée. Allez à poil !

— Je Oui Monsieur Vincent.

Monsieur Vincent se leva, prépara les papiers de Sylvie et regarda la jeune femme se déshabiller comme si elle allait prendre une douche.

— Vient là ! Pendant que, je te prends, tu signes les documents ! Tu as compris ?

— Oui Monsieur Vincent !

Sylvie se pencha sur le bureau pris un stylo et chercha lemplacement où elle devait signer. Monsieur Vincent de son côté, frottait son sexe mou dans la raie du cul et la vulve offerte à lui. Sentant que la jeune femme mouillait, son sexe se mit au garde à vous en quelques secondes et senfonça allègrement dans le vagin offert.

— Hum ! Fit Sylvie savourant cette première pénétration de la journée, car elle était certaine que ce ne serait pas la seule.

— Tes vraiment une grosse salope ! Ton mari avait raison !

— Oh ! Monsieur ! Bourrez-moi !

— Tinquiète petite ! Je vais ten mettre jusquà la gorge.

Les coups de bassin que donnait Monsieur Vincent avec son sexe assez long, touchait régulièrement le col de lutérus et fit montée en la jeune femme une excitation sans précédent. Après une dizaine de va et vient, Sylvie joui une première fois. Puis, lorsque Monsieur Vincent inonda son vagin de sperme, elle eue un nouvel orgasme encore plus fort.

— Hé ! Bien ! Je ne suis pas mécontent davoir écouté ton mari. Dit Monsieur Vincent en se retirant du vagin rempli de son sperme.

— Mer Merci ! Monsieur Vincent ! Dit-elle en reprenant ses esprits et une respiration normale.

— Voilà ! Une chose de fait ! Bon maintenant, le vrai boulot.

Sylvie se redressa et serra les cuisses, sentant le sperme de Monsieur Vincent suinter de sa vulve. Elle regarda son Chef qui se resapa convenablement et pris sur son bureau un épais carton de type A4 muni dune pince document dans le haut.

— Voici ton planning et un Bic. Tu commences de suite par le troisième et à chaque personne que tu rencontreras, tu lui dis simplement, que tu es la pute de lentreprise et quil à un quart dheure pour tutiliser comme bon lui semble.

— Mais monsieur Nooon ! Pas ça !

« Splaf » une gifle sonore renversa Sylvie toujours nue, au milieu du bureau. Elle se releva, les yeux en pleurs et se tenant la joue meurtrie.

— Tu dois absolument apprendre à obéir directement ! Tu as bien compris ?

— Mais !… Heu !… Oui Monsieur Vincent ! Dit-elle en voyant son chef lever à nouveau la main.

— Bien petite pute ! Va et reviens quand tu auras fait les trois niveaux !

— Heu !… Oui !… Heu !… Oui ! Monsieur Vincent !

— Ha ! Enfin tu as compris !

— Je Ferai ce que vous me demanderai ! Dit-elle complètement soumise, la douleur de sa joue lui rappelant la force de Monsieur Vincent

— Heu !… Je peux me rhabillée ?

— Non !

— Mais Heu !… Noooon ! Excusez-moi ! Dit-elle en voyant la main levée de Monsieur Vincent.

— Attend, je vais appeler le contre maître pour te guider ce premier jour.

Monsieur Vincent appuya sur un interphone et dit : « Alain est demandé au bureau des engagement »

Comme sil attendait derrière la porte quelques secondes plus tard, on frappa à la porte et Alain entra !

— Vous lemmener à tous les niveaux et prenez soin quelle note bien tous les noms des ouvriers qui lutiliseront ! Ok ?

— Bien entendu ! Monsieur Vincent ! Heu Y a-t-il des restrictions ?

— Non ! Son mari à dit quon pouvait tout lui faire !… Elle doit simplement obéir.

— Bien Monsieur ! Et merci encore aux noms des collègues.

— Un bon travail et une bonne cadence me suffiront comme remerciement.

Alain lui pris le bras et la tira hors du bureau. Ils ont pris lescalier et montés deux étages. Alain la fit entrer dans un local de maintenance, dans lequel des salopettes et autres vêtements de travaille sy trouvaient accrochés à des porte-manteaux.

Il lui choisi une salopette trois fois trop grande et lobligea à lenfiler. Elle sentit aussitôt, une chaleur bienfaisante.

Ils sortirent et sengagèrent dans une grande salle munie darmoires et de machines. Des tapis roulants véhiculant de petites boîtes de légumes qui entrait dans une sorte de congélateur rapide et ressortait surgelées.

On trouva facilement un premier ouvrier regardant divers écrans de contrôle. Alain la poussa vers lui et Sylvie débita sa phrase en balbutiant et répétant plusieurs fois certains mots.

— Ques-ce que tu dis, ma belle ?

— Je suis Heu La nouvelle. Heu !… Puput Pute ! Et je suis à votre Heu !…. Dis Disposition ! Dit-elle péniblement pour la troisièmes fois.

Le gars la regarda, comme une extra terrestre et interrogea Alain du regard.

— Cest la meuf dAlex et il la fait embaucher, comme pute pour, nous récompenser des bons chiffres de lannée passée.

— Waouh ! Et on peut faire quoi avec ?

— Tout ! Tout ce que tu veux mais, tu as un quart dheure maximum !

— Vient donc ici salope et à genoux.

Ce fut rapide et abondant. Elle suça le gars moins de 10 minutes et il lui rempli la bouche, comme sil navait plus juté depuis des années.

Elle fut obligée de lui dire « merci » et demanda son nom pour remplir le document quelle tenait en main. Elle devait y inscrire, le nom, le temps et ce quil lui avait fait.

Cela dura jusquà 15h30 et Sylvie regarda sa liste remplie presque jusquen bas. Vingt et une personnes avaient joui en elle. Elle du sucer et avaler le sperme de 11 ouvriers et fut sodomisée 8 fois, les autres jouir dans son petit vagin complètement destroyer.

Elle remonta, toujours accompagnée dAlain qui juste devant le bureau de Monsieur Vincent, La sodomisa de façon brutale.

Elle remit Sa salopette lorsquil eu joui dans son derrière et senti lintérieur de la salopette toute gluante, car de toute la journée, elle ne pu ni sessuyer, ni se laver. Cest donc les cuisses et jambes gluante de sperme à lintérieur de sa salopette quelle entra dans le bureau du chef du personnel.

— Alors ?

— Magnifique Monsieur Vincent ! Elle à assurer !

— Alex avait donc raison de dire que sa femme était une vraie pute !

— Oui ! Monsieur ! Et même mieux, car je lai vue jouir à plusieurs reprises surtout lorsquon la sodomise !

— Cest bien ! Demain tu viendras pour léquipe du weekend et comme ils sont moins nombreux ils pourront te prendre une demi-heure chacun !… Tu es contente ?

— Je Heu !… Oui bien sur Heu !… Monsieur Vincent !

— Ton mari ne sera pas là de tout le weekend, comme tu es de service ici, il a profité pour aller faire un tour à Amsterdam. Je lui ai donné quelques adresse pour faire des achats et aller vois les putes comme toi.

— Je Ha !… Mais.

— Surtout ne dit rien !… Ne me remercie pas !…. Tu devrait être contente que ton mari puisse lui aussi samuser, pendant que tu prends ton pied ici !

— Heu !… Bien monsieur Vincent ! Dit-elle complètement abasourdie par ce quelle venait dentendre.

— Si tu veux, tu peux passer la nuit ici, car il y a aussi léquipe de nuit, mais ils ne sont que six.

— Je sisi vous voulez, Monsieur Vincent !

— Ok ! Cest dit, tu reste ! Bon, tu las conduit dans le local prévu pour les gangs bang et tu lui enlève cette salopette puante ! Continua-t-il en sadressant à Alain.

Alain la prit par le bras et la conduisit dans local en question. Une simple pièce carrée avec un matelas sur le sol rempli de taches séchées. Lodeur régnant dans cette pièce était assez forte et un peu écurante.

Elle du enlever sa salopette toute gluante entre les jambes et létaler sur le matelas.

— Essaye de la rendre un peu propre ! Dit Alain.

Sylvie le regarda bizarrement, se demandant ce quelle devait faire. La voyant hésiter, il éclata de rire et lui dit ;

— Avec ta langue ! Salope ! Avec ta langue !…. Tu lèches lintérieur.

Elle ne fut quà peine étonnée de cet ordre et se mit à lécher lintérieur de sa salopette. Elle compris assez rapidement, quelle était étanche à lintérieur et que le sperme quelle contenait ne sétait nullement imprégné au tissu.

Il lui fallu bien une demi-heure pour la rendre, plus ou moins propre et Alain layant retournée, laccrocha à un crochet près de la porte de la pièce.

Il la laissa seule, nue et complètement déboussolée par cette première journée desclavagisme. Il ny avait pas dautres mots, pour désigner ce quelle venait de faire.

Sylvie resta longtemps enfermée dans cette pièce et lorsque la porte souvrit ce fut pour laisser entrer une dizaine dhomme quelle ne connaissait pas encore.

La suite très vite.

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