Cette histoire m’est arrivée alors que je n’avais que 17 ans et très peu d’expériences sexuelles.
Une amie à moi avait loué une salle des fêtes d’un village près de Blois (Loir et Cher) pour organiser une soirée à l’occasion de son anniversaire.
Comme j’étais le seul à avoir une chaîne Hifi, une table de mixage et un peu d’éclairage, j’ai été invité à faire le DJ pour cette soirée qui s’annonçait assez… calme ^^
J’étais installé sur une estrade en béton assez grande puisqu’elle servait aussi pour les petits spectacles d’école.
D’où j’étais je pouvais donc voir toute la salle… vide ou presque puisque ma copine du moment, Sandrine, fini par arriver sur mon incrusta… euh invitation.
Nous n’étions ensemble que depuis 3 semaines et nous n’avions pas eu le temps de faire grand chose d’autres que des petits jeux de langues dans la bouche de l’autre car nous habitions à 30 km et nous ne voyions qu’au Lycée.
Cependant, nous nous appelions très souvent et j’avais fini par comprendre qu’elle aimait assez le sexe…
Bref, elle vint me dire bonjour en m’embrassant puis resta un peu avec moi en mettant ses bras bien sagement autour de ma taille pendant que jenchaînais les meilleurs tubes de dance du début des années 90.
Puis elle descendit et alla s’asseoir sur un banc en attendant que le monde et l’ambiance arrive… ce qui n’arriva pas…
Au bout de quelque temps elle finit par remonter avec moi en me faisant comprendre qu’elle s’emmerdait sec et qu’elle aimerait bien que nous allions faire une tour.
Seulement voilà, même si j’avais une sérieuse envie d’aller la peloter dans un coin, je n’étais pas rassuré de laisser mon matos.
J’ai donc demandé à mon meilleur ami du moment, Christophe, de faire les mixages et de surveiller un peu les disques pendant que je m’éclipsais au fond de la scène avec Sandrine.
Au fond de cette scène, il y avait un rideau quasiment collé au mur (en y repensant, je ne vois pas trop à quoi ça servait à part cacher la misère peut-être) et c’est là que nous nous sommes installés.
En fait, nous devions à voir un espace peinard de moins d’un mètre de largeur pour 3 à 4 mètres de long à moins de 3 mètres de la table de mixage.
Et comme le rideau allait jusqu’au sol, je pouvais donc explorer le corps de ma copine tout en continuant à surveiller l’évolution de l’animation.
Elle s’est installé le dos contre moi entre mes jambes et j’ai immédiatement commencé à l’embrasser en passant mes mains sous son pull pour enfin aller découvrir ce qui s’y cachait.
Elle avait de beaux seins bien fermes qui furent vite libérés de ce soutien-gorge qui n’avait pas sa place dans la suite du scénario.
J’ai donc poursuivi mon inspection en alternant les baisers langoureux au léchage de sa magnifique poitrine et vu ses petits gémissements retenus (y avait des copains à côté), elle avait l’air d’apprécier.
Pendant ce temps, Christophe enchaînait les disques de plus en plus mal en changeant de style à chaque fois que deux personnes sassaillaient mais ça me perturbait de moins en moins…
Comme elle ne m’avait opposé aucune résistance, j’ai fini par faire descendre ma main un peu plus bas et je me suis mis à la caresser à travers son jean de manière de plus en plus appuyée.
J’ai poursuivi en faisant sauter ses boutons un à un pour aller la caresser à même la peau mais le jean trop serré m’offrait un mauvais angle et elle comprit assez vite que le jean serait mieux à patienter bien sagement avec le soutien-gorge…
Une fois qu’elle n’eu plus que son pull et ses chaussettes (il faisait quand même un peu froid dans la salle) je pus enfin me mettre à la doigter vigoureusement en continuant à l’embrasser pour masquer ses gémissements devenu moins discrets.
Je gardais d’ailleurs toujours une petite oreille sur ce qu’il se passait à côté pour suivre un peu l’animation et essayer d’entendre des chuchotements qui auraient signifiés qu’on s’était fait gaulé.
Mais je crois qu’avec le son, ils n’entendaient pas grand chose (même s’ils devaient se douter qu’on ne jouait pas aux osselets).
J’ai alors demandé à Sandrine de s’allonger pour que je puisse lui faire un cunni mémorable derrière ces rideaux.
C’est avec une excitation non dissimulée que je me suis délecté de son minou complètement trempé sous mes coups de langues gourmands.
Peu à peu je me suis mis à la redoigter de plus en plus et après plusieurs minutes, quand je vis qu’elle était dans un état d’excitation intense, je me mis à genoux en déboutonnant mon pantalon pour lui montrer l’effet qu’elle me faisait.
Sans me démonter je lui demandais de me rendre la monnaie de ma pièce et elle prit mon sexe en main en me branlant un peu.
Mais elle me dit :
— Alors tu vas me laisser en plan comme ça et tu voudrais que je te suce?
— Oui!
Elle se pencha et du bout de la langue elle commença entre mes deux couilles pour remonter le plus lentement possible jusqu’à mon gland.
Arrivée à mon gland elle y déposa un baiser tout ce qu’il y a de plus baveux.
Moi qui n’avais encore jamais été sucé je faillis tomber dans les pommes!
Puis elle me regarda et en lâchant ma bite elle me dit :
— C’est tout!
— Quoi ????
— Prends-moi maintenant.
J’avais heureusement comme toujours à cette époque là une capote dans la poche et il ne me fallut pas plus de 3 secondes 6 dixièmes pour enfiler pendant que Sandrine se plaçait directement en levrette bien cambrée.
Et alors que Christophe avait enchaîné deux fois la même chanson, changé 4 fois de style en 3 minutes et demandait au micro ce que les danseurs voulaient maintenant, je me suis dit que je me foutais complètement de l’animation!
Pour la bonne et simple raison que je tenais Sandrine par les hanches et que je la besognais sans pitié.
Je dus même lui mettre la main sur la bouche à un moment pour essayer de rester discret.
Et franchement, je crois qu’il n’y a que Christophe qui a compris ce qu’il s’était passé derrière le rideau.
Mesdames, n’hésitez pas à m’écrire (surtout si vous êtes dans la région de Tours)!